COLLECTION LESBIENNE. L’enfant (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNE. L’enfant (1/1)
- Merci mon amour d’avoir dit oui, même si tu as un peu hésité.
Ces normal Carinne, une décision qui engage notre vie c’est naturel de demander un délai de réflexion.
Nous irons en Belgique dès que toutes les formalités seront remplies.
Comme vient de le dire Macha, j’ai fini par accepter.
Je vis avec Macha depuis trois ans.
Trois ans à 28 ans ayant avant papillonné de droite et de gauche dans notre milieu les filles comme moi baisent pour un coup voire deux, une semaine un mois et rarement plus.
C’était le cas pour moi quand j’ai rencontré Macha jolie brune avec des seins à faire damner les saintes du paradis ou plutôt des enfers.
J’étais persuadée comme toutes les fois où je rencontre des filles dans ce bar où les lesbiennes se retrouvent qu’il en aurait été de même.
Je me trompais ça dure et je suis persuadée que ça va durer.
Un point noir, je suis représentante de commerce sur la région centre d’une marque de produit de beauté.
Je tourne dans les parfumeries, centres commerciaux ou autres galeries marchandes.
On me trouve de Clermont Ferrant, jusqu’à Auriac et autres villes voisines.
Trois jours par semaine mardi, mercredi et jeudi je prends ma voiture aux couleurs de ma marque et le soir je suis à l’hôtel à me morfondre même si nous nous disons des mots d’amour pendant une heure avant que je descende au restaurant manger mon menu étape.
Une foi à Vic-sur-cère, j’aurais bien échangé mon escalope censée être Milanaise contre des tripoux dont je raffole.
À ma droite, une autre table ou une belle blonde mange avec son mari me regardant avec insistance.
Même si c’est une femme mariée, avant Macha j’aurais trouvé le moyen de la coincer dans les toilettes quand comme ce soir-là la femme s’est levée a parlé à son mari et a passé la porte des dames.
Je l’ai déjà fait avant, le nombre de femmes susceptibles de nous voir est limité nous étions que deux dans la salle.
Je me suis levée, je l’ai plaqué le long du mur et nos bouches se sont trouvées.
J’ai défait son chignon faisant tomber ses cheveux sur ses épaules et ma main a fait sauter un à un les boutons de son chemisier.
Une fois libre, je les ais sortie de leur cocon et c’est ma bouche avec mes dents qui les ont massacrés.
Sa fraise bandait et dans ma bouche, je me suis permis de la mordre.
Elle a remonté sa main sur sa bouche quand je suis descendue à hauteur de sa chatte et que j’ai soulevé sa jupe de tailleur de bourgeoise mariée.
Je me suis attaqué à son vagin après avoir écarté sa petite culotte rose et rapidement j’ai reçu le fruit de nos débordements si fulgurants.
Je me suis redressée, j’ai réajusté ma tenue et sans un regard pour cette salope qui acceptait de tromper son mari à quelques mètres de lui, je suis sortie.
Le mari regardait sa montre et comme il est resté stoïque quand je suis passé près de lui, je savais qu’aucun soupçon sur ce que nous venions de faire, était monté à son cerveau.
Elle est revenue dix minutes après fraîche comme si elle s’était simplement rafraîchie, le chignon plus que défait tout de même.
Je m’étais remis à ma table pour manger ma crème brûlée et boire mon décaféiné de peur de rester toute la nuit à entendre cette pute se faire tringler dans la chambre voisine au mur épais comme des feuilles de papier à cigarette.
Ce soir, je tourne les yeux fidèles à Macha.
C’est ça l’amour et c’est ça qui vous aide à lui dire oui quand parlant d’enfant et quand parlant de PMA j’accepte que ce soit mon ventre qui le porte.
C’est fait, nos trois enfants sont en moi.
Neuf mois à attendre pour voir si ça a marché.
Ça a été dur, un vrai parcourt du combattant mais quand Macha part auprès de sa maman malade à Royan sans savoir le temps ou elle s'éloigne de moi, c’est elle qui me donne des nouvelles.
Tout va bien, c’est du moins ce que je lui dis chaque soir sauf le matin où me réveillant les draps pleins de sang nos trois bébés disparaissent.
Quand j’ai Macha, elle parle la première, le verdique est tombée, sa maman en a pour quelques semaines et elle décide de rester près d’elle.
Elle travaille mais comme traductrice d’italien pour une maison d’édition et peut travailler depuis chez sa maman.
Le temps passe, j’ai vu Macha ce week-end, c’est moi qui rejoins ma douce.
C’est une voisine qui garde sa maman et c’est dans un hôtel qu’elle m’embrasse le ventre en dormant sa main sur mon ventre.
L’éloignement renforce notre amour même si je sais que je vais la décevoir un jour.
Elle me parle de la maladie, j’évite de lui donner la bonne nouvelle.
Quand je suis en état à nouveau de procréer, une idée bizarre me vient.
Toute ma vie, les verges des garçons m’ont fait horreur, j’ignore d’où vient cette aversion.
Est-ce la vision de mon père lors de mes jeunes années sans pouvoir l’affirmer quand je suis rentrée dans la salle de bain.
Maman était à quatre pattes, mais le temps que la porte me soit claquée au nez, j’ai vu le sexe de mon papa ayant du liquide blanc dégouliné.
Plus tard j’ai su qu’il venait de sexer avec maman oubliant de fermer la porte à clef.
Dans mon cerveau ce machin grand et gros a dû me marquer et je me suis toujours attiré par les femmes papillonnant comme je l’ai dit au début de mon récit.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
Cinq soirs, cinq chambres d’hôtel.
Cinq hommes différents à me faire baiser en levrette pour éviter de voir celui qui me prend.
Une fois, la dernière, je jouis dès qu’il est en moi car il est très jeune et puceau mais malgré ça il est très patient.
Cette jouissance me travaille et j’arrête là mes soirées simplement de sexe pour procréer sans le dire à Macha.
Je suis près d’elle quand elle enterre sa maman.
Officialisant par la même occasion sa préférence pour les femmes.
Je la regarde droit dans les yeux quand je lui dis que ma grossesse se porte bien.
Ma gynécologue hier m’a dit que mon stratagème avait marché.
Je sais il y a eu des semaines entre notre PMA et la naissance de nos faux jumeaux.
Par chance ces deux enfants confirment la pose de nos trois embryons.
Que j’aime Macha quand elle coupe un à un les cordons.
Que j’aime Macha quand le jour de leur baptême, j’épouse mon amour.
Je viens de reprendre mon travail après mes congés parentales.
Je suis au Puy-en-Velay, à la table voisine un homme très bien mis.
Il m’offre à boire un verre au bar de l’hôtel.
J’accepte.
Pour la première fois de ma vie, ma chambre restera comme je l’ai trouvé quand j’ai déposé ma valise.
Le petit a déclenché en moi l’amour des verges et je pense que dans les jours ou semaines prochaines je vais papillonner comme je papillonnais avant Macha qui garde nos enfants tous en travaillant sur ses traductions.
Ces normal Carinne, une décision qui engage notre vie c’est naturel de demander un délai de réflexion.
Nous irons en Belgique dès que toutes les formalités seront remplies.
Comme vient de le dire Macha, j’ai fini par accepter.
Je vis avec Macha depuis trois ans.
Trois ans à 28 ans ayant avant papillonné de droite et de gauche dans notre milieu les filles comme moi baisent pour un coup voire deux, une semaine un mois et rarement plus.
C’était le cas pour moi quand j’ai rencontré Macha jolie brune avec des seins à faire damner les saintes du paradis ou plutôt des enfers.
J’étais persuadée comme toutes les fois où je rencontre des filles dans ce bar où les lesbiennes se retrouvent qu’il en aurait été de même.
Je me trompais ça dure et je suis persuadée que ça va durer.
Un point noir, je suis représentante de commerce sur la région centre d’une marque de produit de beauté.
Je tourne dans les parfumeries, centres commerciaux ou autres galeries marchandes.
On me trouve de Clermont Ferrant, jusqu’à Auriac et autres villes voisines.
Trois jours par semaine mardi, mercredi et jeudi je prends ma voiture aux couleurs de ma marque et le soir je suis à l’hôtel à me morfondre même si nous nous disons des mots d’amour pendant une heure avant que je descende au restaurant manger mon menu étape.
Une foi à Vic-sur-cère, j’aurais bien échangé mon escalope censée être Milanaise contre des tripoux dont je raffole.
À ma droite, une autre table ou une belle blonde mange avec son mari me regardant avec insistance.
Même si c’est une femme mariée, avant Macha j’aurais trouvé le moyen de la coincer dans les toilettes quand comme ce soir-là la femme s’est levée a parlé à son mari et a passé la porte des dames.
Je l’ai déjà fait avant, le nombre de femmes susceptibles de nous voir est limité nous étions que deux dans la salle.
Je me suis levée, je l’ai plaqué le long du mur et nos bouches se sont trouvées.
J’ai défait son chignon faisant tomber ses cheveux sur ses épaules et ma main a fait sauter un à un les boutons de son chemisier.
Une fois libre, je les ais sortie de leur cocon et c’est ma bouche avec mes dents qui les ont massacrés.
Sa fraise bandait et dans ma bouche, je me suis permis de la mordre.
Elle a remonté sa main sur sa bouche quand je suis descendue à hauteur de sa chatte et que j’ai soulevé sa jupe de tailleur de bourgeoise mariée.
Je me suis attaqué à son vagin après avoir écarté sa petite culotte rose et rapidement j’ai reçu le fruit de nos débordements si fulgurants.
Je me suis redressée, j’ai réajusté ma tenue et sans un regard pour cette salope qui acceptait de tromper son mari à quelques mètres de lui, je suis sortie.
Le mari regardait sa montre et comme il est resté stoïque quand je suis passé près de lui, je savais qu’aucun soupçon sur ce que nous venions de faire, était monté à son cerveau.
Elle est revenue dix minutes après fraîche comme si elle s’était simplement rafraîchie, le chignon plus que défait tout de même.
Je m’étais remis à ma table pour manger ma crème brûlée et boire mon décaféiné de peur de rester toute la nuit à entendre cette pute se faire tringler dans la chambre voisine au mur épais comme des feuilles de papier à cigarette.
Ce soir, je tourne les yeux fidèles à Macha.
C’est ça l’amour et c’est ça qui vous aide à lui dire oui quand parlant d’enfant et quand parlant de PMA j’accepte que ce soit mon ventre qui le porte.
C’est fait, nos trois enfants sont en moi.
Neuf mois à attendre pour voir si ça a marché.
Ça a été dur, un vrai parcourt du combattant mais quand Macha part auprès de sa maman malade à Royan sans savoir le temps ou elle s'éloigne de moi, c’est elle qui me donne des nouvelles.
Tout va bien, c’est du moins ce que je lui dis chaque soir sauf le matin où me réveillant les draps pleins de sang nos trois bébés disparaissent.
Quand j’ai Macha, elle parle la première, le verdique est tombée, sa maman en a pour quelques semaines et elle décide de rester près d’elle.
Elle travaille mais comme traductrice d’italien pour une maison d’édition et peut travailler depuis chez sa maman.
Le temps passe, j’ai vu Macha ce week-end, c’est moi qui rejoins ma douce.
C’est une voisine qui garde sa maman et c’est dans un hôtel qu’elle m’embrasse le ventre en dormant sa main sur mon ventre.
L’éloignement renforce notre amour même si je sais que je vais la décevoir un jour.
Elle me parle de la maladie, j’évite de lui donner la bonne nouvelle.
Quand je suis en état à nouveau de procréer, une idée bizarre me vient.
Toute ma vie, les verges des garçons m’ont fait horreur, j’ignore d’où vient cette aversion.
Est-ce la vision de mon père lors de mes jeunes années sans pouvoir l’affirmer quand je suis rentrée dans la salle de bain.
Maman était à quatre pattes, mais le temps que la porte me soit claquée au nez, j’ai vu le sexe de mon papa ayant du liquide blanc dégouliné.
Plus tard j’ai su qu’il venait de sexer avec maman oubliant de fermer la porte à clef.
Dans mon cerveau ce machin grand et gros a dû me marquer et je me suis toujours attiré par les femmes papillonnant comme je l’ai dit au début de mon récit.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
- Bonjour monsieur.
- Au revoir monsieur.
Cinq soirs, cinq chambres d’hôtel.
Cinq hommes différents à me faire baiser en levrette pour éviter de voir celui qui me prend.
Une fois, la dernière, je jouis dès qu’il est en moi car il est très jeune et puceau mais malgré ça il est très patient.
Cette jouissance me travaille et j’arrête là mes soirées simplement de sexe pour procréer sans le dire à Macha.
Je suis près d’elle quand elle enterre sa maman.
Officialisant par la même occasion sa préférence pour les femmes.
Je la regarde droit dans les yeux quand je lui dis que ma grossesse se porte bien.
Ma gynécologue hier m’a dit que mon stratagème avait marché.
Je sais il y a eu des semaines entre notre PMA et la naissance de nos faux jumeaux.
Par chance ces deux enfants confirment la pose de nos trois embryons.
Que j’aime Macha quand elle coupe un à un les cordons.
Que j’aime Macha quand le jour de leur baptême, j’épouse mon amour.
Je viens de reprendre mon travail après mes congés parentales.
Je suis au Puy-en-Velay, à la table voisine un homme très bien mis.
Il m’offre à boire un verre au bar de l’hôtel.
J’accepte.
Pour la première fois de ma vie, ma chambre restera comme je l’ai trouvé quand j’ai déposé ma valise.
Le petit a déclenché en moi l’amour des verges et je pense que dans les jours ou semaines prochaines je vais papillonner comme je papillonnais avant Macha qui garde nos enfants tous en travaillant sur ses traductions.
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