COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison IV (10/12)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-04-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LES CHIENNES. Ma fille. Début de la Saison IV (10/12)
Voilà, je suis prête à continuer mes aventures de salopes ayant sacrifié sa fille au luxe que me procure mon mariage avec Jean Dupond dont je porte maintenant le nom Jennifer Dupond dans la saison IV chapitre 10.
Je sais, je suis perfide, qu’ai-je élaboré pour prendre seule la tête et le pognon qui y est lié au travers du trafic de drogue et de filles que mon tôlard de mari dirigeait.
Pour commencer, je vois Radia finir de se faire sauter, c’est bien pratique d’avoir une pute à la maison.
Depuis que j’ai compris que Wolfgang comprenait les choses simples, me servant de mon portable, j’écrie ses ordres plus précis et je lui montre la traduction.
Je le sonne, il arrive.
« Fais sortir Radia de sa cellule et met là dans la chambre à côté de la mienne. »
Je m’attends à un Ya mais suis-je bête.
Il part, je le retiens par la manche de sa veste.
« Attends »« As-tu le numéro personnel de monsieur André ? »
Il prend mon portable, tape sur le clavier et me le redonne.
Dans les contacts il a mis un numéro.
Un signe pendant que je compose le 07 qu’il a ajouté à ma courte liste.
Ça sonne, ça répond.
- Prof.
- Je vois que tu as compris comment on m’appelle, si tu le désires la femme de Monsieur, pour toi tu peux dire Charles.
Qu’arrive-t-il Jennifer ?
- Peux-tu prendre le risque de venir dîner ce soir, ça me ferait bien plaisir.
- Habillé ?
- Tu es bête, profitons de ma piscine.
- J’ai pour habitude d’éviter de mélanger le travail et le plaisir, mais pour toi je ferais une exception.
20 heures ?
- 20 heures.
Je vais voire Radia lui annonçant que ce soir nous aurons un invité et que sa nouvelle vie commence dès ce soir.
Elle regarde la télé comme dans chaque chambre.
Pour la première fois je frappe aux appartements de Wolfgang qui arrive en simple boxer.
Quand il ouvre, prudent il a une arme en main qu’il cache quand il voit que c’est moi.
Portable, il a compris et s’occupe de tout avec l’une des deux femmes à mon service qui sera là ce soir.
- Champagne Charles.
- Entouré de deux jolies femmes comment dire non.
- Voilà pourquoi je voulais te voir, je voudrais que Radia soit ma camériste, ma dame de compagnie si tu préfères.
- Et le bordel oriental ?
- J’ai fait venir Zinedine, une mauvaise graine de la cité et je l’ai chargé de nous rabatte une autre Maghrébine.
Il m’a dit qu’il connaissait une autre fille susceptible de faire l’affaire.
Je lui ai donné huit jours et assez de pognons pour qu’il comprenne où était son intérêt.
- Je vois que j’ai bien fait de te faire confiance, ce genre d’idée du temps de ton mari, c’est moi qui avais l'obligation de les avoir.
Wolfgang nous sert notre repas.
- Une coupe mon ami ?
- Wolfgang est dans l’impossibilité de satisfaire une femme et est sobre comme personne.
Moi, j’en reprendrais bien une petite.
- Charles un petit bain ça te plairait ?
Je l’ai reçu en maillot ainsi que Radia du genre qui s’enlève très très facilement.
- Inutile de mouiller nos maillots ma chérie.
Nous entrons dans l'eau nue, Charles en boxer se sent obligé de l’ôter.
Je nage comme un poisson depuis mon plus jeune âge.
Prof est un homme que j’ai appris à cerner même s’il semble vivre seul.
Quand je fais celle qui se noie, m’accrochant à son cou, malgré l’eau sa verge réagit.
Radia nage parfaitement.
Je profite de mon avantage et je me pends au cou de celui que je convoite.
- Prends-moi, mon homme me manque.
Il place sa main entre nous et se place à l’entrée de ma grotte.
C’est là où je dis que les hommes sont de vrais enfants ce qui permet à des femmes comme moi avec un peu d’imagination de les gruger.
Tout Prof qu’il est celui qui entre en moi grâce à mon sexe disponible pour mon propre intérêt est dans la norme.
Il y a peu, je subissais la vie, depuis que l’odeur du pognon facile a caressé mes narines je suis insatiable fût en ayant perdue ma fille.
« Mon homme me manque ».
Quelle tarte à la crème, il a été arrêter le jour de mon mariage sans pouvoir profiter de sa nuit de noces.
Il me plaque le long de la paroi et pour éviter que nos bouches se trouvent, je mets ma tête sur son épaule.
La petite fille sage que j’étais ayant appris dans son nouveau monde à devenir une chienne et c’est sans aucun problème que je prends mon plaisir en même temps que lui.
Nous sortons de l’eau pour nous affaler sur les transats à notre disposition nous tenant la main.
- Radia sort de l’eau et viens nous servir une coupe de champagne.
Bonne petite chienne, elle s’exécute.
- Merci, suce la queue de Charles pour bien lui nettoyer et après retourne dans ta chambre, nous finirons la soirée ensemble si tu le permets Charles.
Elle s’exécute, il bande de nouveau.
C’est sûr depuis longtemps dans la cité elle devait sucer de la bite afin d’éviter de perdre son pucelage avant de me connaître à la manière dont le sexe est impeccablement nettoyé.
- Va, c’est bien, tu la remis en forme, je vais m’en occuper.
Radia s’en va et me levant je viens de nouveau m’empaler sur la bite tendue.
Je l’embrasse à pleine bouche jusqu’à ce que nous ayons un nouvel emportement simultané nous satisfaisant l’un l’autre.
- Charles, je t’ai dit que je lisais les notes et les livres de comptes de Jean, plusieurs choses m’interpellent.
- Dis, si je peux t’éclairer ?
- J’ai fait l’inventaire de ce qui se trouve dans la cave et ses livres, il y a un trou de plusieurs millions entre les deux.
- J’allais t’en parler, crois-tu que nous mettions nos œufs dans un même panier ?
Dans ma villa à deux pas, j’ai moi aussi une cache servant de coffre-fort où une partie de ce qui manque est cachée.
En plus nous avons des comptes dans des paradis fiscaux où notre argent fluctue.
Dès qu’il sortira de prison dans quelques années nous prendrons notre magot et partirons sur l’île grecque que nous avons achetée.
Grâce à la crise de 2008, ces cons de grec se sont trouvés dans l'obligation de vendre leurs bijoux de famille pour remettre en équilibre les comptes de leur pays.
Des requins comme nous savent en profiter même si cette pute de commissaire essaye de nous emmerder.
Malgré elle, les petits devenus grands se retireront du business.
- Je comprends.
Quand je dis que les hommes sont cons, il suffit de leur caresser la queue pour qu’ils déballent tout ce qui va m’intéresser.
- Encore une chose, la coco, Tonio fait des livraisons préparées par Wolfgang, les stocks baissent, quand faite vous le plein avec le yack.
- Tu as compris ça aussi.
- Oui, environ tous les trois mois un chiffre entre correspondant certainement à une livraison.
À la prochaine, je voudrais être là.
- En temps normal, c’est Berlin qui s’en charge avec ton mari.
La prochaine livraison nous irons tous les deux, il lui est impossible de sortir, il prendrait trop de risques.
Il est temps que j’y aille, les flics peuvent avoir repris leur surveillance inutile de leur donner des idées sur le rôle que je joue.
Il m’embrasse et me quitte après m’avoir caressé le sein.
Est-ce la fraîcheur du soir ou ses doigts, mon téton bande de plaisir ?
Je quitte ma piscine croisant Berlin qui vient débarrasser.
Je lui montre mon portable après avoir tapé et traduit.
« Prof m’a fait cadeau de Radia, je vais la rejoindre.
Demain j’aurais une question à te poser !
Viens dans la cave à 10 heures. »
Qu’ai-je à lui demander, en attendant j’entre sans frapper dans la chambre de Radia ?…
Je sais, je suis perfide, qu’ai-je élaboré pour prendre seule la tête et le pognon qui y est lié au travers du trafic de drogue et de filles que mon tôlard de mari dirigeait.
Pour commencer, je vois Radia finir de se faire sauter, c’est bien pratique d’avoir une pute à la maison.
Depuis que j’ai compris que Wolfgang comprenait les choses simples, me servant de mon portable, j’écrie ses ordres plus précis et je lui montre la traduction.
Je le sonne, il arrive.
« Fais sortir Radia de sa cellule et met là dans la chambre à côté de la mienne. »
Je m’attends à un Ya mais suis-je bête.
Il part, je le retiens par la manche de sa veste.
« Attends »« As-tu le numéro personnel de monsieur André ? »
Il prend mon portable, tape sur le clavier et me le redonne.
Dans les contacts il a mis un numéro.
Un signe pendant que je compose le 07 qu’il a ajouté à ma courte liste.
Ça sonne, ça répond.
- Prof.
- Je vois que tu as compris comment on m’appelle, si tu le désires la femme de Monsieur, pour toi tu peux dire Charles.
Qu’arrive-t-il Jennifer ?
- Peux-tu prendre le risque de venir dîner ce soir, ça me ferait bien plaisir.
- Habillé ?
- Tu es bête, profitons de ma piscine.
- J’ai pour habitude d’éviter de mélanger le travail et le plaisir, mais pour toi je ferais une exception.
20 heures ?
- 20 heures.
Je vais voire Radia lui annonçant que ce soir nous aurons un invité et que sa nouvelle vie commence dès ce soir.
Elle regarde la télé comme dans chaque chambre.
Pour la première fois je frappe aux appartements de Wolfgang qui arrive en simple boxer.
Quand il ouvre, prudent il a une arme en main qu’il cache quand il voit que c’est moi.
Portable, il a compris et s’occupe de tout avec l’une des deux femmes à mon service qui sera là ce soir.
- Champagne Charles.
- Entouré de deux jolies femmes comment dire non.
- Voilà pourquoi je voulais te voir, je voudrais que Radia soit ma camériste, ma dame de compagnie si tu préfères.
- Et le bordel oriental ?
- J’ai fait venir Zinedine, une mauvaise graine de la cité et je l’ai chargé de nous rabatte une autre Maghrébine.
Il m’a dit qu’il connaissait une autre fille susceptible de faire l’affaire.
Je lui ai donné huit jours et assez de pognons pour qu’il comprenne où était son intérêt.
- Je vois que j’ai bien fait de te faire confiance, ce genre d’idée du temps de ton mari, c’est moi qui avais l'obligation de les avoir.
Wolfgang nous sert notre repas.
- Une coupe mon ami ?
- Wolfgang est dans l’impossibilité de satisfaire une femme et est sobre comme personne.
Moi, j’en reprendrais bien une petite.
- Charles un petit bain ça te plairait ?
Je l’ai reçu en maillot ainsi que Radia du genre qui s’enlève très très facilement.
- Inutile de mouiller nos maillots ma chérie.
Nous entrons dans l'eau nue, Charles en boxer se sent obligé de l’ôter.
Je nage comme un poisson depuis mon plus jeune âge.
Prof est un homme que j’ai appris à cerner même s’il semble vivre seul.
Quand je fais celle qui se noie, m’accrochant à son cou, malgré l’eau sa verge réagit.
Radia nage parfaitement.
Je profite de mon avantage et je me pends au cou de celui que je convoite.
- Prends-moi, mon homme me manque.
Il place sa main entre nous et se place à l’entrée de ma grotte.
C’est là où je dis que les hommes sont de vrais enfants ce qui permet à des femmes comme moi avec un peu d’imagination de les gruger.
Tout Prof qu’il est celui qui entre en moi grâce à mon sexe disponible pour mon propre intérêt est dans la norme.
Il y a peu, je subissais la vie, depuis que l’odeur du pognon facile a caressé mes narines je suis insatiable fût en ayant perdue ma fille.
« Mon homme me manque ».
Quelle tarte à la crème, il a été arrêter le jour de mon mariage sans pouvoir profiter de sa nuit de noces.
Il me plaque le long de la paroi et pour éviter que nos bouches se trouvent, je mets ma tête sur son épaule.
La petite fille sage que j’étais ayant appris dans son nouveau monde à devenir une chienne et c’est sans aucun problème que je prends mon plaisir en même temps que lui.
Nous sortons de l’eau pour nous affaler sur les transats à notre disposition nous tenant la main.
- Radia sort de l’eau et viens nous servir une coupe de champagne.
Bonne petite chienne, elle s’exécute.
- Merci, suce la queue de Charles pour bien lui nettoyer et après retourne dans ta chambre, nous finirons la soirée ensemble si tu le permets Charles.
Elle s’exécute, il bande de nouveau.
C’est sûr depuis longtemps dans la cité elle devait sucer de la bite afin d’éviter de perdre son pucelage avant de me connaître à la manière dont le sexe est impeccablement nettoyé.
- Va, c’est bien, tu la remis en forme, je vais m’en occuper.
Radia s’en va et me levant je viens de nouveau m’empaler sur la bite tendue.
Je l’embrasse à pleine bouche jusqu’à ce que nous ayons un nouvel emportement simultané nous satisfaisant l’un l’autre.
- Charles, je t’ai dit que je lisais les notes et les livres de comptes de Jean, plusieurs choses m’interpellent.
- Dis, si je peux t’éclairer ?
- J’ai fait l’inventaire de ce qui se trouve dans la cave et ses livres, il y a un trou de plusieurs millions entre les deux.
- J’allais t’en parler, crois-tu que nous mettions nos œufs dans un même panier ?
Dans ma villa à deux pas, j’ai moi aussi une cache servant de coffre-fort où une partie de ce qui manque est cachée.
En plus nous avons des comptes dans des paradis fiscaux où notre argent fluctue.
Dès qu’il sortira de prison dans quelques années nous prendrons notre magot et partirons sur l’île grecque que nous avons achetée.
Grâce à la crise de 2008, ces cons de grec se sont trouvés dans l'obligation de vendre leurs bijoux de famille pour remettre en équilibre les comptes de leur pays.
Des requins comme nous savent en profiter même si cette pute de commissaire essaye de nous emmerder.
Malgré elle, les petits devenus grands se retireront du business.
- Je comprends.
Quand je dis que les hommes sont cons, il suffit de leur caresser la queue pour qu’ils déballent tout ce qui va m’intéresser.
- Encore une chose, la coco, Tonio fait des livraisons préparées par Wolfgang, les stocks baissent, quand faite vous le plein avec le yack.
- Tu as compris ça aussi.
- Oui, environ tous les trois mois un chiffre entre correspondant certainement à une livraison.
À la prochaine, je voudrais être là.
- En temps normal, c’est Berlin qui s’en charge avec ton mari.
La prochaine livraison nous irons tous les deux, il lui est impossible de sortir, il prendrait trop de risques.
Il est temps que j’y aille, les flics peuvent avoir repris leur surveillance inutile de leur donner des idées sur le rôle que je joue.
Il m’embrasse et me quitte après m’avoir caressé le sein.
Est-ce la fraîcheur du soir ou ses doigts, mon téton bande de plaisir ?
Je quitte ma piscine croisant Berlin qui vient débarrasser.
Je lui montre mon portable après avoir tapé et traduit.
« Prof m’a fait cadeau de Radia, je vais la rejoindre.
Demain j’aurais une question à te poser !
Viens dans la cave à 10 heures. »
Qu’ai-je à lui demander, en attendant j’entre sans frapper dans la chambre de Radia ?…
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