COLLECTION JEUNE – VIEUX. Mes études chez ma tante (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2019 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Mes études chez ma tante (1/1)
- Ma tante que faites-vous là, assise au pied de mon lit !
- Je viens vérifier que tu es propre et que ton lit est sec, as-tu fait pipi au lit ?
- Voyons ma tante, j’ai dix-huit ans, il y a longtemps que je suis propre.
Ma tante soulève mon drap, je suis nu, je dors toujours nu.
- Et ça mon neveu c'est quoi !
Tu fais bien pipi au lit, regarde ça a séché mais on voit bien que c’était mouillé.
- Non ma tante, excusez-moi, mais je dois avouer qu’hier soir je me suis masturbé.
Je sais, j’ai honte, c’est du sperme que j’ai expulsé et qui a séché.
- Du sperme sorti de ta verge ?
Dis, tu pourrais la cacher car être nu devant ta tante, c'est indécent.
- Mais ma tante, c’est toi qui as relevé mon drap !
Il fait chaud en ce mois de septembre et je dors toujours nu.
- Tu as raison, dis-moi, tu as déjà couché avec des filles, tu as déjà trempé ton petit tuyau dans le vagin d’une fille !
- Petit tuyau, ma tante !
Il est au repos, mais quand je me masturbe, sans être très gigantesque, il l’est suffisamment pour que ma main soit loin de le couvrir.
Il est vrai qu’à 18 ans, mon corps est encore jeune, assez musclé grâce au sport.
Je suis moyennement poilu mais mon sexe est, je crois, assez gros.
Ma tante avance sa main et me saisit la verge.
- Je vais vérifier par moi-même.
Elle me la saisit et l’avance sa bouche commençant à me pomper.
- Ma tante que fais-tu, tu me fais une fellation !
Elle relève la tête me regardant droit dans les yeux.
- Bien sûr et plus si affinités, Cyprien.
Elle replonge sur ma verge.
Je suis aux anges, même si c’est ma tante et que je suis puceau car je me suis consacré à mes études.
Je suis vacances chez mon oncle et ma tante à Montpellier en attendant la rentrée en Fac de médecine.
Je me suis inscrit à cette fac après mon bac.
Ma mère a appelé Isabelle sa sœur pour qu’elle m’héberge, étant seule avec son mari sans enfant.
Assise sur mon lit, elle est là dans ma chambre en peignoir.
Elle me suce, mais sa main plonge au-dessous de son vêtement, il s’est ouvert et je la vois se caresser le clitoris.
Je reconnais que même femme mûre, elle a encore un corps plaisant.
Ces certains quelques rides, quelques rondeurs mais ce sont ses seins qui m'attirent, en forme de poire, très denses.
Je vois aussi son mont de vénus, son sexe qui est glabre, lisse, pas un poil, comme c’est la mode ces dernières années.
Je me sens le droit d’en faire autant, j’avance ma main.
La sienne se retire et ce sont mes doigts qui lui caressent sa jolie excroissance qui est bien dure.
- Cyprien, c’est bon et toi aimes-tu que je te suce la bite ?
- Bien sûr ma tante, surtout que tu es la première.
- Je le savais, tu es puceau, je vais te débarrasser de ça, à la fac, tu pourras tirer tes copines sans passer pour un couillon.
Mais au lieu de « ma tante » appelle-moi Isabelle.
- Oui, tante Isabelle.
Nous éclatons de rire, elle se lève, elle fait tomber son peignoir, elle a des seins plus gros que ceux d’Alice sa sœur donc ma mère.
Comme je viens de le découvrir, elle est lisse de la chatte.
Elle a des cheveux aussi blonds que maman en a des bruns.
Je le regrette un peu, une toison laissant apparaître les grandes lèvres, ce doit être sympa, du moins j’aimerais.
Je sais, je suis puceau, mais loin d’être innocent, combien de pornos m’ont permis de me masturber en regardant des blondes, elles sont rarement glabres.
C’est en regardant un film sur mon portable « Ma femme blonde, cette salope » laissant des traces sur mon drap.
Les choses avancent pour moi, la fellation m’a fait bander, ça c’est facile pour moi, je démarre au quart de tour.
Et je suis fier de ma queue qui est bien épaisse.
Elle monte sur mon lit, m’enjambe, sa chatte m’apparaît ayant écarté les bords de son sexe avec ses doigts.
Centimètre par centimètre elle se pénètre de ma verge.
Je serre les dents, je suis à deux doigts de lâcher la purée, ma masturbation d’hier me permet de résister.
Je me concentre sur ses seins que je caresse, ses tétons s’allongent.
Vu notre position, ils sont à ma portée, j’ai du mal à les tenir entièrement dans ma main.
J’ignore la taille des seins des femmes, j’ai entendu qu’elle peut faire un 95 D.
Sa main se glisse entre nous.
Grâce à mon oreiller, relevant la tête, je vois clairement qu’elle continue à se caresser le clitoris en se mordant les lèvres, ses yeux plantés dans les miens.
C’est la première fois que je baisais, fusse ma tante, pardon Isabelle, étant en entière communion au point de jonction de nos corps.
C’est beau une femme qui jouit, j’espère que ce premier coup, au moment où mon sperme part au fond de son vagin, sera loin d’être le dernier.
Mes vacances commencent bien.
Avec elle ou avec d’autres, la seule chose qui me travaille, c’est Oncle Christian.
Si Isabelle, est venue ce dimanche matin s’empaler sur ma verge, son histoire de pipi au lit n’étant certainement qu’un motif, c’est certainement qu’elle est en manque de sexe.
Mais où est son mari ?
L’orgasme qui la traverse est si intense au moment où je gicle en elle, la fait tomber et rester prostrée de longues minutes à mon côté.
Je lui caresse le sein qui est à ma portée, elle semble apprécier pendant que la tension redescend dans nos corps.
Pour la première fois, je suis l’amant d’une femme.
Qui plus est, l’amant de la sœur de ma mère.
Je devrais avoir honte, mais ça a été si bon et si exceptionnel vu le contexte que je suis prêt à recommencer.
Elle reprend vie, je vais pour lui toucher le clito, elle semble très sensible de ce point du corps, elle m’échappe, attrape son peignoir et quitte ma chambre.
- Cyprien, je t’attends à la cuisine, le petit déjeuner est prêt.
Je traîne quelques minutes encore.
J’aime traîner surtout les dimanches car pour mon bac, j’ai travaillé pour avoir la mention « très bien » et rentrer en médecine.
Les dimanches, j’aime récupérer un peu.
Je descends des chambres, Isabelle chante dans la cuisine, je la rejoins, elle est de dos, toujours nu, le peignoir posé sur une chaise.
Je me colle à elle, j’ai peur de sa réaction, non, elle tourne la tête et m’embrasse avant de lâcher.
- Tu es insatiable Cyprien, mais j’aime ce que je sens sur mes fesses.
Café ou thé ?
- Ta chatte Isabelle, seule ta chatte m’intéresse, je veux encore te prendre là debout devant ta plaque de cuisson.
Elle a un sourire de circonstance, c’est elle qui a déclenché cette envie de sexe.
Elle écarte les jambes, je sors ma verge de mon slip de bain.
Au départ, en descendant, je pensais profiter de la piscine découverte à cette époque où il fait encore chaud, c’est l’été indien.
Isabelle est pleine de mon sperme et de sa cyprine que son vagin dégage de nouveau.
Je me baisse un peu, trouve son ouverture, ma verge entre sans le moindre problème.
Je la tiens au bout de ma queue chaque fois que je redresse mon corps.
Pour la deuxième fois, elle jouit et je jouis en elle.
- Café ou thé ?
- Café Isabelle, mais dis-moi où est Tonton ?
- À son usine, avec sa secrétaire, il travaille sur son bureau.
- C’est normal s’il est à son bureau, mais pourquoi sur son bureau.
- Oui, c’est normal, même si sa secrétaire est aussi sur son bureau, plus précisément couchée, les cuisses écartées et la bite de Christian au même endroit que la tienne dans ta chambre et tout de suite le long du plan de travail.
- Je dois comprends que c’est sa maîtresse !
- Oui, 22 ans, comment veux-tu que je lutte contre elle, alors que je vais avoir bientôt 40 ans.
- C’est difficile de te donner des conseils, je commence mes hautes études, pourtant tu es bandante.
- Si tu m’avais permis de faire ce que j’ai fait tous les matins, je serais dans la piscine à faire dix kilomètres.
- Allons-y !
- Vas-y, c’est trop tard, Christian vient manger avec Lucie, ayant travaillé toute la matinée.
- Comment sais-tu que c’est sa maîtresse ?
- Car il me l’a dit.
Où suis-je tombé ?
Dans quel monde je viens d’atterrir, je pense à ça pendant que je fais des longueurs de bassin dans un crawl parfait.
À quel jeu joue le couple, c’est ma famille et j’ignore qui ils sont !
Je sors de l’eau, quand la voiture arrive, mon oncle est toujours égal à lui-même.
Beau gosse sachant s’entretenir.
Il est un homme mûr même si un petit ventre commence à se faire voir, il est encore musclé.
Lucie, la secrétaire est pétillante, cheveux châtains, fine, de belles fesses rondes et rebondies et des seins plus petits que ceux de ma tante.
Je comprends pourquoi il a craqué pour cette jeune fille.
Mais de suite, un problème se pose, ça s’appelle le coup de foudre qui semble réciproque avec la secrétaire.
Le repas au bord de la piscine est agréable car nous sommes tous en maillot de bain et comme je l’ai dit la chaleur en ce mois de début septembre persiste.
Celui de Lucie lui met les seins en valeur.
Ils dressent fièrement.
J’ai joué avec ceux d’Isabelle, comment puis-je faire pareil avec les siens ?
Elle va m’en donner l’occasion après les morceaux de mangues fraîches ingurgités en dessert.
- Cyprien, vient te baigner, je t’ai vu nager en arrivant, voyons lequel de nous est le plus rapide.
Elle prend une longueur d’avance la piscine est grande mais loin d’être olympique.
Je la rattrape, la doublant, elle me tire par le pied manquant de me noyer.
Heureusement le fond de la piscine est d’environ un mètre vingt au plus profond, je reprends pied.
La perfide arrive et m’entoure de ses bras.
Je vois Isabelle rigoler, que veut dire son signe de la tête et pourquoi Christian l’a-t-il rejoint sur le transat deux places et lui caresse l’entrejambe ?
J’étais puceau en me réveillant ce matin, mais loin d’être un retardé du bulbe.
La fille qui se pend à mon cou et le ballet étrange de mon oncle et de ma tante me donne l'impression que tout ceci est prémédité.
J’attends en jouant le jeu, j’embrasse ma deuxième conquête de ma courte vie sexuelle sans me poser plus de problèmes !
Est-ce bien ma propre conquête ?
La bouche de Lucie est suave, sa langue étant très agile.
Sa main est plongée sous l’eau et vient prendre mon sexe écartant mon slip de bain d’un mouvement plein de certitude.
Malgré les deux coups tirés avec Isabelle, je bande au maximum.
Je lui rends la pareille, l’eau m’empêchant de voir si elle mouille, bien que mes doigts ressentent que son vagin est gluant.
Se sert-elle de l’eau ou suis-je assez fort pour l’étape suivante ?
Ses jambes se soulèvent, elle s’empale sur moi.
Ma tante venant sur le pieu de mon oncle pour eux aussi entamer une danse de l’amour.
Le sexe de mon oncle que je vois pour la première fois semble très long, peut être plus fin que le mien.
Nous nous soudons l’un à l’autre, par nos bouches, nos sexes et par ses bras autour de mon cou alors que je la prends sous les fesses pour mieux la faire aller sur ma verge.
Les deux coups précédents avec ma tante me permettent d’être performants malgré la nouveauté de la chatte que je baise.
Rapidement le jardin retentit des cris des deux femmes satisfaites de nos exploits amoureux.
Pour la première fois, je lâche mes flèches dans le vagin de Lucie espérant que ce soit loin d’être la dernière.
Un dernier baiser et nous sortons de la piscine.
- Cyprien, viens vers moi, viens dans mes bras. Christian laisse lui la place, je vais tout lui dire.
- Je crois commencer à comprendre Isabelle.
- Voilà, Christian a embauché Lucie il y a un an, rapidement j’ai eu le béguin pour elle.
Je l’ai invitée lors d’un voyage de mon mari et nous avons constaté que nous étions bisexuelles.
Au retour de Christian, j’ai organisé un repas comme celui d’aujourd’hui et Lucie comme elle l’a fait avec toi s’est donnée à lui dans la piscine.
Elle a employé le même stratagème pour se donner à lui.
Depuis nous formons un magnifique trio, jusqu’au jour où ma sœur m’a demandé de t’accepter chez nous.
Nous nous sommes réunis et nous avons décidé de faire à quatre ce que nous faisions à trois.
Nous avons élaboré un scénario, il fallait que familialement ce soit moi qui doive me donner à toi.
Tu as dû me prendre pour une demeurée de venir voir si tu avais fait pipi au lit. C’est le seul truc que j’ai trouvé et ça a l’air d’avoir fonctionné.
Pendant ses explications, sa main me caressant, je bande de nouveau.
Mon oncle embrasse sa secrétaire comme je le faisais avec elle, dans la piscine.
Il est facile de glisser inexorablement vers un monde libertin.
Je vais m’y employer sachant pertinemment que lorsque ma bouche se rapproche de la fente d’Isabelle, le clin d’œil que Lucie me lance est preuve d’un amour naissant.
- Je viens vérifier que tu es propre et que ton lit est sec, as-tu fait pipi au lit ?
- Voyons ma tante, j’ai dix-huit ans, il y a longtemps que je suis propre.
Ma tante soulève mon drap, je suis nu, je dors toujours nu.
- Et ça mon neveu c'est quoi !
Tu fais bien pipi au lit, regarde ça a séché mais on voit bien que c’était mouillé.
- Non ma tante, excusez-moi, mais je dois avouer qu’hier soir je me suis masturbé.
Je sais, j’ai honte, c’est du sperme que j’ai expulsé et qui a séché.
- Du sperme sorti de ta verge ?
Dis, tu pourrais la cacher car être nu devant ta tante, c'est indécent.
- Mais ma tante, c’est toi qui as relevé mon drap !
Il fait chaud en ce mois de septembre et je dors toujours nu.
- Tu as raison, dis-moi, tu as déjà couché avec des filles, tu as déjà trempé ton petit tuyau dans le vagin d’une fille !
- Petit tuyau, ma tante !
Il est au repos, mais quand je me masturbe, sans être très gigantesque, il l’est suffisamment pour que ma main soit loin de le couvrir.
Il est vrai qu’à 18 ans, mon corps est encore jeune, assez musclé grâce au sport.
Je suis moyennement poilu mais mon sexe est, je crois, assez gros.
Ma tante avance sa main et me saisit la verge.
- Je vais vérifier par moi-même.
Elle me la saisit et l’avance sa bouche commençant à me pomper.
- Ma tante que fais-tu, tu me fais une fellation !
Elle relève la tête me regardant droit dans les yeux.
- Bien sûr et plus si affinités, Cyprien.
Elle replonge sur ma verge.
Je suis aux anges, même si c’est ma tante et que je suis puceau car je me suis consacré à mes études.
Je suis vacances chez mon oncle et ma tante à Montpellier en attendant la rentrée en Fac de médecine.
Je me suis inscrit à cette fac après mon bac.
Ma mère a appelé Isabelle sa sœur pour qu’elle m’héberge, étant seule avec son mari sans enfant.
Assise sur mon lit, elle est là dans ma chambre en peignoir.
Elle me suce, mais sa main plonge au-dessous de son vêtement, il s’est ouvert et je la vois se caresser le clitoris.
Je reconnais que même femme mûre, elle a encore un corps plaisant.
Ces certains quelques rides, quelques rondeurs mais ce sont ses seins qui m'attirent, en forme de poire, très denses.
Je vois aussi son mont de vénus, son sexe qui est glabre, lisse, pas un poil, comme c’est la mode ces dernières années.
Je me sens le droit d’en faire autant, j’avance ma main.
La sienne se retire et ce sont mes doigts qui lui caressent sa jolie excroissance qui est bien dure.
- Cyprien, c’est bon et toi aimes-tu que je te suce la bite ?
- Bien sûr ma tante, surtout que tu es la première.
- Je le savais, tu es puceau, je vais te débarrasser de ça, à la fac, tu pourras tirer tes copines sans passer pour un couillon.
Mais au lieu de « ma tante » appelle-moi Isabelle.
- Oui, tante Isabelle.
Nous éclatons de rire, elle se lève, elle fait tomber son peignoir, elle a des seins plus gros que ceux d’Alice sa sœur donc ma mère.
Comme je viens de le découvrir, elle est lisse de la chatte.
Elle a des cheveux aussi blonds que maman en a des bruns.
Je le regrette un peu, une toison laissant apparaître les grandes lèvres, ce doit être sympa, du moins j’aimerais.
Je sais, je suis puceau, mais loin d’être innocent, combien de pornos m’ont permis de me masturber en regardant des blondes, elles sont rarement glabres.
C’est en regardant un film sur mon portable « Ma femme blonde, cette salope » laissant des traces sur mon drap.
Les choses avancent pour moi, la fellation m’a fait bander, ça c’est facile pour moi, je démarre au quart de tour.
Et je suis fier de ma queue qui est bien épaisse.
Elle monte sur mon lit, m’enjambe, sa chatte m’apparaît ayant écarté les bords de son sexe avec ses doigts.
Centimètre par centimètre elle se pénètre de ma verge.
Je serre les dents, je suis à deux doigts de lâcher la purée, ma masturbation d’hier me permet de résister.
Je me concentre sur ses seins que je caresse, ses tétons s’allongent.
Vu notre position, ils sont à ma portée, j’ai du mal à les tenir entièrement dans ma main.
J’ignore la taille des seins des femmes, j’ai entendu qu’elle peut faire un 95 D.
Sa main se glisse entre nous.
Grâce à mon oreiller, relevant la tête, je vois clairement qu’elle continue à se caresser le clitoris en se mordant les lèvres, ses yeux plantés dans les miens.
C’est la première fois que je baisais, fusse ma tante, pardon Isabelle, étant en entière communion au point de jonction de nos corps.
C’est beau une femme qui jouit, j’espère que ce premier coup, au moment où mon sperme part au fond de son vagin, sera loin d’être le dernier.
Mes vacances commencent bien.
Avec elle ou avec d’autres, la seule chose qui me travaille, c’est Oncle Christian.
Si Isabelle, est venue ce dimanche matin s’empaler sur ma verge, son histoire de pipi au lit n’étant certainement qu’un motif, c’est certainement qu’elle est en manque de sexe.
Mais où est son mari ?
L’orgasme qui la traverse est si intense au moment où je gicle en elle, la fait tomber et rester prostrée de longues minutes à mon côté.
Je lui caresse le sein qui est à ma portée, elle semble apprécier pendant que la tension redescend dans nos corps.
Pour la première fois, je suis l’amant d’une femme.
Qui plus est, l’amant de la sœur de ma mère.
Je devrais avoir honte, mais ça a été si bon et si exceptionnel vu le contexte que je suis prêt à recommencer.
Elle reprend vie, je vais pour lui toucher le clito, elle semble très sensible de ce point du corps, elle m’échappe, attrape son peignoir et quitte ma chambre.
- Cyprien, je t’attends à la cuisine, le petit déjeuner est prêt.
Je traîne quelques minutes encore.
J’aime traîner surtout les dimanches car pour mon bac, j’ai travaillé pour avoir la mention « très bien » et rentrer en médecine.
Les dimanches, j’aime récupérer un peu.
Je descends des chambres, Isabelle chante dans la cuisine, je la rejoins, elle est de dos, toujours nu, le peignoir posé sur une chaise.
Je me colle à elle, j’ai peur de sa réaction, non, elle tourne la tête et m’embrasse avant de lâcher.
- Tu es insatiable Cyprien, mais j’aime ce que je sens sur mes fesses.
Café ou thé ?
- Ta chatte Isabelle, seule ta chatte m’intéresse, je veux encore te prendre là debout devant ta plaque de cuisson.
Elle a un sourire de circonstance, c’est elle qui a déclenché cette envie de sexe.
Elle écarte les jambes, je sors ma verge de mon slip de bain.
Au départ, en descendant, je pensais profiter de la piscine découverte à cette époque où il fait encore chaud, c’est l’été indien.
Isabelle est pleine de mon sperme et de sa cyprine que son vagin dégage de nouveau.
Je me baisse un peu, trouve son ouverture, ma verge entre sans le moindre problème.
Je la tiens au bout de ma queue chaque fois que je redresse mon corps.
Pour la deuxième fois, elle jouit et je jouis en elle.
- Café ou thé ?
- Café Isabelle, mais dis-moi où est Tonton ?
- À son usine, avec sa secrétaire, il travaille sur son bureau.
- C’est normal s’il est à son bureau, mais pourquoi sur son bureau.
- Oui, c’est normal, même si sa secrétaire est aussi sur son bureau, plus précisément couchée, les cuisses écartées et la bite de Christian au même endroit que la tienne dans ta chambre et tout de suite le long du plan de travail.
- Je dois comprends que c’est sa maîtresse !
- Oui, 22 ans, comment veux-tu que je lutte contre elle, alors que je vais avoir bientôt 40 ans.
- C’est difficile de te donner des conseils, je commence mes hautes études, pourtant tu es bandante.
- Si tu m’avais permis de faire ce que j’ai fait tous les matins, je serais dans la piscine à faire dix kilomètres.
- Allons-y !
- Vas-y, c’est trop tard, Christian vient manger avec Lucie, ayant travaillé toute la matinée.
- Comment sais-tu que c’est sa maîtresse ?
- Car il me l’a dit.
Où suis-je tombé ?
Dans quel monde je viens d’atterrir, je pense à ça pendant que je fais des longueurs de bassin dans un crawl parfait.
À quel jeu joue le couple, c’est ma famille et j’ignore qui ils sont !
Je sors de l’eau, quand la voiture arrive, mon oncle est toujours égal à lui-même.
Beau gosse sachant s’entretenir.
Il est un homme mûr même si un petit ventre commence à se faire voir, il est encore musclé.
Lucie, la secrétaire est pétillante, cheveux châtains, fine, de belles fesses rondes et rebondies et des seins plus petits que ceux de ma tante.
Je comprends pourquoi il a craqué pour cette jeune fille.
Mais de suite, un problème se pose, ça s’appelle le coup de foudre qui semble réciproque avec la secrétaire.
Le repas au bord de la piscine est agréable car nous sommes tous en maillot de bain et comme je l’ai dit la chaleur en ce mois de début septembre persiste.
Celui de Lucie lui met les seins en valeur.
Ils dressent fièrement.
J’ai joué avec ceux d’Isabelle, comment puis-je faire pareil avec les siens ?
Elle va m’en donner l’occasion après les morceaux de mangues fraîches ingurgités en dessert.
- Cyprien, vient te baigner, je t’ai vu nager en arrivant, voyons lequel de nous est le plus rapide.
Elle prend une longueur d’avance la piscine est grande mais loin d’être olympique.
Je la rattrape, la doublant, elle me tire par le pied manquant de me noyer.
Heureusement le fond de la piscine est d’environ un mètre vingt au plus profond, je reprends pied.
La perfide arrive et m’entoure de ses bras.
Je vois Isabelle rigoler, que veut dire son signe de la tête et pourquoi Christian l’a-t-il rejoint sur le transat deux places et lui caresse l’entrejambe ?
J’étais puceau en me réveillant ce matin, mais loin d’être un retardé du bulbe.
La fille qui se pend à mon cou et le ballet étrange de mon oncle et de ma tante me donne l'impression que tout ceci est prémédité.
J’attends en jouant le jeu, j’embrasse ma deuxième conquête de ma courte vie sexuelle sans me poser plus de problèmes !
Est-ce bien ma propre conquête ?
La bouche de Lucie est suave, sa langue étant très agile.
Sa main est plongée sous l’eau et vient prendre mon sexe écartant mon slip de bain d’un mouvement plein de certitude.
Malgré les deux coups tirés avec Isabelle, je bande au maximum.
Je lui rends la pareille, l’eau m’empêchant de voir si elle mouille, bien que mes doigts ressentent que son vagin est gluant.
Se sert-elle de l’eau ou suis-je assez fort pour l’étape suivante ?
Ses jambes se soulèvent, elle s’empale sur moi.
Ma tante venant sur le pieu de mon oncle pour eux aussi entamer une danse de l’amour.
Le sexe de mon oncle que je vois pour la première fois semble très long, peut être plus fin que le mien.
Nous nous soudons l’un à l’autre, par nos bouches, nos sexes et par ses bras autour de mon cou alors que je la prends sous les fesses pour mieux la faire aller sur ma verge.
Les deux coups précédents avec ma tante me permettent d’être performants malgré la nouveauté de la chatte que je baise.
Rapidement le jardin retentit des cris des deux femmes satisfaites de nos exploits amoureux.
Pour la première fois, je lâche mes flèches dans le vagin de Lucie espérant que ce soit loin d’être la dernière.
Un dernier baiser et nous sortons de la piscine.
- Cyprien, viens vers moi, viens dans mes bras. Christian laisse lui la place, je vais tout lui dire.
- Je crois commencer à comprendre Isabelle.
- Voilà, Christian a embauché Lucie il y a un an, rapidement j’ai eu le béguin pour elle.
Je l’ai invitée lors d’un voyage de mon mari et nous avons constaté que nous étions bisexuelles.
Au retour de Christian, j’ai organisé un repas comme celui d’aujourd’hui et Lucie comme elle l’a fait avec toi s’est donnée à lui dans la piscine.
Elle a employé le même stratagème pour se donner à lui.
Depuis nous formons un magnifique trio, jusqu’au jour où ma sœur m’a demandé de t’accepter chez nous.
Nous nous sommes réunis et nous avons décidé de faire à quatre ce que nous faisions à trois.
Nous avons élaboré un scénario, il fallait que familialement ce soit moi qui doive me donner à toi.
Tu as dû me prendre pour une demeurée de venir voir si tu avais fait pipi au lit. C’est le seul truc que j’ai trouvé et ça a l’air d’avoir fonctionné.
Pendant ses explications, sa main me caressant, je bande de nouveau.
Mon oncle embrasse sa secrétaire comme je le faisais avec elle, dans la piscine.
Il est facile de glisser inexorablement vers un monde libertin.
Je vais m’y employer sachant pertinemment que lorsque ma bouche se rapproche de la fente d’Isabelle, le clin d’œil que Lucie me lance est preuve d’un amour naissant.
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