COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-07-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (1/2)
• Maman, ce soir chez Gilles, le fils du nouveau médecin, nous fêtons nos réussites au bac.
• Ce genre de soirée ce fini souvent très mal pour des jeunes filles comme toi.
• Maman, je sais ce qu’il t’est arrivé lors d’une même soirée, si c’est en me bridant que tu vas effacer ce que tu as fait ce soir-là, tu te trompes.
Nous sommes au XXIe siècle et nous savons nous servir de capotes.
De plus, ce sera mon mari qui fera de moi une femme le soir de notre mariage.
• Bon, je vais te dire, c’est vrai que je t’ai eu neuf mois après ce genre de soirée et que je suis dans l’incapacité de dire qui est ton père.
Bon tu peux y aller, mais tu rentres avant vingt-trois heures.
• Maman, la soirée commence à vingt et une heures, j’aurais à peine le temps de commencer à m’amuser.
• Sophie, je suis d’accord, minuit !
• Maman !
• Bon, tu peux entrer à une heure et c’est mon dernier mot.

Comment refuser à ma fille sous couvert de l’erreur que j’ai faite à dix-huit ans me retrouvant au milieu d’un gang bang avec dix gars et deux filles ?
Nous avions un peu bu et j’ai perdu pied me donnant à tous, les uns après les autres.
Ce que j’ai vu c’est que le premier et le deuxième avaient mis des capotes, mais j’ai continué à boire alors les derniers qui m’ont prise, j’étais dans l’incapacité de dire s’ils en avaient mis.
Sophie est née, hormis les deux premiers, sans que je puisse dire qui était le père.
J’ai été viré de chez mes parents et j’ai nettoyé la merde de petits vieux pour pouvoir l’élever.
Parallèlement, j’ai pris des cours et moi qui me destinais à être médecin, je suis infirmière à l’hôpital de la ville où je me suis réfugié.
Pour Sophie, son père devait être un beau blond aux yeux bleus alors que dans mon souvenir tous les garçons étaient bruns ou châtains aux yeux foncés.
Sophie est blonde aux yeux bleus, est-ce que les garçons ont fini par être onze et qu’un beau Suédois est venu se mêler à la bande me laissant sa petite graine.
Mais je reste une mère un peu mère poule, je reste sur mon canapé, je lis en attendant son retour.
Mince, deux heures, j’ai dû m’endormir, ma fille a dû rentrer et est allée se coucher évitant de me réveiller.
Je me lève et je vais vers sa chambre, j’entrouvre la porte avant de l’ouvrir en grand et d’allumer la lumière.
Son lit est vide.
Combien de temps m’ai-je pour m’habiller et sauter au volant de ma voiture ?
Peu de temps, c’est sûr, je sais ou se trouve la maison ou se tient la fête en moins de dix minutes, j’y suis.
Combien de jeunes sont là, impossibles de compter, le bruit de la musique est assourdissant.
Je suis allée à un concert des Rolling Stones, c’était au moins comparable en nombre de décibels.
J’ai du mal à me garer, c’est fou le nombre de jeunes qui conduisent dès leurs dix-huit ans.
Par chance à quelques mètres une voiture part et je peux prendre sa place.
J’arrive devant les cinq marches menant à la porte d’entrée.
Ils sont plusieurs, garçons et filles, agglutiner buvant diverses boissons dont des bouteilles de bière.
Ils semblent bien éméchés, deux d’entre eux s’embrassent d’une manière plus qu’indécence, la fille montrant son intimité à qui veut regarder.

• Tient une vioque, il y en a une qui va ramasser !

J’ignore l’insulte me traitant de vioque, à la cigarette qu’il a au bec, ça ressemble plus à un pétard qu’à une blonde américaine.
Je finis par pouvoir entrer, une jeune fille semblant plus en forme que d’autres se trouvent dans le vestibule où elle téléphone.

• Connaissez-vous Sophie, ma fille, elle devait être de retour à une heure et lorsque je suis partie de chez moi, elle brillait par son absence ?
• Sophie, oui je la connais, on a passé le bac ensemble.
Sophie le gouine, elle était avec Marlène sa pétasse dans la salle tout à l’heure.

Un coup de chaud, suivi d’un coup de froid.
Je connais Marlène, elle vient souvent à la maison pour réviser avec ma fille.
De là à penser qu’elles avaient du sentiment l’une pour l’autre, je tombe des nues.
Mais coup de chaud, car si elle aime les filles, le risque de grossesse disparaît complètement et je me sens rassurer.
J’entends la musique sortir d’une pièce qui doit être la salle ou la fille les a vus.
C’est pharaonique, les couples s’embrassant et allant même pour un couple jusqu’à baiser sur un canapé.
Ce spectacle orgiaque se présente à moi.

• Vous avez vu Sophie, ma fille, je la cherche !
• Sophie, la jolie Sophie, tient boit ça te redonnera le moral pour continuer à la chercher.

Le garçon la vingtaine s’accroche à mon cou et me tend une canette de bière.
Je veux refuser, mais il est fort et surtout fortement éméché.
J’avale une gorgée, il insiste et je finis tout ce qu’il y a dans la boîte.
C’est légèrement sucré, mais assez différent de la bière que je bois de temps en temps.
Je sais qu’ils en fabriquent de différents parfums et sans penser à plus, je cherche ma fille.

• Sophie et Marlène, je crois que je les ai vus monter l’escalier, elles devaient chercher une chambre, il paraît que sa mère est une emmerdeuse et qu’elle ignore qu’elle aime sucer des chattes.

Je prends cette remarque comme un immense coup de poing dans la figure.
Mais mon corps commence à ressentir les effets de la boisson que j’ai eu l’imbécilité de boire entièrement.
Un effet bizarre, ma chatte s’échauffe, je suis à deux doigts de me caresser afin d’éteindre le feu qui commence à brûler en moi.

• Alors, tu as aimé ce que tu as bu, j’en ai une autre.

C’est le garçon qui m’a donné la première canette que j’avais prise pour de la bière qui semble m’avoir suivi.
Je sens que le feu monte en moi et pour l’éteindre, je siffle la deuxième canette.
Nous sommes sur un palier, mon suborneur ouvre une porte, je commence à voir trouble et quand je dis que je suis en feu, je suis incandescente.
Si l’on approche un steak de ma chatte, il sera cuit en moins de cinq minutes.

• Et les gars, les jeunes se méfient, mais j’ai piégé une vieille qui cherche sa fille.
Faute de grives on mange des merles.
• Tu es con, Fred, c’est Marie-Agnès, la maman de Sophie, je la connais, elle habite près de chez moi.
• Si tu la connais, bouboule, tu vas être le premier à la sauter, depuis que tu nous casse les couilles, pour qu’on te trouve une chatte pour perdre ton pucelage.

Je sens que l’on me déshabille, je prends conscience, non, j’ai un vague souvenir, que pour venir rechercher Sophie plus vite, j’ai ôté mon peignoir et j’ai juste passé la robe sur mon corps nue.

• Regarde bouboule, elle est à poil sous sa robe, c’est bien la preuve que chercher sa fille, c’était un subterfuge pour venir se faire baiser par des jeunes.
• Allez-y, madame, si demain vous allez porter plainte pour viole, vous vous souviendrez que bouboule a refusé de vous toucher.

J’entends ces mots, mais au loin comme si j’avais du coton dans les oreilles.
On me présente une bite, je la suce avec avidité.
Je sens que l’on me touche et que l’on me couche.
Je me sens revenu presque vingt ans en arrière à la différence, c’est que depuis la naissance de ma fille, j’ai eu des coups d’un soir et une aventure plus sérieuse.
Coup d’un soir, genre un prof rencontré à l’école d’infirmières, mais qui m’a tourné le dos dès qu’il m’a eu dans son lit.
La liste des coups est souvent des coups foireux que j’ai préféré oublier.
Le coup plus sérieux, c’était un légionnaire en perm revenant des combats au Mali, comme disait la môme Piaf, il sentait bon le sable chaud mon légionnaire.
Ça a duré deux ans avec lui, jusqu’à ce que j’apprenne sa mort dans une embuscade contre les Djihadistes.
Je l’ai pleuré toutes les larmes de mon corps, car sexuellement c’était une bête, il était poilu de chez poilu, j’ai toujours aimé regarder des photos d’hommes à la poitrine plus près du singe que de l’espèce humaine.

• Regardez la salope, elle en redemande, bouboule pour la dernière fois, veux tu la baiser ?
Fais comme les autres, met une capote, avec ces salopes on ignore où elles ont été trainer leur chatte et tu risquerais de prendre des crobes entiers.

Une fois leur gang bang fait avec moi, je réussis à récupérer ma robe et à retrouver ma voiture.
Je dois être honnête, je suis repu du nombre de fois où ils m’ont fait jouir.

• Maman, ou étais-tu, quand je suis rentrée, la maison était vide ?

Difficile de dire à ma fille que je me suis fait droguer et prendre par une bande de jeunes fêtards hormis le gros bouboule ayant refusé de m’honorer.

• J’ai été appelé à l’hôpital, pour une urgence, je viens de rentrer, je vais me doucher et me coucher.

Le lendemain me réveillant avec un mal de crâne carabiné, je me lève pour aller boire un café, Sophie est déjà debout.

• Maman, Marlène par en vacances chez sa grand-mère, elle veut que je vienne avec elle.
• Sans problème ma fille, va t’amuser, tu l’as bien mérité après ton bac et ta mention très bien.
Tu remercieras Marlène pour son invitation et de son aide tout au long de l’année.

C’est tout, rien de plus sur mes turpitudes de la nuit, droguée et on peut le dire droguée avec une substance qui m’a mis le feu au cul.
Ai-je aimé, et bien oui, j’ai un seul regret, bouboule, j’ignore son nom, mais je regrette qu’il soit resté puceau ?
Porter plainte et dire à ma fille que sa mère a été baisée par un grand nombre de ses amis, je préfère garder cela pour moi.
J’ai tout de même pris bien du plaisir qui m’a sorti de ma torpeur sexuelle depuis le décès de mon amant légionnaire.
Tout à l’éducation de Sophie, j’en avais oublié que je suis une femme...

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Texte coquin : COLLECTION JEUNES - VIEUX. J’étais venue chercher ma fille (1/2)
Histoire sexe : Une rose rouge
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