COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Ma nuit de noces (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Ma nuit de noces (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-03-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Ma nuit de noces (2/2)
Mon prince blond aux yeux bleus me tient la main.
C’est ce que mes yeux voient lorsque j’émerge de mon brouillard après la nuit de noces que je me suis offerte après la trahison de Jhonny, le fils de belle maman où ce qu’elle aurait dû l’être.
Mon prince blond, car je suis dans un lit de princesse comme j’en ai tant rêvé.

• J’ai dormi longtemps, ou suis-je au paradis ?
• Vous êtes dans notre château, je m’excuse de ce que mes ouvriers vous ont fait subir.
Mes parents m’ont appelé John.

Tout me revient en mémoire, le bar, la vodka et Mustapha ou Mustapha et la vodka, que je biberonnais au goulot de la bouteille.
Jhonny, John, je suis poursuivie par ces noms.

• Vous savez Lionne, quel beau nom, ces hommes sont isolés de leurs femmes et Mustapha a oublié que son travail était d’empêcher les débordements que vous avez subis.
Je connais votre nom, Mother me l’a dit quand elle a regardé pour appeler votre famille.

Je sens ma chatte et mon anus qui me tire un peu, mais comment dire à ce beau gosse que je suis fière de la façon dont j’ai perdu ma virginité.

• Les toilettes, vite !

Je sors du lit entièrement nue et je me dépêche de courir vers la porte qu’il me désigne.
Trois jours sans soulager ma vessie.
Ça me brule un peu, mais c’est supportable.
Je m’essuie, salle de bains de princesse comme la pièce ou je viens de me réveiller.
Je vais pour revenir dans la chambre, quand une main passe la porte me tendant un peignoir.
Je rejoins la chambre ou je vois un plateau avec une théière et une cafetière avec des croissants.

• Notre femme de service vous a préparé un plateau, je pense que dormir pour récupérer ça creuse.

Je m’installe à la petite table où l’on m’a servi.
Je dévore, je suis café avec les croissants chauds à point comme je les aime.

• Vous semblez rassasié, vous devez vous poser quelques questions.

Je m’essuie la bouche avec la serviette, une vraie, une grande très bien repassée.
Pas une en papier comme souvent je m’en sers chez mes parents.

• Mes parents ?
• Nul souci, Mother leur a téléphoné pour leur dire qu’elle vous avait rencontré et qu’elle vous avait invité.
Elle est maire de notre commune, elle les connaissait, ils ont compris, vous pouvez être tranquille, je vous reconduirais chez vous dès que vous serez entièrement remise.

C’est vrai, j’ai vu cette femme très vite et ai mal vu que c’était elle.
Notre maire, je la connais aussi.

• Par chance pour vous, je suis revenu chercher des plans pour travailler ici dans mon bureau et quand je vous ai vu dans la situation où Mustapha vous avait entrainé en vous faisant boire, j’ai vu rouge.
Il vous a fait perdre toute retenu, je l’ai viré sur-le-champ et je vous ai porté dans notre propriété.
Soyez sans crainte, quand nous sommes arrivés, je vous avais enveloppé dans une couverture vous protégeant et c’est mère qui vous a donné votre bain.
Depuis vous dormez.
• Madame Agnès est votre mère, John !
• Oui, mes parents ont divorcé quand j’avais quatre ans.
Dad est américain et est retourné avec moi à New York.
J’y ai fait mes études et comme Mother avait besoin de développer notre branche construction, je l’ai rejoint.
• Ça vous donne, un petit ascend sympa.

Je l’avais bien constaté, je comprends mieux.
J’aime quand il dit Mother en parlant de sa mère et maintenant Dad pour son père.

• Je vais vous laisser, je vous propose de vous emmener faire une promenade dans notre parc dès que vous serez prête.
Mère assume le travail jusqu’à ce soir, je vais vous consacrer ma journée.
Sur cette chaise, vous trouverez quelques effets à votre taille, nous les avons fait venir d’un magasin ou mère à l’habitude de se fournir pour ses vêtements.
Pendant que vous déjeuniez, notre femme de service vous a fait couler un bain.

À la vision que j’ai, ce jean et ce chemisier doivent sortir de la rue piétonne de notre petite ville, ou même de la grande ville voisine.
Même si mes tenues sont de bonne facture, toutes Françaises, elles sont loin de la qualité de ce que l’on m’a acheté.
Où sont mes affaires, certainement dans les bagages de tous ces hommes les ayant gardé comme trophées pour avoir sauté et même enculé une petite salope française ?
Quand j’entre dans le bain, je repense à ce que j’ai fait, pour la première fois de ma vie.
Je glisse deux doigts dans mon anus, ça va, tout semble être remis en place, le trou est redevenu normal.

John m’a dit m’attendre pour une promenade, je serais bien restée à languir dans l’eau chaude, mais j’ignore s’ils vont me garder longtemps.
Je veux leur donner meilleure impression que les images que le fils doit avoir dans les yeux quand je me faisais massacrer par toutes ces bites avides de faire de moi une salope.
Pourtant, je voulais simplement perdre mon pucelage lors de ce que je considérais comme ma nuit de noces.

Je sors de la chambre ayant enfilé le jean et le chemisier ainsi que les baskets.
Il y a un escalier qui descend jusqu’au rez-de-chaussée.
De chaque côté dix portraits.
Cinq hommes, en pendant de l’autre, quatre femmes et au milieu un homme.

• Lionne, ce sont tous mes ancêtres depuis la révolution, tu vois ici le premier portais de Jean, un vulgaire gardien de troupeau qui ayant séduit mon aïeule laitière.
Ils se sont installés dans ce château après la fuite des propriétaires lors de la révolution.
Si trouvant bien ils y sont restés, Jean est le premier de toute notre lignée.
De l’autre, Jeanne, elle avait donné naissance à Juste, le portait suivant quand elle a été rattrapée par la révolution, officiellement elle a été guillotinée.
Dans la famille d’autres disent que c’est Jean qui l’a tué et enterré dans un lieu connu de lui seul.
Elle l’avait trompé avec le gardien de leurs chevaux.
Mais laisse tomber mes ancêtres, il fait beau allons nous promener.

Il a raison, nous nous marchons côte à côte vers un bouquet d’arbres, certains dépassent les autres tellement ils sont hauts.
Nous sommes à quelques mètres de ce bois, un coup de feu éclate non loin de nous.
Je me blottis dans ses bras.

• Soit sans crainte, ce doit être Charles, notre garde-chasse qui vient d’avoir le six bois qu’il avait décidé d’abattre avec mon autorisation.
Il est utile de changer de mâle dominant surtout avec les jeunes femelles.

Six bois, j’ignore de quoi il parle, mais c’est bien ainsi, le sang et moi ça fit deux.
Le principal, c’est que je sois dans ses bras.

• Il faut rester sage, Mother tient à ce que je me marie vierge.
À part Jean, toute notre lignée était vierge au mariage.
Du côté des portraits des femmes, tu as vu un homme Philibert !
Léonard son pendant et lui était deux amants qui bien sûr étaient dans l’impossibilité d’enfanter.
Ils ont adopté un jeune orphelin avant la guerre et c’est mon père qui a renouvelé la famille.
Tu vois, je suis issu de nulle part.

Nous sommes restés main dans la main nous promenant dans le parc.
John semblait avoir du sentiment pour moi.

• Lionne, je vais te f aire un aveu.
Je sais tout ce qui s’est passé dans le bungalow de nos ouvriers, j’ai eu le temps de voir.
• Au début quand j’ai rencontré Mustapha dans ce café, je voulais simplement perdre mon pucelage.
• Je t’arrête, inutile dans dire plus, quand je t’ai ramené au château, Mother m’a dit qu’elle te connaissait, que ton fiancé t’avait laissé tomber à quinze jours de ton mariage.
• Quatorze jours, de samedi à samedi, j’ai bu de la vodka et c’est comme ça que je me suis retrouvée dans la situation où tu m’as trouvée.
• Pour moi et les valeurs que je porte, faire ça à une jeune femme est intolérable.
Je comprends que le soir qui aurait dû être le plus beau de ta vie, tu aies eu un moment de désespoir et que Mustapha t’a fait tomber dans ses filets.

Nous revenons vers le château.

• Tu vois dans notre forêt de dix hectares, nous avons de vieux chênes centenaires.
Avec nos forestiers, nous en faisons abattre un lorsque les besoins s’en font sentir.
Nous avons des ébénistes qui se battent pour les acheter quand nous leur lançons un appel d’offres.

Nous sommes près d’un pigeonnier.

• Quand je t’ai porté si frêle protégé par cette couverture dormant comme un bébé, j’ai su que c’était toi que j’attendais.
En fuyant Jhonny, c’est le nom que Mother m’a donné, j’ai vu le signe du destin qui devait être le nôtre.

John s’agenouille devant moi sort un petit coffret de sa poche.

• Lionne, veux-tu m’épouser.
• Et ta mère, que va-t-elle dire, y as-tu pensé.
• C’est elle qui m’a donné cette bague qui appartenait à Jeanne, mais qui devait être à ceux qu’ils avaient remplacés.
Mother est enchanté que je t’épouse, elle désespérait qu’un jour je lui fasse des petits enfants.

Je tends mon annulaire gauche, c’est drôle comme l’amour vous tombe dessus.
Au moment où l’anneau avec un gros rubis glisse sur mon doigt, des centaines de colombes sortent des fentes du pigeonnier.
Quelle jolie façon de faire sa demande en mariage surtout lorsque l’une d’elles se pose sur mon épaule.

• Lionne, je connais Maryse, celle qui aurait dû être ta belle-mère.
Je suppose que pour la préparation de ton mariage, elle t’a tout imposé !
Il en sera différemment pour moi.
Je connais aussi Nouzha et Claire, celle qui devait être êtres tes demoiselles d’honneurs et témoins, elles seront de bon conseil.
Tu as carte blanche pour organiser ton mariage avec la prunelle de mes yeux.
John vous accompagnera pour donner notre carte bleue.
Mon fils a dû te parler de nos chênes, nous avons donné les ordres d’en abattre un.
• Je peux acheter celle dans la vitrine avec le diadème !
• Oui, pour la robe, je connais bien la boutique, elle est magnifique.
• Non, pour le diadème, ce sera ma surprise le jour de ton mariage.
Votre mariage va avoir lieu dans six semaines, j’ai fait publier les bans.
Ce grand dadais sera là je te le promets.

Agathe, impossible que je l’appelle belle-maman conduit son fils devant le bureau dans la salle des mariages.
Elle le laisse et va officier ceinte de son écharpe tricolore.
J’entre au bras de papa, mes demoiselles d’honneur aident les enfants porteurs de ma traine.

« Oui, je le veux. »« Oui, je le veux. »
Idem à l’église, mais sans l’écharpe tricolore comme le veut la séparation de l’État et de l’église.

« Oui, je le veux. »« Oui, je le veux. »
Je suis dans ces bras, il me porte recouvert de ma robe blanche après le vin d’honneur ayant réuni la presque totalité des gens du village.
Les élections municipales sont dans un mois.
Après le repas préparé par la charcuterie et la pâtisserie « La petite Marquise » de notre centre-ville.
Sur la table, des bristols avec les noms de chaque invité.
Ils sont écrits en lettres d’or.
De vraies feuilles d’or.

Dans ses bras, nous franchissons la porte de ma chambre de princesse.
Dans un château de princesse.
John m’ôte ma robe de princesse après l’avoir enlevé le diadème, le collier et les boucles d’oreilles, le tout couvert de rubis faisant le pendant avec ma bague de fiançailles.
Nue, John l’est aussi.
Au moment où il me pénètre, ma nuit de noces commence.

La seule.

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