COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison IV (20/21)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison IV (20/21) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(20.0 / 10)

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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Fin de la saison IV (20/21)
Je viens de faire une nouvelle découverte d’une amie, Virginie femme strip-teaseuse parisienne ébouillantée par une femme jalouse.
Elle semble découvrir les plaisirs du cheval et leur engin.
J’ai souvent dans ma jeunesse avec Laurette vu nos parents dès qu’ils ont fait les chambres d’hôtes, acheté des chevaux à louer pour les promenades amener le mâle à la femelle en chaleur et un an après avoir le plaisir de jouer avec le poulain.

- Bien les filles nous sommes prêtes, Virginie à ma droite, Véro à ma gauche et on est parti.
Attendez, voilà une voiture de gendarmerie qui passe la grille du castel.

Que me veut encore la maréchaussée, là-haut, les ouvriers travaillent sur le toit de ma chapelle.
Peut-être que le capitaine a des renseignements sur les pièces les plus belles de mon trésor.

- C’est pourquoi lieutenant ?
- Excusez-nous d’interrompre votre promenade, vous pouvez rester sur vos chevaux.
Bonjours Laurette, c’est vous madame Véronique que je viens voir, mais tous pourront me renseigner.
Auriez-vous vu depuis quelques semaines un homme, type africain roder près de votre résidence ?
- Non pourquoi ?

J’ai répondu du tac au tac de peur que Laurette parle de mon inconnu.

- Qu’a-t-il fait de mal ?
- Rien de grave de menus larcins surtout pour se nourrir.
C’est un immigrant venu d’Afrique qui s’est échappé d’un centre d’où il était retenu en attendant de savoir s’il pouvait rester en France.
Si vous le voyez appeler nos bureaux.
Je vais vous laisser, il faut que j’aille voir Olivier Raguin, c’est la dernière propriété que nous devons visiter.
Bonne promenade.

Je les salue, leur voiture repart chez mon souffre-douleur.
Où Laurette connaît-elle les grades, Lucien et Maître Mathieu ont fait leur service militaire, mais il y a bien longtemps.
Aurait-elle traîné ses guêtres vers la gendarmerie ?

- Je répète, Virginie à droite Véronique à gauche.
Virginie suit les mouvements de ton cheval et évite que ton petit cul tape à contresens car ce soir je vais te mettre du baume apaisant.
Oui c’est mieux soit souple, évite de te raidir.
Quasi est une jument calme et tu vas bientôt être obligé de revenir pour la monter régulièrement.

Nous avançons sur le chemin qui mène à l’étang et aux herbes tendre lieu de prédilection de Rocco qui va pouvoir se remplir la panse.
Nous arrivons au but de cette première sortie pour notre amie qui descend comme elle le fait dans le métro et se retrouve les quatre fers en l’air.

- C’est difficile ces engins-là.
Mais je dois reconnaître que j’ai aimé le contact entre l’animal et moi.
- Ta petite chatte a-t-elle mouillé ?
- Pas jusque-là, mais c’est-on jamais, monter toute nue doit donner une autre impression avec le cuir de la selle.
- Tu vois, Virginie, le banc en rondin qui est là est au service des jeunes cavaliers, tu aurais dû t’en servir pour descendre.
- On peut se baigner dans l’étang ?
- Bien sûr avec la chaleur on va apprécier.
- On peut se baigner nues j’ai oublié mon maillot ?
- Et ta petite culotte ?
- C’est rare que j’en porte et sinon ce sont des strings.

Nous sommes toutes les trois nues et elle m’aide à entrer dans l’eau.
Nos chevaux attachés par leurs rênes à un buisson ne peuvent se sauver.
L’eau est bonne et nous nous aspergeons lançant l’eau avec nos mains.
À ces jeux je suis perdante, je ne vois pas mes adversaires qui ne se privent pas de m’envoyer des trombes d’eau dans la figure me faisant suffoquer.
Elles rient à gorge déployée avant de finir dans mes bras nos seins à la même hauteur étant content de se trouver.
Nous sortons de l’eau pensant passer un moment tranquille à faire une petite sieste que l’on aurait dit crapuleuse.

- Merde Véro tu as mal attaché Pablo, il s’est détaché et doit être retourné à l’écurie.
Louis va le récupérer.

Finie la sieste, il nous faut remettre nos affaires alors que nous sommes encore mouillées.
C’est à ce moment que Rocco se fait sentir me donnant des coups avec sa tête.

- Nous allons redescendre à pied, je tiendrais les chevaux par leurs brides.
- Hors de question, c’est ma faute et Rocco semble vouloir que je m’occupe de lui.
- Laurette monte avec Virginie sur Quasi, je vais retrouver mon vieux copain.
Il a envie de me sentir sur son dos.

J’entends les bruits des bottes des filles montant sur leur cheval.
Monter à deux nous le faisions souvent avec Laurette et connaissant l’espiègle qu’elle est, les seins de notre amie seront en bonne situation.
Ses fraises vont pouvoir bander.
Je monte sur Rocco qui se cabre mais je connais son habitude surtout quand il est content et je ne me laisse pas désarçonner.
Avant mon accident, j’ai toujours donné un ordre à Rocco que je redis naturellement à la force de l’habitude.

- À la maison.

Cet ordre, j’aurais dû éviter de le donner, mais je suis un peu chamboulée de ce que m’a dit le lieutenant.
Et si mon fils était l’œuvre d’un noir.
Je dis mon fils car je suis sûr que c’est un mâle qui est peut-être en moi.
C’est là que Rocco part au galop comme il le fait chaque fois.

- Halte Rocco.
Rocco halte.
Véronique accroche-toi.

Course folle, mais bonne cavalière je sers les cuisses goutant le plaisir du triple galop de mon cheval.
Je suis dans ma nuit quand il freine des quatre fers et que je suis propulsée par-dessus son encolure.
L’eau que l’on m’envoie dans la figure et rideau, la nuit devient vraiment la nuit.

- Docteur elle revient à elle.
Coucou Véronique, tu nous as fait une frayeur.
- Écartez-vous que je l’ausculte.
Ça fait deux jours que vous êtes tous là autour d’elle.
Deux jours de coma c’est courant après le choque sur le front au fond de sa piscine.
- Madame, regardez-moi, vous m’entendez ?
- Oui et je vous vois, vous avez de magnifiques yeux bleus.
- Docteur, elle semble avoir recouvré la vue, c’est un miracle.

Miracle, j’ignorais que la Bourgogne était une terre de miracle.
Rapidement je reprends du poil de la bête.
Mon Rocco, il m’avait ôté la vue, il a voulu me la rendre.

- Docteur, et son bébé !
- Vous pouvez prévenir le papa que son fils est en pleine forme, il sera scaphandrier de la manière dont il a plongé.
- Véronique, c’est moi qui t’ai sorti de la piscine et qui me suis occupé de toi avant l’arrivée des copains.
- Merci Louis, j’ai bien fait de dire à Maître Mathieu de t’embaucher.
- Véronique, hier ils t’ont fait une échographie, quand tu auras le droit de bouger, tu pourras voir avec tes yeux retrouver la photo de ton fils.
J'en ai une aussi, c’est une fille, un jour on les mariera.

Je vois mon amour se mettre à genoux à mes côtés.
Le docteur prend la commande de mon lit et le baisse au maximum.

- Véronique, j’ignorais quand je suis allée l’acheter avec Agnès et Louis que tu verrais la bague que je t’offre.
Veux-tu m’épouser ?
- Agnès prête moi ta bague de fiançailles s’il te plait.

Elle l’enlève et me la tend.

- Laurette excuse, je pense ne pas avoir le droit de m’agenouiller.
Veux-tu m’épouser ?

Pas le droit de se lever, mais le droit de passer nos bagues et de nous donner un gros baisé.
Tous applaudissent, même Virginie qui est là.

- Messieurs dames, je suis satisfait que vous soyez content de retrouver votre amie avec une grosse bosse sur le front.
Mais nous sommes dans un hôpital et j’ai certains patients qui ne vont pas aussi bien.

Voilà, c’est fini, à oui, qui est le père de mon fils ?
Olivier Raguin, que devient-il ?
Son domaine à qui est-il ?
La chapelle à quoi va-t-elle servir ?
À oui, vous le saurez dans un 21ème chapitre en forme d’épilogue.
Les paris sont pris, pour Alexandra qui me fait le plaisir de me relire.
C’est Maître Mathieu ou Julien le père de mon enfant.
La chapelle, seule Dieu le sait à ce moment.

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