COLLECTION JEUNE – VIEUX. Si jeune et si belle (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Si jeune et si belle (1/1)
Mariée depuis quarante ans voire un peu plus avec Sylvie, je suis en retraite depuis six mois quand mon fils Christophe me demande si je peux venir en Haute-Savoie.
Il a besoin de moi le temps nécessaire à effectuer de gros travaux dans la maison qu’ils viennent d’acheter avec Aurélie sa compagne.
La possibilité de reprendre une activité pour moi qui est tendance à rester derrière mon ordinateur toute la journée à écrire des histoires érotiques me plaît.
Certes, je dois me séparer de Sylvie pendant plusieurs semaines, même des mois.
J’ai toujours été bricoleur ayant une formation manuelle d’ajusteur puis de mécanicien.
Être près de mon fils, sa compagne et Jules mon petit-fils que je vois très peu habitant à deux cents kilomètres de là m’enchante.
Il me dit que nous serons trois pour faire tous ces travaux.
Lucien oncle de ma bru, 60 ans comme moi est en retraite de l’armée ainsi qu’ Alicia une nièce d’Aurélie qui a 20 ans.
Elle travaillera avec nous afin d’apprendre comment une maison se rénove pour s’orienter dans ce type de travail.
Elle souhaite créer sa boîte de travaux de rénovation.
C’est au joli mois de mai que je prends la route et que je débarque dans cette maison qui m’apparaît rapidement comme une poubelle.
Certes, la surface ainsi que le jardin quand nous aurons tout transformé fera de cette maison un endroit agréable à vivre.
De la salle la vue est magnifique sur le massif des Bauges et plus particulièrement sur le mont Semnoz rendu célèbre par une étape du Tour de France.
Ma voiture est remplie de tout le matériel acheté au fil des années ayant moi-même construit ma propre maison avec l’aide de Sylvie.
Dès que j’arrive, je vois que c’est en mois que je vais devoir rester, comme je l’ai dit c’est une poubelle.
Le temps étant magnifique, après avoir tout sorti et rangé dans un petit garage aussi pourri que le reste, je me rends dans un grand magasin acheter un lit d’appoint avec un bon matelas.
Quand on entreprend de tels travaux, la récupération est primordiale après de grandes journées de travail.
Christophe me présente Lucien qu’il vient d’aller chercher à la gare habitant dans le Pas-de-Calais et Alicia qui elle réside en banlieue parisienne.
Lucien est un homme plutôt petit qui connaît déjà Alicia et qui l’a déjà surnommé Lulu.
- Bonjours la puce, tu vas être assez forte pour soulever les charges que nous aurons à manœuvrer pendant ces longs jours.
- Aucun problème papy, tu seras fatigué avant moi.
Papy ayant retrouvé Jules, lui disant que son papy va lui faire sa chambre.
Alicia est un joli brin de fille ayant tout ce qu’il faut là où il faut.
Avec le décolleté qu’elle me présente, je peux voir une grande partie de ses jolis seins cachés par un débardeur et libre de tout soutien.
Reconnaissons qu’avec leur volume et certainement leurs fermetés, c’est inutile.
Chacun de nous ayant un couchage sur place nous nous distribuons les emplacements où nous dormirons.
Lulu hérite de la cuisine ayant eu l’habitude de crapahuter toute sa vie dans l’armée et pouvant dormir en tout lieu.
Alicia de la future chambre de mon fils et de ma bru et moi de la chambre de Jules.
Bien sûr, ces lieux de couchage évolueront au fil des travaux dans ces pièces.
La douche est opérationnelle bien que notre premier travail soit de la nettoyer afin de pouvoir nous doucher.
Je passe les premiers jours où Alicia fait preuve de beaucoup d’allant étant très forte physiquement comme elle me le disait à mon arrivée.
Les lambris cache-misère qui recouvraient tous les murs des différentes pièces sont rapidement évacués vers une Déchetterie, grâce à la remorque que j’ai apportée.
J’ai amené un échafaudage pouvant nous permettre de travailler jusqu’à cinq mètres de hauteur.
Il va nous être très utile, car dans ces vieilles baptise, les plafonds sont au moins à trois mètres.
Il y a deux mois que nous sommes là quand Lulu va chez l’une de ses filles pour un week-end de trois jours, elle habite à Aix-les-Bains.
Il s’y rend une semaine sur deux et ainsi cela lui permet de voir ses petits-enfants qui par un pur hasard ont quitté le Nord pour les montagnes elle aussi.
Nous sommes seules avec Alicia et nous travaillons dans une pièce comme je l’ai dit assez haute de plafond où nous venons de finir de le peindre.
Nous avons rangé les escabeaux quand elle s’aperçoit qu’un endroit est mal terminé.
- Papy tu peux me porter, il est bête de remonter, chercher un escabeau pour un simple coup de rouleau.
Sans penser à mal je lui fais la courte échelle, elle grimpe et se tient à mon cou.
Le passage de ses seins sur mon visage et l’odeur de sa chatte enfermée dans un mini-short porté avec un débardeur a pour effet de me faire lever la queue étant dans l’abstinence depuis mon arrivée.
J’ai pour habitude avec Sylvie de baiser deux fois par semaine en moyenne et je dois reconnaître que je suis en manque.
Son travail fait, elle redescend en se laissant glisser.
Immanquablement elle finit par sentir mon érection.
Je dois reconnaître que comme un vieux bouc, l’idée m’est venue de la sauter, mais j’aime Sylvie qui me le rend bien.
- Mais tu bandes mon salaud.
Je te fais autant d’effet que celaFait moi voir, j’ai senti que tu étais bien monté, ta femme doit apprécier un tel morceau.
Elle ajoute espiègle.
- Elle doit aimer une telle bite, j’espère qu’elle t’apprécie à ta juste valeur.
Laisse-moi regarder, tu sais, je suis loin d’être vierge malgré mes vingt ans.
Sans que j’aie le temps de réagir, elle détache la ceinture de mon jean et sort mon sexe qui je dois le reconnaître est assez bien développée.
Quand nous étions jeunes avant de nous marier, Sylvie a pris peur quand elle l’a vue ce qui a failli entraîner notre rupture.
J’ai réussi à ce qu’elle s’empale et rapidement ce sont ses cris qui ont rempli ma chambre de bonne où je résidais.
Chaque fois que nous faisons l’amour je lui déclenche des orgasmes ayant rythmé notre vie.
Sylvie a tout accepté au fil du temps, même la sodomie.
Vu mon calibre ça a été un véritable exploit.
Je fais très attention de rester raisonnable quand je m’enfonce dans son petit réduit.
Pour le moment, c’est la bouche d’Alicia qui m’absorbe et, ce qui doit arriver arrive, je décharge lamentablement mon sperme au fond de sa gorge.
- Eh papy, tu es court sur la distance, j’aurais aimé que tu me prennes.
- Le papy avant une grosse envie, tu vas voir ton petit cul, je vais le faire reluire.
- Des promesses, rien que des promesses.
Je l’attrape, la plaque au sol.
Je défais le premier bouton du mini-short qui disparaît comme par enchantement.
C’est avec mes dents que je lui déchire son string attrapant son clito assez proéminent.
À la maison, je croyais Sylvie vaginale, du moins c’est ce que je pensais, mais ma pratique du sexe a fait que, rapidement j’ai fait sauter son capuchon le faisant sortir à l’air libre.
De vaginale, c’est aussi une clitoridienne avec qui je fais l’amour dans notre lit.
Ce que j’aime avec Sylvie, c’est qu’elle exprime son plaisir, à la limite même de l’ordurier.
Des oreilles chastes traînent peut-être dans le coin inutile de répéter ses propos à la limite de la décence.
Baiser parterre et même dans la poussière, sur un chantier, inutile de passer le balai tous les jours, dans la journée on en remet autant.
Pendant que je lui fais un cunnilingus, je prends ma verge en main que j’astique, retrouvant la force de mes vingt ans.
Il faut dire que le petit cul que j’ai devant les yeux, celui de Sylvie étant nettement plus volumineux avec l’âge, m’aide à lever le bras.
Direct au but, pour une première, j’évite de tirer le petit.
C’est inutile, nous sommes seuls et c’est moi qui marque le point.
Pendant tout le week-end, nous baisons sans nous soucier de quiconque dès que mon fils est retourné auprès de sa compagne.
Au retour de Lulu, le soir, il est facile de baiser, il a un handicap venu de l’armée, malgré qu’il soit du nord, il aime le pastis.
Ça me coûte quelques bouteilles, mais avec les cubis de rouge bu dans la journée il s’écroule lamentablement sur sa couche dans la cuisine nous laissant seul à prendre notre pied autant que nous le voulons.
Un jour, nous sommes allés chercher du matériel dans le magasin de bricolage où mon fils avait ouvert un contrat.
Les travaux étaient presque terminés, j’ai payé le resto à Lulu avant de rentrer.
Quand nous sommes arrivés, personnes jusqu’à ce que l’on remarque une feuille de papier sur la table où nous mangions.
« Un copain est passé en moto, venu du Nord et m’emmène sur la côte.
Nous avons presque fini les travaux, je vous embrasse, merci de m’avoir appris comment faire des ciments Lulu.
Merci à Christophe pour la pose des placos et à Jules et sa maman.
Et toi Papy, merci de m’avoir appris l’électricité, la plomberie.
Finissez bien votre vie. »
J’ai éclaté de rire, je pense lui avoir prouvé que j’avais encore du répondant côté virilité.
Mon fils emménageant, j’ai laissé la place, déposant Lulu à Aix, allant faire des travaux chez sa fille, avant de rejoindre ma compagne.
Le retour a été dantesque, Sylvie ayant été privée de sexe pendant les quatre mois d’été.
C’est à Noël que j’ai revu Alicia.
C’était pour le baptême républicain de Jules, ma belle-fille lui ayant demandé d’être la marraine.
Nous étions là depuis deux jours à préparer la réception de la vingtaine de convives quand elle est arrivée dans une Porche.
Elle a réussi à piéger un jeune puceau de bonne famille.
Puceau, car rapidement j’ai compris que la jeune gourgandine avait réussi à lui faire croire qu’elle serait vierge jusqu’au mariage prévu pour le 3 juin.
Pendant le repas après la cérémonie, le couple étant face au mien, j’ai senti son pied libéré de son escarpin se poser sur mon entrejambe.
Nous avons frisé la catastrophe, car je me suis mis à bander, mais surtout quand Sylvie a posé sa main sur ma cuisse.
Par chance, Jules a voulu monter sur les genoux de sa marraine, l’obligeant à reposer sa jambe.
À la seconde près, le scandale éclatait.
- Papy, nous allons vous envoyer une invitation pour notre mariage avec ta charmante épouse.
- Merci Alicia, dès que je serais de retour chez nous, je noterais la date.
- Impossible, c’est l’anniversaire de ma chérie, elle ignore encore le cadeau que j’ai déjà acheté et qui nous transportera loin de la France.
Il faut savoir réagir vite, la coquine est si coquine qu’elle est capable de tout même le jour de son mariage.
Dès notre retour chez nous, je me précipite dans une agence de voyage pour réserver une semaine au soleil de Madère, destination que Sylvie a évoquée un jour.
L’une de ses collèges y est allée et lui en a donné l’envie.
Il faut savoir mettre de la distance entre moi et cette petite chipie.
Il a besoin de moi le temps nécessaire à effectuer de gros travaux dans la maison qu’ils viennent d’acheter avec Aurélie sa compagne.
La possibilité de reprendre une activité pour moi qui est tendance à rester derrière mon ordinateur toute la journée à écrire des histoires érotiques me plaît.
Certes, je dois me séparer de Sylvie pendant plusieurs semaines, même des mois.
J’ai toujours été bricoleur ayant une formation manuelle d’ajusteur puis de mécanicien.
Être près de mon fils, sa compagne et Jules mon petit-fils que je vois très peu habitant à deux cents kilomètres de là m’enchante.
Il me dit que nous serons trois pour faire tous ces travaux.
Lucien oncle de ma bru, 60 ans comme moi est en retraite de l’armée ainsi qu’ Alicia une nièce d’Aurélie qui a 20 ans.
Elle travaillera avec nous afin d’apprendre comment une maison se rénove pour s’orienter dans ce type de travail.
Elle souhaite créer sa boîte de travaux de rénovation.
C’est au joli mois de mai que je prends la route et que je débarque dans cette maison qui m’apparaît rapidement comme une poubelle.
Certes, la surface ainsi que le jardin quand nous aurons tout transformé fera de cette maison un endroit agréable à vivre.
De la salle la vue est magnifique sur le massif des Bauges et plus particulièrement sur le mont Semnoz rendu célèbre par une étape du Tour de France.
Ma voiture est remplie de tout le matériel acheté au fil des années ayant moi-même construit ma propre maison avec l’aide de Sylvie.
Dès que j’arrive, je vois que c’est en mois que je vais devoir rester, comme je l’ai dit c’est une poubelle.
Le temps étant magnifique, après avoir tout sorti et rangé dans un petit garage aussi pourri que le reste, je me rends dans un grand magasin acheter un lit d’appoint avec un bon matelas.
Quand on entreprend de tels travaux, la récupération est primordiale après de grandes journées de travail.
Christophe me présente Lucien qu’il vient d’aller chercher à la gare habitant dans le Pas-de-Calais et Alicia qui elle réside en banlieue parisienne.
Lucien est un homme plutôt petit qui connaît déjà Alicia et qui l’a déjà surnommé Lulu.
- Bonjours la puce, tu vas être assez forte pour soulever les charges que nous aurons à manœuvrer pendant ces longs jours.
- Aucun problème papy, tu seras fatigué avant moi.
Papy ayant retrouvé Jules, lui disant que son papy va lui faire sa chambre.
Alicia est un joli brin de fille ayant tout ce qu’il faut là où il faut.
Avec le décolleté qu’elle me présente, je peux voir une grande partie de ses jolis seins cachés par un débardeur et libre de tout soutien.
Reconnaissons qu’avec leur volume et certainement leurs fermetés, c’est inutile.
Chacun de nous ayant un couchage sur place nous nous distribuons les emplacements où nous dormirons.
Lulu hérite de la cuisine ayant eu l’habitude de crapahuter toute sa vie dans l’armée et pouvant dormir en tout lieu.
Alicia de la future chambre de mon fils et de ma bru et moi de la chambre de Jules.
Bien sûr, ces lieux de couchage évolueront au fil des travaux dans ces pièces.
La douche est opérationnelle bien que notre premier travail soit de la nettoyer afin de pouvoir nous doucher.
Je passe les premiers jours où Alicia fait preuve de beaucoup d’allant étant très forte physiquement comme elle me le disait à mon arrivée.
Les lambris cache-misère qui recouvraient tous les murs des différentes pièces sont rapidement évacués vers une Déchetterie, grâce à la remorque que j’ai apportée.
J’ai amené un échafaudage pouvant nous permettre de travailler jusqu’à cinq mètres de hauteur.
Il va nous être très utile, car dans ces vieilles baptise, les plafonds sont au moins à trois mètres.
Il y a deux mois que nous sommes là quand Lulu va chez l’une de ses filles pour un week-end de trois jours, elle habite à Aix-les-Bains.
Il s’y rend une semaine sur deux et ainsi cela lui permet de voir ses petits-enfants qui par un pur hasard ont quitté le Nord pour les montagnes elle aussi.
Nous sommes seules avec Alicia et nous travaillons dans une pièce comme je l’ai dit assez haute de plafond où nous venons de finir de le peindre.
Nous avons rangé les escabeaux quand elle s’aperçoit qu’un endroit est mal terminé.
- Papy tu peux me porter, il est bête de remonter, chercher un escabeau pour un simple coup de rouleau.
Sans penser à mal je lui fais la courte échelle, elle grimpe et se tient à mon cou.
Le passage de ses seins sur mon visage et l’odeur de sa chatte enfermée dans un mini-short porté avec un débardeur a pour effet de me faire lever la queue étant dans l’abstinence depuis mon arrivée.
J’ai pour habitude avec Sylvie de baiser deux fois par semaine en moyenne et je dois reconnaître que je suis en manque.
Son travail fait, elle redescend en se laissant glisser.
Immanquablement elle finit par sentir mon érection.
Je dois reconnaître que comme un vieux bouc, l’idée m’est venue de la sauter, mais j’aime Sylvie qui me le rend bien.
- Mais tu bandes mon salaud.
Je te fais autant d’effet que celaFait moi voir, j’ai senti que tu étais bien monté, ta femme doit apprécier un tel morceau.
Elle ajoute espiègle.
- Elle doit aimer une telle bite, j’espère qu’elle t’apprécie à ta juste valeur.
Laisse-moi regarder, tu sais, je suis loin d’être vierge malgré mes vingt ans.
Sans que j’aie le temps de réagir, elle détache la ceinture de mon jean et sort mon sexe qui je dois le reconnaître est assez bien développée.
Quand nous étions jeunes avant de nous marier, Sylvie a pris peur quand elle l’a vue ce qui a failli entraîner notre rupture.
J’ai réussi à ce qu’elle s’empale et rapidement ce sont ses cris qui ont rempli ma chambre de bonne où je résidais.
Chaque fois que nous faisons l’amour je lui déclenche des orgasmes ayant rythmé notre vie.
Sylvie a tout accepté au fil du temps, même la sodomie.
Vu mon calibre ça a été un véritable exploit.
Je fais très attention de rester raisonnable quand je m’enfonce dans son petit réduit.
Pour le moment, c’est la bouche d’Alicia qui m’absorbe et, ce qui doit arriver arrive, je décharge lamentablement mon sperme au fond de sa gorge.
- Eh papy, tu es court sur la distance, j’aurais aimé que tu me prennes.
- Le papy avant une grosse envie, tu vas voir ton petit cul, je vais le faire reluire.
- Des promesses, rien que des promesses.
Je l’attrape, la plaque au sol.
Je défais le premier bouton du mini-short qui disparaît comme par enchantement.
C’est avec mes dents que je lui déchire son string attrapant son clito assez proéminent.
À la maison, je croyais Sylvie vaginale, du moins c’est ce que je pensais, mais ma pratique du sexe a fait que, rapidement j’ai fait sauter son capuchon le faisant sortir à l’air libre.
De vaginale, c’est aussi une clitoridienne avec qui je fais l’amour dans notre lit.
Ce que j’aime avec Sylvie, c’est qu’elle exprime son plaisir, à la limite même de l’ordurier.
Des oreilles chastes traînent peut-être dans le coin inutile de répéter ses propos à la limite de la décence.
Baiser parterre et même dans la poussière, sur un chantier, inutile de passer le balai tous les jours, dans la journée on en remet autant.
Pendant que je lui fais un cunnilingus, je prends ma verge en main que j’astique, retrouvant la force de mes vingt ans.
Il faut dire que le petit cul que j’ai devant les yeux, celui de Sylvie étant nettement plus volumineux avec l’âge, m’aide à lever le bras.
Direct au but, pour une première, j’évite de tirer le petit.
C’est inutile, nous sommes seuls et c’est moi qui marque le point.
Pendant tout le week-end, nous baisons sans nous soucier de quiconque dès que mon fils est retourné auprès de sa compagne.
Au retour de Lulu, le soir, il est facile de baiser, il a un handicap venu de l’armée, malgré qu’il soit du nord, il aime le pastis.
Ça me coûte quelques bouteilles, mais avec les cubis de rouge bu dans la journée il s’écroule lamentablement sur sa couche dans la cuisine nous laissant seul à prendre notre pied autant que nous le voulons.
Un jour, nous sommes allés chercher du matériel dans le magasin de bricolage où mon fils avait ouvert un contrat.
Les travaux étaient presque terminés, j’ai payé le resto à Lulu avant de rentrer.
Quand nous sommes arrivés, personnes jusqu’à ce que l’on remarque une feuille de papier sur la table où nous mangions.
« Un copain est passé en moto, venu du Nord et m’emmène sur la côte.
Nous avons presque fini les travaux, je vous embrasse, merci de m’avoir appris comment faire des ciments Lulu.
Merci à Christophe pour la pose des placos et à Jules et sa maman.
Et toi Papy, merci de m’avoir appris l’électricité, la plomberie.
Finissez bien votre vie. »
J’ai éclaté de rire, je pense lui avoir prouvé que j’avais encore du répondant côté virilité.
Mon fils emménageant, j’ai laissé la place, déposant Lulu à Aix, allant faire des travaux chez sa fille, avant de rejoindre ma compagne.
Le retour a été dantesque, Sylvie ayant été privée de sexe pendant les quatre mois d’été.
C’est à Noël que j’ai revu Alicia.
C’était pour le baptême républicain de Jules, ma belle-fille lui ayant demandé d’être la marraine.
Nous étions là depuis deux jours à préparer la réception de la vingtaine de convives quand elle est arrivée dans une Porche.
Elle a réussi à piéger un jeune puceau de bonne famille.
Puceau, car rapidement j’ai compris que la jeune gourgandine avait réussi à lui faire croire qu’elle serait vierge jusqu’au mariage prévu pour le 3 juin.
Pendant le repas après la cérémonie, le couple étant face au mien, j’ai senti son pied libéré de son escarpin se poser sur mon entrejambe.
Nous avons frisé la catastrophe, car je me suis mis à bander, mais surtout quand Sylvie a posé sa main sur ma cuisse.
Par chance, Jules a voulu monter sur les genoux de sa marraine, l’obligeant à reposer sa jambe.
À la seconde près, le scandale éclatait.
- Papy, nous allons vous envoyer une invitation pour notre mariage avec ta charmante épouse.
- Merci Alicia, dès que je serais de retour chez nous, je noterais la date.
- Impossible, c’est l’anniversaire de ma chérie, elle ignore encore le cadeau que j’ai déjà acheté et qui nous transportera loin de la France.
Il faut savoir réagir vite, la coquine est si coquine qu’elle est capable de tout même le jour de son mariage.
Dès notre retour chez nous, je me précipite dans une agence de voyage pour réserver une semaine au soleil de Madère, destination que Sylvie a évoquée un jour.
L’une de ses collèges y est allée et lui en a donné l’envie.
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