COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LE MARIN. Maître d’hôtel de l’amiral à Tahiti (3/4)
Je m’appelle Christian, j’ai été affecté à Tahiti, plus précisément à l’arsenal de Papeete pour m’occuper du remorqueur de cette île paradisiaque.
Grâce à mon tonton qui m’a pistonné, j’ai pu être nommé à Tahiti dans cette planque. À part l’entretien comme mécanicien de ce que nous appelons cette petite abeille, la sieste et la flème sont mes lots quotidiens.
Hugo, le second-maître mécano que j’ai remplacé étant de retour en France auprès de sa femme de ses enfants avec en prime un dernier en devenir.
Deux ans qu’il était ici, madame l’a trompé, mais lui aussi et pendant les quelques jours où nous sommes restés ensemble, dès le premier soir, il m’a démontré, lui aussi son infidélité.
Il entretient une liaison avec une fille de Papeete d’une trentaine d’années et déjà fort décrépie par l’excès de bière qu’elle pratiquait avec lui, chaque jour.
Il a voulu me la refiler et me démontrer la facilité pour baiser à moindres frais.
Bourré moi-même, je bois rarement quatre à cinq bières, elle m’a sucé avec sa bouche à moitié édentée, avec le risque de me massacrer la bite.
Il m’avait demandé de l’argent pour aller au ravitaillement et elle en avait profité.
De retour, me voir me faire sucer a semblé l’indifférer au contraire, il m’a proposé de venir dans la pièce voisine pour satisfaire cette femme en doublette.
Un moment de lucidité me fait prendre la fuite avant de franchir l’irréparable et de me retrouver dans deux ans dans la même situation qu’Hugo, marin aviné.
Je suis jeune et rapidement mon sexe crie famine.
Je suis à deux doigts de craquer et retourner voir Tahia qui j’en suis sûr si je lui amène, quelques bières m’ouvriront sa porte et sa bouche, jusqu’à sa chambre.
Par chance une enseigne lumineuse le « gogo bar » est sur mon chemin et je vais me vider la queue en échange de quels francs pacifiques.
Vanilla est une jeune femme indoue Tahitienne de plus en plus nombreuse à Papeete.
La communauté indouiste tenant principalement les commerces de robes et chemises à fleurs.
Contrairement au fille de l’île, elles ont une grâce et une beauté qui me font craquer.
Vanilla est une bonne professionnelle mignonne à souhait.
Je sais maintenant ou venir me vider les couilles une fois voire deux fois par mois.
En me promenant sur une plage de sable noir, à la sortie de Papeete, je rencontre Alain, maître d’hôtel de l’amiral responsable des îles du Pacifique.
La propriété donne directement sur la plage sans protection particulière comme nous pourrions en rencontrer en France.
Je veux garder des photos de mon séjour et le jardin parfaitement entretenu est couvert de buissons en fleurs, toutes plus belles les unes que les autres.
C’est à ce moment que je fais la connaissance d’Alain m’expliquant où je suis.
Ayant sympathisé étant des pays comme nous disons dans la marine, parisiens tous les deux, ça fait trois fois que je viens.
L’amiral brille par son absence mais Carole sa femme, de 25 ans lui environ 60 est là et bien là.
Surtout ses seins quand elle vient les exposer sous notre nez venant se faire bronzer à quelques mètres de nous.
La pensée que je puisse la baiser m’effleure à peine, mais nous vivons dans des mondes différents et je sais pertinemment que cette fleur bien de chez nous est hors de mes moyens.
Quoique, Alain en mal de confidences, commence à me raconter qu’il est devenu son amant quelques jours plus tôt.
Elle a glissé dans sa salle de bain alors qu’il se trouvait sur la terrasse devant sa chambre en tout bien tout honneur, il rangeait divers objets.
- Je l’ai prise sous ses aisselles, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus, je les ai eus dans mes mains.
Le carrelage était rendu glissant, elle est légère, mais lourde tout de même et nous avons glissé de nouveau, nous affalant tous les deux.
Sa main a accroché mon pont qui s’est détaché lui livrant ma queue.
Qui a embrassé l’autre, surement elle, je suis de nature timide et faire ce que j’ai fait, même en rêve l’idée m’aurait semblé saugrenue.
La femme de mon chef, de mon commandant qui plus est un amiral.
- Fait moi croire que tu étais timide avec un tel canon dans tes bras.
Tu l’as sautée, sur le carrelage.
- Dans son lit, le carrelage, c’est froid, mais c’est elle qui m’a entrainé.
- Comment est sa chatte ?
- Divine, son maillot cache de grandes lèvres que j’ai tout d’abord eues sous ma langue avant qu’elle les écarte.
- Tu as trouvé son clito !
- Son clito, j’ignore de quoi tu parles !
Dans les années, que je veux éviter de préciser, inutile de dire à l’amiral de la place de Papeete qu’il a été cocufié par son matelot maître d’hôtel, nous étions plutôt ignares en ce qui concerne les filles.
Alain fait partie du lot, à 20 ans, je savais tout sur les femmes et le sexe alors que lui lorsqu’il a baisé Carole, il était certainement puceau.
Je lui donne un cours d’anatomie féminine à pratiquer sur sa belle, lors de leur prochaine rencontre.
- Il va falloir que l’on se quitte, tu as entendu, madame, je dois lui servir le thé à 17 heures, je dois aller le préparer.
- Mais j’y pense, on est copain, mais j’ai connu un pote aux apprentis mécanicien de Saint Mandrier qui se faisait un cinéma chaque fois qu’il rencontrait une chatte.
Prouve-moi que Carole est ta maîtresse.
- C’est loin d’être sympa, tu doutes d’un pays, mais je te comprends, c’est tellement extraordinaire ce qui m’arrive.
J’ai un peu peur d’être découvert par l’amiral et de me retrouver aux arrêts de rigueur.
- Quel con, tu vois l’amiral venir te faire arrêter, sous-couvert que tu baises sa femme, que mettra-t-il sur ton livret militaire ?
« 30 jours pour m’avoir faits cocu, exécution immédiate. »
- Il montrera à la face du monde, le vieux con qu’il est, à avoir voulu sauter une jeunette qu’il a été dans l’impossibilité de satisfaire et qui s’est rabattue sur ta jeune queue.
- Tu as raison, je vais essayer de te montrer que j’ai horreur des menteurs, suis-moi.
Nous nous déplaçons entre les buissons et nous arrivons à quelques mètres de la résidence.
Elle est là à quelques mètres de nous, nue sur un transat avec ses lunettes de soleil semblant dormir.
- Reste là sans te montrer, je vais te prouver que ce que je te dis est vrai.
Il me quitte et doit entrer par une porte qui m’est cachée, car quelques minutes après je le vois ressortir de la maison un plateau à la main et s’avancer vers la belle.
- Carole, ton thé est servi.
- Tu m’as fait peur, je m’étais assoupie.
Je peux presque partir, Carole, tu, ça sent la complicité m’apportant la preuve que mon pote est un garçon qui est de parole.
Le geste qu’elle fait de lui défaire son pont pour en sortir sa queue, est tout aussi explicite et en plus quand elle se redresse pour le prendre en bouche.
C’est à ce moment qu’on me tape sur l’épaule.
- Alors, on regarde ma belle-mère baiser avec son jeune valet, c’est vilain de mater !
Je me retourne, que dire, Carole est superbe, mais l’apparition que j’ai devant moi serait digne de concourir pour Miss France, pardon au moins Miss Tahiti.
Casque colonial, blouse et jupe de brousse comme j’en ai vu dans Daktari.
- Pris, oui, je regardais, mais en tout bien tout honneur.
Depuis que je suis à Papeete, je viens tous les samedis boire une bière sous la tonnelle sur la plage en admirant le panorama.
- Et il vous a fait l’aveu qu’il est l’amant de la femme de votre amiral.
- Vous étiez là, il est vrai que je lui ai demandé une preuve de ce qu’il m’affirmait !
- Et c’est pour cela que vous étiez en train de les mater !
- On pourrait croire que vous étiez là, lorsqu’il m’a avoué baiser Carole et qu’il m’a montré l’endroit où je devais me mettre.
- Carole, vous aussi êtes intime avec elle ou espériez-vous vous la partager avec notre maître d’hôtel.
Faire la conversation au milieu d’une allée, c’est bien, mais je dois rentrer à Papeete, ce soir, j’ai une soirée entre quelques amis.
- Vous avez raison, pouvez-vous m’éviter les quatre kilomètres à pied ou de me retrouver dans un car bondé ou les gens puent la sueur.
Christian !
- Lauriane!
Les présentations faites, nous remontons à l’opposé de la plage où une petite Austin décapotable nous attend.
J’ai mes jambes dans le tableau de bord, heureusement que le parcours était court.
- Vous étiez venu voir votre père.
- Vous en savez des choses, vous savez que je suis la fille de votre amiral en chef.
- C’était simplement pour faire la conversation et passer le temps.
- Dites, que ma présence vous déplait.
Je vais vous répondre, demain, c’est l’anniversaire de mon frère et je lui ai amené son cadeau.
- Votre demi-frère !
- Je vois que vous savez tout sur nous, savez-vous à quel âge j’ai perdu mon pucelage !
Je lui dirais bien que ma queue si je lui mets là où ça lui ferait du bien je serais capable de trouver cet âge.
Mais ce que m’a dit Alain sur ses relations avec de jeunes officiers, moi simple quartier-maître, même chef, me fait fermer ma grande bouche de parisien.
- Je suis arrivé, j’habite dans cette immeuble, au dernier étage avec vue sur la baie.
Veux-tu monter prendre un dernier verre ?
Pardon...
Grâce à mon tonton qui m’a pistonné, j’ai pu être nommé à Tahiti dans cette planque. À part l’entretien comme mécanicien de ce que nous appelons cette petite abeille, la sieste et la flème sont mes lots quotidiens.
Hugo, le second-maître mécano que j’ai remplacé étant de retour en France auprès de sa femme de ses enfants avec en prime un dernier en devenir.
Deux ans qu’il était ici, madame l’a trompé, mais lui aussi et pendant les quelques jours où nous sommes restés ensemble, dès le premier soir, il m’a démontré, lui aussi son infidélité.
Il entretient une liaison avec une fille de Papeete d’une trentaine d’années et déjà fort décrépie par l’excès de bière qu’elle pratiquait avec lui, chaque jour.
Il a voulu me la refiler et me démontrer la facilité pour baiser à moindres frais.
Bourré moi-même, je bois rarement quatre à cinq bières, elle m’a sucé avec sa bouche à moitié édentée, avec le risque de me massacrer la bite.
Il m’avait demandé de l’argent pour aller au ravitaillement et elle en avait profité.
De retour, me voir me faire sucer a semblé l’indifférer au contraire, il m’a proposé de venir dans la pièce voisine pour satisfaire cette femme en doublette.
Un moment de lucidité me fait prendre la fuite avant de franchir l’irréparable et de me retrouver dans deux ans dans la même situation qu’Hugo, marin aviné.
Je suis jeune et rapidement mon sexe crie famine.
Je suis à deux doigts de craquer et retourner voir Tahia qui j’en suis sûr si je lui amène, quelques bières m’ouvriront sa porte et sa bouche, jusqu’à sa chambre.
Par chance une enseigne lumineuse le « gogo bar » est sur mon chemin et je vais me vider la queue en échange de quels francs pacifiques.
Vanilla est une jeune femme indoue Tahitienne de plus en plus nombreuse à Papeete.
La communauté indouiste tenant principalement les commerces de robes et chemises à fleurs.
Contrairement au fille de l’île, elles ont une grâce et une beauté qui me font craquer.
Vanilla est une bonne professionnelle mignonne à souhait.
Je sais maintenant ou venir me vider les couilles une fois voire deux fois par mois.
En me promenant sur une plage de sable noir, à la sortie de Papeete, je rencontre Alain, maître d’hôtel de l’amiral responsable des îles du Pacifique.
La propriété donne directement sur la plage sans protection particulière comme nous pourrions en rencontrer en France.
Je veux garder des photos de mon séjour et le jardin parfaitement entretenu est couvert de buissons en fleurs, toutes plus belles les unes que les autres.
C’est à ce moment que je fais la connaissance d’Alain m’expliquant où je suis.
Ayant sympathisé étant des pays comme nous disons dans la marine, parisiens tous les deux, ça fait trois fois que je viens.
L’amiral brille par son absence mais Carole sa femme, de 25 ans lui environ 60 est là et bien là.
Surtout ses seins quand elle vient les exposer sous notre nez venant se faire bronzer à quelques mètres de nous.
La pensée que je puisse la baiser m’effleure à peine, mais nous vivons dans des mondes différents et je sais pertinemment que cette fleur bien de chez nous est hors de mes moyens.
Quoique, Alain en mal de confidences, commence à me raconter qu’il est devenu son amant quelques jours plus tôt.
Elle a glissé dans sa salle de bain alors qu’il se trouvait sur la terrasse devant sa chambre en tout bien tout honneur, il rangeait divers objets.
- Je l’ai prise sous ses aisselles, elle était intégralement nue et les seins que tu as vus, je les ai eus dans mes mains.
Le carrelage était rendu glissant, elle est légère, mais lourde tout de même et nous avons glissé de nouveau, nous affalant tous les deux.
Sa main a accroché mon pont qui s’est détaché lui livrant ma queue.
Qui a embrassé l’autre, surement elle, je suis de nature timide et faire ce que j’ai fait, même en rêve l’idée m’aurait semblé saugrenue.
La femme de mon chef, de mon commandant qui plus est un amiral.
- Fait moi croire que tu étais timide avec un tel canon dans tes bras.
Tu l’as sautée, sur le carrelage.
- Dans son lit, le carrelage, c’est froid, mais c’est elle qui m’a entrainé.
- Comment est sa chatte ?
- Divine, son maillot cache de grandes lèvres que j’ai tout d’abord eues sous ma langue avant qu’elle les écarte.
- Tu as trouvé son clito !
- Son clito, j’ignore de quoi tu parles !
Dans les années, que je veux éviter de préciser, inutile de dire à l’amiral de la place de Papeete qu’il a été cocufié par son matelot maître d’hôtel, nous étions plutôt ignares en ce qui concerne les filles.
Alain fait partie du lot, à 20 ans, je savais tout sur les femmes et le sexe alors que lui lorsqu’il a baisé Carole, il était certainement puceau.
Je lui donne un cours d’anatomie féminine à pratiquer sur sa belle, lors de leur prochaine rencontre.
- Il va falloir que l’on se quitte, tu as entendu, madame, je dois lui servir le thé à 17 heures, je dois aller le préparer.
- Mais j’y pense, on est copain, mais j’ai connu un pote aux apprentis mécanicien de Saint Mandrier qui se faisait un cinéma chaque fois qu’il rencontrait une chatte.
Prouve-moi que Carole est ta maîtresse.
- C’est loin d’être sympa, tu doutes d’un pays, mais je te comprends, c’est tellement extraordinaire ce qui m’arrive.
J’ai un peu peur d’être découvert par l’amiral et de me retrouver aux arrêts de rigueur.
- Quel con, tu vois l’amiral venir te faire arrêter, sous-couvert que tu baises sa femme, que mettra-t-il sur ton livret militaire ?
« 30 jours pour m’avoir faits cocu, exécution immédiate. »
- Il montrera à la face du monde, le vieux con qu’il est, à avoir voulu sauter une jeunette qu’il a été dans l’impossibilité de satisfaire et qui s’est rabattue sur ta jeune queue.
- Tu as raison, je vais essayer de te montrer que j’ai horreur des menteurs, suis-moi.
Nous nous déplaçons entre les buissons et nous arrivons à quelques mètres de la résidence.
Elle est là à quelques mètres de nous, nue sur un transat avec ses lunettes de soleil semblant dormir.
- Reste là sans te montrer, je vais te prouver que ce que je te dis est vrai.
Il me quitte et doit entrer par une porte qui m’est cachée, car quelques minutes après je le vois ressortir de la maison un plateau à la main et s’avancer vers la belle.
- Carole, ton thé est servi.
- Tu m’as fait peur, je m’étais assoupie.
Je peux presque partir, Carole, tu, ça sent la complicité m’apportant la preuve que mon pote est un garçon qui est de parole.
Le geste qu’elle fait de lui défaire son pont pour en sortir sa queue, est tout aussi explicite et en plus quand elle se redresse pour le prendre en bouche.
C’est à ce moment qu’on me tape sur l’épaule.
- Alors, on regarde ma belle-mère baiser avec son jeune valet, c’est vilain de mater !
Je me retourne, que dire, Carole est superbe, mais l’apparition que j’ai devant moi serait digne de concourir pour Miss France, pardon au moins Miss Tahiti.
Casque colonial, blouse et jupe de brousse comme j’en ai vu dans Daktari.
- Pris, oui, je regardais, mais en tout bien tout honneur.
Depuis que je suis à Papeete, je viens tous les samedis boire une bière sous la tonnelle sur la plage en admirant le panorama.
- Et il vous a fait l’aveu qu’il est l’amant de la femme de votre amiral.
- Vous étiez là, il est vrai que je lui ai demandé une preuve de ce qu’il m’affirmait !
- Et c’est pour cela que vous étiez en train de les mater !
- On pourrait croire que vous étiez là, lorsqu’il m’a avoué baiser Carole et qu’il m’a montré l’endroit où je devais me mettre.
- Carole, vous aussi êtes intime avec elle ou espériez-vous vous la partager avec notre maître d’hôtel.
Faire la conversation au milieu d’une allée, c’est bien, mais je dois rentrer à Papeete, ce soir, j’ai une soirée entre quelques amis.
- Vous avez raison, pouvez-vous m’éviter les quatre kilomètres à pied ou de me retrouver dans un car bondé ou les gens puent la sueur.
Christian !
- Lauriane!
Les présentations faites, nous remontons à l’opposé de la plage où une petite Austin décapotable nous attend.
J’ai mes jambes dans le tableau de bord, heureusement que le parcours était court.
- Vous étiez venu voir votre père.
- Vous en savez des choses, vous savez que je suis la fille de votre amiral en chef.
- C’était simplement pour faire la conversation et passer le temps.
- Dites, que ma présence vous déplait.
Je vais vous répondre, demain, c’est l’anniversaire de mon frère et je lui ai amené son cadeau.
- Votre demi-frère !
- Je vois que vous savez tout sur nous, savez-vous à quel âge j’ai perdu mon pucelage !
Je lui dirais bien que ma queue si je lui mets là où ça lui ferait du bien je serais capable de trouver cet âge.
Mais ce que m’a dit Alain sur ses relations avec de jeunes officiers, moi simple quartier-maître, même chef, me fait fermer ma grande bouche de parisien.
- Je suis arrivé, j’habite dans cette immeuble, au dernier étage avec vue sur la baie.
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