COLLECTION LE MARIN. Trois marins, une jeune femme (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LE MARIN. Trois marins, une jeune femme (2/2)
Dans cette année 1970, les trains avec compartiments étaient nettement mieux que les trains d’aujourd’hui, ils avaient un seul inconvénient leur vitesse, il nous fallait une nuit pour aller de Paris à Toulon ou notre bateau était amarré.
Dans le compartiment en tête de train, nous trouvons ce que nous croyons être une jeune demoiselle vue l’âge qu’elle semble avoir, nous découvrons qu’elle a moins de vingt ans, mais qu’elle est mariée avec un marin-pompier de Marseille où elle va le retrouver demain matin.
Comme nous le faisons chaque fois, nous bloquons la porte du compartiment pour avoir de la place, après le passage du contrôleur, je suis réveillé par des chuchotements, Ludo a détaché son pont et il arrive à ce que la petite rousse lui suce la queue.
Voyant sa culotte, je rentre dans la danse et malgré que nous sommes entrés dans la gare de la ville de Lyon, je la saute et finis par m’épancher dans sa chatte.
Togo, notre troisième copain sauve la situation en empêchant un gars de l’armée de terre d’entrer, quand il nous rejoint, je lui cède la place dès qu’il a enlevé pantalon et slip.
Je l’ai vu souvent dans cette situation flamberge au vent rien que la dernière fois dans un même compartiment, il y a peu quand nous avons réussi à coincer une bourgeoise qui comme la petite rousse est passée au fils de nos bites.
• J’adore son petit cul, ouah, elle est bien serrée.
La suppliciée, car je pense que prendre la bite de Togo dans l’anus, c’est un supplice, lâche la bite qu’elle recommençait à pomper pour pousser un petit cri.
• Ah !
• Sans problème, le gland est passé, le reste va suivre.
Ça, c’est tout Togo, quand il pointe, il pointe, pourtant les boules et lui ça fait deux, je parle de pétanque.
Pendant un long moment, il la tire.
• Ah ! Ah ! Ah ! Oui, oui, oui.
Elle a lâché la verge de Ludo avec sa bouche, mais avec sa main comme peu le faire un métronome, elle continue à le masturber, Togo remplit l’anus qu’il a investi et des jets de sperme encore conséquent partent dans sa figure de la queue de Ludo.
J’avance ma main, plutôt mon doigt, je racle le sperme et je lui mets dans la bouche, elle me le suce sans rechigner, il a lâché ce qu’il faut le copain, je dois recommencer cinq fois avant que son visage reprenne sa beauté naturelle.
Il a de la chance, le marin-pompier, avec un peu de recul, quand j’analyse ma vie, je dois reconnaître que celle qui l’a partagé jusqu’à ce jour n’est pas mal non plus.
Le calme revient dans le compartiment, le sifflet de la locomotive ponctue le passage dans des gares où les lumières des quais nous montrent la petite dans toute sa splendeur.
• Les gars, vous êtes bien gentille, mais j’ai levé cette petite salope et c’est vous qui l’avez baisé.
• Vous allez recommencer, je crois que mon anus doit être béant de votre copain.
• Attends, tu vas avoir le meilleur maintenant, le moment dont tu te souviendras toute ta vie.
• Qu’allez-vous me faire ?
• Nous allons te prendre en double pénétration, Togo, tu l’as assez défoncé, tu te feras sucer, c’est une experte.
C’est reparti, j’aide la rousse à se relever, les effluves dans le compartiment dégagé par sa chatte suffisent à nous faire rebander, Ludo s’allonge sur la banquette.
• Viens planter ta petite chatte sur moi.
Je sais ce qu’il me reste à faire, c’est moi qui ai droit à la petite porte, pas si petite que cela, Togo étant passé par là et ayant lubrifié le conduit avec son sperme.
Dans cette année-là, trouver une jolie salope comme elle, me permettant dans mes vieux jours de me remémorer ces bons moments que mon pompon m’apportait, je plonge en elle avec délectation.
Je sens la verge du copain la limer et c’est même elle qui se frotte à nos deux verges hurlant son plaisir en relâchant la bite qui a du mal à tenir entre ses mâchoires.
La fois dernière, j’étais dans la chatte de la femme de cinquante ans qui après avoir ouvert les vannes était devenue la salope des salopes, mais nous n’avions pas réussi à décharger simultanément avec Togo.
Sans être éjaculateur précoce, comme il vient de le démontrer en enculant jusqu’à la faire jouir la petite Marseillaise, ce jour-là, il avait été plus rapide que moi, avec Ludo, il doit sentir mon sperme fuser comme je sens le sien.
La tranche de jambon que forme notre proie entre nous deux doit le sentir aussi, car elle hurle son plaisir réveillant certainement le bidasse monté à Lyon malgré le bruit du train.
C’est comme cela que finissant ses besoins, Togo lâche lui aussi la purée, maculant de nouveau le visage, les yeux et la bouche que je n’ai pas encore eu l’honneur d’essayer.
Impossible de m’occuper de ce trou non sollicité, nous sommes hors service et affalés sur la banquette en dormant.
Au bout d’un moment, le poids de ces deux corps me pèse, surtout qu’il faut que je m’isole.
Il râle quand nous le faisons changer de position, mais Ludo se recule et la petite qui s’est réveillée aussi.
Je me lève et ouvre la porte.
• Attends, j’ai aussi envie.
C’est la tenant par la main que je franchis les quelques mètres qui nous séparent des toilettes.
• Entre !
C’est un ordre que je reçois, j’aurais mauvaise foi de ne pas l’exécuter.
• Grâce à vous trois, je viens de prendre conscience que toute ma vie, j’ai subi, avant les kilomètres qui vont me rapprocher de mon mari, je veux prendre le maximum de plaisir et la maîtriser.
• Je connais un bar où les filles montent les clients, je vais quitter mon travail de merde et devenir une pute, tu vas être le dernier à me baiser gratuitement.
• Ton mari ?
• Il sera cocu sans le savoir, pendant que vous me baisiez à deux tout à l’heure, j’ai analysé que je me suis donné à lui simplement pour quitter mes parents, tu me connais mal, mais quand je veux mentir, je suis la meilleure, il n’y verra que du feu.
Il est vrai que dans les années 70, à Toulon ou à Marseille, il existait des bars ou les filles qui le voulaient était des entraîneuses qui montaient les clients, sans compter les putes de rue, comme Miquette dont Chris a eu le plaisir de vous raconter une petite partie de son histoire.
En m’expliquant ce qu’elle pense faire à son cocu de mari, elle a ouvert mon pont et vient me sucer.
J’ignore sous quel nom elle va tapiner si elle le fait ce qui est sûr, c’est qu’au moment où elle pose ses mains sur la cuvette, me tendant son cul, dans cet endroit assez exigu, j’entre en elle et je la fais jouir avant de décharger en elle.
• Merci !
Cela me va droit au cœur, elle se retourne et s’assoit pour uriner, elle a la bouche à hauteur de ma bite et me la nettoie d’une langue avide.
Après s’être rajusté, nous sortons, sur le strapontin qui est près de la porte, un bidasse est assis, il n’en croit pas ses yeux.
• Veux-tu baiser mec !
• Plutôt deux fois qu’une, la marine.
• Tu peux l’avoir pour 200 francs, fait passer la monnaie.
• Je n’ai pas un rond.
• Dommage, passe une bonne nuit mec.
Nous passons la porte de bout de couloir, j’attrape la petite.
• Pas de bol, je pensais t’avoir trouvé ton premier client.
• On verra cela demain, le temps que je m’organise.
Nous rejoignions le compartiment.
• Où vous étiez, nous ne sommes pas loin de Marseille, nous avions envie de te finir en apothéose, regarde, on s’est masturbé pompe nous une dernière fois.
Trois ponts baissés, trois bites sorties et la donzelle nous masturbent et nous sucent les uns après les autres, elle change souvent de cible jusqu’à ce que l’un après l’autre nous lancions nos derniers jets de sperme.
C’est à ce moment que le train ralenti dans un grand bruit de frein métallique.
« Marseille, ici Marseille, dix minutes d’arrêt. »
• Trois ponts baissés, trois bites sorties et la donzelle nous masturbent et nous sucent les uns après les autres, elle change souvent de cible jusqu’à ce que l’un après l’autre nous lancions nos derniers jets de sperme.
• Cherche pas, tu n’as pas le temps, tiens voilà ta petite valise en carton.
Elle sort, Togo ouvre le rideau et la fenêtre, nous passons tous les trois notre tête à l’extérieur, le marin-pompier est là, en 1970 nous étions encore obligés de garder la tenue militaire tout le temps, même en permission.
Nous le voyons récupérer la valise de sa femme qui descend et qui l’embrasse sur la bouche.
• Nous le voyons récupérer la valise de sa femme qui descend et qui l’embrasse sur la bouche.
C’est Ludo qui vient de ramener sa gueule, coup de chance pour la petite, je m’aperçois que nous nous sommes appelés par nos noms, mais que l’on ignore le sien.
Vas-y la marine, roule-lui une pelle à ta petite pute, on l’a défoncé toute la nuit, demande-lui de te faire une petite pipe, elle est passée maître dans l’art de sucer.
• Carole, tu les connais ces trois tarés.
• Non, laisse, ils sont jaloux parce que je t’aime, j’étais dans le compartiment suivant, à Paris les contrôleurs m’avaient placé avec une dame, nous avons discuté une partie de la nuit, elle va à Nice où elle est professeur de judo.
Je crois que je vais faire ce sport si tu as les moyens de me payer des leçons.
Ah ! Les femmes, toujours la réponse à tous, la mienne, c’est pareil, sauf que je ne suis pas cocu.
• Qu’as-tu là, au coin du nez ?
Tout en commençant à marcher, j’entends.
• Mince, un oiseau vient de me faire tomber une goutte de fiente, il y en a mare de ces mouettes.
Ce devait être du sperme, j’espère pour elle que son mari ne remarquera pas qu’il lui manque sa petite culotte, si vous voulez la voir, elle est rangée dans mon garage dans une boîte à chaussures où à partir de ce jour, je les collectionne.
Je ne suis pas cocu, mais j’en ai quelque récentes, je n’ai plus le pompon étant retourné à la vie civile, mais je sais parler aux femmes.
• Que fais-tu mon chéri ?
• J’écris quelques petites histoires érotiques, j’avais une idée du temps où je voyageais dans la marine.
• Tu écris encore tes cochonneries, je sors, j’ai rendez-vous avec ma sœur, je ne rentrerais pas avant 23 heures, nous allons aller voir un film de Dany Boon, ton repas est dans le frigo.
Merde, c’est moi qui disais que les femmes savaient très bien nous embobiner.
Dans le compartiment en tête de train, nous trouvons ce que nous croyons être une jeune demoiselle vue l’âge qu’elle semble avoir, nous découvrons qu’elle a moins de vingt ans, mais qu’elle est mariée avec un marin-pompier de Marseille où elle va le retrouver demain matin.
Comme nous le faisons chaque fois, nous bloquons la porte du compartiment pour avoir de la place, après le passage du contrôleur, je suis réveillé par des chuchotements, Ludo a détaché son pont et il arrive à ce que la petite rousse lui suce la queue.
Voyant sa culotte, je rentre dans la danse et malgré que nous sommes entrés dans la gare de la ville de Lyon, je la saute et finis par m’épancher dans sa chatte.
Togo, notre troisième copain sauve la situation en empêchant un gars de l’armée de terre d’entrer, quand il nous rejoint, je lui cède la place dès qu’il a enlevé pantalon et slip.
Je l’ai vu souvent dans cette situation flamberge au vent rien que la dernière fois dans un même compartiment, il y a peu quand nous avons réussi à coincer une bourgeoise qui comme la petite rousse est passée au fils de nos bites.
• J’adore son petit cul, ouah, elle est bien serrée.
La suppliciée, car je pense que prendre la bite de Togo dans l’anus, c’est un supplice, lâche la bite qu’elle recommençait à pomper pour pousser un petit cri.
• Ah !
• Sans problème, le gland est passé, le reste va suivre.
Ça, c’est tout Togo, quand il pointe, il pointe, pourtant les boules et lui ça fait deux, je parle de pétanque.
Pendant un long moment, il la tire.
• Ah ! Ah ! Ah ! Oui, oui, oui.
Elle a lâché la verge de Ludo avec sa bouche, mais avec sa main comme peu le faire un métronome, elle continue à le masturber, Togo remplit l’anus qu’il a investi et des jets de sperme encore conséquent partent dans sa figure de la queue de Ludo.
J’avance ma main, plutôt mon doigt, je racle le sperme et je lui mets dans la bouche, elle me le suce sans rechigner, il a lâché ce qu’il faut le copain, je dois recommencer cinq fois avant que son visage reprenne sa beauté naturelle.
Il a de la chance, le marin-pompier, avec un peu de recul, quand j’analyse ma vie, je dois reconnaître que celle qui l’a partagé jusqu’à ce jour n’est pas mal non plus.
Le calme revient dans le compartiment, le sifflet de la locomotive ponctue le passage dans des gares où les lumières des quais nous montrent la petite dans toute sa splendeur.
• Les gars, vous êtes bien gentille, mais j’ai levé cette petite salope et c’est vous qui l’avez baisé.
• Vous allez recommencer, je crois que mon anus doit être béant de votre copain.
• Attends, tu vas avoir le meilleur maintenant, le moment dont tu te souviendras toute ta vie.
• Qu’allez-vous me faire ?
• Nous allons te prendre en double pénétration, Togo, tu l’as assez défoncé, tu te feras sucer, c’est une experte.
C’est reparti, j’aide la rousse à se relever, les effluves dans le compartiment dégagé par sa chatte suffisent à nous faire rebander, Ludo s’allonge sur la banquette.
• Viens planter ta petite chatte sur moi.
Je sais ce qu’il me reste à faire, c’est moi qui ai droit à la petite porte, pas si petite que cela, Togo étant passé par là et ayant lubrifié le conduit avec son sperme.
Dans cette année-là, trouver une jolie salope comme elle, me permettant dans mes vieux jours de me remémorer ces bons moments que mon pompon m’apportait, je plonge en elle avec délectation.
Je sens la verge du copain la limer et c’est même elle qui se frotte à nos deux verges hurlant son plaisir en relâchant la bite qui a du mal à tenir entre ses mâchoires.
La fois dernière, j’étais dans la chatte de la femme de cinquante ans qui après avoir ouvert les vannes était devenue la salope des salopes, mais nous n’avions pas réussi à décharger simultanément avec Togo.
Sans être éjaculateur précoce, comme il vient de le démontrer en enculant jusqu’à la faire jouir la petite Marseillaise, ce jour-là, il avait été plus rapide que moi, avec Ludo, il doit sentir mon sperme fuser comme je sens le sien.
La tranche de jambon que forme notre proie entre nous deux doit le sentir aussi, car elle hurle son plaisir réveillant certainement le bidasse monté à Lyon malgré le bruit du train.
C’est comme cela que finissant ses besoins, Togo lâche lui aussi la purée, maculant de nouveau le visage, les yeux et la bouche que je n’ai pas encore eu l’honneur d’essayer.
Impossible de m’occuper de ce trou non sollicité, nous sommes hors service et affalés sur la banquette en dormant.
Au bout d’un moment, le poids de ces deux corps me pèse, surtout qu’il faut que je m’isole.
Il râle quand nous le faisons changer de position, mais Ludo se recule et la petite qui s’est réveillée aussi.
Je me lève et ouvre la porte.
• Attends, j’ai aussi envie.
C’est la tenant par la main que je franchis les quelques mètres qui nous séparent des toilettes.
• Entre !
C’est un ordre que je reçois, j’aurais mauvaise foi de ne pas l’exécuter.
• Grâce à vous trois, je viens de prendre conscience que toute ma vie, j’ai subi, avant les kilomètres qui vont me rapprocher de mon mari, je veux prendre le maximum de plaisir et la maîtriser.
• Je connais un bar où les filles montent les clients, je vais quitter mon travail de merde et devenir une pute, tu vas être le dernier à me baiser gratuitement.
• Ton mari ?
• Il sera cocu sans le savoir, pendant que vous me baisiez à deux tout à l’heure, j’ai analysé que je me suis donné à lui simplement pour quitter mes parents, tu me connais mal, mais quand je veux mentir, je suis la meilleure, il n’y verra que du feu.
Il est vrai que dans les années 70, à Toulon ou à Marseille, il existait des bars ou les filles qui le voulaient était des entraîneuses qui montaient les clients, sans compter les putes de rue, comme Miquette dont Chris a eu le plaisir de vous raconter une petite partie de son histoire.
En m’expliquant ce qu’elle pense faire à son cocu de mari, elle a ouvert mon pont et vient me sucer.
J’ignore sous quel nom elle va tapiner si elle le fait ce qui est sûr, c’est qu’au moment où elle pose ses mains sur la cuvette, me tendant son cul, dans cet endroit assez exigu, j’entre en elle et je la fais jouir avant de décharger en elle.
• Merci !
Cela me va droit au cœur, elle se retourne et s’assoit pour uriner, elle a la bouche à hauteur de ma bite et me la nettoie d’une langue avide.
Après s’être rajusté, nous sortons, sur le strapontin qui est près de la porte, un bidasse est assis, il n’en croit pas ses yeux.
• Veux-tu baiser mec !
• Plutôt deux fois qu’une, la marine.
• Tu peux l’avoir pour 200 francs, fait passer la monnaie.
• Je n’ai pas un rond.
• Dommage, passe une bonne nuit mec.
Nous passons la porte de bout de couloir, j’attrape la petite.
• Pas de bol, je pensais t’avoir trouvé ton premier client.
• On verra cela demain, le temps que je m’organise.
Nous rejoignions le compartiment.
• Où vous étiez, nous ne sommes pas loin de Marseille, nous avions envie de te finir en apothéose, regarde, on s’est masturbé pompe nous une dernière fois.
Trois ponts baissés, trois bites sorties et la donzelle nous masturbent et nous sucent les uns après les autres, elle change souvent de cible jusqu’à ce que l’un après l’autre nous lancions nos derniers jets de sperme.
C’est à ce moment que le train ralenti dans un grand bruit de frein métallique.
« Marseille, ici Marseille, dix minutes d’arrêt. »
• Trois ponts baissés, trois bites sorties et la donzelle nous masturbent et nous sucent les uns après les autres, elle change souvent de cible jusqu’à ce que l’un après l’autre nous lancions nos derniers jets de sperme.
• Cherche pas, tu n’as pas le temps, tiens voilà ta petite valise en carton.
Elle sort, Togo ouvre le rideau et la fenêtre, nous passons tous les trois notre tête à l’extérieur, le marin-pompier est là, en 1970 nous étions encore obligés de garder la tenue militaire tout le temps, même en permission.
Nous le voyons récupérer la valise de sa femme qui descend et qui l’embrasse sur la bouche.
• Nous le voyons récupérer la valise de sa femme qui descend et qui l’embrasse sur la bouche.
C’est Ludo qui vient de ramener sa gueule, coup de chance pour la petite, je m’aperçois que nous nous sommes appelés par nos noms, mais que l’on ignore le sien.
Vas-y la marine, roule-lui une pelle à ta petite pute, on l’a défoncé toute la nuit, demande-lui de te faire une petite pipe, elle est passée maître dans l’art de sucer.
• Carole, tu les connais ces trois tarés.
• Non, laisse, ils sont jaloux parce que je t’aime, j’étais dans le compartiment suivant, à Paris les contrôleurs m’avaient placé avec une dame, nous avons discuté une partie de la nuit, elle va à Nice où elle est professeur de judo.
Je crois que je vais faire ce sport si tu as les moyens de me payer des leçons.
Ah ! Les femmes, toujours la réponse à tous, la mienne, c’est pareil, sauf que je ne suis pas cocu.
• Qu’as-tu là, au coin du nez ?
Tout en commençant à marcher, j’entends.
• Mince, un oiseau vient de me faire tomber une goutte de fiente, il y en a mare de ces mouettes.
Ce devait être du sperme, j’espère pour elle que son mari ne remarquera pas qu’il lui manque sa petite culotte, si vous voulez la voir, elle est rangée dans mon garage dans une boîte à chaussures où à partir de ce jour, je les collectionne.
Je ne suis pas cocu, mais j’en ai quelque récentes, je n’ai plus le pompon étant retourné à la vie civile, mais je sais parler aux femmes.
• Que fais-tu mon chéri ?
• J’écris quelques petites histoires érotiques, j’avais une idée du temps où je voyageais dans la marine.
• Tu écris encore tes cochonneries, je sors, j’ai rendez-vous avec ma sœur, je ne rentrerais pas avant 23 heures, nous allons aller voir un film de Dany Boon, ton repas est dans le frigo.
Merde, c’est moi qui disais que les femmes savaient très bien nous embobiner.
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