COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison III (12/15)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION LIBERTINAGE. Le domaine. Saison III (12/15)
Laurette m’aide à tisser notre toile autour de celui qui a décidé de me voler mon domaine pour sauver le sien.
S’il croit que ma cécité va lui permettre de nous dépouiller il se met le doigt dans l’œil.
Il est 15 h 10 quand j’entends sa voiture arrivée.
Je suis allongée dans un des transats avec Laurette et deux couples arrivés hier.
Avant qu’il arrive, ces couples nous demandaient ce qui était arrivé à la chapelle, l’odeur de l’incendie étant toujours présente.
Nous avons mis nos plus beaux maillots de bain du moins le rouge que j’ai acheté avec elle au printemps.
- On se fait la bise ?
- Bien sur Olivier entre vieux amis c’est normal.
- Bonjours messieurs-dames, vous profitez de vos vacances et du beau temps, nous viticulteur à part le dimanche après-midi tous les jours nous sommes dans nos vignes jusqu’aux vendanges.
- Vous avez une belle région, nous en profitons le plus possible.
À 17 heures nous allons profiter de vos chevaux, c’est la première fois pour moi que je remonterais sur ces merveilles de la nature depuis mes 5 ans.
Vu l’âge que la dame nous a dit avoir c’est-à-dire le nôtre avec Laurette elle était sur un cheval pendant que j'étais sous la table avec Olivier à nous embrasser.
- Je t’emmène te baigner ?
- J’attendais que tu me le proposes.
Laurette qui sert un rafraîchissement à tous les clients présent se penche à mon oreille.
- Profite, fait monter la pression.
S’il te frotte laisse lui un début de chance, il faut l’appâter.
Je tends ma main que l’on saisit et Olivier vient se coller légèrement à moi.
- Qu’est-ce que ta copine t’as dit ?
Tu peux me le dire !
- Sans problème, elle m’a dit que tu étais beau, par moments ce sont mes yeux.
- Je suis content de lui plaire mais je vais oser te dire que je n’ai d’yeux que pour toi.
- Flatteur.
Avant sa réponse ayant descendu suffisamment de marche je plonge dans l’eau qui est fraîche comparée à l’extérieur.
Je fais des allées et retours jouant au chat et à la souris car je sens clairement qu’il cherche à me coincer dans un coin du bassin.
« Donne-lui un début de chance. » Ces mots résonnent dans ma tête.
Se faire sauter dans la nuit, comme je l’ai fait avec mon inconnu, m’apparaît plus facile que de me retrouver tout près du corps de ce garçon possesseur d’un baobab.
Du moins c’est ce qu’il dit.
Un moment je me laisse attraper.
Quel con, il me fait boire la tasse pensant trouver cela drôle.
Mais cela semble tactique car il me rattrape d’une main et me colle le long de son corps où je sens son gourdin venir s’appuyer sur mon sexe.
Il lui serait impossible de sortir de l’eau car les clientes se sont levées et retournent vers les logements.
Là encore malgré le bruit de la gargote remplissant la piscine je les entends.
Certainement pour enfiler une tenue pour faire du cheval bien que le soleil tape si fort que de galoper à poil comme je le faisais certains soirs à la nuit tombée pourrait leur plaire.
Me laisser embrasser, je le fais car en ce moment je suis une petite brebis en chaleur près du grand méchant loup.
Baisé profond, sexe arrogant, Olivier à tout du vil séducteur que toute fille se dit qu’il faut l’éviter et qui ouvre leurs jambes dès qu’il leur parle.
- Si tu savais l’effet que tu me fais.
- Je le sens.
- Non pas mon sexe, Véronique tu es assez bandante pour que tout homme en te voyant dans ton petit maillot rouge se sente comme un taureau avançant vers son matador même s’il sait qu’il va le faire mourir.
Heureusement que je sais qu’elle est son but car je dois reconnaître qu’en temps normal je me serais laissé séduire.
De là à craquer quand il m’aurait proposé la bague, j’aurais dit oui avec fougue.
La route est libre car sans insister Olivier m’aide à remonter vers les transats.
- C’est la chapelle dont Louis m’a parlé qui a brûlé là-haut ?
- Oui, Laurette tu es là ?
- Je la vois elle est près des écuries elle donne les chevaux aux cavaliers qui partent d’ailleurs.
- Laurette tu peux venir ?
- Elle t’a entendu, elle arrive.
- Que veux-tu mon amie ?
- Peux-tu aller me chercher mes baskets, je voudrais aller visiter la chapelle avec Olivier, je veux voir où en sont les travaux ?
Elle va me les chercher et je les enfile.
- Veux-tu que je vous accompagne ?
- Pas la peine Olivier sera mes yeux, il m’expliquera.
Laurette ne peut être que satisfaite de moi car je joue le jeu à la perfection.
Je suis prête et nous prenons le chemin vers la chapelle.
Les premiers cent mètres se font sans problème.
Le bruit de mes chaussures sur le gravier m’aidant mais je sais que pour aller jusqu’au chantier il y a une pelouse d’herbe fauchée et il me faut de l’aide pour garder la bonne direction.
- C’est bien d’être venue ici sans aide, tu es une femme forte.
Donne-moi la main surtout que tu vas directement sur les nouveaux bois de charpente que les ouvriers ont entassés là pour les poser dans les jours prochains.
J’ai un moment de réticence mais jouer le jeu reste la règle même si j’ai envie de lui hurler que je connais ses intentions.
- Je t’explique et je te guide.
À droite avant d’entrer tous le bois et les pierres brûlées sont entassées, attention à la marche on entre.
Mesdames et messieurs nous allons commencer la visite, levez la tête vous constaterez que la nef avec ses peintures est intacte mais noircit ce qui montre la puissance du feu.
- Monsieur le guide les deux statuts de chaque côté de la travée centrale sont-elles intactes ?
- Oui madame, elles aussi sont un peu noircies mais toujours sur leur socle.
Madame tournée à droite et faîte un pas.
Je fais ce qu’il me dit et ma poitrine frappe la sienne.
Il m’enserre et m’embrasse.
Il passe sa main entre nous et sa main empomme mon sein.
Je dois reconnaître que je suis loin d’être insensible à sa main et que la fraise réagit au quart de tour.
C’est bête que ce baiser compte pour du beurre car il sait faire tourner sa langue autour de la mienne.
Je sens ma fourche recouverte de mon slip de bain s’humidifier.
« Fait le languir pour mieux le ferrer. »Les propos de Laurette me reviennent en mémoire mais il me prend ma main libre et la place sur son slip.
Baobab, j’avais bien senti un beau morceau dans la piscine mais dans ma main c’est autre chose.
Assez jouée sinon il va se croire en terrain déjà conquis et ma belle qui doit être repartie vers ses écuries serait mécontente de moi.
- Que fais-tu Olivier ?
J’ai senti que tu avais envie de moi et je dois reconnaître que je suis à deux doigts de craquer.
Mais ici c’est une église et le berceau de ma famille, si un garçon arrivait à faire chavirer mon cœur c’est dans cette chapelle que je lui dirais oui.
- Je comprends mais je te jure que ce garçon se sera moi, je t’attends depuis nos 5 ans.
Le foireux, il se dévoile déjà, une nouvelle fois si son plan m’était inconnu je lui sauterais au cou me laissant prendre tellement à l’oreille il semble sincère.
- Je vais vers l’autel, je vais me guider le long des prie-Dieu et des petits bancs.
- Attention arrête, le plancher à l’endroit où tu marches est brûlé.
- Aie !
Trop tard, mon pied éclate le bois et je rentre jusqu’au genou.
Je m’assieds sur les fesses, le plancher à céder.
- Il faut éviter de bouger Véronique tu risques de te faire plus mal.
Attends-je t’aide à remonter ta jambe.
Je suis ses conseils et je me retrouve entière avec seulement une douleur à la jambe droite.
- Tu as une belle estafilade sur ta jambe mais elle est entière.
Pas de fracture.
- Olivier il semble qu’il y est quelque chose en dessous.
- On va casser ce plancher on verra ce qu’il y a, j’ai vu des outils je vais chercher une pioche.
- Appelle Laurette, j’ai un peu la frousse, s’il y avait un cadavre.
J’ai vraiment peur.
Laurette a toujours été un peu garçon manqué, quand nous étions petites si nécessaire elle faisait le coup de poing pour me défendre.
Quand je repense à notre nuit d’amour c’est elle qui menait nos besoins de sexe trouvant toujours un jeu nouveau à me proposer.
- Véronique, où es-tu, je suis venue, j’ai cru entendre crier ?
- Olivier allait venir te chercher, regarde j’ai passé le pied à travers le plancher, je me suis blessée à la jambe, il semble y avoir un trou.
- Olivier rend toi utile va jusqu’à l’écurie, sur l’appui de fenêtre à gauche, il y a une lampe torche.
Elle est branchée sur sa batterie en cas de panne électrique pour éviter que les chevaux ne paniquent.
Olivier est dans l’obligation de nous quitter.
Que peut-il y avoir sous ce plancher, le trou semble profond, ma jambe s'est retrouvée dans le vide ?…
S’il croit que ma cécité va lui permettre de nous dépouiller il se met le doigt dans l’œil.
Il est 15 h 10 quand j’entends sa voiture arrivée.
Je suis allongée dans un des transats avec Laurette et deux couples arrivés hier.
Avant qu’il arrive, ces couples nous demandaient ce qui était arrivé à la chapelle, l’odeur de l’incendie étant toujours présente.
Nous avons mis nos plus beaux maillots de bain du moins le rouge que j’ai acheté avec elle au printemps.
- On se fait la bise ?
- Bien sur Olivier entre vieux amis c’est normal.
- Bonjours messieurs-dames, vous profitez de vos vacances et du beau temps, nous viticulteur à part le dimanche après-midi tous les jours nous sommes dans nos vignes jusqu’aux vendanges.
- Vous avez une belle région, nous en profitons le plus possible.
À 17 heures nous allons profiter de vos chevaux, c’est la première fois pour moi que je remonterais sur ces merveilles de la nature depuis mes 5 ans.
Vu l’âge que la dame nous a dit avoir c’est-à-dire le nôtre avec Laurette elle était sur un cheval pendant que j'étais sous la table avec Olivier à nous embrasser.
- Je t’emmène te baigner ?
- J’attendais que tu me le proposes.
Laurette qui sert un rafraîchissement à tous les clients présent se penche à mon oreille.
- Profite, fait monter la pression.
S’il te frotte laisse lui un début de chance, il faut l’appâter.
Je tends ma main que l’on saisit et Olivier vient se coller légèrement à moi.
- Qu’est-ce que ta copine t’as dit ?
Tu peux me le dire !
- Sans problème, elle m’a dit que tu étais beau, par moments ce sont mes yeux.
- Je suis content de lui plaire mais je vais oser te dire que je n’ai d’yeux que pour toi.
- Flatteur.
Avant sa réponse ayant descendu suffisamment de marche je plonge dans l’eau qui est fraîche comparée à l’extérieur.
Je fais des allées et retours jouant au chat et à la souris car je sens clairement qu’il cherche à me coincer dans un coin du bassin.
« Donne-lui un début de chance. » Ces mots résonnent dans ma tête.
Se faire sauter dans la nuit, comme je l’ai fait avec mon inconnu, m’apparaît plus facile que de me retrouver tout près du corps de ce garçon possesseur d’un baobab.
Du moins c’est ce qu’il dit.
Un moment je me laisse attraper.
Quel con, il me fait boire la tasse pensant trouver cela drôle.
Mais cela semble tactique car il me rattrape d’une main et me colle le long de son corps où je sens son gourdin venir s’appuyer sur mon sexe.
Il lui serait impossible de sortir de l’eau car les clientes se sont levées et retournent vers les logements.
Là encore malgré le bruit de la gargote remplissant la piscine je les entends.
Certainement pour enfiler une tenue pour faire du cheval bien que le soleil tape si fort que de galoper à poil comme je le faisais certains soirs à la nuit tombée pourrait leur plaire.
Me laisser embrasser, je le fais car en ce moment je suis une petite brebis en chaleur près du grand méchant loup.
Baisé profond, sexe arrogant, Olivier à tout du vil séducteur que toute fille se dit qu’il faut l’éviter et qui ouvre leurs jambes dès qu’il leur parle.
- Si tu savais l’effet que tu me fais.
- Je le sens.
- Non pas mon sexe, Véronique tu es assez bandante pour que tout homme en te voyant dans ton petit maillot rouge se sente comme un taureau avançant vers son matador même s’il sait qu’il va le faire mourir.
Heureusement que je sais qu’elle est son but car je dois reconnaître qu’en temps normal je me serais laissé séduire.
De là à craquer quand il m’aurait proposé la bague, j’aurais dit oui avec fougue.
La route est libre car sans insister Olivier m’aide à remonter vers les transats.
- C’est la chapelle dont Louis m’a parlé qui a brûlé là-haut ?
- Oui, Laurette tu es là ?
- Je la vois elle est près des écuries elle donne les chevaux aux cavaliers qui partent d’ailleurs.
- Laurette tu peux venir ?
- Elle t’a entendu, elle arrive.
- Que veux-tu mon amie ?
- Peux-tu aller me chercher mes baskets, je voudrais aller visiter la chapelle avec Olivier, je veux voir où en sont les travaux ?
Elle va me les chercher et je les enfile.
- Veux-tu que je vous accompagne ?
- Pas la peine Olivier sera mes yeux, il m’expliquera.
Laurette ne peut être que satisfaite de moi car je joue le jeu à la perfection.
Je suis prête et nous prenons le chemin vers la chapelle.
Les premiers cent mètres se font sans problème.
Le bruit de mes chaussures sur le gravier m’aidant mais je sais que pour aller jusqu’au chantier il y a une pelouse d’herbe fauchée et il me faut de l’aide pour garder la bonne direction.
- C’est bien d’être venue ici sans aide, tu es une femme forte.
Donne-moi la main surtout que tu vas directement sur les nouveaux bois de charpente que les ouvriers ont entassés là pour les poser dans les jours prochains.
J’ai un moment de réticence mais jouer le jeu reste la règle même si j’ai envie de lui hurler que je connais ses intentions.
- Je t’explique et je te guide.
À droite avant d’entrer tous le bois et les pierres brûlées sont entassées, attention à la marche on entre.
Mesdames et messieurs nous allons commencer la visite, levez la tête vous constaterez que la nef avec ses peintures est intacte mais noircit ce qui montre la puissance du feu.
- Monsieur le guide les deux statuts de chaque côté de la travée centrale sont-elles intactes ?
- Oui madame, elles aussi sont un peu noircies mais toujours sur leur socle.
Madame tournée à droite et faîte un pas.
Je fais ce qu’il me dit et ma poitrine frappe la sienne.
Il m’enserre et m’embrasse.
Il passe sa main entre nous et sa main empomme mon sein.
Je dois reconnaître que je suis loin d’être insensible à sa main et que la fraise réagit au quart de tour.
C’est bête que ce baiser compte pour du beurre car il sait faire tourner sa langue autour de la mienne.
Je sens ma fourche recouverte de mon slip de bain s’humidifier.
« Fait le languir pour mieux le ferrer. »Les propos de Laurette me reviennent en mémoire mais il me prend ma main libre et la place sur son slip.
Baobab, j’avais bien senti un beau morceau dans la piscine mais dans ma main c’est autre chose.
Assez jouée sinon il va se croire en terrain déjà conquis et ma belle qui doit être repartie vers ses écuries serait mécontente de moi.
- Que fais-tu Olivier ?
J’ai senti que tu avais envie de moi et je dois reconnaître que je suis à deux doigts de craquer.
Mais ici c’est une église et le berceau de ma famille, si un garçon arrivait à faire chavirer mon cœur c’est dans cette chapelle que je lui dirais oui.
- Je comprends mais je te jure que ce garçon se sera moi, je t’attends depuis nos 5 ans.
Le foireux, il se dévoile déjà, une nouvelle fois si son plan m’était inconnu je lui sauterais au cou me laissant prendre tellement à l’oreille il semble sincère.
- Je vais vers l’autel, je vais me guider le long des prie-Dieu et des petits bancs.
- Attention arrête, le plancher à l’endroit où tu marches est brûlé.
- Aie !
Trop tard, mon pied éclate le bois et je rentre jusqu’au genou.
Je m’assieds sur les fesses, le plancher à céder.
- Il faut éviter de bouger Véronique tu risques de te faire plus mal.
Attends-je t’aide à remonter ta jambe.
Je suis ses conseils et je me retrouve entière avec seulement une douleur à la jambe droite.
- Tu as une belle estafilade sur ta jambe mais elle est entière.
Pas de fracture.
- Olivier il semble qu’il y est quelque chose en dessous.
- On va casser ce plancher on verra ce qu’il y a, j’ai vu des outils je vais chercher une pioche.
- Appelle Laurette, j’ai un peu la frousse, s’il y avait un cadavre.
J’ai vraiment peur.
Laurette a toujours été un peu garçon manqué, quand nous étions petites si nécessaire elle faisait le coup de poing pour me défendre.
Quand je repense à notre nuit d’amour c’est elle qui menait nos besoins de sexe trouvant toujours un jeu nouveau à me proposer.
- Véronique, où es-tu, je suis venue, j’ai cru entendre crier ?
- Olivier allait venir te chercher, regarde j’ai passé le pied à travers le plancher, je me suis blessée à la jambe, il semble y avoir un trou.
- Olivier rend toi utile va jusqu’à l’écurie, sur l’appui de fenêtre à gauche, il y a une lampe torche.
Elle est branchée sur sa batterie en cas de panne électrique pour éviter que les chevaux ne paniquent.
Olivier est dans l’obligation de nous quitter.
Que peut-il y avoir sous ce plancher, le trou semble profond, ma jambe s'est retrouvée dans le vide ?…
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