COLLECTION PUTE. J’étais une vieille pute (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. J’étais une vieille pute (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. J’étais une vieille pute (1/1)
• De rien madame Luce, le plaisir a été pour moi, maman m'a appris qu’il fallait aider les personnes âgées.
• Ta maman t’a très bien éduqué, entre boire un verre de limonade.
Il y en a de la fraiche dans mon frigo.
• Avez-vous de la bière ?
• Non, mais si, attend Ludovic, mon mari en buvait, je crois qu’il m’en reste une dans le débarras, tu la trouveras peut-être chaude, voire éventée.
Assieds-toi dans mon canapé, je vais voir.

Madame Luce part et je l’entends farfouiller dans sa cuisine.

• C’est bien, elle est là, regarde c’est une ouverture automatique.
Moi, c’est sans alcool, je me suis servi un verre de ma limonade.
À la tienne Gilles.
• Merci madame Luce, elle est encore consommable.
• Dis-moi, Gilles es-tu toujours vierge ?
• Vierge, dans quel sens, le Zodiac ?
• Non, ton sexe, es-tu puceau ?
• Vous avez de sacrées conversations madame Luce, mais je vais vous répondre, oui, je suis puceau !
Vous savez que dans nos quartiers les filles qui baisent sont très rares.
La plupart ont des grands frères qui veillent sur leur vertu.
Comme je me vois mal me marier à mon âge, je reste dans l’attente de trouver une occasion.
• Les femmes mariées, as-tu essayé ?
• Vous connaissez la mère de Franck, mon copain !
Elle trompait le louis son mari avec Doudou un autre copain.
Son mari est rentré et il a pris du gros sel dans le cul.
Pendant plusieurs jours, il est resté debout où allongé sur le ventre.
• Il reste les putes du quartier de la gare, il paraît que c’est un travail bien fait.
• Trop chère pour nos bourses.
Nous aimerions bien, mais c’est impossible, nos finances nous en empêchent.
• Veux-tu que je te dépucelle Gilles ?
• Vous êtes trop vieille, mais si vous êtes partante, je le suis aussi.
• Trop vieille mais très expérimentée.
Pour 50 €, je veux bien t’enlever ce petit problème.
• 50 € madame Luce, mais si je vous paye c’est de la prostitution et vous êtes trop honorable pour vous prostituer !
• Qui te dit que je manque d’expérience ?
• Vous étiez mariée avec monsieur Ludovic qui vous a quitté il y a deux ans.
• Sais-tu comment nous nous sommes connus ?
• Non.
• J’avais ton âge quand j’ai rencontré Luigi, un bel Italien.
Tu vois la belle maison à la sortie de la forêt non loin d’ici !
• Oui, la maison du docteur Alain de sa femme et de ses cinq filles.
• Quand j’avais ton âge, c’était un bar où les filles discrètement faisaient passer leurs clients derrière un rideau où des salles avec des lits les attendaient.
C’est là qu’il m’a pris mon pucelage et qu’il a fait de moi une jeune pute.
J’y ai conduit mes clients pendant dix ans, tu vois question expérience.
• Mais vous étiez marié avec monsieur Ludovic !
• Oui, j’ai tapiné dix ans.
Pendant toutes ces années, j’ai été baisé par toutes les marines du monde faisant escale à Toulon.
Une année il y a un bateau de brider du Japon qui a débarqué, ils s’excusaient de me sauter.
Les plus durs, c’étaient les Américains, ils se croyaient tous permis et étaient assez violents.
Il voulait de force m’embrasser ou que j’enlève mon soutien-gorge.
Une bonne pute réserve ces partis de son corps à son mac.
Une bonne pute lave la verge de son client, s’allonge, les jambes écartées et attend que son client décharge.
Pour moi seul Luigi avait le droit de me voir nue.
Comme je te l’ai dit, il avait plusieurs filles qui tapinaient pour lui.
Comme des connes nous étions fières quand notre homme nous offrait une soirée avec restaurant que nous avions payé avec nos culs.
À cause des Américains, plusieurs fois le patron du bar a été obligé d’intervenir.
Par chance, un jour, Ludovic m’a racheté à Luigi.
Dans ce temps-là, il avait beaucoup de fric et il avait le béguin pour moi.
Il m’a fait quitter le trottoir et j’ai vécu dans une belle villa.
Il avait un vice, le jeu il a perdu notre maison et nous sommes venus habiter dans cette cité.
Comme tu le sais il y a deux ans que je suis veuve avec le minimum vieillesse pour vivre.
J’ai besoin de refaire des passes pour vivre plus dignement.
• Si je reviens demain avec un billet de 50, je pourrai vous baiser et perdre mon pucelage !
• Je tiens toujours mes promesses.

Je quitte madame Luce rêvant toute la nuit que, demain je vais devenir un homme.
Peut m’importe l’âge de celle qui va me le permettre la seule chose qui compte c’est qu’elle écarte ses cuisses.

• Ça t’a plu, tu vois que c’était facile, il fallait trouver la bonne personne.
J’ai acheté un portable à carte donne, mon numéro à tes copains dit leur que c’est comme pour toi 50 € et ils deviendront des hommes.

Dans les jours suivants, j’ai trouvé assez de clients à Luce pour qu’elle redevienne une sacrée pute faisant de nous des hommes.
Je suis moi-même revenu deux fois la baiser, je prenais plaisir à sauter cette salope même si elle a la soixantaine.

• Madame Luce, vous êtes libre cet après-midi.
Oui, c’est Gilles qui t’a donné mon numéro ?
Alors 14 heures.

Pour pouvoir baiser ma vieille pute, j’ai piqué du fric dans le portefeuille de mon père qui a fini par s’en apercevoir.

• Qui êtes-vous monsieur, j’attendais un jeune homme.
• Gilles, c’est mon fils, il faut que je vous parle, je m’appelle Paul.
• J’ai aidé votre fils monsieur, évitez de me faire du mal.
• Soyez sans craindre, même si mon fils m’a piqué du fric pour venir vous sauter.
Comme il l’a fait pour devenir un homme, je lui pardonne, surtout qu’il m’a dit que vous leur demandez 50 € la passe.
C’est nettement au-dessous des tarifs de notre époque et des filles de la gare.
J’ai, moi aussi des amis qui voudraient bien baiser hors mariage leurs femmes étant coincées du cul.
Je vous donne 100 € pour me faire voir ce que vous valez.
Je vois que vous avez de beau reste, si vous savez tortiller votre cul, comme mon fils qui vous envoie des clients, je vous remplirais vos poches de beaux billets plus gros que ceux que mon fils vous donne.
Tiens voilà 100 €.
Depuis que ma femme m’a trompé je baise seulement avec des professionnelles, ça coûte moins cher et ça évite d’apprendre qu’on est cocu.

Je suis redevenue pute grâce à ces jeunots, fière de perdre leur pucelage.

• Viens que je te lave ton petit oiseau.

Paul éclate de rire.

• Il faut te mettre au parfum Luce, laver la queue de son client, c’est d’un autre âge, les putes lavent leurs clients avec leur bouche.
Cela à deux avantages ça gagne du temps et ça coûte moins cher en savon.
Ta bouche devient protectrice de la planète, car tu uses moins d’eau et tu mets moins de produits chimiques dans les égouts.
Même une pute doit être économe de la nature.
Tu peux y aller, suce-moi.
• Mais je dois rester fidèle à mon mac surtout si je suce mes clients.
• Quel Mac, tu es une indépendante, je t’aiderais à trouver des clients comme mon fils, mais tes passes seront entièrement à toi.
100 € la passe comme je viens de payer, tu garderas tout.

Je suce Paul du mieux que je peux, il me guide et je sens que je progresse très vite, car il a le bras tendu.

• Va sur le lit et fait moi voir, comment tu faisais avec tes clients dans le temps où ton Mac te faisait tapiner.

J’ai l’impression d’être à l’école et de passer un examen de passage d’ancienne prostituée vers celle des temps modernes.
J’ouvre mon armoire, j’en sors une serviette là où je vais mettre mes fesses et là où immanquablement du sperme va tomber.
Je m’installe les cuisses béantes.
Pour la première fois, faire une fellation à mon client m’a fait mouiller.

• Viens, mon bébé, maman va s’occuper de ton petit oiseau.

Paul éclate de rire.

• Mon fils avait raison, quand il m’a expliqué tout le décorum que tu employais pour qu’ils viennent te baiser.
Relève-toi et met toi à quatre pattes au bord de ton lit, mais tu peux faire la même chose en restant sur ta descente de lit.
Quand tu as sucé ton client, il bande et quand tu tortilles du cul tu lui fais voir que toi aussi tu mouilles d’envie d’être prise.
Le missionnaire une fois de temps en temps pourquoi pas, mais une bonne levrette est plus efficace pour qu’il te remplisse le vagin et que tu passes au client suivant, ça augmente ton rendement.
Tient prend ça, je vais finir par t’enculer.
• M’enculer tu es devenu fou Paul, c'était réservé à Luigi puis à Ludovic.
• Au XXIe siècle ton cul appartient à celui qui paye, tient voilà 100 € de plus, ça sera ton tarif pour te faire sodomiser.
• Une chose immuable, le client paye avant.

Paul m’encule, sa main caresse mon clito, je suis obligée de me forcer pour éviter de crier au viol comme je le faisais avec les marins américains quand ils sortaient du protocole.
Pour me persuader que je suis une pute moderne, les deux billets de 100 € à mon côté me montrent que ma vie vient de prendre un nouveau tournant.
Alors envers toute déontologie de mon époque je jouis.

Voilà Paul a tenu parole, les clients sont légion.
En ce moment, je suis en croisière avec Gilles, mon petit chouchou.
Je gagne assez de fric pour nous payer ces huit jours dans les îles de la Méditerranée.
Aucune méprise Gilles, tous le prennent pour mon fils, je baise à tour de bras dans ma cabine.
J’ai appris des positions bizarres avec mes clients qui doivent pleurer d’avoir perdu leurs putes pour une semaine.
Je suis encore assez souple pour m’empaler sur leur bite alors qu’ils sont assis sur une chaise.
Gilles est devenu aussi fort que son père qui me paye régulièrement pour venir m’enculer, ça c’est son truc.
Cependant, Gilles me baise à l’œil, c’est un peu mon porte-bonheur.
Je m’excuse, je vous quitte, maman doit satisfaire son petit bébé qui vient de sortir sa belle queue de son maillot de bain au retour de la piscine du pont passager haut de gamme.
Je suis une pute, mais son père et lui ont fait de moi une femme sachant profiter des derniers jours de ma vie pour s’envoyer en l’air.
À oui, tous jeunes puceaux venants me voir payeront seulement 50 € avec fellation et même sodomie.

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