COLLECTION LE MARIN. L’Iphone (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. L’Iphone (1/1)
- Mamy, tu as un portable ?
- Un portable, de quoi parles-tu ?
- De cette boîte sur ton meuble c’est un Iphone !
- Arrête de parler avec des mots incompréhensifs pour moi.
- Ça, c’est bien un portable, un Iphone.
- Ce machin, ce sont mes enfants qui se sont cotisés pour me l’offrir pour mes 70 ans, ils veulent que j’apprenne à m’en servir.
J’ai ouvert la boîte, c’est trop compliqué pour mon âge.
Parle-moi plutôt de ta vie dans la marine.
- C’est bien, j’adore Toulon, moi qui suis Parisien, le soleil ça a du bon !
- Et les filles avec ton pompon tu dois toutes les faire craquer.
- De ce côté ça va aussi.
- La petite Nicole, tu l’as eue dans ton lit !
- Nicole, pourquoi ?
Nicole, c’est la fille des voisins, petite boulotte, c’est marrant que Mamy m’en parle. Je l’ai croisée hier, elle m’a parlé en rougissant, c’est une piste à creuser.
Je suis encore là huit jours, pourquoi pas essayer, ma queue est prête à baiser tout ce qui bouge, à 20 ans, c’est normal.
- Nicole, elle est venue m’apporter le journal l’autre jour.
Je lui ai demandé si elle avait un amoureux à 18 ans, c’est normal, à son âge, il y avait longtemps que j’avais effeuillé la marguerite.
- Effeuillé la marguerite, tu avais déjà fait l’amour, tu caches bien ton jeu Mamy.
- On s’éloigne de l’appareil que tu as en main et de la jolie Nicole.
- Restons sur ce sujet, ça m’intéresse, à ton époque, vous faisiez l’amour aussi jeune !
- Pas toutes les filles, mais moi, si, Albert m’avait subjugué, j’ignorais tout de la sexualité, nous ignorions tout de la sexualité.
- Lui aussi ?
- Non, lui, il avait eu la chance que sa voisine du moment soit une chaude de la craquette, c’est elle qui lui avait tout appris de la bête à deux dos.
- La bête à deux dos, de quoi parles-tu Mamy ?
- C’est une expression plus vieille que notre époque.
Je pense que c’est chaque fois que deux couples font l’amour en levrette que cette expression est née.
- Tu faisais l’amour en levrette, je pensais que c’était depuis les films X que la pratique s’était répandue.
- La levrette, la cuillère, le Kama-Sutra, c’est vieux comme le monde, même si depuis vingt ans, depuis la mort d’Albert plus la moindre queue.
- Mamy comment parles-tu, tu sembles bien connaître la vie.
- En façade, Albert m’a dépucelé, m’a mise enceinte, m’a épousé et nous avons élevé nos trois enfants jusqu’à leur départ pour faire leur vie.
Pendant trente ans, c’est seulement lui qui m’a fait l’amour.
J’ai souvent eu envie de le tromper, surtout quand il m’emmerdait, mais la vie a voulu qu'il ait été le seul.
Mais revenons à Nicole, elle a rougi quand je lui ai parlé d’amoureux, elle a fini par me dire qu’elle était amoureuse d’un garçon qui s’était éloigné d’elle.
C’est quand elle m’a dit qu’elle parlait d’elle et d’un garçon du quartier que j’ai compris.
Je lui ai demandé si un certain Christian faisait battre son cœur, elle a rougi une nouvelle fois et a fini par me dire oui, seulement de la tête.
Nicole, pourquoi pas, le temps des vacances même si elle est boulotte et qu’elle semble être vierge, je vais la mettre dans mes plans de drague.
- Nous parlions de ton Iphone, tu vois avec cet appareil, tu pourrais me téléphoner à l’autre bout du monde, je pars pour trois mois au Brésil, Rio et Santos.
Regarde, je vais t’apprendre comment ça fonctionne.
Je lui montre comment appeler, comme recevoir des communications.
Je l’appelle avec le mien, ça me permet de la mettre dans mes contacts et de lui faire voir.
Elle avait un carnet pour sa ligne fixe, je lui ai chargé tous les numéros lui permettant d’appeler.
- Je vois la photo d’un appareil photo, à quoi ça sert !
- À faire simplement des photos.
- Tu rigoles Christian, et où j’appuie pour laver mon linge.
Nous éclatons de rire.
- Ça viendra, mais regarde on peut faire des selfies !
- C’est du javanais, de quoi tu parles ?
- Attends, je m’assieds à tes côtés sur le canapé.
On va faire une photo marrante.
Je récupère mon bachi, je lui mets sur la tête, je place mon visage près du sien et j’appuie.
- Oh !
- Surprise, c’est le flash qui t’a ébloui.
Regardons si elle est réussie !
Tu vois, « Galerie » tu appuies et tu peux voir toutes les photos que tu ferras.
- J’ai l’air d’une bille de clown.
À partir de là, nous nous amusons et nous faisons des centaines de photos.
Mamy joue avec son corps comme si elle était une vrai midinette.
Il faut dire qu’elle a un corps de jeune fille, certes commençant à se friper.
Elle a fait du basket avec sa grande taille.
Il est connu qu’elle a même fait parti de l’équipe de France deux années quand elle avait la vingtaine.
Nous rigolons à nous voir, et je finis par faire quelque chose d’insensé.
J’ouvre ma braguette, fait sortir mon sexe, j’ignore pourquoi, mais je bande.
Est-ce la photo de mamy soulevant son pull me montrant sa poitrine tombante, je l’ignore.
Grande et l’âge, c’est normal que ses seins aient du mal à se tenir, mais ça reste assez harmonieux.
Je me lève, je récupère mon bachi sur sa tête et je le pends à ma verge.
Elle a l’appareil, c’est elle qui fait la photo.
C’est à ce moment que les choses dérapent.
Pour prendre ma bâche, pardon mon bachi, bâche, c’est le bonnet à pompon que nous portons nous les marins.
Je suis si près qu’elle l’ôte et se saisissant de ma verge, se met à me pomper.
C’est divin, la dernière copine que j’ai eue me refusait les fellations.
Elle trouvait ça dégradant.
Dégradant, mon œil, même pratiquée par une mamy, une bouche est une bouche surtout quand sa langue monte et descend de mes couilles à mon méat avant de la faire entrer jusqu’à la garde et le fond de sa gorge.
Je récupère l’appareil photo, avec du mal, je suis à deux doigts d’éjaculer, je fais une vidéo.
J’ai dû déclencher en elle des relents de sa jeunesse, elle semble découvrir le sexe, pardon, redécouvrir le sexe et me montre qu’à tout âge, les pratiques sexuelles sont les mêmes.
Je lui enlève son pull, la redresse et lui ôte sa jupe, me faisant découvrir des dessous roses très sexy.
Même si Mamy a arrêté de baiser à la mort d’Albert alors qu’elle devait avoir une cinquantaine d’années, elle a gardé le goût des belles culottes.
- Christian on est fou.
- Soyons fous.
Sa langue, qui il y a quelques instants me suçait la queue, maintenant elle suce ma langue divinement.
Jeune, vieux, je m’en fous, un sexe est un sexe, un trou est un trou et ce trou ma verge va l’explorer.
- Christian on est fou.
La folie a ça de bien c’est qu’elle nous permet de faire ce que l’on veut où l’on veut comme l’on veut.
Pourquoi s’en priver ?
Elle se place à quatre pattes sur son canapé, je viens derrière elle et écartant sa chatte trempée.
Je vois ses grandes lèvres aussi grande que sa taille.
Mon sexe pénètre en elle, sous ses petits cris, soit de plaisir soit de douleur.
20 ans sans baiser, c’est certainement une deuxième défloraison même si le sang sera inexistant.
J’ai réussi à reprendre mon self-contrôle, je baise mamy encore et encore.
Nous finissons sur sa peau de bête, elle écarte ses cuisses légèrement décharnées, les morsures du temps, quand je suis en elle.
J’ai le temps de voir sa toison blanche qui est bien taillé, je pensais qu’à un certain âge, les femmes se laissaient aller.
C’est loin d’être le cas avec ma mamy ?
Nos bouches de nouveau soudées, je sens ses jambes venir m’enserrer la taille.
Encore souple la mémé est une sacrée jouisseuse quand j’éjacule en elle.
Ses cris pourraient ameuter tout le quartier, mais ma bouche les muselle.
Nous nous séparons, sa main vient caresser ma queue.
Je suis allongé à ses côtés, je m’aperçois qu’elle dort, c’est normal à son âge, je l’ai épuisée.
C’est comme ça qu’une seule fois dans ma vie, j’ai donné du plaisir à Mamy, la vie est ainsi faite qu’elle passe sans souvent que se reproduisent deux fois les mêmes moments, même s’ils sont divins.
Ma vie a continué après que je me fus rhabillé et éclipsé pour la laisser dormir.
Le reste de ma permission, je l’ai passé en grande partie dans la chambre de Nicole que j’ai dépucelée.
Un aveu, j’ai réussi à ce qu’elle me suce, mais moins bien que le faisait Mamy, elle apprendra avec le temps.
Je suis à Rio, les Brésiliennes sur la plage de Copacabana adorent nos pompons.
Nous faisons de nombreux selfies.
Elles veulent toucher le pompon rouge, nous sommes d’accord mais en échange de leur pompon noir, roux, blond, même si comme en France, les trois quarts sont épilés.
Je vois venir les quolibets entre les Brésiliennes et les Brésiliens efféminés, même si ça existe, la petite que j’avais au bout de mon paf la nuit dernière avait un vagin que j’ai défoncé sans aucun problème.
Ce matin, j’ai reçu un message et deux vidéos de France.
Le message de Nicole.
« Christian je t’aime. »
Qui lui a donné mon numéro ?
Peut-être Mamy, elle a dû penser bien faire.
J’appuie sur « poubelle » et j’efface son numéro, une de perdu, dix de retrouvés.
C’est ce que me dit ma mère.
Les deux vidéos sont faites par une virtuose de l’Iphone.
Dans la première, Mamy suçant la verge certainement d’un jeune homme qui m’est caché, c’est lui qui tient l’appareil.
Je pourrais me vanter et dire que je suis mieux monté que lui, non, c’est lui, pas de beaucoup.
Mamy finit par récupérer son sperme, elle me le montre en ouvrant sa bouche et sortant sa langue.
Dans la deuxième, elle est à quatre pattes sur son canapé comme je l’ai moi-même baisée.
L’Iphone filme une nouvelle fois sans que je voie qui est l’heureux élu.
L’appareil approche de leur point de jointure, ce qui m’est montré est extraordinaire, les cris de plaisir amplifiant cette verge qui la sodomise.
« Continue à m’enculer Bob » !
Aucun Bob, Robert ou autre dans mon entourage, mais j’ai réveillé une jolie salope.
- Un portable, de quoi parles-tu ?
- De cette boîte sur ton meuble c’est un Iphone !
- Arrête de parler avec des mots incompréhensifs pour moi.
- Ça, c’est bien un portable, un Iphone.
- Ce machin, ce sont mes enfants qui se sont cotisés pour me l’offrir pour mes 70 ans, ils veulent que j’apprenne à m’en servir.
J’ai ouvert la boîte, c’est trop compliqué pour mon âge.
Parle-moi plutôt de ta vie dans la marine.
- C’est bien, j’adore Toulon, moi qui suis Parisien, le soleil ça a du bon !
- Et les filles avec ton pompon tu dois toutes les faire craquer.
- De ce côté ça va aussi.
- La petite Nicole, tu l’as eue dans ton lit !
- Nicole, pourquoi ?
Nicole, c’est la fille des voisins, petite boulotte, c’est marrant que Mamy m’en parle. Je l’ai croisée hier, elle m’a parlé en rougissant, c’est une piste à creuser.
Je suis encore là huit jours, pourquoi pas essayer, ma queue est prête à baiser tout ce qui bouge, à 20 ans, c’est normal.
- Nicole, elle est venue m’apporter le journal l’autre jour.
Je lui ai demandé si elle avait un amoureux à 18 ans, c’est normal, à son âge, il y avait longtemps que j’avais effeuillé la marguerite.
- Effeuillé la marguerite, tu avais déjà fait l’amour, tu caches bien ton jeu Mamy.
- On s’éloigne de l’appareil que tu as en main et de la jolie Nicole.
- Restons sur ce sujet, ça m’intéresse, à ton époque, vous faisiez l’amour aussi jeune !
- Pas toutes les filles, mais moi, si, Albert m’avait subjugué, j’ignorais tout de la sexualité, nous ignorions tout de la sexualité.
- Lui aussi ?
- Non, lui, il avait eu la chance que sa voisine du moment soit une chaude de la craquette, c’est elle qui lui avait tout appris de la bête à deux dos.
- La bête à deux dos, de quoi parles-tu Mamy ?
- C’est une expression plus vieille que notre époque.
Je pense que c’est chaque fois que deux couples font l’amour en levrette que cette expression est née.
- Tu faisais l’amour en levrette, je pensais que c’était depuis les films X que la pratique s’était répandue.
- La levrette, la cuillère, le Kama-Sutra, c’est vieux comme le monde, même si depuis vingt ans, depuis la mort d’Albert plus la moindre queue.
- Mamy comment parles-tu, tu sembles bien connaître la vie.
- En façade, Albert m’a dépucelé, m’a mise enceinte, m’a épousé et nous avons élevé nos trois enfants jusqu’à leur départ pour faire leur vie.
Pendant trente ans, c’est seulement lui qui m’a fait l’amour.
J’ai souvent eu envie de le tromper, surtout quand il m’emmerdait, mais la vie a voulu qu'il ait été le seul.
Mais revenons à Nicole, elle a rougi quand je lui ai parlé d’amoureux, elle a fini par me dire qu’elle était amoureuse d’un garçon qui s’était éloigné d’elle.
C’est quand elle m’a dit qu’elle parlait d’elle et d’un garçon du quartier que j’ai compris.
Je lui ai demandé si un certain Christian faisait battre son cœur, elle a rougi une nouvelle fois et a fini par me dire oui, seulement de la tête.
Nicole, pourquoi pas, le temps des vacances même si elle est boulotte et qu’elle semble être vierge, je vais la mettre dans mes plans de drague.
- Nous parlions de ton Iphone, tu vois avec cet appareil, tu pourrais me téléphoner à l’autre bout du monde, je pars pour trois mois au Brésil, Rio et Santos.
Regarde, je vais t’apprendre comment ça fonctionne.
Je lui montre comment appeler, comme recevoir des communications.
Je l’appelle avec le mien, ça me permet de la mettre dans mes contacts et de lui faire voir.
Elle avait un carnet pour sa ligne fixe, je lui ai chargé tous les numéros lui permettant d’appeler.
- Je vois la photo d’un appareil photo, à quoi ça sert !
- À faire simplement des photos.
- Tu rigoles Christian, et où j’appuie pour laver mon linge.
Nous éclatons de rire.
- Ça viendra, mais regarde on peut faire des selfies !
- C’est du javanais, de quoi tu parles ?
- Attends, je m’assieds à tes côtés sur le canapé.
On va faire une photo marrante.
Je récupère mon bachi, je lui mets sur la tête, je place mon visage près du sien et j’appuie.
- Oh !
- Surprise, c’est le flash qui t’a ébloui.
Regardons si elle est réussie !
Tu vois, « Galerie » tu appuies et tu peux voir toutes les photos que tu ferras.
- J’ai l’air d’une bille de clown.
À partir de là, nous nous amusons et nous faisons des centaines de photos.
Mamy joue avec son corps comme si elle était une vrai midinette.
Il faut dire qu’elle a un corps de jeune fille, certes commençant à se friper.
Elle a fait du basket avec sa grande taille.
Il est connu qu’elle a même fait parti de l’équipe de France deux années quand elle avait la vingtaine.
Nous rigolons à nous voir, et je finis par faire quelque chose d’insensé.
J’ouvre ma braguette, fait sortir mon sexe, j’ignore pourquoi, mais je bande.
Est-ce la photo de mamy soulevant son pull me montrant sa poitrine tombante, je l’ignore.
Grande et l’âge, c’est normal que ses seins aient du mal à se tenir, mais ça reste assez harmonieux.
Je me lève, je récupère mon bachi sur sa tête et je le pends à ma verge.
Elle a l’appareil, c’est elle qui fait la photo.
C’est à ce moment que les choses dérapent.
Pour prendre ma bâche, pardon mon bachi, bâche, c’est le bonnet à pompon que nous portons nous les marins.
Je suis si près qu’elle l’ôte et se saisissant de ma verge, se met à me pomper.
C’est divin, la dernière copine que j’ai eue me refusait les fellations.
Elle trouvait ça dégradant.
Dégradant, mon œil, même pratiquée par une mamy, une bouche est une bouche surtout quand sa langue monte et descend de mes couilles à mon méat avant de la faire entrer jusqu’à la garde et le fond de sa gorge.
Je récupère l’appareil photo, avec du mal, je suis à deux doigts d’éjaculer, je fais une vidéo.
J’ai dû déclencher en elle des relents de sa jeunesse, elle semble découvrir le sexe, pardon, redécouvrir le sexe et me montre qu’à tout âge, les pratiques sexuelles sont les mêmes.
Je lui enlève son pull, la redresse et lui ôte sa jupe, me faisant découvrir des dessous roses très sexy.
Même si Mamy a arrêté de baiser à la mort d’Albert alors qu’elle devait avoir une cinquantaine d’années, elle a gardé le goût des belles culottes.
- Christian on est fou.
- Soyons fous.
Sa langue, qui il y a quelques instants me suçait la queue, maintenant elle suce ma langue divinement.
Jeune, vieux, je m’en fous, un sexe est un sexe, un trou est un trou et ce trou ma verge va l’explorer.
- Christian on est fou.
La folie a ça de bien c’est qu’elle nous permet de faire ce que l’on veut où l’on veut comme l’on veut.
Pourquoi s’en priver ?
Elle se place à quatre pattes sur son canapé, je viens derrière elle et écartant sa chatte trempée.
Je vois ses grandes lèvres aussi grande que sa taille.
Mon sexe pénètre en elle, sous ses petits cris, soit de plaisir soit de douleur.
20 ans sans baiser, c’est certainement une deuxième défloraison même si le sang sera inexistant.
J’ai réussi à reprendre mon self-contrôle, je baise mamy encore et encore.
Nous finissons sur sa peau de bête, elle écarte ses cuisses légèrement décharnées, les morsures du temps, quand je suis en elle.
J’ai le temps de voir sa toison blanche qui est bien taillé, je pensais qu’à un certain âge, les femmes se laissaient aller.
C’est loin d’être le cas avec ma mamy ?
Nos bouches de nouveau soudées, je sens ses jambes venir m’enserrer la taille.
Encore souple la mémé est une sacrée jouisseuse quand j’éjacule en elle.
Ses cris pourraient ameuter tout le quartier, mais ma bouche les muselle.
Nous nous séparons, sa main vient caresser ma queue.
Je suis allongé à ses côtés, je m’aperçois qu’elle dort, c’est normal à son âge, je l’ai épuisée.
C’est comme ça qu’une seule fois dans ma vie, j’ai donné du plaisir à Mamy, la vie est ainsi faite qu’elle passe sans souvent que se reproduisent deux fois les mêmes moments, même s’ils sont divins.
Ma vie a continué après que je me fus rhabillé et éclipsé pour la laisser dormir.
Le reste de ma permission, je l’ai passé en grande partie dans la chambre de Nicole que j’ai dépucelée.
Un aveu, j’ai réussi à ce qu’elle me suce, mais moins bien que le faisait Mamy, elle apprendra avec le temps.
Je suis à Rio, les Brésiliennes sur la plage de Copacabana adorent nos pompons.
Nous faisons de nombreux selfies.
Elles veulent toucher le pompon rouge, nous sommes d’accord mais en échange de leur pompon noir, roux, blond, même si comme en France, les trois quarts sont épilés.
Je vois venir les quolibets entre les Brésiliennes et les Brésiliens efféminés, même si ça existe, la petite que j’avais au bout de mon paf la nuit dernière avait un vagin que j’ai défoncé sans aucun problème.
Ce matin, j’ai reçu un message et deux vidéos de France.
Le message de Nicole.
« Christian je t’aime. »
Qui lui a donné mon numéro ?
Peut-être Mamy, elle a dû penser bien faire.
J’appuie sur « poubelle » et j’efface son numéro, une de perdu, dix de retrouvés.
C’est ce que me dit ma mère.
Les deux vidéos sont faites par une virtuose de l’Iphone.
Dans la première, Mamy suçant la verge certainement d’un jeune homme qui m’est caché, c’est lui qui tient l’appareil.
Je pourrais me vanter et dire que je suis mieux monté que lui, non, c’est lui, pas de beaucoup.
Mamy finit par récupérer son sperme, elle me le montre en ouvrant sa bouche et sortant sa langue.
Dans la deuxième, elle est à quatre pattes sur son canapé comme je l’ai moi-même baisée.
L’Iphone filme une nouvelle fois sans que je voie qui est l’heureux élu.
L’appareil approche de leur point de jointure, ce qui m’est montré est extraordinaire, les cris de plaisir amplifiant cette verge qui la sodomise.
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