COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison II (9/10)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison II (9/10)
Mon baiseur inconnu est revenu et nous avons franchi une étape quand il m’a fessé m’apprenant que douleur et plaisir peuvent aller de pair.
Je m’en ouvre à Laurette qui me confirme qu’elle aussi a mal à son arrière-train quand ce matin elle a baisé avec le jeune et nouveau boulanger jeune marié qui vient de reprendre l’officine avec sa jeune épouse.
Laurette ne respecte rien du moment qu’elle rencontre des bites au fil des jours.
On peut dire que c’est une folle du cul.
Dans le même temps j’apprends que Lionel pratique aussi la fessée sur elle.
Notre interrogation sur mon visiteur de la nuit est relancée quand elle m’annonce qu’il l’a quitté prétextant une grande fatigue à minuit.
Il voulait récupérer de sa nuit précédente où nous avions vainement attendu mon inconnu pour le confondre dans l’écurie.
Au terme de cet examen, le mystère s’épaissit, Lionel fesse, le jeune boulanger à fesser et Louis le jeune pompier fesse-t-il lui aussi ?
À ce jour je ne peux dire mais c’est bien de sa voiture qu’il descend ayant remonté l’allée.
Attention, il est loin et la nuit où j’ai été en contact avec lui, ses vêtements sentaient la fumée.
Je n’ai pas de vision et encore moins des dons de voyance, c’est Laurette qui me prévient.
- Tient le jeune pompier qui t’as vu à poil.
Que vient-il faire, il est drôle pour un jeune homme, il a un gros bouquet de fleurs dans la main ?
- Bonjours mesdames, je suis contente que vous soyez là, j’avais peur que vous n’ayez profité de ce beau dimanche pour aller vous promener.
- Et que nous vaut cette visite ?
- Je venais vous remercier pour les cartons de vin rouge et surtout de crémant que vous m’avez fait livrer.
C’est la première fois que l’on me fait un cadeau après une intervention.
- Jeune homme.
- Louis s’il vous plaît.
- Louis puis-je vous poser une question ?
- Quand vous baisez avec vos copines aimez-vous les fesser ?
- Laurette fiche le camp tu es impossible.
- Non je vais répondre, si la fille est partante et aime cela je suis intéressé.
Je l’ai déjà fait, en temps normal je suis doux avec les femmes surtout les dames mais si vous voulez des sensations fortes je pourrais vous satisfaire.
Encore un troisième qui se met sur les rangs.
Laurette ferme là.
Je te connais tu es capable de faire le tour des chambres d’hôtes pour demander à chaque mari s’ils aiment fesser leur femme.
- J’étais simplement venu vous inviter au restaurant pour ce midi.
- Vous avez les moyens d’emmener mon amie au moulin de Martolin ?
- Non, bien sûr je connais mais je voulais vous emmener au Kébab de Givry.
- Merci jeune homme j’adore le Kébab, juste le temps de me préparer.
- Et ton petit déjeuner ?
- Fini ma ficelle cela te permettra d’en redemander demain matin au jeune boulanger.
- Vous connaissez Damien et sa femme Adeline, ce sont des amis ?
Hier au soir je dînais chez eux et à minuit il est parti voir si sa patte avait bien levé et a passé la nuit dans son fournil.
- J’espère que tu en as profité pour niquer Adeline ?
- Laurette dernière avertissement avant que je te vire à coups de pied dans ton arrière-train même si la fessée reçue te fait encore mal.
Tu es jalouse car aucun garçon ne vient t’offrir des fleurs.
- Pour me mettre un coup de pied au cul il faudrait que tu me rattrapes et que tu vois où il est.
Laurette est la seule fille à qui je tolère de ce foutre de mon handicap car depuis que je suis dans cet état c’est elle qui est mes yeux et qu’elle est naturellement naturelle.
- C’est bon, prends les fleurs de ce garçon et va les mettre dans un vase dans la salle à manger.
- À vos ordres patron.
Je l’entends prendre les fleurs et cinq minutes après j’ai rejoint ma chambre où je me suis douchée car la chaleur m’y incite.
Surtout n’oublions pas que depuis cette nuit le sperme de mon inconnu est encore sur mes jambes.
Est-il possible que malgré son air benêt, c’est du moins le sentiment que Louis m’inspire, ce garçon ait eu l’idée de monter à un échafaudage pour venir me fesser ?
Je descends les marches et il me fait monter dans sa voiture.
Avec ma main, je fais attention que ma tête entre sans me cogner.
- Vous pouvez monter sans problème c’est une décapotable.
J’ai profité du beau temps pour l’ouvrir.
J’aime le vent quand je roule par ces chaleurs.
Il m’installe et nous partons.
Les sièges sont tellement profonds que je me demande si mon string est bien caché sous la jupette que j’ai mise avec un chemisier blanc acheté avec Laurette au moment des soldes de juillet.
J’ai beau avoir un joli domaine, il faut faire attention car les frais d’entretien sont énormes et le beau temps qui persiste pourrait déboucher sur une année de merde à cause de la grêle qui peut tout ravager en cinq minutes sur son passage.
Le nombre de mes employés serait au chômage technique si ça arrivait.
J’ai un copain François qui a un domaine principalement de blanc et de rouge de Mercurey.
Il a la moitié de la surface du mien et chaque été quand il part une semaine en vacances il nous téléphone trois fois par jour.
Il nous demande si avec la chaleur les cumulus ou autres cumulonimbus sont inexistants ou bien commencent à blanchir.
Il partira la semaine prochaine.
Roulé dans une décapotable est sympa surtout que mes cheveux courts volent dans tous les sens.
- Tu as de jolies jambes.
- Pardon ?
- Je disais que tu as de jolies jambes.
- Merci, les tiennes son bien aussi.
- Je suis en jean.
- Merci du renseignement.
Nous éclatons de rire car avec le bruit du vent nous sommes obligés de hurler.
Et tout cela s’arrête quand il gare sa voiture.
Il descend et quelques secondes après en ayant fait de même, montrant certainement ma petite culotte, j’attends qu’il vienne me guider.
- Louis où es-tu ?
Quelques secondes.
- Eh Oh ! Louis.
- Excuse-moi Véronique, j’avais oublié, je croyais que tu me suivais.
- Tu sais c’est la première fois depuis mon accident que je sors sans que ce soit Laurette qui me guide.
Nous nous déplaçons et j’entends un brouhaha qui salue le moment avant que Louis me fasse asseoir à l’extérieur du restaurant.
- Bonjours madame monsieur que désirez-vous manger ?
- Deux Kébabs avec frites et soda.
- Vous les voulez dans du pain ou dans une assiette ?
- Dans du pain.
- Excusez jeunes homme pour madame je pense qu’il serait préférable que nous la servions dans une assiette.
- Non, dans du pain comme notre ami, à la place du soda avez-vous du vin ?
- Oui du Sidi-brahim.
Il va falloir que je leur donne des cours d’œnologie, le kébab est grec et non des pays du Maghreb.
- Alors donnez-moi un pichet de rosé, vous en avez ?
- Oui, du rosé en jerrycan.
J’ai voulu faire plaisir à Louis et je me retrouve dans une galère.
Laurette au secours.
- Alors Louis elle est jolie ta conquête, tu comptes sur elle pour te faire enlever tes boutons sur ton visage ?
- Fais gaffe, elle va te la bouffer sans la voir et te planter ses dents dedans.
Il semble que non loin de nous une bande de jeunes cons soient attablés.
- Excuse, j’ignorais que cette bande de cons seraient là.
Ce sont des gars de mon club de foot de Mercurey.
La table est petite et je sais qu’il est proche de moi je lui caresse la joue sans trouver le moindre bouton.
- Embrasse-moi, tu vas les faire bisquer.
Il cherche mes lèvres et j’accepte son baiser.
Il a été assez humilié.
Je deviens machiavélique car j’ai deux buts en embrassant Louis.
Certes faire la nique à ses copains de football mais aussi voire si l’inconnu qui a accepté mon baiser dans ma chambre est le garçon que j’embrasse présentement.
Je suis dubitative quand j’entends une sonnerie.
Nos bouches se séparent.
- Merde une intervention, je te laisse.
C’est incompréhensif pour moi, le temps de dire ouf et je me retrouve seule.
Plus de boy Friend, je suis seule sur la terrasse de ce kebab complètement déboussolé.
Je me reprends rapidement car les quolibets se poursuivent pour une fois que je sors de chez moi.
- Tu veux que je le remplace, tu sais je l’ai vu sous la douche, il a une petite quéquette, j'ai une grosse bite.
- Je le connais, il se glorifie, sa copine s’est tirée car il ignore comment s’en servir.
- Je vais te casser la gueule, tu vas voir ton nez, je vais le raccourcir comme ta bite.
- Vantard les gars, vous savez que le tombeur c’est moi, ma piaule est à deux pas poulette, je t’emmène ?
Une fois de plus petite et vigoureuse ou petite et fainéante.
Mais les garçons peuvent toujours courir je suis amoureuse de mon inconnu qui en a une qui me satisfait pleinement.
- Allô Laurette, je suis à Givry au kebab, peux-tu venir me récupérer…
Je m’en ouvre à Laurette qui me confirme qu’elle aussi a mal à son arrière-train quand ce matin elle a baisé avec le jeune et nouveau boulanger jeune marié qui vient de reprendre l’officine avec sa jeune épouse.
Laurette ne respecte rien du moment qu’elle rencontre des bites au fil des jours.
On peut dire que c’est une folle du cul.
Dans le même temps j’apprends que Lionel pratique aussi la fessée sur elle.
Notre interrogation sur mon visiteur de la nuit est relancée quand elle m’annonce qu’il l’a quitté prétextant une grande fatigue à minuit.
Il voulait récupérer de sa nuit précédente où nous avions vainement attendu mon inconnu pour le confondre dans l’écurie.
Au terme de cet examen, le mystère s’épaissit, Lionel fesse, le jeune boulanger à fesser et Louis le jeune pompier fesse-t-il lui aussi ?
À ce jour je ne peux dire mais c’est bien de sa voiture qu’il descend ayant remonté l’allée.
Attention, il est loin et la nuit où j’ai été en contact avec lui, ses vêtements sentaient la fumée.
Je n’ai pas de vision et encore moins des dons de voyance, c’est Laurette qui me prévient.
- Tient le jeune pompier qui t’as vu à poil.
Que vient-il faire, il est drôle pour un jeune homme, il a un gros bouquet de fleurs dans la main ?
- Bonjours mesdames, je suis contente que vous soyez là, j’avais peur que vous n’ayez profité de ce beau dimanche pour aller vous promener.
- Et que nous vaut cette visite ?
- Je venais vous remercier pour les cartons de vin rouge et surtout de crémant que vous m’avez fait livrer.
C’est la première fois que l’on me fait un cadeau après une intervention.
- Jeune homme.
- Louis s’il vous plaît.
- Louis puis-je vous poser une question ?
- Quand vous baisez avec vos copines aimez-vous les fesser ?
- Laurette fiche le camp tu es impossible.
- Non je vais répondre, si la fille est partante et aime cela je suis intéressé.
Je l’ai déjà fait, en temps normal je suis doux avec les femmes surtout les dames mais si vous voulez des sensations fortes je pourrais vous satisfaire.
Encore un troisième qui se met sur les rangs.
Laurette ferme là.
Je te connais tu es capable de faire le tour des chambres d’hôtes pour demander à chaque mari s’ils aiment fesser leur femme.
- J’étais simplement venu vous inviter au restaurant pour ce midi.
- Vous avez les moyens d’emmener mon amie au moulin de Martolin ?
- Non, bien sûr je connais mais je voulais vous emmener au Kébab de Givry.
- Merci jeune homme j’adore le Kébab, juste le temps de me préparer.
- Et ton petit déjeuner ?
- Fini ma ficelle cela te permettra d’en redemander demain matin au jeune boulanger.
- Vous connaissez Damien et sa femme Adeline, ce sont des amis ?
Hier au soir je dînais chez eux et à minuit il est parti voir si sa patte avait bien levé et a passé la nuit dans son fournil.
- J’espère que tu en as profité pour niquer Adeline ?
- Laurette dernière avertissement avant que je te vire à coups de pied dans ton arrière-train même si la fessée reçue te fait encore mal.
Tu es jalouse car aucun garçon ne vient t’offrir des fleurs.
- Pour me mettre un coup de pied au cul il faudrait que tu me rattrapes et que tu vois où il est.
Laurette est la seule fille à qui je tolère de ce foutre de mon handicap car depuis que je suis dans cet état c’est elle qui est mes yeux et qu’elle est naturellement naturelle.
- C’est bon, prends les fleurs de ce garçon et va les mettre dans un vase dans la salle à manger.
- À vos ordres patron.
Je l’entends prendre les fleurs et cinq minutes après j’ai rejoint ma chambre où je me suis douchée car la chaleur m’y incite.
Surtout n’oublions pas que depuis cette nuit le sperme de mon inconnu est encore sur mes jambes.
Est-il possible que malgré son air benêt, c’est du moins le sentiment que Louis m’inspire, ce garçon ait eu l’idée de monter à un échafaudage pour venir me fesser ?
Je descends les marches et il me fait monter dans sa voiture.
Avec ma main, je fais attention que ma tête entre sans me cogner.
- Vous pouvez monter sans problème c’est une décapotable.
J’ai profité du beau temps pour l’ouvrir.
J’aime le vent quand je roule par ces chaleurs.
Il m’installe et nous partons.
Les sièges sont tellement profonds que je me demande si mon string est bien caché sous la jupette que j’ai mise avec un chemisier blanc acheté avec Laurette au moment des soldes de juillet.
J’ai beau avoir un joli domaine, il faut faire attention car les frais d’entretien sont énormes et le beau temps qui persiste pourrait déboucher sur une année de merde à cause de la grêle qui peut tout ravager en cinq minutes sur son passage.
Le nombre de mes employés serait au chômage technique si ça arrivait.
J’ai un copain François qui a un domaine principalement de blanc et de rouge de Mercurey.
Il a la moitié de la surface du mien et chaque été quand il part une semaine en vacances il nous téléphone trois fois par jour.
Il nous demande si avec la chaleur les cumulus ou autres cumulonimbus sont inexistants ou bien commencent à blanchir.
Il partira la semaine prochaine.
Roulé dans une décapotable est sympa surtout que mes cheveux courts volent dans tous les sens.
- Tu as de jolies jambes.
- Pardon ?
- Je disais que tu as de jolies jambes.
- Merci, les tiennes son bien aussi.
- Je suis en jean.
- Merci du renseignement.
Nous éclatons de rire car avec le bruit du vent nous sommes obligés de hurler.
Et tout cela s’arrête quand il gare sa voiture.
Il descend et quelques secondes après en ayant fait de même, montrant certainement ma petite culotte, j’attends qu’il vienne me guider.
- Louis où es-tu ?
Quelques secondes.
- Eh Oh ! Louis.
- Excuse-moi Véronique, j’avais oublié, je croyais que tu me suivais.
- Tu sais c’est la première fois depuis mon accident que je sors sans que ce soit Laurette qui me guide.
Nous nous déplaçons et j’entends un brouhaha qui salue le moment avant que Louis me fasse asseoir à l’extérieur du restaurant.
- Bonjours madame monsieur que désirez-vous manger ?
- Deux Kébabs avec frites et soda.
- Vous les voulez dans du pain ou dans une assiette ?
- Dans du pain.
- Excusez jeunes homme pour madame je pense qu’il serait préférable que nous la servions dans une assiette.
- Non, dans du pain comme notre ami, à la place du soda avez-vous du vin ?
- Oui du Sidi-brahim.
Il va falloir que je leur donne des cours d’œnologie, le kébab est grec et non des pays du Maghreb.
- Alors donnez-moi un pichet de rosé, vous en avez ?
- Oui, du rosé en jerrycan.
J’ai voulu faire plaisir à Louis et je me retrouve dans une galère.
Laurette au secours.
- Alors Louis elle est jolie ta conquête, tu comptes sur elle pour te faire enlever tes boutons sur ton visage ?
- Fais gaffe, elle va te la bouffer sans la voir et te planter ses dents dedans.
Il semble que non loin de nous une bande de jeunes cons soient attablés.
- Excuse, j’ignorais que cette bande de cons seraient là.
Ce sont des gars de mon club de foot de Mercurey.
La table est petite et je sais qu’il est proche de moi je lui caresse la joue sans trouver le moindre bouton.
- Embrasse-moi, tu vas les faire bisquer.
Il cherche mes lèvres et j’accepte son baiser.
Il a été assez humilié.
Je deviens machiavélique car j’ai deux buts en embrassant Louis.
Certes faire la nique à ses copains de football mais aussi voire si l’inconnu qui a accepté mon baiser dans ma chambre est le garçon que j’embrasse présentement.
Je suis dubitative quand j’entends une sonnerie.
Nos bouches se séparent.
- Merde une intervention, je te laisse.
C’est incompréhensif pour moi, le temps de dire ouf et je me retrouve seule.
Plus de boy Friend, je suis seule sur la terrasse de ce kebab complètement déboussolé.
Je me reprends rapidement car les quolibets se poursuivent pour une fois que je sors de chez moi.
- Tu veux que je le remplace, tu sais je l’ai vu sous la douche, il a une petite quéquette, j'ai une grosse bite.
- Je le connais, il se glorifie, sa copine s’est tirée car il ignore comment s’en servir.
- Je vais te casser la gueule, tu vas voir ton nez, je vais le raccourcir comme ta bite.
- Vantard les gars, vous savez que le tombeur c’est moi, ma piaule est à deux pas poulette, je t’emmène ?
Une fois de plus petite et vigoureuse ou petite et fainéante.
Mais les garçons peuvent toujours courir je suis amoureuse de mon inconnu qui en a une qui me satisfait pleinement.
- Allô Laurette, je suis à Givry au kebab, peux-tu venir me récupérer…
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