COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Le prix à payer pour les quatre V (2/3)
Quatre filles, quatre filles sans être pauvre, qui ont dû économiser pendant un an, chacune de son côté, pour s’offrir le délire de leurs dix-huit ans.
Quatre filles qui se week-end partent en chantant sur l’autoroute du sud, vers la villa qu’elles ont louée sur le site Airbnb.
Quatre filles, les quatre V, Victoria, Véronique, Viviane et moi Vicky, qui se trouve rapidement débordée dès le premier soir.
253 000 €, c’est le prix à payer après la méga teuf, non prévue, que nous avons dû subir sans qu’à aucun moment, les jeunes qui se pointaient étaient nos invités.
Ils sont venus, certainement dus aux portables et aux réseaux sociaux, l’un appelant l’autre pour venir profiter de la fête.
Télé cassée, canapé lacéré, deux piscines à vider et à nettoyer, mais surtout un cellier avec un max de bouteille de vin en tout genre.
Le détail de ces 253 000 € m’a été fourni et non remboursé par les assurances au vu des dégâts.
Pour les nettoyer sans complètement y arriver, nous avons été obligés de vider des bouteilles aux trois quarts pleines, le goulot cassé.
Certaines de ces bouteilles, les saccageurs après les avoir ouvertes et gouttées, si elles leur déplaisaient, ils les jetaient contre le mur alors que certaines valaient de 2 000 à 3 000 € pièce.
Une caisse de ce nectar, fracassée et 3 000 € par six, vous constatez le massacre.
Certaines d’entre elles étaient de vraies pièces de collection avec des valeurs inestimables.
J’ai retrouvé l’une d’elles, là où je l’avais laissé lorsque j’ai émergé.
Un château Pétrus de 2005, année de ma naissance, celle-ci ayant une valeur marchande d'environ 6 000 €.
Le plus grave, c'est qu'à ce jour, j’ignore le goût qu’elle avait, elle était vide et s’est en lisant l’étiquette que dans la liste je l’ai retrouvé.
Les quatre V réunis, c’est vers mon parrain le frère de papa que l’on m’oriente afin de trouver le financement avant que nos parents soient obligés de tous rembourser.
Même si nous sommes majeurs.
Il a les moyens de nous aider, mais sa demande, si j’étais une fille malpolie, je dirais qu’elle me scie le cul.
Il nous avance l’argent à une condition impensable pour une fille de bonne famille comme moi.
Malgré notre rapprochement familial, il veut que je lui suce la bite.
Mieux, après que je l’aurais satisfait, il me demande de réunir les quatre V et de leur demander de passer chacune leur tour dans son lit, pour elles aussi lui vider les couilles.
Je me vois coincé et pour montrer aux copines que je suis prête à tout que nos conneries soient portées sur la place publique, je passe à l’action.
J’aime prendre des initiatives, je suis l’une des filles à l’origine des quatre V.
Les débordements que nous avons laissé faire, je défais sa ceinture et rapidement j’ai sa bite en bouche.
Des bites, j’en ai vu à la télé plus qu’au cinéma où les quatre V vont fréquemment, mais toutes au repos, nous évitons les films porns, mais tonton est monté comme un âne ou un mulet.
En plus, il bande déjà aux trois quarts.
J’ai du mal à la mettre dans ma bouche, alors je fais rouler ses couilles avec ma main et je les lèche remontant jusqu’au méat de sa verge.
Le méat, nom appris en classe lorsque l’on a fait des cours d’éducation sexuelle, là encore, j’ai vu des bites au repos.
Ce qui m’étonne c’est lorsque mon parrain sort de sa poche une capote.
Dans ces mêmes cours, il nous a été montré, comment les dérouler, mais là, lorsqu’il la place sur son sexe, j’ai peur de comprendre que ce prêt sera octroyé après bien plus qu’une simple fellation.
Il faut se souvenir que je suis la seule des quatre V, toujours vierges à ce jour et que je compte bien perdre mon pucelage le soir de mes noces.
• Vicky met toi à quatre pattes, depuis que j’ai vu tes seins poussés, j’ai envie de te baiser, comme les trois autres petites salopes, de ta bande des quatre V.
Tu vois, je sais tout, dépêche-toi d’enlever ta culotte et place toi sur ce fauteuil le cul en l’air et tes seins sur le dossier.
On rêve de mariage de prince charmant, nous donnant à lui lors de notre nuit de noces.
Comme je l’ai dit, j’en faisais de même alors que cette nuit de noces se transforme de cinq à sept lorsque Julien me pénètre me faisant crier un petit coup lorsqu’il éclate mon hymen.
Fini, Tonton, parrain et consorts, le chemin fait par sa grosse bite, j’ai la chance que c’est un amant hors pair avec les femmes et rapidement mon cri de douleur se transforme en cris de plaisir.
Viviane dans les quelques confidences qu’elle m’a faites, m’a parlé des cinq à six minutes que son dépuceleur avait mis après pénétration pour remplir sa capote.
Ça fait plus d’une demi-heure qu’il me laboure, j’ai déjà joui trois fois.
Vite, lentement ses mains accrochées soient à mes hanches, soient à mes seins fort beaux au demeurant.
Des seins en poires comme les hommes en raffolent, c’est du moins, là encore, une confidence de Viviane qui se plein des siens, trop petit à son gout.
Elle qui espérait se faire mettre des prothèses mammaires, dès qu’elle en aura les moyens.
Elle va vite déchanter lorsqu’elle va apprendre le prix que nous aurons à rembourser à celui qui va la baiser après moi.
Au moment où mon amant décharge, tout mon corps se tend et j’atteins l’orgasme, moment que là encore Viviane m’a dit ignoré cela.
Peut-être dans la piscine lorsque je l’ai vue se faire baiser, mais le nettoyage que nous avons essayé de faire nous ait empêchés de nous faire ce type de confidence.
Encore moins dans la voiture lors de notre retour, même si à cette heure, nous ignorions encore l’étendue des dégâts, il régnait une atmosphère de fin du monde.
C’est le lendemain que je réunis les quatre V pour leur rapporter les exigences de Julien.
Depuis que nos sommes amants, j’évite de dire mon tonton ou mon parrain, non pas, car je suis jalouse qu’il veuille sauter une à une mes copines, mais plus sur le plan moral.
• Qu’en pensez-vous les filles, on accepte, ou je lui rapporte son chèque que voici, couvrant ma dette qui est en grande partie et même beaucoup la vôtre.
• Il est hors de question que je baise avec ce vieux salopard.
Vicky, un jour où nous étions toutes les quatre chez toi, il était là et il m’a mis sa main aux fesses.
• Véronique, ce jour-là, je revenais des toilettes et je t’ai vu plusieurs fois te rapprocher de lui pour qu’il recommence encore à te flatter l’arrière-train.
• Dans la villa, lorsque tu te faisais baiser, tu avais moins de scrupule surtout lorsque je t’ai vue suivre un mec vers le cellier.
• Lorsqu’il a fracturé la porte pour voir ce qu’il y avait derrière, j’étais contre, mais que veux-tu il était plus fort que moi.
• Attends Véronique, tu vas me dire que tu étais là lorsque ces vandales ont fracassé ces bouteilles, certaines d’une valeur inestimable !
• Sans le savoir, puisque tu étais restée dans la salle, tu avais tellement bue de vodka, que lorsque tu as vu la bouteille que j’avais remontée, tu me l’as chipé pour te mettre à la siroter.
• Quoi, c’est toi qui m’as donné cette bouteille où que je l’aie prise alors qu’elle avait une valeur marchande de 6 000 € ?
• À ce moment, tu ignorais, comme moi tout cela, comme tu refusais de baiser avec tous les mecs qui t’approchaient, c’est seulement de l’alcool que tout voulait.
Tu étais prête à boire tout ce qui passait à ta portée.
J’aurais ramené une bouteille d’eau de cologne, tu te la serais sifflée.
• Bon, Vicky, va mettre ce chèque en banque et couvre la dette, donne-moi le numéro de ton oncle, je vais l’appeler, je serais la première à m’y coller.
Je verrais avec lui laquelle de Viviane ou de toi Véronique ira le rejoindre pour honorer ce qu’ont couté nos conneries.
Voilà, c’est fait, tout va bien du côté du loueur de la villa.
Chacune des quatre V nous passons dans le lit de Julien.
Ce qui est drôle, c’est nous qui sommes si promptes à nous faire des confidences entre filles.
Est-ce notre amant commun, toutes nous fermons nos bouches sur nos ébats avec lui.
J’ai reçu une lettre après l’encaissement du chèque, tout est en règle, les problèmes et surtout les risques de poursuites vont en rester là.
Pour ma part, j’ai couché cinq fois avec lui, j’ignore combien de fois pour les autres, comme je l’ai dit nous parlons peu de nos rapports avec lui.
Lorsque ce matin, après que nous ayons baisé toute la nuit, c’est vraiment un amant hors pair, il me donne un bout de papier.
• Vicky fait venir les quatre V à cette adresse à Neuilly dans les Hauts-de-Seine.
Appelle-moi lorsque toutes pourront venir, il est impératif que les quatre V vous soyez là.
Je m’exécute, bien sûr, Véronique pose des problèmes, c’est toujours elle qui en pause chaque fois qu’il faut faire une chose hors des clous.
Ça dure depuis notre première rencontre et la première fois où les quatre V avait décidé de devenir les quatre V.
Nous étions petites, c’est si loin que j’ai oublié pourquoi Véronique nous a emmerdés.
• Paris, attention, voici les quatre V, cachez vos maris.
Un boute-en-train, qui peut l’être dans notre bande, Viviane bien sûre.
Certes, j’ai perdu ma vertu avant l’heure prévue, mais de là à sauter sur tout ce qui bouge, il y a un monde que je suis loin de vouloir franchir.
22 impasse Jar...
Mon GPS, que j’ai acheté avec l’argent que Julien me donne hors de mes parents, car ils m’ont coupé mon argent de poche depuis que je suis majeure.
Mon GPS me conduit devant un petit hôtel particulier certainement des années 1900.
La Ferrari de Julien est garée devant et il nous attend.
Qu’un homme est beau pour des filles de dix-huit ans lorsqu’il est blindé de beaux billets.
• Les filles, vous voilà toujours aussi belles les unes que les autres.
Que, pensez-vous de ce petit pavillon que je souhaite acheter pour vous ?
Dans la vie, il faut savoir rêver, mais aussi savoir ouvrir nos yeux, pour nous les quatre V, c’est aujourd’hui...
Quatre filles qui se week-end partent en chantant sur l’autoroute du sud, vers la villa qu’elles ont louée sur le site Airbnb.
Quatre filles, les quatre V, Victoria, Véronique, Viviane et moi Vicky, qui se trouve rapidement débordée dès le premier soir.
253 000 €, c’est le prix à payer après la méga teuf, non prévue, que nous avons dû subir sans qu’à aucun moment, les jeunes qui se pointaient étaient nos invités.
Ils sont venus, certainement dus aux portables et aux réseaux sociaux, l’un appelant l’autre pour venir profiter de la fête.
Télé cassée, canapé lacéré, deux piscines à vider et à nettoyer, mais surtout un cellier avec un max de bouteille de vin en tout genre.
Le détail de ces 253 000 € m’a été fourni et non remboursé par les assurances au vu des dégâts.
Pour les nettoyer sans complètement y arriver, nous avons été obligés de vider des bouteilles aux trois quarts pleines, le goulot cassé.
Certaines de ces bouteilles, les saccageurs après les avoir ouvertes et gouttées, si elles leur déplaisaient, ils les jetaient contre le mur alors que certaines valaient de 2 000 à 3 000 € pièce.
Une caisse de ce nectar, fracassée et 3 000 € par six, vous constatez le massacre.
Certaines d’entre elles étaient de vraies pièces de collection avec des valeurs inestimables.
J’ai retrouvé l’une d’elles, là où je l’avais laissé lorsque j’ai émergé.
Un château Pétrus de 2005, année de ma naissance, celle-ci ayant une valeur marchande d'environ 6 000 €.
Le plus grave, c'est qu'à ce jour, j’ignore le goût qu’elle avait, elle était vide et s’est en lisant l’étiquette que dans la liste je l’ai retrouvé.
Les quatre V réunis, c’est vers mon parrain le frère de papa que l’on m’oriente afin de trouver le financement avant que nos parents soient obligés de tous rembourser.
Même si nous sommes majeurs.
Il a les moyens de nous aider, mais sa demande, si j’étais une fille malpolie, je dirais qu’elle me scie le cul.
Il nous avance l’argent à une condition impensable pour une fille de bonne famille comme moi.
Malgré notre rapprochement familial, il veut que je lui suce la bite.
Mieux, après que je l’aurais satisfait, il me demande de réunir les quatre V et de leur demander de passer chacune leur tour dans son lit, pour elles aussi lui vider les couilles.
Je me vois coincé et pour montrer aux copines que je suis prête à tout que nos conneries soient portées sur la place publique, je passe à l’action.
J’aime prendre des initiatives, je suis l’une des filles à l’origine des quatre V.
Les débordements que nous avons laissé faire, je défais sa ceinture et rapidement j’ai sa bite en bouche.
Des bites, j’en ai vu à la télé plus qu’au cinéma où les quatre V vont fréquemment, mais toutes au repos, nous évitons les films porns, mais tonton est monté comme un âne ou un mulet.
En plus, il bande déjà aux trois quarts.
J’ai du mal à la mettre dans ma bouche, alors je fais rouler ses couilles avec ma main et je les lèche remontant jusqu’au méat de sa verge.
Le méat, nom appris en classe lorsque l’on a fait des cours d’éducation sexuelle, là encore, j’ai vu des bites au repos.
Ce qui m’étonne c’est lorsque mon parrain sort de sa poche une capote.
Dans ces mêmes cours, il nous a été montré, comment les dérouler, mais là, lorsqu’il la place sur son sexe, j’ai peur de comprendre que ce prêt sera octroyé après bien plus qu’une simple fellation.
Il faut se souvenir que je suis la seule des quatre V, toujours vierges à ce jour et que je compte bien perdre mon pucelage le soir de mes noces.
• Vicky met toi à quatre pattes, depuis que j’ai vu tes seins poussés, j’ai envie de te baiser, comme les trois autres petites salopes, de ta bande des quatre V.
Tu vois, je sais tout, dépêche-toi d’enlever ta culotte et place toi sur ce fauteuil le cul en l’air et tes seins sur le dossier.
On rêve de mariage de prince charmant, nous donnant à lui lors de notre nuit de noces.
Comme je l’ai dit, j’en faisais de même alors que cette nuit de noces se transforme de cinq à sept lorsque Julien me pénètre me faisant crier un petit coup lorsqu’il éclate mon hymen.
Fini, Tonton, parrain et consorts, le chemin fait par sa grosse bite, j’ai la chance que c’est un amant hors pair avec les femmes et rapidement mon cri de douleur se transforme en cris de plaisir.
Viviane dans les quelques confidences qu’elle m’a faites, m’a parlé des cinq à six minutes que son dépuceleur avait mis après pénétration pour remplir sa capote.
Ça fait plus d’une demi-heure qu’il me laboure, j’ai déjà joui trois fois.
Vite, lentement ses mains accrochées soient à mes hanches, soient à mes seins fort beaux au demeurant.
Des seins en poires comme les hommes en raffolent, c’est du moins, là encore, une confidence de Viviane qui se plein des siens, trop petit à son gout.
Elle qui espérait se faire mettre des prothèses mammaires, dès qu’elle en aura les moyens.
Elle va vite déchanter lorsqu’elle va apprendre le prix que nous aurons à rembourser à celui qui va la baiser après moi.
Au moment où mon amant décharge, tout mon corps se tend et j’atteins l’orgasme, moment que là encore Viviane m’a dit ignoré cela.
Peut-être dans la piscine lorsque je l’ai vue se faire baiser, mais le nettoyage que nous avons essayé de faire nous ait empêchés de nous faire ce type de confidence.
Encore moins dans la voiture lors de notre retour, même si à cette heure, nous ignorions encore l’étendue des dégâts, il régnait une atmosphère de fin du monde.
C’est le lendemain que je réunis les quatre V pour leur rapporter les exigences de Julien.
Depuis que nos sommes amants, j’évite de dire mon tonton ou mon parrain, non pas, car je suis jalouse qu’il veuille sauter une à une mes copines, mais plus sur le plan moral.
• Qu’en pensez-vous les filles, on accepte, ou je lui rapporte son chèque que voici, couvrant ma dette qui est en grande partie et même beaucoup la vôtre.
• Il est hors de question que je baise avec ce vieux salopard.
Vicky, un jour où nous étions toutes les quatre chez toi, il était là et il m’a mis sa main aux fesses.
• Véronique, ce jour-là, je revenais des toilettes et je t’ai vu plusieurs fois te rapprocher de lui pour qu’il recommence encore à te flatter l’arrière-train.
• Dans la villa, lorsque tu te faisais baiser, tu avais moins de scrupule surtout lorsque je t’ai vue suivre un mec vers le cellier.
• Lorsqu’il a fracturé la porte pour voir ce qu’il y avait derrière, j’étais contre, mais que veux-tu il était plus fort que moi.
• Attends Véronique, tu vas me dire que tu étais là lorsque ces vandales ont fracassé ces bouteilles, certaines d’une valeur inestimable !
• Sans le savoir, puisque tu étais restée dans la salle, tu avais tellement bue de vodka, que lorsque tu as vu la bouteille que j’avais remontée, tu me l’as chipé pour te mettre à la siroter.
• Quoi, c’est toi qui m’as donné cette bouteille où que je l’aie prise alors qu’elle avait une valeur marchande de 6 000 € ?
• À ce moment, tu ignorais, comme moi tout cela, comme tu refusais de baiser avec tous les mecs qui t’approchaient, c’est seulement de l’alcool que tout voulait.
Tu étais prête à boire tout ce qui passait à ta portée.
J’aurais ramené une bouteille d’eau de cologne, tu te la serais sifflée.
• Bon, Vicky, va mettre ce chèque en banque et couvre la dette, donne-moi le numéro de ton oncle, je vais l’appeler, je serais la première à m’y coller.
Je verrais avec lui laquelle de Viviane ou de toi Véronique ira le rejoindre pour honorer ce qu’ont couté nos conneries.
Voilà, c’est fait, tout va bien du côté du loueur de la villa.
Chacune des quatre V nous passons dans le lit de Julien.
Ce qui est drôle, c’est nous qui sommes si promptes à nous faire des confidences entre filles.
Est-ce notre amant commun, toutes nous fermons nos bouches sur nos ébats avec lui.
J’ai reçu une lettre après l’encaissement du chèque, tout est en règle, les problèmes et surtout les risques de poursuites vont en rester là.
Pour ma part, j’ai couché cinq fois avec lui, j’ignore combien de fois pour les autres, comme je l’ai dit nous parlons peu de nos rapports avec lui.
Lorsque ce matin, après que nous ayons baisé toute la nuit, c’est vraiment un amant hors pair, il me donne un bout de papier.
• Vicky fait venir les quatre V à cette adresse à Neuilly dans les Hauts-de-Seine.
Appelle-moi lorsque toutes pourront venir, il est impératif que les quatre V vous soyez là.
Je m’exécute, bien sûr, Véronique pose des problèmes, c’est toujours elle qui en pause chaque fois qu’il faut faire une chose hors des clous.
Ça dure depuis notre première rencontre et la première fois où les quatre V avait décidé de devenir les quatre V.
Nous étions petites, c’est si loin que j’ai oublié pourquoi Véronique nous a emmerdés.
• Paris, attention, voici les quatre V, cachez vos maris.
Un boute-en-train, qui peut l’être dans notre bande, Viviane bien sûre.
Certes, j’ai perdu ma vertu avant l’heure prévue, mais de là à sauter sur tout ce qui bouge, il y a un monde que je suis loin de vouloir franchir.
22 impasse Jar...
Mon GPS, que j’ai acheté avec l’argent que Julien me donne hors de mes parents, car ils m’ont coupé mon argent de poche depuis que je suis majeure.
Mon GPS me conduit devant un petit hôtel particulier certainement des années 1900.
La Ferrari de Julien est garée devant et il nous attend.
Qu’un homme est beau pour des filles de dix-huit ans lorsqu’il est blindé de beaux billets.
• Les filles, vous voilà toujours aussi belles les unes que les autres.
Que, pensez-vous de ce petit pavillon que je souhaite acheter pour vous ?
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