COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (2/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION LESBIENNES. Ma belle-sœur me dévoile ma bisexuelle (2/7)
- Seule ma mère le savait, je suis coiffeuse et lesbienne ma chère Claudia, si tu le désir, je vais te montrer ce que je fais à ma clientèle.
Je crois que Claudia souhaite me faire passer un message, lequel, en attendant de tout comprendre, sa langue prenant possession de mon clito, je sens le début d’une jouissance bien plus forte qu’à l’ordinaire monter en moi.
Suis-je moi aussi une lesbienne ?
C’est la question qui me vient au cerveau quand Claudia contre toute attente met sa langue sur mon clitoris.
Je suis surprise, mais ça a été si soudain que je suis subjuguée.
L’isolement de notre chambre et de savoir que mes enfants sont loin à cette heure me rend entièrement dépendante de ma belle-sœur.
Quand souplement elle se retrouve au-dessus de moi, c’est ma propre langue qui plonge vers sa bite.
Qu’est-ce que je dis ?
Sa bite, non, son clitoris que je n’avais pas vu mais qui est proéminent et ressemble à une petite bite.
Je sens une seconde mon clito et ma fente béante abandonnés.
- Suce mon clito Josy, je vais t’expliquer.
Je suce, je lèche, je me fais sucer, je me fais lécher.
Je jouis surtout quand ses doigts pénètrent en moi.
Elle jouit quand mes doigts pénètrent en elle.
La chaleur commence à monter, je suis en eau, elle est en eau.
Nous nous lovons tout de même dans les bras l’une de l’autre.
Le temps de reprendre notre souffle et elle s’épanche.
- Josy, tu viens de voir ma particularité physique, mon clitoris.
On dirait un petit sexe, quand je suis née, j’ai été à deux doigts d’être déclaré garçon.
Il n’en fut rien, je suis bien fille.
- Je comprends, ça t’a traumatisé.
- Pas du tout, comme je te l’aie dit ma clientèle aime.
Tu verras j’arriverais même à te le mettre dans ton vagin et te faire jouir comme ton mâle le ferait.
- Ça fait deux fois que tu parles de ta clientèle, de quoi veux-tu me parler.
- J’ai plusieurs métiers, formation de coiffeuse, j’ai toujours été l’affreux petit canard de notre famille.
Nul en math, j’ai bien essayé la compta, mais c’était pire.
J’ai fait l’école de coiffures et j’étais doué.
C’était dans les moments où j’ai assuré que j’étais lesbienne.
Maman seule le savait, Jacques lui ne l’a jamais su.
Quand tu as épousé mon frère et que tu lui as donné des petits enfants, surtout Benoît ton fils qui perpétue son nom, il a arrêté de me faire chier pour que je me marie.
- Coiffeuse, je le vois dans cette grande glace, même si nos ébats ont un peu dérangé la coiffure que tu m’as faite.
Donc tu fais autre chose.
- Je rase et je taille des chattes.
- Ça aussi j’ai vu.
- Et tu as eu ce que je fais avec ma langue à certaines de mes clientes pour de jolies sommes d’argent.
- Tu te gouines pour du fric, tu es une pute.
- Exact, ça me paye mon train de vie.
Si tu savais le nombre de bourges refoulées à Paris qui sont lesbiennes mais mariées pour plaire à leurs parents.
Si leurs familles connaissaient leur penchant, elles perdraient toutes estimes.
Elles se sont mariées, ont eu des enfants, mais je sais leur faire découvrir leurs penchants sexuels.
La première fois, c’est gratis, mais dès la deuxième fois elles raquent.
- Si je comprends bien cette fois c’était gratuit, mais si nous recommençons je devrais raquer comme tu dis.
- Mon cœur, depuis que tu es avec mon frère, je kiffe pour toi.
- Tu as vu que j’étais lesbienne.
- Non, tu fais partie des femmes bi-sexuelles qui peuvent aimer la bite d’un garçon ou la langue d’une fille.
Elle aussi je les renifle.
Pour elle, c’est du pareil au même pour toi ce sera gratuit, je te dis je t’ai kiffé et tu es ma belle-sœur.
Je crois qu’il faut en rester là, j’entends des cris d’enfants, jusqu’à ce soir notre quiétude est terminée.
Nous nous donnons un dernier baisé, celant notre pacte d’amour, je lui montre par ce baiser que je suis prête à la suivre dans ces jeux lesbiens.
- Maman, comme tu es belle, papy nous a fait faire du manège.
- Vous avez été à luna-park, ils sont déjà ouverts.
- Non Josy, c’est dans le centre commercial qu’il y a des hélicoptères, des chevaux et même une vache.
- Oui maman j’ai piloté un hélicoptère, je sais très bien faire, c’est normal, je rentre à la grande école à la rentrée.
Lola restera à la maternelle, c’est un bébé, elle n’est capable que de monter sur la vache.
Je suis toujours émoustillée de ce que je viens de faire et surtout ce que j’ai aimé faire trompant par là même mon mari avec sa sœur.
- Si vous voulez aller à la plage, je ne vous entends plus, sinon c’est sieste jusqu’à ce soir.
Ça calme tout le monde, nous mangeons tranquillement sauf pur une histoire de pain, vite calmé.
Nous allons les coucher, surtout ici avec la chaleur, simplement recouverts d’un petit slip.
Jacques se met dans son transat à l’ombre, très près de la fenêtre qui donne dans notre chambre.
Nous nous allongeons toutes les deux entièrement nues.
Claudia me prend dans ses bras et se contente d’un gros baisé avant que nous aussi nous sombrions dans un profond sommeil.
- À la plage.
- Ouais, maman, j’ai ma bouée.
- Tu vois que tu es un bébé, je sais nager.
- Et ta sœur apprendra cette année, arrête de l’ennuyer, tu vas rester au piquet jusqu’à notre retour.
J’ai remis mon une pièce, c’est demain que nous irons à notre tour faire des courses, beau-papa a tout prévu pour deux jours pour les repas.
- Ou vas-tu Josy ?
- Sur le sable à gauche.
- Hors de question, les enfants prenez le chemin à droite.
- Regarde ce panneau Claudia, il est marqué « Plage naturiste ».
- Et alors, qu’est-ce que cela fait ?
- Je me vois mal m’exhiber nue surtout devant mes enfants.
- Les enfants et la nudité, allons-y il est hors de question que la moindre trace de maillot ne marque mon corps.
Tu vas voir comme ils vont aimer batifoler dans l’eau comme tu les as mis au monde.
Elle me fera tout faire, sur la plage réservée au naturiste, plusieurs familles avec des enfants tous à poils il va de soi.
Je dépose les jouets des enfants, j’installe ma serviette, je m’assieds reculant le moment d’enlever mon maillot.
Célia enlève ceux de mes enfants.
- Allez jouer dans l’eau, regarder les petits copains que vous allez vous faire, on vous surveille.
Benoît semble ne pas se poser de questions encore moins Lola et en moins de temps qu’il le faut, je les vois s’envoyer de l’eau avec deux garçons et une autre fille de leur âge.
Sans aucune pudeur, ma belle-sœur défait le paréo qu’elle a noué autour de ses seins, elle savait ou elle venait elle est nue.
- Alors grosse bêtasse regarde tes enfants, j’avais raison, ouste enlève cette mocheté digne des années 60.
Je me lève pendant qu’elle s’allonge sur le paréo qu’elle a étalé et s’installe, les bras repliés sous elles, les jambes elles aussi repliés.
J’ai une vue panoramique sur son sexe épilé et ce clitoris que j’ai aimé sucer.
Comment lorsqu’elle était nue la première fois ne l’ai-je pas vue, je devais refuser de regarder l’intimité d’une autre femme.
Maillot enlevé, je m’empresse de m’allonger me retournant sur le ventre montrant mes fesses au soleil et aux deux hommes aussi nus que je le suis qui remontent la plage semblant chercher leurs proies.
- Passez votre chemin bellâtre, ma minette n’est pas pour vous.
Je vais te faire une confidence Josy, aucun homme ne m’a pénétré à mon âge.
- Tu es vierge.
- Par le Zodiac oui, mais par des godes et des fistages avec mes clientes non.
- Tu te sers de gode.
- Oui, j’en ai dans ma valise.
- Je parie que le terme fist t’es inconnu !
- Tu penses vrai.
- Les femmes chez qui je vais pour les satisfaire contre rétribution aiment de nombreux jeux pervers.
Le fiste en fait parti.
Je les caresse avec mes doigts que j’ai enduits d’huile spéciale et j’entre toute ma main dans leur vagin poignet compris.
- Quoi !
- Elles en font de même avec moi, je te ferais voir ça ce soir.
- Quoi !
- Tu ne vas pas mourir idiote avec tes deux accouchements naturels, je suis sûr que tu es assez large pour te faire fister.
Jusqu’à ou vais-je me laisser faire par ma belle-sœur…
Je crois que Claudia souhaite me faire passer un message, lequel, en attendant de tout comprendre, sa langue prenant possession de mon clito, je sens le début d’une jouissance bien plus forte qu’à l’ordinaire monter en moi.
Suis-je moi aussi une lesbienne ?
C’est la question qui me vient au cerveau quand Claudia contre toute attente met sa langue sur mon clitoris.
Je suis surprise, mais ça a été si soudain que je suis subjuguée.
L’isolement de notre chambre et de savoir que mes enfants sont loin à cette heure me rend entièrement dépendante de ma belle-sœur.
Quand souplement elle se retrouve au-dessus de moi, c’est ma propre langue qui plonge vers sa bite.
Qu’est-ce que je dis ?
Sa bite, non, son clitoris que je n’avais pas vu mais qui est proéminent et ressemble à une petite bite.
Je sens une seconde mon clito et ma fente béante abandonnés.
- Suce mon clito Josy, je vais t’expliquer.
Je suce, je lèche, je me fais sucer, je me fais lécher.
Je jouis surtout quand ses doigts pénètrent en moi.
Elle jouit quand mes doigts pénètrent en elle.
La chaleur commence à monter, je suis en eau, elle est en eau.
Nous nous lovons tout de même dans les bras l’une de l’autre.
Le temps de reprendre notre souffle et elle s’épanche.
- Josy, tu viens de voir ma particularité physique, mon clitoris.
On dirait un petit sexe, quand je suis née, j’ai été à deux doigts d’être déclaré garçon.
Il n’en fut rien, je suis bien fille.
- Je comprends, ça t’a traumatisé.
- Pas du tout, comme je te l’aie dit ma clientèle aime.
Tu verras j’arriverais même à te le mettre dans ton vagin et te faire jouir comme ton mâle le ferait.
- Ça fait deux fois que tu parles de ta clientèle, de quoi veux-tu me parler.
- J’ai plusieurs métiers, formation de coiffeuse, j’ai toujours été l’affreux petit canard de notre famille.
Nul en math, j’ai bien essayé la compta, mais c’était pire.
J’ai fait l’école de coiffures et j’étais doué.
C’était dans les moments où j’ai assuré que j’étais lesbienne.
Maman seule le savait, Jacques lui ne l’a jamais su.
Quand tu as épousé mon frère et que tu lui as donné des petits enfants, surtout Benoît ton fils qui perpétue son nom, il a arrêté de me faire chier pour que je me marie.
- Coiffeuse, je le vois dans cette grande glace, même si nos ébats ont un peu dérangé la coiffure que tu m’as faite.
Donc tu fais autre chose.
- Je rase et je taille des chattes.
- Ça aussi j’ai vu.
- Et tu as eu ce que je fais avec ma langue à certaines de mes clientes pour de jolies sommes d’argent.
- Tu te gouines pour du fric, tu es une pute.
- Exact, ça me paye mon train de vie.
Si tu savais le nombre de bourges refoulées à Paris qui sont lesbiennes mais mariées pour plaire à leurs parents.
Si leurs familles connaissaient leur penchant, elles perdraient toutes estimes.
Elles se sont mariées, ont eu des enfants, mais je sais leur faire découvrir leurs penchants sexuels.
La première fois, c’est gratis, mais dès la deuxième fois elles raquent.
- Si je comprends bien cette fois c’était gratuit, mais si nous recommençons je devrais raquer comme tu dis.
- Mon cœur, depuis que tu es avec mon frère, je kiffe pour toi.
- Tu as vu que j’étais lesbienne.
- Non, tu fais partie des femmes bi-sexuelles qui peuvent aimer la bite d’un garçon ou la langue d’une fille.
Elle aussi je les renifle.
Pour elle, c’est du pareil au même pour toi ce sera gratuit, je te dis je t’ai kiffé et tu es ma belle-sœur.
Je crois qu’il faut en rester là, j’entends des cris d’enfants, jusqu’à ce soir notre quiétude est terminée.
Nous nous donnons un dernier baisé, celant notre pacte d’amour, je lui montre par ce baiser que je suis prête à la suivre dans ces jeux lesbiens.
- Maman, comme tu es belle, papy nous a fait faire du manège.
- Vous avez été à luna-park, ils sont déjà ouverts.
- Non Josy, c’est dans le centre commercial qu’il y a des hélicoptères, des chevaux et même une vache.
- Oui maman j’ai piloté un hélicoptère, je sais très bien faire, c’est normal, je rentre à la grande école à la rentrée.
Lola restera à la maternelle, c’est un bébé, elle n’est capable que de monter sur la vache.
Je suis toujours émoustillée de ce que je viens de faire et surtout ce que j’ai aimé faire trompant par là même mon mari avec sa sœur.
- Si vous voulez aller à la plage, je ne vous entends plus, sinon c’est sieste jusqu’à ce soir.
Ça calme tout le monde, nous mangeons tranquillement sauf pur une histoire de pain, vite calmé.
Nous allons les coucher, surtout ici avec la chaleur, simplement recouverts d’un petit slip.
Jacques se met dans son transat à l’ombre, très près de la fenêtre qui donne dans notre chambre.
Nous nous allongeons toutes les deux entièrement nues.
Claudia me prend dans ses bras et se contente d’un gros baisé avant que nous aussi nous sombrions dans un profond sommeil.
- À la plage.
- Ouais, maman, j’ai ma bouée.
- Tu vois que tu es un bébé, je sais nager.
- Et ta sœur apprendra cette année, arrête de l’ennuyer, tu vas rester au piquet jusqu’à notre retour.
J’ai remis mon une pièce, c’est demain que nous irons à notre tour faire des courses, beau-papa a tout prévu pour deux jours pour les repas.
- Ou vas-tu Josy ?
- Sur le sable à gauche.
- Hors de question, les enfants prenez le chemin à droite.
- Regarde ce panneau Claudia, il est marqué « Plage naturiste ».
- Et alors, qu’est-ce que cela fait ?
- Je me vois mal m’exhiber nue surtout devant mes enfants.
- Les enfants et la nudité, allons-y il est hors de question que la moindre trace de maillot ne marque mon corps.
Tu vas voir comme ils vont aimer batifoler dans l’eau comme tu les as mis au monde.
Elle me fera tout faire, sur la plage réservée au naturiste, plusieurs familles avec des enfants tous à poils il va de soi.
Je dépose les jouets des enfants, j’installe ma serviette, je m’assieds reculant le moment d’enlever mon maillot.
Célia enlève ceux de mes enfants.
- Allez jouer dans l’eau, regarder les petits copains que vous allez vous faire, on vous surveille.
Benoît semble ne pas se poser de questions encore moins Lola et en moins de temps qu’il le faut, je les vois s’envoyer de l’eau avec deux garçons et une autre fille de leur âge.
Sans aucune pudeur, ma belle-sœur défait le paréo qu’elle a noué autour de ses seins, elle savait ou elle venait elle est nue.
- Alors grosse bêtasse regarde tes enfants, j’avais raison, ouste enlève cette mocheté digne des années 60.
Je me lève pendant qu’elle s’allonge sur le paréo qu’elle a étalé et s’installe, les bras repliés sous elles, les jambes elles aussi repliés.
J’ai une vue panoramique sur son sexe épilé et ce clitoris que j’ai aimé sucer.
Comment lorsqu’elle était nue la première fois ne l’ai-je pas vue, je devais refuser de regarder l’intimité d’une autre femme.
Maillot enlevé, je m’empresse de m’allonger me retournant sur le ventre montrant mes fesses au soleil et aux deux hommes aussi nus que je le suis qui remontent la plage semblant chercher leurs proies.
- Passez votre chemin bellâtre, ma minette n’est pas pour vous.
Je vais te faire une confidence Josy, aucun homme ne m’a pénétré à mon âge.
- Tu es vierge.
- Par le Zodiac oui, mais par des godes et des fistages avec mes clientes non.
- Tu te sers de gode.
- Oui, j’en ai dans ma valise.
- Je parie que le terme fist t’es inconnu !
- Tu penses vrai.
- Les femmes chez qui je vais pour les satisfaire contre rétribution aiment de nombreux jeux pervers.
Le fiste en fait parti.
Je les caresse avec mes doigts que j’ai enduits d’huile spéciale et j’entre toute ma main dans leur vagin poignet compris.
- Quoi !
- Elles en font de même avec moi, je te ferais voir ça ce soir.
- Quoi !
- Tu ne vas pas mourir idiote avec tes deux accouchements naturels, je suis sûr que tu es assez large pour te faire fister.
Jusqu’à ou vais-je me laisser faire par ma belle-sœur…
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