COLLECTION PUTE. Fils de pute (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Fils de pute (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Fils de pute (1/1)
• Bonsoir, je vous ai fait venir pour que vous me fassiez une évaluation du domaine familiale.
• Souhaitez-vous vendre monsieur le baron ?
• Non , ce domaine est dans la famille depuis de nombreuses générations et j’aurais besoin de cette évaluation pour me mettre en règle après le décès de ma mère.
Il va de soi que vous me donnez vos honoraires pour ce travail.
De plus, je sais que dans notre patrimoine, en font partie des champs et des forêts, vous serez peut-être amené à en vende une partie.
• Je serais toujours à votre disposition monsieur le baron.
• Inutile de toutes ces civilités entre nous, c’est la mort de maman qui me confer ce titre, mais je m’appelle Robert et je vous invite à m’appeler par ce nom.
• Je m’en souviendrais monsieur le baron.

Certaines personnes sont incurables et tiennent à vous donner votre titre, le nôtre est bien réel.
Notre famille a su se cacher pendant la révolution, j’ai un portait de Félicien notre ancêtre avec un bonnet phrygien se cachant parmi ses paysans.
Ma vie depuis ma naissance s’est déroulée en deux parties.
La première à Paris, principalement avec ma nounou anglaise qui s’était occupée de moi de ma naissance jusqu’à la deuxième partie de ma vie où nous avons emménagé dans notre manoir.
Ma nurse m’a appris l’anglais, je suis complètement bilingue.
Dans cette période jusqu’à mes douze ans, j’ai peu vu maman, elle partait souvent en voyage à l’autre bout du monde.
Lorsqu’un jour elle m’a emmené dans sa voiture de sport Porsche dans ce manoir où depuis nous vivons, elle m’a appris que j’avais une grand-mère qui venait de mourir et qu’elle allait s’occuper de sa succession.
Ma vie a été chamboulée.
Je lui ai demandé pourquoi elle m’avait caché son existence, sa réponse a été simple.
Incompatibilité d’humeur entre les deux femmes et qu’elle avait fini par oublier son existence.
C’est l’appel d’un notaire chargé de rechercher des héritiers et une prétendue fille qui l’avait prévenue de son décès.
Une autre fracture s’est faite, lors de cette douzième année, Abby, ma nounou a profité du changement de situation pour retourner vivre en Angleterre.
Maman a considéré que j’étais assez grand pour vivre seul avec elle surtout que ces voyages se sont arrêtés.

J’ai vécu là jusqu’à la mort de maman faisant mes études dans le lycée voisin, restant un garçon taciturne.
Maman est morte la semaine dernière et moi je dois m’occuper de la succession de notre domaine et du patrimoine qu’il représente.
Monsieur Jacques, l’agent immobilier parti, je retourne dans le bureau pour classer des papiers et certainement au fond de moi trouver qui est mon père.
En effet même à mon âge, maman m’a toujours caché comment et par quelle opération du Saint-Esprit j’étais né.
Déjà à Paris, autant qu’ici en province, ma mère a été toujours seule sans la présence d’un homme, en voyait-elle lors de ces voyages ?
Ça fait deux heures que je classe des papiers, j’ai fait des études pour être avocat et j’ai appris à travailler rationnement.
C’est dans le tiroir du bas du bureau que je trouve une jolie boite en marqueterie fermée par une clef.
Une clef, ou est-elle, il me revient en mémoire que maman en avait une dorée dans ses dernières années autour de son cou comme si c’était un bijou.
Je vais regarder dans le sac qui m’a été donné à l’hôpital où elle avait été amenée et où elle est morte.
Je retourne dans le bureau, ça colle, j’ouvre la boîte.
Des dessins que je reconnais vaguement, c’étaient des dessins fait à la maternelle à Paris.
J’étais plus près de Picasso que de Manet ou Monet, mais c’est touchant qu’elle les ait gardés, montrant rarement des marques de tendresse envers moi.
Des bijoux, certainement de sa maman, car ils font voir leur ancienneté et enfin un cahier d’écolier.
Au début, je pense qu’il m’appartient, j’ai eu les mêmes acheté par paquet en début des années scolaires.
Je l’ouvre et je reconnais son écriture, c’est maman qui semble l’avoir écrit.
Je commence à lire.

« C’est après bien des hésitations que je commence à écrire ce qu’il m’est arrivé dans ma vie après une altercation plus grande que les autres avec ma mère.
J’avais vécu dans ce manoir avec elle jusqu’à mes vingt ans.
Elle était seule, elle était fille-mère et toute sa vie, elle me reprochait ma naissance avec un garçon qui l’avait abandonnée la laissant seule devant sa grossesse et ses parents.
Un jour, ma mère lors d’une altercation, m’a giflé et ma mise à la porte trouvant que j’étais assez grande pour me débrouiller seule.
J’ai fait mon baluchon et j’ai pris la direction de la gare avec 200 € dans ma poche.
J’ai toujours été attirée par la capitale, j’envisageais déjà de la rejoindre, mais retardant toujours mon départ.
Ça été l’occasion, j’ai pris le train sans payer, je voulais garder mes quelques sous pour chercher du travail dans la grande ville.
Dans le train, dans le compartiment où je me trouvais est monté en même temps que moi un homme bien mis en costume trois-pièces et une attachée caisse.
Je surveillais l’arrivée du contrôleur pensant aller me cacher dans les toilettes, mais je me suis endormie et c’est sa grosse voie qui m’a réveillée.
J’étais coincée et j’ai essayé de lui faire croire que j’étais démunie.
Albert, le monsieur s’appelait Albert, à ouvert son portefeuille et a payé le billet avec le supplément.
Nous avons discuté et il m’a proposé de venir chez lui quand je lui ai dit ce qu’il m’était arrivé.
Je venais de trouver un toit pour quelque temps, restait à trouver un emploi.
« Quelles sont vos références ? »« Manque de références ! »« Trouver un travail, vous aurez des références et nous vous embaucherons ! »« Si tu as des difficultés, je connais quelqu’un qui pourrait t’aider, jolie comme tu l’es ! »
Cette dernière phrase, c’est Joelle qui la prononce dans un café du marais après que je me sois présentée à un entretien d’embauche ayant tourné au fiasco.
J’ai résisté avant d’appeler, mais comme monsieur Albert a du libéré son appartement, j’ai fini par composer le numéro donné par Joelle.
Pas de boulot et les ponts de Paris comme toit sur ma tête avec toute la promiscuité que cela comportait, mon choix était facile.
La femme qui a répondu s’appelait Colette, j’avais compris que c’était une madame Claude des temps modernes.
Je venais de province, mais j’avais des connaissances du monde auquel j’appartenais.
Comme exemple, Pierre Durand le fils du boulanger qui lors de sa tournée et l’absence de maman m’a enlevé mon pucelage.
Un coup facile pour lui, j’étais en colère contre ma mère et j’ai pris ça comme une vengeance.
Heureusement, quelques jours plus tard, j’ai évité l’infamie lorsque j’ai eu mes règles. »
Je fais une pause dans ma lecture, deux choses, Pierre Durand a été le premier amant de maman, mais c’est un autre qui l’a engrossé.
La deuxième, c’est son nom, je connais Pierre Durand, maintenant, c’est son fils qui tient la boulangerie avec sa jeune femme, jeune fille connue pour avoir la cuisse légère.
Je vois que maman a écrit le vrai nom des hommes qui ont jalonné sa vie.
Pierre au fronton de sa boulangerie a un autre nom qui pourrait le faire reconnaitre.
Tous ces hommes s’appellerons Durand, Dupond ou Duval, ce sera plus anonyme.
Je continue ma lecture.

« J’ai été reçu par madame Colette dans un très bel appartement, elle m’a fourni deux choses, un studio où je pouvais rester jusqu’à ce que je puisse me payer quelque chose de plus grand.
La deuxième, c’est mon premier client, dès que j’ai été installé.
Mon fils si tu lis ces lignes, je dois t’avouer ce que je t’ai toujours caché, ce jour-là, je suis devenue une pute, mais une pute de haut luxe.
Louis Duval est encore sénateur au moment où j’écris ces lignes.
Sénateur de province qui avait une chambre dans un hôtel parisien et où je me rendais pour baiser et recevoir des enveloppes.
J’étais très prisée comme escorte et comme madame Colette avaient des contacts dans le monde entier, j’ai commencé à voyager.
New York, Dubail, Hong kong et même Tokyo, j’ai plus visité des chambres dans les hôtels que les villes elles-mêmes.
J’ai même partouzé pour et avec des hommes et des femmes célèbres à Miami ou Los Angeles.
À ces occasions je retrouvais fréquemment Joelle, qui m’avait donné le numéro de madame Colette.
Je dois dire que j’ai beaucoup aimé lorsqu’elle me suçait la chatte et que je lui rendais bien.
Mais je m’égare, est-il nécessaire si tu me lis de savoir que j’aimais beaucoup me gouiner avec Joelle ou tout autre femme dans le cadre de mon travail.
Et puis dans les premiers temps de mes voyages, madame Colette m’a envoyé en Argentine dans la capitale.
À l’hôtel où j’avais rendez-vous, mon client m’a fait faux bond, mais il avait laissé mon enveloppe à la réception.
Pour une fois, ou j’avais du temps, j’ai décidé de rentrer à pied à mon propre hôtel, J’avais soif, je suis rentrée dans un bar et je me suis assise à une table.
À la table voisine, il y avait un homme habillé avec un costume et un col blanc.
J’ai eu du mal à me faire comprendre et c’est lui qui a fait comprendre à la serveuse que je voulais une bouteille d’eau.
J’ai vite compris que François, c’était le prénom qu’il m’a donné que François donc était un jeune prêtre.
Il buvait du Fernet-Branca boisson du pays.
Il m’a fait gouter, je buvais rarement de l’alcool encore moins avec un client, mais François l’était-il pas le moindre au monde.
J’étais pompette lorsque nous sommes sorties du bar, j’ai failli tomber et il m’a retenu jusque chez lui qui se trouvait à deux pas.
Mon fils, si tu lis ces lignes, j’ai un aveu à te faire, avec ton père même s’il était prêtre, c’est dans l’amour que nous t’avons conçu.
J’avais bu, mais rapidement mon cœur s’est enflammé, je dis mon cœur, mais mon corps aussi.
Combien d’hommes, avais-je eus depuis que j’avais accepté les clefs de l’appartement de madame Colette ?
Combien d’hommes avaient cru me faire jouir comparé à mon corps qui pour la première fois s’est enflammé jusqu’à la plénitude.
Comprends à demi-mot ce que, je veux dire, parler de l’emportement de nos corps à son fils, c’est un peu difficile.
Au bout de la nuit, je serais bien restée auprès de lui, mais il m’a quitté pour aller dire sa messe du matin.
Je suis retournée à mon hôtel, j’ai pris ma valise et un taxi m’a ramené à l’aéroport.
C’est dans l’avion ouvrant mon sac, que j’ai vu mon diaphragme.
Mon diaphragme que je me servais lorsque je rencontrais des hommes.
Au début, je prenais la pilule avec capote avec mes clients, mais des problèmes m’ont amené à en parler avec Joelle.
C’est elle qui m’a conseillé le diaphragme avec les capotes, le résultat était le même sans les inconvénients.
Bref, quelques semaines plus tard j’apprenais que j’étais enceinte.
Mon chéri, même si je t’ai élevé seul, tu as été le fruit de l’amour qui nous a emporté François et moi me faisant oublier toute prudence. »
Si je lis bien, je suis le fruit de la picole du fruit interdit et en baisant avec un curé.
Je suis allée manger, ruminant ma rancoeur, d’avoir idéalisé ce père, qui l’était déjà, père, mais pour ses fidèles.
Je reprends ma lecture, il me reste quelques plages.
Client Dupond, client Duval, Client Dupond et Duval.
Client Durand, Duval et Joelle, tout y passe, vraiment souvent des gens célèbres, maman avant de venir ici à baiser contre rétribution avec le gratin de Paris et même du monde entier.

« Voilà, j’arrive au bout de mes confidences, mon chéri, j’ai un peu honte de ce que je t’ai dévoilé sauf pour ton père.
Deux fois je suis allée à Charles de Gaulle pour le rejoindre, mais tu étais là et Abby aussi jusqu’à ce qu’un notaire me contact et m’apprenne que ma baronne de mère était décédée.
J’ai d’un coup voulu de changer de vie, j’allais écrire que j’avais eu ma dose de bite, mais ça serait trop pour tes chastes oreilles. »
Voilà les quelques lignes restantes sont sur notre vie ici et comme notre vie était très banale, je coupe là.
À non...

• Bonjour mademoiselle, à qui ai-je l’honneur ?

Devant moi une jolie blonde, belle à croquer.

• Je suis la fille de monsieur Jacques, l’agent immobilier à qui vous avez confié l’estimation de votre domaine.
Il est obligé de rester couché, s’étant cassé une jambe dans une étable en glissant sur une bouse de vache.
Il m’a confié la reprise de votre affaire, soyez sans crainte, je travaille avec lui et je suis assez compétente.

Pour l’être, elle l’est, en passant dans une des nombreuses chambres de notre manoir, je lui ôte sa petite culotte et lui fait l’amour divinement.
Baron, il me faut une baronne et Jennifer en fera une très jolie et surtout très intelligente.
Grâce à elle, j’économise sur nos droits de succession.
Pour qu’elle soit baronne, je la demande en mariage.
Il se peut que ce soit en Argentine que la cérémonie est lieu.
Un prêtre s’appelant François a baisé avec ma mère et m’a fait venir au monde.
Un prêtre, si possible le même père François saura marier son fils de pute avec cette femme qui elle baise sans que j’aie besoin d’allonger des billets.
Je ferais simplement attention qu’elle boive avec modération du Fernet-Branca.

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