COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (1/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (1/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (1/3)
Quatre filles, quatre filles sans être pauvre, qui ont dû économiser pendant un an, chacune de son côté, pour s’offrir le délire de leurs dix-huit ans.
Quatre filles qui se week-end partent en chantant sur l’autoroute du sud, vers la villa qu’elles ont louée sur le site Airbnb.
Deux cents euros la nuit, pour trois nuits par personne.
2 400 € rien que pour la location, mais attention villa avec deux piscines, l’une d’intérieur et l’autre d’extérieur.
Le propriétaire a bien fait les choses, bouteilles de champagne aux frais dans un seau avec macaron et petits beignets de crevettes salés, bien sûr, tout ceci offert gracieusement.
Un petit mot sur une carte avec la photo de cette magnifique villa.

« Bon séjour mesdemoiselles et joyeux anniversaire à toutes.
Ou sont mes dix-huit ans ? »

• Marie, tu as très bien choisi, regarde la chaîne stéréo, mettons là en marche et viens danser avec moi.

C’est Victoria qui s’y colle, la musique douce envahit cette immense pièce ou trône cette piscine de quatre mètres sur six, d’eau chaude à 24 degrés.

• Je bois une coupe et je plonge une tête.

C’est parti, la fête commence, les slows sont rapidement remplacés par de la musique qui bouge, en branchant la sono sur le portable ou Victoria s’est occupée de la playlist.
Chacune de nous s’est occupée de la préparation à ce voyage.
Victoria donc la musique.
Véronique, de nos sorties dans la journée.
Viviane de la logistique une fois sur place.
Elle a travaillé avec Internet pour savoir ou se ravitailler surtout en boisson.
Nous aimons bien boire un coup la nuit venue lorsque j’ai mis les clefs de ma voiture bien au chaud dans ma valise.
Cette voiture, c’est mon oncle Julien le frère de papa qui me l’a offert le jour où j’ai été reçu au bac.
Il y avait une clause, je devais avoir la mention très bien, afin de postuler vers des études de haut niveau.
J’ai réussi, c’est pour cela que ce week-end, j’ai décidé de me défouler avec les quatre V, comme moi, toutes viennent d’avoir dix-huit ans et leur bac avec des fortunes diverses.
Pour certaines, avoir le bac leur suffisait, chacune de nous voulions réussir notre vie à des niveaux différents.
Voiture pour ce week-end donc de l’essence et surtout lieu où se tiendra la fête.
C’était facile, là encore, Internet et Airbnb m’ont facilité la tâche.
J’ai oublié de me présenter, Vicky, je suis la quatrième de la bande des quatre V.
Bande bien anodine, même si la moitié des quatre ont connu ce que l’on appelle le loup.
Victoria avec un garçon de notre âge, l’an dernier pendant les vacances ou elle est partie avec ses parents en Corse.
À ce que j’en ai compris, elle a baisé sans savoir vraiment ce qu’elle faisait, des quatre V, c’est celle qui a eu la plus mauvaise note au bac, 9 et l’a eu en session de rattrapage.
Son but, se marier et avoir des enfants.
Viviane, le lendemain de ce même bac, c’est la plus déterminée des quatre V, elle avait décidé de perdre sa virginité.
La connaissant bien, des quatre, c’est celle dont je suis la plus proche, en tout bien tout honneur bien sûr.
Un garçon, un simple garçon et sans plus de formalité elle m’a avoué avoir passé un mauvais quart d’heure, son hymen étant très résistant.
C’est dans sa chambre de jeune fille où ce garçon l’avait suivie que ça s’est fait en l’absence de ses parents.
Paul et Françoise ses parents ont deux lieux de vie, Orléans et New York, ils brassent du fric dans ces deux villes et ont deux appartements.
C’est dans le deuxième qu’ils sont en ce moment et Viviane a pu avoir le champ libre à Orléans.
Le travail fait, elle a viré le garçon et elle a été fière de me dire, qu’elle ignore même son prénom.
Véronique et moi, nous sommes plus fleur bleue, je veux faire ça, bien sûr, comme mes copines bien protégées, avec l’homme qui serai l’homme de ma vie et donc que je connaitrais le nom.

Nous allons faire les courses, je vois Viviane parler avec l’un des garçons mettant en rayons.
Je le vois noté sur un carnet et lui serrer un peu trop longtemps sa main.
Je pense que c’est à ce moment que tout a dérapé.
Il est venu à la villa avec la camionnette de son patron nous livrer la commande qu’elle avait passée.
Je dis, « il », mais je devrais dire « ils », ils étaient trois et comme la playlist avait démarré, garçons et filles nous nous sommes déhanchés.
Qui appelait qui ?
Aucune de nous, nous pourrons le dire, dans la camionnette, il y avait la vodka que Viviane avait dû commander à Cyprien bon danseur et beau gosse.
Combien sommes-nous en peu de temps, jusqu’à ce que « tomber la chemise » démarre.
Quarante, cinquante garçons et filles les piscines se remplissent de corps nus.
Je vois Viviane baiser dans l’une d’elles, celle de l’intérieur avec Cyprien.
Un garçon un peu boutonneux essaye de me plotter, je le rembarre évitant comme Véronique de me faire sauter sur l’un des canapés assez nombreux sans avoir besoin d’aller dans une chambre.
Au matin, tous partent les uns après les autres et je dors la tête sur la table de la salle avec vue sur la mer.
J’ai mal à la tête, j’ai beaucoup picolé comme les autres.
Véronique est encore nue sur son canapé.
Viviane dort sur un matelas près de la piscine, mais celle de dehors, a-t-elle encore baisé après Cyprien, je l’ignore, la vodka, mais surtout le vin rouge de Bordeaux ayant eu raison de moi.
Je vais dans la chambre où j’avais déposé mes affaires, j’y retrouve mon sac à main.
J’ai des règles difficiles et j’ai toujours des cachets avec moi.
Victoria est là sur son lit avec une jolie petite négresse aussi nue qu’elle.
La fille se réveille, j’ai dû faire un peu de bruit, sans un mot elle enfile une robe avec des bretelles et la chatte à l’air sort de la chambre sans un mot.
Quelques minutes et j’entends un bruit de moteur d’un deux-roues partir.
Je l’imagine sa chatte à l’air sa robe flottant au vent laissant voir son intimité à qui veut la voir.
J’ignorais que Victoria était une suceuse de chatte, bien que je sache que cela existe, je suis de mon temps.
C’est sous la douche qu’assise au sol, je prends conscience du massacre qui s’est produit ce soir, plutôt cette nuit.
L’eau et le cachet me dégrise, mais ce que j’ai vu c’est peu en rapport après que j’ai passé un Bikini rouge à petits pois.
Je descends dans la salle, je passe dans l’office, cadavre de bouteilles, certes, de vodka, mais aussi de vin.
Une porte est ouverte, la serrure cassée, je m’y engage, un escalier qui semble aller sous la villa.
Le massacre est encore plus grand, c’est un cellier où il devait y avoir une multitude de bonnes bouteilles comme celle que j’ai bu sans savoir qu’elle provenait d’un pilage en règle.
Pendant des heures, nous essayons de remettre cette villa en ordre.
Dans la salle de cinéma, qui aurait dû nous aider à passer nos soirées, l’écran plat grand format se trouve au sol, entièrement cassé.
Pour réserver, j’avais dû laisser un chèque de caution, 10 000 €, ça paraissait démesuré, mais comme j’étais sûr de le récupérer, je l’ai signé et envoyé sans me poser plus de questions.

De retour vers Orléans, je pense que la caution va suffire pour couvrir les dégâts, même cette somme me pose problème, même le premier sou est manquant.
J’aurais bien la possibilité d’en parler avec mes parents, mais la peur de la punition m’en empêche.

• Les filles, il faut m’aider à trouver ces 10 000 €.

10 000, c’est ce que je croyais, huit jours plus tard, je reçois une lettre avec une liste de choses à rembourser, sinon il y aura procès.
Vin et serrures, deux piscines à vider et à nettoyer, certains de nos pique-assiettes ayant jeté de la nourriture et plein de cadavres de bouteilles vides.
Un canapé carrément déchiré au couteau sans oublier la télé qui a elle seule valait presque 5 000 €.
253 050 €, le total, je réunis les quatre V.

• Il faut trouver une solution, sinon notre avenir est foutu.

Nul des quatre sommes dans la possibilité de réunir les moindres sous.

• Vicky, j’ai une idée, toi seul as la possibilité de trouver cette somme.
Demande à ton oncle Julien, qu’il te prête cette argent, nous le rembourserons petit à petit.
Il t’a offert une voiture pour ton bac et tes dix-huit, te payant même ton permis de conduire.
• Tu as raison Viviane, je vais aller chez lui voir s’il peut nous aider.

Nous avons peu de temps pour payer la somme demandée, le soir même je suis chez lui.

• Vicky que me vaut cette visite, je suis contente de te voir, tes parents vont bien.
• Voilà ce qui m’amène !

Je lui explique comment notre voyage a tourné au cauchemar, il comprend que nous nous sommes laissé dépasser.

• Mais dit-moi, la voiture s’était pour tes dix-huit ans et ton bac.
Si je te prête cette argent, qu’ai-je à y gagner, j’aurai bien une petite idée.
• Dis-moi, c’est accepté d’avance !
• Viens là et prends-la en main avant de la sucer !
• Mais parrain, je suis ta filleule et la fille de ton frère, je suis une fille chaste, je suis vierge !
• Les scrupules familiaux, je m’en occupe, veux-tu que je te prête ces 253 000 € ?

C’est ainsi que je m’agenouille, et que je prends en main pour la première fois une bite de cet homme qui a mon avenir et celle de la bande des quatre V...

Les avis des lecteurs

Philus, je savais en écrivant ce mot que j'aurais cette remarque.
Y a bon babania a bercé ma jeunesse et repoussé par certain
Noir, pour un homme de couleur et négresse pour une femme, il n'y a rien de péjoratif pour moi...
Laissez nous vivre sans toujours voir le mal dans les mots...
Mais Philus je te permet le droit de ne pas aimer...

Histoire Erotique
Désolé, j'ai cru que mon premier commentaire n'avait pas été pris en compte.

Histoire bien menée et la suite sera sans doute intéressante car on imagine bien ce que les filles devront faire pour rembourser le tonton. Cela dit, n'employez pas le terme "négresse", c'est injurieux et ce mot doit impérativement être banni de votre/notre vocabulaire. L'administrateur du site pourrait même censurer votre histoire.

Histoire Erotique
Histoire plaisante à lire et dont on attend la suite car on imagine bien la manière dont les filles rembourserons le tonton. Une chose cependant, le terme "négresse" est absolument à bannir, il est injurieux et peut même censurer votre histoire si quelqu'un se plaint à l'administrateur du site.
Philus



Texte coquin : COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (1/3)
Histoire sexe : Une rose rouge
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