COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Trente ans après (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUCEAU - PUCELLE. Trente ans après (2/2)
Lorsque je repense à ce qui va suivre, la vie est étrangement faite.
J’ai beaucoup travaillé pendant des années pour devenir l’avocat que je suis aujourd’hui.
La chance de ma vie, je l’ai rencontrée lors d’une des rares soirées ou je me suis rendu après la réussite de mon bac.
Cette chance, je croyais l’avoir définitivement perdu lorsqu’une voiture m’a permis de la retrouver.
La retrouver enfin je le croyais lorsque je l’ai vu, mais je prends conscience que c’est sa jumelle que j’ai face à moi.
• Francesca, me permets-tu d’éviter d’être un goujat ?
• Tu peux, avoir dans le regard l’envie de me baiser alors que je suis une autre, ça peut être dure à accepter !
J’ai vu que tu avais tendance à regarder vers mes fesses, malgré mon pantalon.
Je vais t’étonner, je crois savoir pourquoi tu les regardes.
Le tutoiement que d’elle-même elle emploie me fait plaisir, j’ai été dépucelé par la sœur, pourquoi hésiter à sauter sa jumelle.
Depuis mon dépucelage et mes nouvelles conquêtes à croire qu’il faut l’avoir perdu pour qu’elle viennent d’elle-même vous sauter au paf, je sais qu’avec leur petit cul, tout est envisageable.
Mes yeux se portent sur ses fesses, mais aussi sur sa main, nulle bague me prouvant qu’elle est en main, je peux attaquer plein pot et avec ma formule habituelle.
• Je peux t’inviter au restaurant, je suis libre de tout rendez-vous.
• Ça peut ce faire, mais je voudrais être invitée pour moi-même et non par substitution de ma soeur.
• L’avenir nous le dira, mais pour le moment c’est un simple repas pour mieux nous connaitre et aussi pour te dédommager de ton déplacement.
Non loin de notre lieu de rendez-vous, il y a un restaurant et nous y rendons.
Repas en toute décontraction, à la fin Francesca est bien elle-même surtout quand je la guide jusque chez moi et avant de rentrer, je l’embrasse sur la bouche.
Refusant toute comparaison, c’est dans mon lit que je lui fais l’amour pour un plaisir partagé.
Alpina m’avait montré qu’elle avait assez d’expérience pour avoir déjà vécu, Francesca aussi, mais comme moi j’ai bien évolué, c’est en parfaite harmonie que nous baisons.
Dans nos rapports une chose me hante, a-t-elle ou non la tache de naissance en forme de fleur de lys ?
Comment lui dire que je voudrais la prendre en levrette ?
Je la prends très classiquement, une première fois et voulant recommencer, je bande encore, je commence par un cunnilingus.
Elle a un clito très sensible et rapidement se tord de plaisir.
Dans son moment de jouissance, je me redresse, délicatement je lui fais comprendre par un mouvement tendre que je veux la baiser en levrette.
Elle doit aimer être prise comme une chienne, car elle se positionne.
Je peux enfin voir sa fesse droite, nulle fleur de lys.
Je vais pour la claquer dans cette position, les filles souvent aiment ça, sinon je m’excuserais.
Je retiens ma main, la fleur de lys est sur sa fesse gauche.
Je la pénètre et rapidement tous les deux, nous atteignons ce que certains appellent la petite mort.
Nous tombons épuisés dans les bras l’un de l’autre.
• J’ai bien vu que tu cherchais notre tache de naissance comme pour ma sœur sur ma fesse droite, moi elle est à gauche.
Petite nous avons demandé à notre maman, pourquoi une telle différence.
Elle nous a expliqué que depuis le Roi-soleil, Louis XVI, nos aïeules étaient jumelles comme nous.
L’une était l’une des putes du roi et avait été marquée sur sa fesse droite d’une fleur de lys.
Elle aurait eu des jumelles qui de génération en génération ont eu des jumelles du moins celle qui avait la fleur de lys à droite.
Automatiquement l’autre seulement des enfants mâles ou femelles avec une fleur sur la fesse gauche.
Alpina était la descendante de la pute, moi de sa sœur honnête femme au foyer, c’est étrange si c’est bien réel.
Lorsqu’elle était en France, Alpina avait laissé mari et jumelles aux USA avant d’y retourner.
Avec toi, elle a certainement voulu s’amuser pendant son voyage, elle m’avait toujours dit vouloir dépuceler un garçon, elle a dû réaliser son fantasme.
• Mariée avec des jumelles, on elle les taches de naissance ?
• Bien sûr, fesse droite et gauche, la vie est un éternel recommencement.
• Que fait-elle aux États-unis ?
• Elle enseigne le Français à New York, son mari est notaire.
Je lui demanderais pourquoi elle était là lorsque je l’aurais au téléphone, mais arrêtons de parler d’elle, sinon je vais croire que tu aimes les descendantes de putes.
Francesca, même si elle descend de la partie honorable du temps de Louis, le quatorzième, si connaît sexuellement.
Combien de femmes honorables ont en elle une face prude et une face pute, rapidement je découvre les deux.
J’exploite toutes les phases de sa perversité, mais un jour, je dois le reconnaitre, j’ai fait le tour de la question Francesca et nous nous quittons bons amis.
Les années passent, je développe mon cabinet d’avocats spécialisé dans les divorces.
C’est dingue le nombre de femmes à qui vous permettez un divorce avec tous les avantages, peut, vous êtes reconnaissante dès qu’elles ont retiré leur anneau à leur annulaire.
Une sur trois, nous fêtons leur libération, dans le restaurant où j’ai mes habitudes depuis avant Francesca et elles finissent dans mon lit.
J’en ai même baisé sur mon bureau lorsque je leur demande de passer pour clore leur dossier.
Immanquablement, je regarde leur fesse, droite ou gauche pour savoir si j’ai affaire à une descendante des putes de nos rois.
En prenant de l’âge, je suis moins regardant surtout depuis Wafae, grosse ou petite poitrine, du moment que je les baise, comme on dit, tous fait ventre, mais toujours dans le beau linge.
• Bonjours monsieur, une dame vous attend dans le couloir devant votre bureau.
• Merci, Solange, mais vous savez que j’ai horreur des clients qui veulent me forcer la main, vous auriez dû l’orienter vers Christian , c’est lui qui démarre mes dossiers.
• Elle a insisté.
Je prends, le couloir et surprise Francesca est là, un peu vieilli comme moi, mais encore fort appétissant.
• Francesca, c’est toi, je comprends que tu aies voulu me voir personnellement, tu as bien fait, entre que me vaut ta visite.
J’aurais été un peu observateur, j’aurais vu que Francesca semble un peu étonnée.
• C’est pour mon divorce, on m’a certifié que tu étais le meilleur, c’est pour ça que je suis venue te voir.
• Tu es mariée, ça s’est fait après notre séparation !
• Oui, nous nous sommes séparées bons amis, mais j’ai tout de même une période ou je t’ai regretté et j’ai eu quelques aventures, avant d’épouser Claude, mon mari.
Il m’a trompé, je peux en fournir la preuve et je veux divorcer.
Un mari qui trompe sa femme, même s’il est friqué et une batterie de mes confrères, c’est du pain béni pour moi, nul besoin de se déchier.
Une grosse somme d’argent ou de bien et la messe est dite, j’empoche une grosse commission.
• Pour monter ton dossier, je vais te confier à un de mes jeunes assistants, je dois me rendre au tribunal de Bordeaux et de là je pars pour Tahiti prendre deux mois de vacances.
Tu serais libre, je t’aurais emmené dans mes bagages, mais surtout évite toute imprudence de ce genre, mais soit tranquille, je serais au tribunal pour défendre ton divorce.
Claude, pouvez-vous venir me voir ?
Voilà, Claude prend mon amie en mains, enfin, « en mains, » son dossier pour le reste elle est libre de son corps et mon adjoint lui aussi étant majeur.
Mais contrairement à moi, il est marié et à ce que j’en sais lorsque nous faisons la soirée fin d’année, je les vois les deux, d’année en année toujours étant l’un avec l’autre la main dans la main.
Que dire de mon voyage, un rêve, mon rêve depuis que dans ma jeunesse j’ai vu un film sur ces îles ?
Les vahinés, beaucoup sont loin des images de rêves et elles ont le handicap d’être brune alors que j’ai déjà dit que j’aimais les blondes.
De retour je me replonge dans mes dossiers, rapidement vient le dossier de Francesca.
Je le regarde en travers comme l’on dit, sur sa couverture, Claude a mis un Post-it « amiable conclu ».
• Monsieur le Président, l’affaire qui nous amène, concerne ma cliente Francesca qui souhaite se séparer de son mari qui l’a trompé.
• Maître, je sais que vous revenez de vos vacances, mais vous m’avez habitué à mieux préparer vos dossiers.
Vous parlez de madame Francesca, alors que sur le mien, votre cliente s’appelle Alpina !
Je prends conscience de l’erreur qui se fait dans ma tête, certes, j’ai pris des vacances, mais je suis certain d’avoir reçu Francesca le premier jour.
• Monsieur le Président, me permettez-vous de consulter ma cliente ?
• Faite, maître !
Nous sortons du bureau.
• Qu’est-ce que cela veut dire ?
• Lorsque je suis venue dans ton bureau, tu as bien dit « Francesca, » depuis toute petite, ma sœur et moi, nous amusons à remplacer l’une à la place de l’autre.
Lorsque tu m’as appelé Francesca, j’ai démarré le jeu pour un temps court.
Dès que j’ai été dans le bureau de maître Claude, je lui ai parlé du jeu que nous avions l’habitude de pratiquer.
Il m’a dit qu’il te tiendrait au courant.
• Tu es revenue en France et tu t’es mariée !
• Oui, depuis mon premier divorce avec mon mari américain.
• Tu es déjà divorcée une première fois !
• Oui, mon mari a eu des doutes sur nos jumelles, il a fait un test ADN et il avait raison.
• Tu le savais, tu l’avais trompé avec un autre.
• Oui, avec toi, un soir où j’étais venu voir un copain d’enfance.
Son fils faisait une fête et avait laissé son pavillon à une bande de jeunes.
Un jeune homme m’a fait pitié, j’ai tout de suite su qu’il était puceau et nous avons été dans la voiture que ma sœur m’avait prêtée.
Le reste tu le sais, c’est de retour que j’ai vu que mon voyage avait été bénéfique, je voulais des enfants, mon mari non.
Je lui ai fait croire que tes filles étaient de lui jusqu’à ce qu’il fasse ce test.
Je m’assieds sur le banc où on amène les prévenus pour voir le juge.
Que dire de plus, oui, nous retournons voir le juge et nous validons le dossier d’Alpina ?
En ce moment, je suis avec elle à l’aéroport pour un départ pour les États-Unis.
J’ai rendez-vous avec mes filles, leurs maris et mes petits-enfants, des jumeaux pour l’une mixte pour l’autre.
• Monsieur et madame, vous pouvez embarquer, tout est en règle.
Oui, j’ai épousé Alpina celle que j’avais cherchée des années.
Dès le jugement tendu, je l’ai emmené dans mon restaurant et le soir elle était dans ma chambre.
Lorsque nous sommes dans mon lit, bien sûr, je cherche à voir la tache de naissance.
Ouf, fesse droite, j’ai la bonne sœur au bout de ma queue, surtout qu’avec son expérience et le mien, j’ai la pute du roi dans mon lit.
J’ai beaucoup travaillé pendant des années pour devenir l’avocat que je suis aujourd’hui.
La chance de ma vie, je l’ai rencontrée lors d’une des rares soirées ou je me suis rendu après la réussite de mon bac.
Cette chance, je croyais l’avoir définitivement perdu lorsqu’une voiture m’a permis de la retrouver.
La retrouver enfin je le croyais lorsque je l’ai vu, mais je prends conscience que c’est sa jumelle que j’ai face à moi.
• Francesca, me permets-tu d’éviter d’être un goujat ?
• Tu peux, avoir dans le regard l’envie de me baiser alors que je suis une autre, ça peut être dure à accepter !
J’ai vu que tu avais tendance à regarder vers mes fesses, malgré mon pantalon.
Je vais t’étonner, je crois savoir pourquoi tu les regardes.
Le tutoiement que d’elle-même elle emploie me fait plaisir, j’ai été dépucelé par la sœur, pourquoi hésiter à sauter sa jumelle.
Depuis mon dépucelage et mes nouvelles conquêtes à croire qu’il faut l’avoir perdu pour qu’elle viennent d’elle-même vous sauter au paf, je sais qu’avec leur petit cul, tout est envisageable.
Mes yeux se portent sur ses fesses, mais aussi sur sa main, nulle bague me prouvant qu’elle est en main, je peux attaquer plein pot et avec ma formule habituelle.
• Je peux t’inviter au restaurant, je suis libre de tout rendez-vous.
• Ça peut ce faire, mais je voudrais être invitée pour moi-même et non par substitution de ma soeur.
• L’avenir nous le dira, mais pour le moment c’est un simple repas pour mieux nous connaitre et aussi pour te dédommager de ton déplacement.
Non loin de notre lieu de rendez-vous, il y a un restaurant et nous y rendons.
Repas en toute décontraction, à la fin Francesca est bien elle-même surtout quand je la guide jusque chez moi et avant de rentrer, je l’embrasse sur la bouche.
Refusant toute comparaison, c’est dans mon lit que je lui fais l’amour pour un plaisir partagé.
Alpina m’avait montré qu’elle avait assez d’expérience pour avoir déjà vécu, Francesca aussi, mais comme moi j’ai bien évolué, c’est en parfaite harmonie que nous baisons.
Dans nos rapports une chose me hante, a-t-elle ou non la tache de naissance en forme de fleur de lys ?
Comment lui dire que je voudrais la prendre en levrette ?
Je la prends très classiquement, une première fois et voulant recommencer, je bande encore, je commence par un cunnilingus.
Elle a un clito très sensible et rapidement se tord de plaisir.
Dans son moment de jouissance, je me redresse, délicatement je lui fais comprendre par un mouvement tendre que je veux la baiser en levrette.
Elle doit aimer être prise comme une chienne, car elle se positionne.
Je peux enfin voir sa fesse droite, nulle fleur de lys.
Je vais pour la claquer dans cette position, les filles souvent aiment ça, sinon je m’excuserais.
Je retiens ma main, la fleur de lys est sur sa fesse gauche.
Je la pénètre et rapidement tous les deux, nous atteignons ce que certains appellent la petite mort.
Nous tombons épuisés dans les bras l’un de l’autre.
• J’ai bien vu que tu cherchais notre tache de naissance comme pour ma sœur sur ma fesse droite, moi elle est à gauche.
Petite nous avons demandé à notre maman, pourquoi une telle différence.
Elle nous a expliqué que depuis le Roi-soleil, Louis XVI, nos aïeules étaient jumelles comme nous.
L’une était l’une des putes du roi et avait été marquée sur sa fesse droite d’une fleur de lys.
Elle aurait eu des jumelles qui de génération en génération ont eu des jumelles du moins celle qui avait la fleur de lys à droite.
Automatiquement l’autre seulement des enfants mâles ou femelles avec une fleur sur la fesse gauche.
Alpina était la descendante de la pute, moi de sa sœur honnête femme au foyer, c’est étrange si c’est bien réel.
Lorsqu’elle était en France, Alpina avait laissé mari et jumelles aux USA avant d’y retourner.
Avec toi, elle a certainement voulu s’amuser pendant son voyage, elle m’avait toujours dit vouloir dépuceler un garçon, elle a dû réaliser son fantasme.
• Mariée avec des jumelles, on elle les taches de naissance ?
• Bien sûr, fesse droite et gauche, la vie est un éternel recommencement.
• Que fait-elle aux États-unis ?
• Elle enseigne le Français à New York, son mari est notaire.
Je lui demanderais pourquoi elle était là lorsque je l’aurais au téléphone, mais arrêtons de parler d’elle, sinon je vais croire que tu aimes les descendantes de putes.
Francesca, même si elle descend de la partie honorable du temps de Louis, le quatorzième, si connaît sexuellement.
Combien de femmes honorables ont en elle une face prude et une face pute, rapidement je découvre les deux.
J’exploite toutes les phases de sa perversité, mais un jour, je dois le reconnaitre, j’ai fait le tour de la question Francesca et nous nous quittons bons amis.
Les années passent, je développe mon cabinet d’avocats spécialisé dans les divorces.
C’est dingue le nombre de femmes à qui vous permettez un divorce avec tous les avantages, peut, vous êtes reconnaissante dès qu’elles ont retiré leur anneau à leur annulaire.
Une sur trois, nous fêtons leur libération, dans le restaurant où j’ai mes habitudes depuis avant Francesca et elles finissent dans mon lit.
J’en ai même baisé sur mon bureau lorsque je leur demande de passer pour clore leur dossier.
Immanquablement, je regarde leur fesse, droite ou gauche pour savoir si j’ai affaire à une descendante des putes de nos rois.
En prenant de l’âge, je suis moins regardant surtout depuis Wafae, grosse ou petite poitrine, du moment que je les baise, comme on dit, tous fait ventre, mais toujours dans le beau linge.
• Bonjours monsieur, une dame vous attend dans le couloir devant votre bureau.
• Merci, Solange, mais vous savez que j’ai horreur des clients qui veulent me forcer la main, vous auriez dû l’orienter vers Christian , c’est lui qui démarre mes dossiers.
• Elle a insisté.
Je prends, le couloir et surprise Francesca est là, un peu vieilli comme moi, mais encore fort appétissant.
• Francesca, c’est toi, je comprends que tu aies voulu me voir personnellement, tu as bien fait, entre que me vaut ta visite.
J’aurais été un peu observateur, j’aurais vu que Francesca semble un peu étonnée.
• C’est pour mon divorce, on m’a certifié que tu étais le meilleur, c’est pour ça que je suis venue te voir.
• Tu es mariée, ça s’est fait après notre séparation !
• Oui, nous nous sommes séparées bons amis, mais j’ai tout de même une période ou je t’ai regretté et j’ai eu quelques aventures, avant d’épouser Claude, mon mari.
Il m’a trompé, je peux en fournir la preuve et je veux divorcer.
Un mari qui trompe sa femme, même s’il est friqué et une batterie de mes confrères, c’est du pain béni pour moi, nul besoin de se déchier.
Une grosse somme d’argent ou de bien et la messe est dite, j’empoche une grosse commission.
• Pour monter ton dossier, je vais te confier à un de mes jeunes assistants, je dois me rendre au tribunal de Bordeaux et de là je pars pour Tahiti prendre deux mois de vacances.
Tu serais libre, je t’aurais emmené dans mes bagages, mais surtout évite toute imprudence de ce genre, mais soit tranquille, je serais au tribunal pour défendre ton divorce.
Claude, pouvez-vous venir me voir ?
Voilà, Claude prend mon amie en mains, enfin, « en mains, » son dossier pour le reste elle est libre de son corps et mon adjoint lui aussi étant majeur.
Mais contrairement à moi, il est marié et à ce que j’en sais lorsque nous faisons la soirée fin d’année, je les vois les deux, d’année en année toujours étant l’un avec l’autre la main dans la main.
Que dire de mon voyage, un rêve, mon rêve depuis que dans ma jeunesse j’ai vu un film sur ces îles ?
Les vahinés, beaucoup sont loin des images de rêves et elles ont le handicap d’être brune alors que j’ai déjà dit que j’aimais les blondes.
De retour je me replonge dans mes dossiers, rapidement vient le dossier de Francesca.
Je le regarde en travers comme l’on dit, sur sa couverture, Claude a mis un Post-it « amiable conclu ».
• Monsieur le Président, l’affaire qui nous amène, concerne ma cliente Francesca qui souhaite se séparer de son mari qui l’a trompé.
• Maître, je sais que vous revenez de vos vacances, mais vous m’avez habitué à mieux préparer vos dossiers.
Vous parlez de madame Francesca, alors que sur le mien, votre cliente s’appelle Alpina !
Je prends conscience de l’erreur qui se fait dans ma tête, certes, j’ai pris des vacances, mais je suis certain d’avoir reçu Francesca le premier jour.
• Monsieur le Président, me permettez-vous de consulter ma cliente ?
• Faite, maître !
Nous sortons du bureau.
• Qu’est-ce que cela veut dire ?
• Lorsque je suis venue dans ton bureau, tu as bien dit « Francesca, » depuis toute petite, ma sœur et moi, nous amusons à remplacer l’une à la place de l’autre.
Lorsque tu m’as appelé Francesca, j’ai démarré le jeu pour un temps court.
Dès que j’ai été dans le bureau de maître Claude, je lui ai parlé du jeu que nous avions l’habitude de pratiquer.
Il m’a dit qu’il te tiendrait au courant.
• Tu es revenue en France et tu t’es mariée !
• Oui, depuis mon premier divorce avec mon mari américain.
• Tu es déjà divorcée une première fois !
• Oui, mon mari a eu des doutes sur nos jumelles, il a fait un test ADN et il avait raison.
• Tu le savais, tu l’avais trompé avec un autre.
• Oui, avec toi, un soir où j’étais venu voir un copain d’enfance.
Son fils faisait une fête et avait laissé son pavillon à une bande de jeunes.
Un jeune homme m’a fait pitié, j’ai tout de suite su qu’il était puceau et nous avons été dans la voiture que ma sœur m’avait prêtée.
Le reste tu le sais, c’est de retour que j’ai vu que mon voyage avait été bénéfique, je voulais des enfants, mon mari non.
Je lui ai fait croire que tes filles étaient de lui jusqu’à ce qu’il fasse ce test.
Je m’assieds sur le banc où on amène les prévenus pour voir le juge.
Que dire de plus, oui, nous retournons voir le juge et nous validons le dossier d’Alpina ?
En ce moment, je suis avec elle à l’aéroport pour un départ pour les États-Unis.
J’ai rendez-vous avec mes filles, leurs maris et mes petits-enfants, des jumeaux pour l’une mixte pour l’autre.
• Monsieur et madame, vous pouvez embarquer, tout est en règle.
Oui, j’ai épousé Alpina celle que j’avais cherchée des années.
Dès le jugement tendu, je l’ai emmené dans mon restaurant et le soir elle était dans ma chambre.
Lorsque nous sommes dans mon lit, bien sûr, je cherche à voir la tache de naissance.
Ouf, fesse droite, j’ai la bonne sœur au bout de ma queue, surtout qu’avec son expérience et le mien, j’ai la pute du roi dans mon lit.
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