COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (20/32)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION LES ROUSSES. Panne de voiture dans le centre de la France (20/32)
(Un jeune puceau à la fin du chapitre XIX, nouvelle situation et chapitre XX plein d’intérêt du moins, je le pense.)
J’aurais dû rentrer chez Jade, mais si l’on a un destin dicté par des forces supérieures aux nôtres, le mien passant de nouveau par ce club privé où en fin de journée, j’ai retrouvé Tonton bonbons.
Du moins c’est ce que j’ai retenu de ma vie au carmel, un peu orienté par maman qui en décédant me montre que rien n’est blanc ou noir.
Des zones grises sont très fréquentes dans les familles.
Qui peut dire, à part l’ADN, que votre père est bien celui que vous pensiez qu’il était.
Je connais l’ADN, car toujours au Carmel, sœur Antoinette, entrée pour cacher sa grossesse au père, a dû en passer par là.
Elle a dû subir par la justice un test de l’enfant dans son ventre qui a permis au père de refuser que son fils soit adopté et que sa mère ait le moindre droit de regard après la naissance.
C’était la mère supérieure, avant sœur Marie-Joseph qui a dû se démêler avec cette affaire.
Ça l’a tellement traumatisée qu’elle est décédée, quelque temps après.
Sœur Michèle, qu’entre nous lors de nos temps en commun, nous appelons la « mère Michelle. »
La mère supérieure actuelle, une de mes grandes amies, a été nommée par notre évêque, sa nomination étant le choix de notre Dieu qui a guidé sa réflexion.
Sœur Michelle est bien connue de toutes les sœurs qu’elle dirige pour son intégrité et sa grande piétée à son serment de fidélité qu’elle a prononcé il y a bien des années.
C’est ainsi que dans ma famille, Tonton Charles, que j’ai surnommé Tonton bonbons, me fait découvrir qu’il était client de ma mère, étant depuis bien des années une péripatéticienne.
Il me donnait des bonbons avant que l’on ne m’enferme dans ma chambre, le temps qu’ils aillent faire leurs petites affaires, dont j’ignorais tout de A à Z.
Moi, c’est une fellation à ce tonton qui fait de moi une pute, les billets dans mon sac avec lesquels je paye les verres que nous avons bus avec ce jeune garçon, l’attestant.
Claude Relax, c’est le nom que je vois sur cette carte qu’il me met sous le nez pour prouver qu’il est majeur.
Relax, pas temps que ça, car l’alcool altère une partie de ses facultés.
• Savez-vous où vous devez l’emmener ?
Carmaux est une petite ville, pas très grande, mais pour une personne ne la connaissant pas très bien, on peut si perdre.
Comment avez-vous garé votre véhicule, vers la droite ou vers la gauche ?
• Attendez que je réfléchisse, la droite, oui, c’est cela, la droite !
• Impeccable, c’est plus facile, vous n’aurez pas à vous embêter avec les sens interdits et les sens uniques.
Vous allez tout droit, en face de vous, vous verrez un panneau « Cap'découverte. »
C’est le reste d’une mine à ciel ouvert, réhabilité après les fermetures en 1989 par la municipalité sur ordre de l’État.
C’est un lieu de promenade bien connu, maintenant des habitants après de gros heurs avec les mineurs.
Vous suivez toujours cette direction, les flèches vous l’indiqueront
Arrivée là, à droite, vous verrez le musée de la mine, tenu par son père et d’autres anciens mineurs, toujours à votre droite.
Vous passez devant, vous parcourez un kilomètre environ et sur votre droite, vous verrez une maison rouge, c’est là où il réside.
Faite attention qu’il ne vous envoie pas de fusées dans votre voiture.
C’est fréquent avec les jeunes puceaux qui pour la première fois se croient tout-puissants, car ils sont pour la première fois majeurs.
Vous savez, madame, depuis que je tiens ce club, le nombre de ces jeunes cons à qui il sortirait du lait de leur nez, si on leur appuyaient dessus feraient légions.
Merci de le ramener, tu seras toujours là bienvenue chez moi, j’aime les femmes pleines de caractère qui savent prendre les dispositions qui s’imposent.
Je note le tutoiement, nous venons de devenir potes, je lui enlève une grosse épine du pied, bien que je ne sois pas très épaisse.
Au bout à droite, vivement que j’arrive, à cause de mon prie-dieu, j’ai été obligé de placer mon petit alcoolo derrière moi, avec un certain mal, il tenait à peine sur ses jambes.
Je crains les fusées sur mon dos.
« Cap'découverte » je suis, le musée une pancarte pour le parking dans lequel les visiteurs viennent se garer, ouf, j’arrive devant la maison rouge.
Certainement une maison de mineur ou au moins un responsable, car elle est assez grande.
Claude dort, l’alcool a eu raison de lui, mais en le secouant un peu, j’arrive à le sortir de sa torpeur alcoolique.
• Les clefs sont sous le pot de fleurs, je peux t’embrasser, tu es une mère pour moi.
Comment tu t’appelles, moi c’est Claude ?
• Je le sais Claude, c’est moi qui t’ai rangé ta carte d’identité dans ton portefeuille dans la poche arrière de ton jean pour éviter que tu ne la perdes, moi, c’est Marie !
• Marie, comme la Sainte Vierge, je vais baiser la Sainte Vierge, les copains ne voudront pas me croire.
• Avant de baiser qui que ce soit, il faudrait peut-être décuiter un peu, j’ai ouvert ta porte, ou se trouve votre salle de bains.
Je crois qu’une bonne douche froide s’impose.
• À l’étage en face de l’escalier, ma Sainte Vierge chérie.
La Sainte Vierge, elle en a plein les bottes.
Si elle avait su, elle aurait pu quitter le club seule, être à ce moment chez Jade dans le Jacuzzi, laissant ce petit puceau à la patronne pour qu’elle s’en démerde.
Je sais, ce mot est encore vilain, mais qui maintenant ici de plus en plus sait que je suis sœur Marie du carmel de Lisieux ?
Certainement pas Claude que tant bien que mal j’arrive à faire entrer dans cette salle de bains, que j’espère salvatrice pour tous les deux.
Qui a déjà ôté ses vêtements à une personne ayant bu, sait le calvaire que je vis surtout que Claude ne fait aucun effort pour m’aider.
J’arrive au slip que je pense lui laisser, je me fiche qu’il soit mouillé.
C’est le seul moment où il m’aide en l’enlevant, me montrant quelque chose de monstrueux pour une femme pucelle il y a encore quelques jours, ça frise l’étonnement.
Donner une longueur à cette verge, serait pêché de mensonges et comment dire au père François à ma prochaine confesse, la longueur de ce que me montre Claude.
« Mon père, après avoir baisé dans la piscine avec Lionnel.
D’avoir sucé la verge de Tonton bonbons sur le prie-dieu de maman.
J’ai découvert la bite disproportionnée, la troisième de ma vie en foutant à poil un jeune homme qui plus se trouve être puceau, mais ayant dix-huit ans à cette heure ! »
Vous voyez le tableau, mais de lui-même il entre dans la baignoire, ou je peux commencer à lui administrer la douche froide qui je le sais, va lui faire reprendre ses esprits.
La douche froide, je sais depuis ma plus tendre enfance que c’est efficace, quand mon père gueulait avant de décéder lorsque maman lui donnait des douches froides lorsqu’il rentrait défoncé.
Je ne l’ai jamais vu, il était obligatoirement nu et du plus loin de ma mémoire, je n’ai jamais vu son engin.
C’est le cas pour Claude alors que je lui mets le jet froid dans la figure.
Il finit par suffoquer et je sens qu’il revient parmi nous.
Enfin « parmi nous, » bien grand mot, je suis seule en face de lui lorsqu’il a un mouvement insolite, du moins je pense qu’il était non prémédité.
Il se relève, sa bite venant à hauteur de mon visage car pour faciliter mon aspergement, je m’étais accroupie.
Pourquoi, ma main, pensant mettre de l’eau de nouveau sur son visage, attrape-t-elle ce morceau de chair, qui immédiatement malgré la froideur de l’eau réagit ?
Elle réagit, car il s’agit de sa bite, comme elle a réagi avec Lionnel lorsque j’ai pour la première fois compris ce que le terme « homme » veut dire.
J’ai sucé Tonton bonbons, c’est très naturellement que ma bouche s’avance pour le happer.
Je manque de m’étouffer en commençant à rire, de la pensée qui me vient.
• Marie, pourquoi ris-tu, tu m’as ramené sur terre, nous allons pouvoir faire l’amour.
• Claude, je ris lorsque j’ai vu ton sexe bander, on aurait dit le nez de Pinocchio dans l’histoire que ma mère me lisait et où elle me disait que mon nez s’allongerait si je lui mentais.
• Lorsque j’étais petit, je faisais du football, l’entraineur nous imposait la douche après les entrainements et les matchs.
Mon surnom, c’était justement Pinocchio, j’avais horreur que l’on m’appelle comme ça.
Il y a deux ans, j’ai eu une copine, j’ai réussi à l’emmener dans ma chambre à côté et j’ai sorti ma verge.
Elle s’est sauvée en courant et a raconté aux autres filles de notre âge que j’étais difforme et qu’elle comprenait pourquoi mes copains m’appelaient Pinocchio.
J’arrive à mes dix-huit ans et je voulais perdre ce pucelage qui me pèse tant, veux-tu faire de moi un homme ?
Je le reprends en bouche, je le suce méticuleusement.
J’apprends même à lui sucer les bourses, bien qu’elles entrent facilement, ma bouche étant à la bonne dimension.
Ma main le masturbe, mais vacciné par ce qu’il m’était arrivé avec Tonton, bien qu’avaler son sperme ait été chose facile, je le recrache, me relève et ôte mes vêtements.
• Tu as de jolis seins, je peux à mon tour les sucer !
Tu sais depuis l’âge de 12 ans environ, je regarde des vidéos pornos sur mon portable, j’adore quand les mecs sucent es seins de leur partenaire, surtout des vieilles comme toi.
Je suis à deux doigts de le rembarrer, mais je prends sur moi d’être traitée de vieille. Avoir ce grand machin en moi, tel est le but qui me fait l’essuyer pour rejoindre un endroit où je pourrais écarter mes cuisses pour qu’il vienne en moi.
C’est dans sa chambre contiguë à la salle de bains qu’il m’entraine.
Je tombe sur le lit prêt à le recevoir, c’est lui qui a la présence d’esprit de prendre une capote dans sa table de nuit.
Certainement celle qu’il avait prévu de mettre lorsque sa copine l’a rembarrée.
• Marie, tu peux la mettre avec ta bouche, j’ai souvent vu les filles le faire dans ces vidéos, c’est l’un de mes fantasmes.
Je suis un peu kamikaze, si lui a vu des films, moi pas.
Nous n’avons même pas de portable au couvent, mais après qu’il ait découpé l’étui avec ses dents et placé la capote sur son gland, du mieux que je le peux avec ma langue j’arrive à la dérouler.
Ce travail fait, le remerciant presque de m’avoir protégé, je me laisse aller et je sens son corps venir épouser le mien.
Un regard à mon alliance et cocufiant une nouvelle fois celui à qui j’ai juré fidélité, je le sens entrer, entrer et encore entrer en moi.
Sa bite est longue, longue, longue et je suis profonde, profonde, profonde.
Deux mouvements en avant ses bourses tapant mes fesses et je jouis, jouis, jouis et jouis encore…
J’aurais dû rentrer chez Jade, mais si l’on a un destin dicté par des forces supérieures aux nôtres, le mien passant de nouveau par ce club privé où en fin de journée, j’ai retrouvé Tonton bonbons.
Du moins c’est ce que j’ai retenu de ma vie au carmel, un peu orienté par maman qui en décédant me montre que rien n’est blanc ou noir.
Des zones grises sont très fréquentes dans les familles.
Qui peut dire, à part l’ADN, que votre père est bien celui que vous pensiez qu’il était.
Je connais l’ADN, car toujours au Carmel, sœur Antoinette, entrée pour cacher sa grossesse au père, a dû en passer par là.
Elle a dû subir par la justice un test de l’enfant dans son ventre qui a permis au père de refuser que son fils soit adopté et que sa mère ait le moindre droit de regard après la naissance.
C’était la mère supérieure, avant sœur Marie-Joseph qui a dû se démêler avec cette affaire.
Ça l’a tellement traumatisée qu’elle est décédée, quelque temps après.
Sœur Michèle, qu’entre nous lors de nos temps en commun, nous appelons la « mère Michelle. »
La mère supérieure actuelle, une de mes grandes amies, a été nommée par notre évêque, sa nomination étant le choix de notre Dieu qui a guidé sa réflexion.
Sœur Michelle est bien connue de toutes les sœurs qu’elle dirige pour son intégrité et sa grande piétée à son serment de fidélité qu’elle a prononcé il y a bien des années.
C’est ainsi que dans ma famille, Tonton Charles, que j’ai surnommé Tonton bonbons, me fait découvrir qu’il était client de ma mère, étant depuis bien des années une péripatéticienne.
Il me donnait des bonbons avant que l’on ne m’enferme dans ma chambre, le temps qu’ils aillent faire leurs petites affaires, dont j’ignorais tout de A à Z.
Moi, c’est une fellation à ce tonton qui fait de moi une pute, les billets dans mon sac avec lesquels je paye les verres que nous avons bus avec ce jeune garçon, l’attestant.
Claude Relax, c’est le nom que je vois sur cette carte qu’il me met sous le nez pour prouver qu’il est majeur.
Relax, pas temps que ça, car l’alcool altère une partie de ses facultés.
• Savez-vous où vous devez l’emmener ?
Carmaux est une petite ville, pas très grande, mais pour une personne ne la connaissant pas très bien, on peut si perdre.
Comment avez-vous garé votre véhicule, vers la droite ou vers la gauche ?
• Attendez que je réfléchisse, la droite, oui, c’est cela, la droite !
• Impeccable, c’est plus facile, vous n’aurez pas à vous embêter avec les sens interdits et les sens uniques.
Vous allez tout droit, en face de vous, vous verrez un panneau « Cap'découverte. »
C’est le reste d’une mine à ciel ouvert, réhabilité après les fermetures en 1989 par la municipalité sur ordre de l’État.
C’est un lieu de promenade bien connu, maintenant des habitants après de gros heurs avec les mineurs.
Vous suivez toujours cette direction, les flèches vous l’indiqueront
Arrivée là, à droite, vous verrez le musée de la mine, tenu par son père et d’autres anciens mineurs, toujours à votre droite.
Vous passez devant, vous parcourez un kilomètre environ et sur votre droite, vous verrez une maison rouge, c’est là où il réside.
Faite attention qu’il ne vous envoie pas de fusées dans votre voiture.
C’est fréquent avec les jeunes puceaux qui pour la première fois se croient tout-puissants, car ils sont pour la première fois majeurs.
Vous savez, madame, depuis que je tiens ce club, le nombre de ces jeunes cons à qui il sortirait du lait de leur nez, si on leur appuyaient dessus feraient légions.
Merci de le ramener, tu seras toujours là bienvenue chez moi, j’aime les femmes pleines de caractère qui savent prendre les dispositions qui s’imposent.
Je note le tutoiement, nous venons de devenir potes, je lui enlève une grosse épine du pied, bien que je ne sois pas très épaisse.
Au bout à droite, vivement que j’arrive, à cause de mon prie-dieu, j’ai été obligé de placer mon petit alcoolo derrière moi, avec un certain mal, il tenait à peine sur ses jambes.
Je crains les fusées sur mon dos.
« Cap'découverte » je suis, le musée une pancarte pour le parking dans lequel les visiteurs viennent se garer, ouf, j’arrive devant la maison rouge.
Certainement une maison de mineur ou au moins un responsable, car elle est assez grande.
Claude dort, l’alcool a eu raison de lui, mais en le secouant un peu, j’arrive à le sortir de sa torpeur alcoolique.
• Les clefs sont sous le pot de fleurs, je peux t’embrasser, tu es une mère pour moi.
Comment tu t’appelles, moi c’est Claude ?
• Je le sais Claude, c’est moi qui t’ai rangé ta carte d’identité dans ton portefeuille dans la poche arrière de ton jean pour éviter que tu ne la perdes, moi, c’est Marie !
• Marie, comme la Sainte Vierge, je vais baiser la Sainte Vierge, les copains ne voudront pas me croire.
• Avant de baiser qui que ce soit, il faudrait peut-être décuiter un peu, j’ai ouvert ta porte, ou se trouve votre salle de bains.
Je crois qu’une bonne douche froide s’impose.
• À l’étage en face de l’escalier, ma Sainte Vierge chérie.
La Sainte Vierge, elle en a plein les bottes.
Si elle avait su, elle aurait pu quitter le club seule, être à ce moment chez Jade dans le Jacuzzi, laissant ce petit puceau à la patronne pour qu’elle s’en démerde.
Je sais, ce mot est encore vilain, mais qui maintenant ici de plus en plus sait que je suis sœur Marie du carmel de Lisieux ?
Certainement pas Claude que tant bien que mal j’arrive à faire entrer dans cette salle de bains, que j’espère salvatrice pour tous les deux.
Qui a déjà ôté ses vêtements à une personne ayant bu, sait le calvaire que je vis surtout que Claude ne fait aucun effort pour m’aider.
J’arrive au slip que je pense lui laisser, je me fiche qu’il soit mouillé.
C’est le seul moment où il m’aide en l’enlevant, me montrant quelque chose de monstrueux pour une femme pucelle il y a encore quelques jours, ça frise l’étonnement.
Donner une longueur à cette verge, serait pêché de mensonges et comment dire au père François à ma prochaine confesse, la longueur de ce que me montre Claude.
« Mon père, après avoir baisé dans la piscine avec Lionnel.
D’avoir sucé la verge de Tonton bonbons sur le prie-dieu de maman.
J’ai découvert la bite disproportionnée, la troisième de ma vie en foutant à poil un jeune homme qui plus se trouve être puceau, mais ayant dix-huit ans à cette heure ! »
Vous voyez le tableau, mais de lui-même il entre dans la baignoire, ou je peux commencer à lui administrer la douche froide qui je le sais, va lui faire reprendre ses esprits.
La douche froide, je sais depuis ma plus tendre enfance que c’est efficace, quand mon père gueulait avant de décéder lorsque maman lui donnait des douches froides lorsqu’il rentrait défoncé.
Je ne l’ai jamais vu, il était obligatoirement nu et du plus loin de ma mémoire, je n’ai jamais vu son engin.
C’est le cas pour Claude alors que je lui mets le jet froid dans la figure.
Il finit par suffoquer et je sens qu’il revient parmi nous.
Enfin « parmi nous, » bien grand mot, je suis seule en face de lui lorsqu’il a un mouvement insolite, du moins je pense qu’il était non prémédité.
Il se relève, sa bite venant à hauteur de mon visage car pour faciliter mon aspergement, je m’étais accroupie.
Pourquoi, ma main, pensant mettre de l’eau de nouveau sur son visage, attrape-t-elle ce morceau de chair, qui immédiatement malgré la froideur de l’eau réagit ?
Elle réagit, car il s’agit de sa bite, comme elle a réagi avec Lionnel lorsque j’ai pour la première fois compris ce que le terme « homme » veut dire.
J’ai sucé Tonton bonbons, c’est très naturellement que ma bouche s’avance pour le happer.
Je manque de m’étouffer en commençant à rire, de la pensée qui me vient.
• Marie, pourquoi ris-tu, tu m’as ramené sur terre, nous allons pouvoir faire l’amour.
• Claude, je ris lorsque j’ai vu ton sexe bander, on aurait dit le nez de Pinocchio dans l’histoire que ma mère me lisait et où elle me disait que mon nez s’allongerait si je lui mentais.
• Lorsque j’étais petit, je faisais du football, l’entraineur nous imposait la douche après les entrainements et les matchs.
Mon surnom, c’était justement Pinocchio, j’avais horreur que l’on m’appelle comme ça.
Il y a deux ans, j’ai eu une copine, j’ai réussi à l’emmener dans ma chambre à côté et j’ai sorti ma verge.
Elle s’est sauvée en courant et a raconté aux autres filles de notre âge que j’étais difforme et qu’elle comprenait pourquoi mes copains m’appelaient Pinocchio.
J’arrive à mes dix-huit ans et je voulais perdre ce pucelage qui me pèse tant, veux-tu faire de moi un homme ?
Je le reprends en bouche, je le suce méticuleusement.
J’apprends même à lui sucer les bourses, bien qu’elles entrent facilement, ma bouche étant à la bonne dimension.
Ma main le masturbe, mais vacciné par ce qu’il m’était arrivé avec Tonton, bien qu’avaler son sperme ait été chose facile, je le recrache, me relève et ôte mes vêtements.
• Tu as de jolis seins, je peux à mon tour les sucer !
Tu sais depuis l’âge de 12 ans environ, je regarde des vidéos pornos sur mon portable, j’adore quand les mecs sucent es seins de leur partenaire, surtout des vieilles comme toi.
Je suis à deux doigts de le rembarrer, mais je prends sur moi d’être traitée de vieille. Avoir ce grand machin en moi, tel est le but qui me fait l’essuyer pour rejoindre un endroit où je pourrais écarter mes cuisses pour qu’il vienne en moi.
C’est dans sa chambre contiguë à la salle de bains qu’il m’entraine.
Je tombe sur le lit prêt à le recevoir, c’est lui qui a la présence d’esprit de prendre une capote dans sa table de nuit.
Certainement celle qu’il avait prévu de mettre lorsque sa copine l’a rembarrée.
• Marie, tu peux la mettre avec ta bouche, j’ai souvent vu les filles le faire dans ces vidéos, c’est l’un de mes fantasmes.
Je suis un peu kamikaze, si lui a vu des films, moi pas.
Nous n’avons même pas de portable au couvent, mais après qu’il ait découpé l’étui avec ses dents et placé la capote sur son gland, du mieux que je le peux avec ma langue j’arrive à la dérouler.
Ce travail fait, le remerciant presque de m’avoir protégé, je me laisse aller et je sens son corps venir épouser le mien.
Un regard à mon alliance et cocufiant une nouvelle fois celui à qui j’ai juré fidélité, je le sens entrer, entrer et encore entrer en moi.
Sa bite est longue, longue, longue et je suis profonde, profonde, profonde.
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