COLLECTION LIBERTINAGE. 1976, Deux jumeaux et leur amie (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2019 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION LIBERTINAGE. 1976, Deux jumeaux et leur amie (1/1)
- Christophe et Christian, il faut que je vous parle.
- Oui Cloé, nous sommes tout ouïe.
- Arrêtez de me caresser, je n’arrive pas à me concentrer.
- Met ma verge dans ta bouche, j’aime quand tu me suce mon amour.
- La mienne aussi, je veux que tu la suce, je t’aime moi aussi mon cœur.
Pour Christophe je suis mon cœur.
Pour Christian je suis mon amour.
C’est le seul moment où je sais lequel de mes deux amants me présentent sa verge ou tout autre chose si s’agit de nos cours de gestions.
Nous voulons ouvrir tous les trois un relais cheval avec restauration et manège.
Nous avons déjà l’endroit, une vieille ferme qu’un vieil agriculteur veut vendre pour une boucher de pain.
Nous avons un crédit cautionné par nos parents.
- Arrêtez les garçons, vous m'excitez et je ne peux pas me concentrer.
- Nous aimons quand tu nous suce et tu aimes quand c’est nous qui te mettons tour à tour notre langue dans ta jolie petite chatte.
Voilà, j’explique comment tout cela a commencé.
Nous avions cinq ans.
Pas de méprise, juste des baisers sur nos joues lorsque maman me conduisait à la maternel.
Nous venions d’emménager et nos deux mères sont dans un premier temps amies avant que je rencontre les fils de Clara.
Maternel, CP et collège avant de passer notre bac au même endroit le même jour.
C’est le soir de notre bac que les choses sont devenues sexuelles.
Je le confesse, nous avions bu un verre avec les copains et j’ai pris le risque de conduire certainement en état d’ivresse.
Oh, très peu mais assez pour voir un peu trouble tenant mal l’alcool.
J’ai voulu les déposer et entrer, Clara et Constant leur père était partis en voyage en amoureux le pavillon était libre.
J’ai accepté et rapidement nous nous sommes retrouvés dans leur chambre à nous embrasser.
Eh oui, nous embrasser, déjà au début j’étais dans l’incapacité de dire qui de Christophe ou de Christian me caressait les seins pendant que l’autre m’embrassait.
Ça a duré un long moment avant que je tourne la tête et que j’embrasse l’autre pendant qu’une main passe sous ma jupe et caresse mon string.
L’alcool m’a rendu faible et c’est sans la moindre retenue je me suis déshabillée.
Bien sur l’un d’eux ma pénétrée lequel, à ce moment de notre vie je n’avais pas découvert les mon amour et les mon cœur.
Ça peut paraître crade, mais je me suis laisser baiser les recevant l’un après l’autre pour cette première fois et le sperme de l’un a baigné dans le sperme de l’autre.
Par la suite nous avons fait pire, ils ont voulu me prendre en double vaginale et les aimant à en mourir, j’ai accepté.
Bien sur, en sucer l’un en levrette pendant que l’autre me prenait la chatte au début était chose commune.
C’est dans cette position alors que la verge d’amour était dans ma bouche que chérie ma perforé l’anus.
J’ai failli faire une différence à vie entre les deux frères.
J’ai mordu amour sans conséquence après quelques jours leur redonnant la parfaite symétrie de l’un et de l’autre.
Nous vivions de plus en plus ensemble chez les uns ou chez les autres.
Nos parents ne pouvaient pas ignorer que j’étais une salope qui se faisait les jumeaux.
Mais comme notre entourage ne faisait pas de mauvais procès, la vie a continué avec une simple petite différence.
Quand j’en suçait un sans savoir bien souvent lequel et je m’en fichais l’autre me faisait hurler de plaisir en m’enculant.
Une belle salope je sais, mais que voulez-vous quand on aime on ne compte pas comme l’on dit.
Et moi j’aimais les deux alors pourquoi mon corps ne serait-il pas a eux toujours ensemble.
C’est vrai aucune fois depuis la nuit du bac nous n’avons baiser autrement qu’en trio.
- Les garçons, stop, je vous ais dit qu’il fallait parler.
Je souhaite être une femme honorable dans notre manège, je veux vous épouser.
- Tu délire ma pauvre fille nous refusons de partir dans un pays où la bigamie est autorisée.
Bien souvent pour ne pas dire tout le temps ce sont les hommes qui sont bigame.
- Non c’est ici que je vais vous épouser.
- Christophe prend lui la fièvre, elle délire.
- Je ne délire pas, j’ai élaboré un plan ainsi maman sera fière que sa fille est la bague au doigt.
- Lequel de nous deux veux tu épouser, si tu choisi l’un l’autre sera frustré.
- C’est là tout mon plan, nous tirons au sort et un jour j’épouse celui qui aura tiré la courte paille.
Quelques jours plus tard, j’épouse l’autre à l’église.
- Qu’en penses-tu Christian sympa comme plan.
Je nous vois à la mairie, l’un en costume bleu clair.
Moi par exemple, ça me va bien au teint, toi en costume gris même coupe.
- Je suis partant Cloé ton idée est lumineuse et sera très drôle, mais celui qui t’aura épousé à la mairie sera ton vrai mari.
- Tirons d’abord, j’ai une idée complémentaire.
Nous étions dans la grange couchée dans le foin nos quatre chevaux et deux poney batifolant dans le pré voisin.
Je prends un brin de foin que je casse.
Je les mélange pour qu’il ne voit pas.
Seulement un bout identique sort de mes doigts.
- Christian, c’est toi qui seras mon mari.
- Pimentons la chose, quand nous publierons les bancs, se sera les coordonnés de Christian qui seront sur les papiers.
Mais c’est moi Christophe qui te diras oui devant monsieur le maire.
La semaine suivante l’inverse ce sera Christian qui te dira oui, nous aurons baiser les institutions.
- C’est parti, je suis d’accord, demain nous irons à la mairie puis a l’église pour concrétiser notre projet.
Je vous aime, je serais une femme honorablement mariée qui vivra avec son beau-frère car nous gérons une affaire ensemble.
Tout ce passe comme prévu, à la mairie nous faisons ce mariage avec nos parents, Christian comme témoin de son frère se mariant à sa place et moi avec Christine une jeune femme que nous connaissons depuis le lycée.
J’ai dit que j’étais une salope, je le suis jusqu’au bout.
Quelques temps avant mon mariage, Christine est venue me chercher pour que nous choisissions ma robe blanche.
Ses mains sous couvert de remettre quelques détails en place ou en enlevant l’une pour essayer une autre me caressait.
Quand nous sommes sorties, elle m’a conduite dans sa chambre, elle habite seule et c’est tout naturellement que je me suis retrouvée dans ses bras.
J’ai appris à lui sucer la chatte ainsi que son anus pendant qu’elle en faisait de même pour moi.
Bref de femme de jumeaux, je suis devenue bi car j’aime autant les galipettes avec mes hommes qu’avec cette vrai salope de Christine.
Deux bites dans ma chatte, ça m’a élargie, j’apprends à me faire fister et à la fister elle aussi.
Une belle salope je vous dit, une folle du cul.
Des folles du cul.
- Christine veux-tu venir vivre avec nous, mais j’ai quelque chose à t’avouer ?
Elle accepte de vivre avec nous, elle est bi elle aussi et rapidement je lui propose de baiser avec mes hommes.
- J’accepte bien sur, à une condition !
- Je te vois venir, de ma part j’accepte aussi.
- Moi encore plus, je me vois dire oui à la mairie.
- Pendant que ce sera moi qui dirais oui à l’église.
Ça marche de nouveau, tout est parfait.
Une dernière chose, nous voulons des enfants chacun des quatre.
Quand nous baisons toujours tous ensemble, nous souhaitons ardemment que nos deux jeunes femmes nous donnent des enfants.
Peu importe qui soit le père, l’un ou l’autre.
La ferme est grande et nous avons de la place pour tous nous loger.
Trois ou quatre chacune, nous aurons bien la chance qu’amour en ait quelque uns pendant que chérie ait les autres.
Si vous vous inscrivez dans un manège ou si vous manger dans notre restaurant où des jumeaux vivent avec deux jeunes femmes enceintes, vous êtes peut-être chez nous.
- Oui Cloé, nous sommes tout ouïe.
- Arrêtez de me caresser, je n’arrive pas à me concentrer.
- Met ma verge dans ta bouche, j’aime quand tu me suce mon amour.
- La mienne aussi, je veux que tu la suce, je t’aime moi aussi mon cœur.
Pour Christophe je suis mon cœur.
Pour Christian je suis mon amour.
C’est le seul moment où je sais lequel de mes deux amants me présentent sa verge ou tout autre chose si s’agit de nos cours de gestions.
Nous voulons ouvrir tous les trois un relais cheval avec restauration et manège.
Nous avons déjà l’endroit, une vieille ferme qu’un vieil agriculteur veut vendre pour une boucher de pain.
Nous avons un crédit cautionné par nos parents.
- Arrêtez les garçons, vous m'excitez et je ne peux pas me concentrer.
- Nous aimons quand tu nous suce et tu aimes quand c’est nous qui te mettons tour à tour notre langue dans ta jolie petite chatte.
Voilà, j’explique comment tout cela a commencé.
Nous avions cinq ans.
Pas de méprise, juste des baisers sur nos joues lorsque maman me conduisait à la maternel.
Nous venions d’emménager et nos deux mères sont dans un premier temps amies avant que je rencontre les fils de Clara.
Maternel, CP et collège avant de passer notre bac au même endroit le même jour.
C’est le soir de notre bac que les choses sont devenues sexuelles.
Je le confesse, nous avions bu un verre avec les copains et j’ai pris le risque de conduire certainement en état d’ivresse.
Oh, très peu mais assez pour voir un peu trouble tenant mal l’alcool.
J’ai voulu les déposer et entrer, Clara et Constant leur père était partis en voyage en amoureux le pavillon était libre.
J’ai accepté et rapidement nous nous sommes retrouvés dans leur chambre à nous embrasser.
Eh oui, nous embrasser, déjà au début j’étais dans l’incapacité de dire qui de Christophe ou de Christian me caressait les seins pendant que l’autre m’embrassait.
Ça a duré un long moment avant que je tourne la tête et que j’embrasse l’autre pendant qu’une main passe sous ma jupe et caresse mon string.
L’alcool m’a rendu faible et c’est sans la moindre retenue je me suis déshabillée.
Bien sur l’un d’eux ma pénétrée lequel, à ce moment de notre vie je n’avais pas découvert les mon amour et les mon cœur.
Ça peut paraître crade, mais je me suis laisser baiser les recevant l’un après l’autre pour cette première fois et le sperme de l’un a baigné dans le sperme de l’autre.
Par la suite nous avons fait pire, ils ont voulu me prendre en double vaginale et les aimant à en mourir, j’ai accepté.
Bien sur, en sucer l’un en levrette pendant que l’autre me prenait la chatte au début était chose commune.
C’est dans cette position alors que la verge d’amour était dans ma bouche que chérie ma perforé l’anus.
J’ai failli faire une différence à vie entre les deux frères.
J’ai mordu amour sans conséquence après quelques jours leur redonnant la parfaite symétrie de l’un et de l’autre.
Nous vivions de plus en plus ensemble chez les uns ou chez les autres.
Nos parents ne pouvaient pas ignorer que j’étais une salope qui se faisait les jumeaux.
Mais comme notre entourage ne faisait pas de mauvais procès, la vie a continué avec une simple petite différence.
Quand j’en suçait un sans savoir bien souvent lequel et je m’en fichais l’autre me faisait hurler de plaisir en m’enculant.
Une belle salope je sais, mais que voulez-vous quand on aime on ne compte pas comme l’on dit.
Et moi j’aimais les deux alors pourquoi mon corps ne serait-il pas a eux toujours ensemble.
C’est vrai aucune fois depuis la nuit du bac nous n’avons baiser autrement qu’en trio.
- Les garçons, stop, je vous ais dit qu’il fallait parler.
Je souhaite être une femme honorable dans notre manège, je veux vous épouser.
- Tu délire ma pauvre fille nous refusons de partir dans un pays où la bigamie est autorisée.
Bien souvent pour ne pas dire tout le temps ce sont les hommes qui sont bigame.
- Non c’est ici que je vais vous épouser.
- Christophe prend lui la fièvre, elle délire.
- Je ne délire pas, j’ai élaboré un plan ainsi maman sera fière que sa fille est la bague au doigt.
- Lequel de nous deux veux tu épouser, si tu choisi l’un l’autre sera frustré.
- C’est là tout mon plan, nous tirons au sort et un jour j’épouse celui qui aura tiré la courte paille.
Quelques jours plus tard, j’épouse l’autre à l’église.
- Qu’en penses-tu Christian sympa comme plan.
Je nous vois à la mairie, l’un en costume bleu clair.
Moi par exemple, ça me va bien au teint, toi en costume gris même coupe.
- Je suis partant Cloé ton idée est lumineuse et sera très drôle, mais celui qui t’aura épousé à la mairie sera ton vrai mari.
- Tirons d’abord, j’ai une idée complémentaire.
Nous étions dans la grange couchée dans le foin nos quatre chevaux et deux poney batifolant dans le pré voisin.
Je prends un brin de foin que je casse.
Je les mélange pour qu’il ne voit pas.
Seulement un bout identique sort de mes doigts.
- Christian, c’est toi qui seras mon mari.
- Pimentons la chose, quand nous publierons les bancs, se sera les coordonnés de Christian qui seront sur les papiers.
Mais c’est moi Christophe qui te diras oui devant monsieur le maire.
La semaine suivante l’inverse ce sera Christian qui te dira oui, nous aurons baiser les institutions.
- C’est parti, je suis d’accord, demain nous irons à la mairie puis a l’église pour concrétiser notre projet.
Je vous aime, je serais une femme honorablement mariée qui vivra avec son beau-frère car nous gérons une affaire ensemble.
Tout ce passe comme prévu, à la mairie nous faisons ce mariage avec nos parents, Christian comme témoin de son frère se mariant à sa place et moi avec Christine une jeune femme que nous connaissons depuis le lycée.
J’ai dit que j’étais une salope, je le suis jusqu’au bout.
Quelques temps avant mon mariage, Christine est venue me chercher pour que nous choisissions ma robe blanche.
Ses mains sous couvert de remettre quelques détails en place ou en enlevant l’une pour essayer une autre me caressait.
Quand nous sommes sorties, elle m’a conduite dans sa chambre, elle habite seule et c’est tout naturellement que je me suis retrouvée dans ses bras.
J’ai appris à lui sucer la chatte ainsi que son anus pendant qu’elle en faisait de même pour moi.
Bref de femme de jumeaux, je suis devenue bi car j’aime autant les galipettes avec mes hommes qu’avec cette vrai salope de Christine.
Deux bites dans ma chatte, ça m’a élargie, j’apprends à me faire fister et à la fister elle aussi.
Une belle salope je vous dit, une folle du cul.
Des folles du cul.
- Christine veux-tu venir vivre avec nous, mais j’ai quelque chose à t’avouer ?
Elle accepte de vivre avec nous, elle est bi elle aussi et rapidement je lui propose de baiser avec mes hommes.
- J’accepte bien sur, à une condition !
- Je te vois venir, de ma part j’accepte aussi.
- Moi encore plus, je me vois dire oui à la mairie.
- Pendant que ce sera moi qui dirais oui à l’église.
Ça marche de nouveau, tout est parfait.
Une dernière chose, nous voulons des enfants chacun des quatre.
Quand nous baisons toujours tous ensemble, nous souhaitons ardemment que nos deux jeunes femmes nous donnent des enfants.
Peu importe qui soit le père, l’un ou l’autre.
La ferme est grande et nous avons de la place pour tous nous loger.
Trois ou quatre chacune, nous aurons bien la chance qu’amour en ait quelque uns pendant que chérie ait les autres.
Si vous vous inscrivez dans un manège ou si vous manger dans notre restaurant où des jumeaux vivent avec deux jeunes femmes enceintes, vous êtes peut-être chez nous.
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