COLLECTION LESBIENNES. Ma robe de mariée (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION LESBIENNES. Ma robe de mariée (1/1)
Après ma rencontre avec Bastian et le serment d’amour que nous nous sommes faits, j’entre dans la boutique où pour la première fois, je vais essayer ma robe de mariée.
Notre mariage est prévu pour dans six mois en juin alors que nous sommes dans les froidures de janvier.
Bastian et moi nous nous connaissons depuis l’âge d’un an.
Quand il m’a demandé en mariage, j’ai été la plus heureuse des jeunes filles.
Jeune fille, pucelle qui lui promet d’être à lui le soir de nos noces.
Je suis peut-être vieille école, mais si j’ai su attendre 22 ans pourquoi précipiter les choses, le temps passant si vite.
Par chance Bastian a reçu la même éducation que moi et à 23 ans il est encore puceau.
Dans cette boutique choisie non loin de chez moi, j’échappe à la robe de mariée standard de grande série, c’est un modèle unique que je vais acheter.
Certes elle est plus chère, mais ce modèle exclusif pour cette journée unique vaut bien ce petit sacrifice.
La propriétaire de cette boutique est la créatrice qui dessine ses modèles suivant les critères que je définis avec sa vendeuse qui me fait essayer des formes différentes afin d’établir une première ligne de ce que je souhaite.
- Bonjour madame, je m’appelle Noémi, j’ai pris rendez-vous par téléphone pour un premier contact.
- Oui, je vais fermer la porte du magasin, car quand nous faisons des essayages avec les clientes afin de définir la robe que vous souhaitez, les critères doivent être pensés sans que l’on soit dérangé.
Pour commencer, je me présente je m’appelle Geneviève et nous serons tranquilles, doublement, Gaétan mon patron est absent jusqu’en fin de soirée.
- Merci Geneviève, appelez-moi Noémi, je sens que le courant passe entre nous et que vous allez être de bon conseil pour le choix que je souhaite en vue de la plus belle journée de ma vie.
- Pour commencer venez dans le salon d’essayage où j’ai tout ce qu’il faut pour définir votre premier choix.
Je la suis dans la pièce voisine, pour la première fois de ma vie, je me surprends à regarder le roulé de ses hanches qu’accentuent ses talons aiguilles.
- Pour commencer, Noémi déshabillez-vous, il sera difficile de faire ces essayages emmitouflés dans vos vêtements d’hiver.
Je fais tomber mon manteau, ma grosse écharpe pour lui apparaître dans le type de vêtements que j’affectionne jeune et légèrement sport.
- Bien, je vois votre style, je vais définir avec vous, les premières base de ce que vous aimeriez porter pour être la plus belle dans cette journée qui doit rester inoubliable.
Cela sera facile, vous avez une silhouette qui m’inspire déjà.
- Au premier regard, tu vois ce qui va me plaire ?
- Tu sais, je suis ici depuis quelques jours, mais j’ai vendu tellement de robe de mariée que neuf fois sur dix, j’arrive à déterminer ce qui va te plaire d’un simple regard !
Sans nous en rendre compte nous sommes passés du vous au tu, de façon si naturelle que nous continuons sans nous en offusquer.
- Enlève toutes tes affaires garde seulement ta petite culotte.
- Et mon soutien-gorge ?
- Tu vas essayer des robes qui se portent sans alors mets-toi à l’aise, nous sommes entre filles.
C’est la première fois que je me retrouve presque dans la tenue d’Éve devant une autre femme depuis que je suis majeure, j’en suis un peu troublée.
- Tes chaussures vont me poser un problème pour faire mon choix.
Je vais te prêter des talons aiguilles, je pense que tu fais du 38, je veux voir comment tu te déplaces.
Ces chaussures je peux te les vendre.
- Je vais tomber.
- Je vais t’aider au début, pour ce grand jour, il te sera impossible d’avoir des talons plats, tu vas t’habituer.
Dit donc on t’a déjà dit que tes seins sont magnifiques, forme de poire et téton de fraise, ton copain doit en raffoler, tu es une corbeille de fruits à toi toute seule.
- Pas du tout, il les verra le soir de nos noces.
- Je peux les caresser, je raffole des poires et des fraises.
Comment refuser à cette belle femme ce plaisir qui ne me coûte rien surtout qu’au moment où je passe vers elle, je me tords la cheville et arrive dans ses bras ?
Le cri que je pousse lui fait comprendre que je me suis fait mal alors elle me conduit sur le sofa qui garnit la pièce, ce qui permet de reposer ma cheville.
- Viens que je te masse, il faut éviter le gonflement, dommage que je n’aie pas de glace.
Mon pied dans sa main, elle me masse montant de plus en plus haut sans qu’à aucun moment, je ne l’arrête.
- C’est bon Geneviève !
Son nom est marqué sur un badge à son revers.
- C’est bon, que je te masse, veux-tu que je m’arrête.
- Surtout pas, c’est trop bon.
Avec mon accord sa main gagne les centimètres pour finir au bord de mon intimité qui commence à me chauffer.
Je me caresse quelquefois, mais rarement, trouvant ces pratiques dégradantes.
Je suis née dans une famille très rigoriste et mes parents m’ont éduqué avec de nombreux interdits.
J’ai retrouvé un peu de souplesse quand je suis venue à Paris pour travailler dans une banque où un jour, j’ai rencontré Bastian.
La main de Geneviève s’insinue négligemment par le côté de ma petite culotte, elle va jusqu’à venir toucher la petite excroissance que j’ai en haut de mes grandes lèvres et qui est très sensible quand on la touche.
Pas plus tard qu’il y a deux jours j’ai été chez ma gynéco qui a été surprise de me trouver toujours vierge à mon âge, sans en avoir l’air son doigt ganté l’a touché me faisant frisonner.
C’est comme cela que j’ai appris que cette excroissance s’appelait un clitoris, nunuche que j’étais, je l’ignorais.
« Votre clitoris réagit bien, vous devez prendre beaucoup de plaisirs en vous caressant. »
J’ai failli lui dire que je refusais ce genre de conversation, mais comme elle en est restée là, le problème a été réglé.
- Noémi, laisse-moi prendre ton clito dans ma bouche, j’aimerais te faire jouir, attends avant, moi aussi je vais me dénuder.
Je suis tellement soufflé de l’impudeur de Geneviève que je la regarde et après qu’elle se fut déshabillée, replongeant sa tête en moi, après avoir écarté le bord de mon sous-vêtement elle me l’aspire.
Si jouir est-ce qui m’arrive, je jouis mon corps pour la première fois monte au-dessus de mon esprit, volant jusqu’à ce que certains appellent le septième ciel, je le découvre.
- Ma chérie, tu restes passive, j’aime qu’une femme soit active, mettons-nous en position de 69.
69, à part le département, j’ai du mal à comprendre ce qu’elle veut, aussi quand elle m’attire hors du sofa pour me faire glisser vers elle, je réagis le nombre 69 semble dire être tête-bêche.
Je suis fière d’avoir trouvé seule évitant de montrer à mon amie quelle cruche, je suis dans les jeux de l’amour.
J’ignore le goût de ma chatte, mais celle que je suce est d’un goût un peu fade, mais dégoulinant d’un liquide qui me permet de lui faire pénétrer ma langue comme elle le fait avec la sienne.
Ces cuisses enserrent ma tête et j’ai du mal à respirer, mais le cri que je pousse quand mon corps s’éclate une nouvelle fois me fait sortir la tête du berceau qui l’enserre et je récupère un grand bol d’air avant de replonger.
- As-tu aimé ?
- Oh ! oui, c'est la première fois.
- Je m’en étais aperçu, tu étais touchante dans ton envie de me donner et te donner du plaisir.
- C’est la bonne heure là sur ta pendule.
- Le temps a filé.
- J’ai un rendez-vous.
- Revient demain si tu le peux !
- Oh ! oui, je suis en vacances.
Je reviens le lendemain, le surlendemain.
Je n’ai pas eu besoin de faire un dernier essayage de ma robe.
La créatrice a refusé de doubler son modèle par superstition.
Elle a apporté un détail qui pour elle fait le modèle unique.
Une petite rose jaune sur celle de Geneviève, rose pour moi.
Nous avons essayé nos robes chacune dans une pièce différente de l’appartement que nous avons choisie ensemble pour vivre.
Mariage il y aura, mais après que j’ai rendu sa bague à Bastian et que nous nous en soyons offerte avant dans trois jours nous échanger nos alliances.
J’ai trouvé ma route et ma moitié, je sais que je vais vivre heureuse.
Notre mariage est prévu pour dans six mois en juin alors que nous sommes dans les froidures de janvier.
Bastian et moi nous nous connaissons depuis l’âge d’un an.
Quand il m’a demandé en mariage, j’ai été la plus heureuse des jeunes filles.
Jeune fille, pucelle qui lui promet d’être à lui le soir de nos noces.
Je suis peut-être vieille école, mais si j’ai su attendre 22 ans pourquoi précipiter les choses, le temps passant si vite.
Par chance Bastian a reçu la même éducation que moi et à 23 ans il est encore puceau.
Dans cette boutique choisie non loin de chez moi, j’échappe à la robe de mariée standard de grande série, c’est un modèle unique que je vais acheter.
Certes elle est plus chère, mais ce modèle exclusif pour cette journée unique vaut bien ce petit sacrifice.
La propriétaire de cette boutique est la créatrice qui dessine ses modèles suivant les critères que je définis avec sa vendeuse qui me fait essayer des formes différentes afin d’établir une première ligne de ce que je souhaite.
- Bonjour madame, je m’appelle Noémi, j’ai pris rendez-vous par téléphone pour un premier contact.
- Oui, je vais fermer la porte du magasin, car quand nous faisons des essayages avec les clientes afin de définir la robe que vous souhaitez, les critères doivent être pensés sans que l’on soit dérangé.
Pour commencer, je me présente je m’appelle Geneviève et nous serons tranquilles, doublement, Gaétan mon patron est absent jusqu’en fin de soirée.
- Merci Geneviève, appelez-moi Noémi, je sens que le courant passe entre nous et que vous allez être de bon conseil pour le choix que je souhaite en vue de la plus belle journée de ma vie.
- Pour commencer venez dans le salon d’essayage où j’ai tout ce qu’il faut pour définir votre premier choix.
Je la suis dans la pièce voisine, pour la première fois de ma vie, je me surprends à regarder le roulé de ses hanches qu’accentuent ses talons aiguilles.
- Pour commencer, Noémi déshabillez-vous, il sera difficile de faire ces essayages emmitouflés dans vos vêtements d’hiver.
Je fais tomber mon manteau, ma grosse écharpe pour lui apparaître dans le type de vêtements que j’affectionne jeune et légèrement sport.
- Bien, je vois votre style, je vais définir avec vous, les premières base de ce que vous aimeriez porter pour être la plus belle dans cette journée qui doit rester inoubliable.
Cela sera facile, vous avez une silhouette qui m’inspire déjà.
- Au premier regard, tu vois ce qui va me plaire ?
- Tu sais, je suis ici depuis quelques jours, mais j’ai vendu tellement de robe de mariée que neuf fois sur dix, j’arrive à déterminer ce qui va te plaire d’un simple regard !
Sans nous en rendre compte nous sommes passés du vous au tu, de façon si naturelle que nous continuons sans nous en offusquer.
- Enlève toutes tes affaires garde seulement ta petite culotte.
- Et mon soutien-gorge ?
- Tu vas essayer des robes qui se portent sans alors mets-toi à l’aise, nous sommes entre filles.
C’est la première fois que je me retrouve presque dans la tenue d’Éve devant une autre femme depuis que je suis majeure, j’en suis un peu troublée.
- Tes chaussures vont me poser un problème pour faire mon choix.
Je vais te prêter des talons aiguilles, je pense que tu fais du 38, je veux voir comment tu te déplaces.
Ces chaussures je peux te les vendre.
- Je vais tomber.
- Je vais t’aider au début, pour ce grand jour, il te sera impossible d’avoir des talons plats, tu vas t’habituer.
Dit donc on t’a déjà dit que tes seins sont magnifiques, forme de poire et téton de fraise, ton copain doit en raffoler, tu es une corbeille de fruits à toi toute seule.
- Pas du tout, il les verra le soir de nos noces.
- Je peux les caresser, je raffole des poires et des fraises.
Comment refuser à cette belle femme ce plaisir qui ne me coûte rien surtout qu’au moment où je passe vers elle, je me tords la cheville et arrive dans ses bras ?
Le cri que je pousse lui fait comprendre que je me suis fait mal alors elle me conduit sur le sofa qui garnit la pièce, ce qui permet de reposer ma cheville.
- Viens que je te masse, il faut éviter le gonflement, dommage que je n’aie pas de glace.
Mon pied dans sa main, elle me masse montant de plus en plus haut sans qu’à aucun moment, je ne l’arrête.
- C’est bon Geneviève !
Son nom est marqué sur un badge à son revers.
- C’est bon, que je te masse, veux-tu que je m’arrête.
- Surtout pas, c’est trop bon.
Avec mon accord sa main gagne les centimètres pour finir au bord de mon intimité qui commence à me chauffer.
Je me caresse quelquefois, mais rarement, trouvant ces pratiques dégradantes.
Je suis née dans une famille très rigoriste et mes parents m’ont éduqué avec de nombreux interdits.
J’ai retrouvé un peu de souplesse quand je suis venue à Paris pour travailler dans une banque où un jour, j’ai rencontré Bastian.
La main de Geneviève s’insinue négligemment par le côté de ma petite culotte, elle va jusqu’à venir toucher la petite excroissance que j’ai en haut de mes grandes lèvres et qui est très sensible quand on la touche.
Pas plus tard qu’il y a deux jours j’ai été chez ma gynéco qui a été surprise de me trouver toujours vierge à mon âge, sans en avoir l’air son doigt ganté l’a touché me faisant frisonner.
C’est comme cela que j’ai appris que cette excroissance s’appelait un clitoris, nunuche que j’étais, je l’ignorais.
« Votre clitoris réagit bien, vous devez prendre beaucoup de plaisirs en vous caressant. »
J’ai failli lui dire que je refusais ce genre de conversation, mais comme elle en est restée là, le problème a été réglé.
- Noémi, laisse-moi prendre ton clito dans ma bouche, j’aimerais te faire jouir, attends avant, moi aussi je vais me dénuder.
Je suis tellement soufflé de l’impudeur de Geneviève que je la regarde et après qu’elle se fut déshabillée, replongeant sa tête en moi, après avoir écarté le bord de mon sous-vêtement elle me l’aspire.
Si jouir est-ce qui m’arrive, je jouis mon corps pour la première fois monte au-dessus de mon esprit, volant jusqu’à ce que certains appellent le septième ciel, je le découvre.
- Ma chérie, tu restes passive, j’aime qu’une femme soit active, mettons-nous en position de 69.
69, à part le département, j’ai du mal à comprendre ce qu’elle veut, aussi quand elle m’attire hors du sofa pour me faire glisser vers elle, je réagis le nombre 69 semble dire être tête-bêche.
Je suis fière d’avoir trouvé seule évitant de montrer à mon amie quelle cruche, je suis dans les jeux de l’amour.
J’ignore le goût de ma chatte, mais celle que je suce est d’un goût un peu fade, mais dégoulinant d’un liquide qui me permet de lui faire pénétrer ma langue comme elle le fait avec la sienne.
Ces cuisses enserrent ma tête et j’ai du mal à respirer, mais le cri que je pousse quand mon corps s’éclate une nouvelle fois me fait sortir la tête du berceau qui l’enserre et je récupère un grand bol d’air avant de replonger.
- As-tu aimé ?
- Oh ! oui, c'est la première fois.
- Je m’en étais aperçu, tu étais touchante dans ton envie de me donner et te donner du plaisir.
- C’est la bonne heure là sur ta pendule.
- Le temps a filé.
- J’ai un rendez-vous.
- Revient demain si tu le peux !
- Oh ! oui, je suis en vacances.
Je reviens le lendemain, le surlendemain.
Je n’ai pas eu besoin de faire un dernier essayage de ma robe.
La créatrice a refusé de doubler son modèle par superstition.
Elle a apporté un détail qui pour elle fait le modèle unique.
Une petite rose jaune sur celle de Geneviève, rose pour moi.
Nous avons essayé nos robes chacune dans une pièce différente de l’appartement que nous avons choisie ensemble pour vivre.
Mariage il y aura, mais après que j’ai rendu sa bague à Bastian et que nous nous en soyons offerte avant dans trois jours nous échanger nos alliances.
J’ai trouvé ma route et ma moitié, je sais que je vais vivre heureuse.
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