COLLECTION PUTE. Service rendu (4/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Service rendu (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-08-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION PUTE. Service rendu (4/6)
Voilà à quoi ça mène de vouloir rendre service.
Je viens de rentrer dans la chambre de Charles, le client étant resté sagement à sa place, même lorsque je me suis assise sur ses genoux dans la soirée partouze ou j’ai réussi à me faire admettre.
J’avais remplacé Gladys, ma colocataire, pute depuis un certain nombre de mois pour l’aider à payer ses études.
Je pense que ces études sont l’arbre qui cache la forêt, car tout le fric qu’elle gagne, elle le place en grande partie dans les fringues ou autres accessoires de mode.
Les paires de chaussures de même pointure que la mienne, elle en place même dans mon secteur de rangement.
Certaines paires sont encore dans leur boîte, elle semble faire des achats compulsifs, dès que j’aurais mes diplômes, je lui proposerais une analyse.
Un seul intérêt, il faut que je me sape en pute, la première fois et en femme BCBG cette fois, j’ai eu qu’à me servir pour me présenter devant Charles mon client.

Je viens de pénétrer dans sa chambre lorsqu’en réponse à une de ses questions, je lâche le nom de « Gladys » peu connu en France.
Je noie le poisson afin d’oublier de lui donner trop d’explications sur le service que je rends à mon amie de chambre.

• Arrête de te poser toutes ces questions, si je t’ai repoussé, c’est que je sentais que tu t’excitais trop vite.
Je veux que cette soirée soit en tout point parfaite pour toi, comme l’a été le repas que tu m’as offert pour moi.

Je viens de m’apercevoir que j’ai tutoyé Charles sans qu’il semble s’en étonner.
Est-il étonné, j’arrive à arrêter les questions sur mon nom ?
Heureusement, le mensonge me fait horreur, c’est ce qui m’amène des soucis depuis que je suis petite, ça m’a posé des problèmes lors de ma scolarité.
Lorsqu’une bêtise était faite dans le dos de la maîtresse, qu’elle s’en apercevait et demandait qui en était responsable, je levais la main et donnais le copain ou la copine qui en était responsable.
J’étais surnommé « la peste » alors que j’avais simplement été franche.
Je cherche à ralentir le moment de lui appartenir, pourtant quand je repense à la vraie Gladys, je me suis engagée à lui rendre service.

• J’ai eu chaud au restaurant, si nous prenions une douche, encore mieux un bain.
J’habite avec une copine et nous n’avons qu’une douche à disposition, je rêve de prendre un bain, ta salle d’eau doit bien en avoir une.

Disant cela, je le prends par la main et je pénètre dans cette pièce d’eau.
Un genre de petite piscine me tend les bras, l’eau coule certainement en cercle fermé, cette vasque est connectée et je vois un petit cadrant affichant la température de 28°.
Chez maman nous avions une baignoire, je passais ma main pour voir si la température était bonne avec le risque de me brûler.
Ce genre de petit plus est fondamental lorsque l’on est une fille du peuple, qui découvre grâce à la prostitution ce monde du luxe.
Je comprends que certaines filles, comme Gladys, tombent dans cette société de consommation.
Je voulais gagner du temps, il faut que je me lance, cette mini piscine est prête à l’emploi, il faut que moi aussi, je sois prête à être employée.
Impossible de reculer, je m’approche de Charles et un à un je lui défait ses boutons de chemise, en entrant il a posé sa veste sur un fauteuil.
À son âge, il me montre une musculature à faire envier des copains, l’été à la piscine.
Le pantalon suit, c’est à mon tour de perdre mes vêtements l’un après l’autre.
Nous sommes nus et il m’aide à monter les quelques marches avant de redescendre dans l’eau, c’est un peu chaud au début, mais divin rapidement.
Des marches ou sièges sous l’eau nous reçoivent.
J’ai vu sa verge au moment où il a lui-même descendu son slip, Huguette devait prendre du bon temps, même si celles que j’ai vues sont rares, c’est la plus épaisse que j’ai le temps de voir.
Je suis assise, elle est à hauteur de mes yeux, l’âge disparait quand je la prends dans ma main et que j’avance ma bouche.

• Attends, merci de m’avoir tutoyé, ça me met en confiance, mais comme toi, ta présence m’a donné chaud au restaurant et il faut que je me lave.

Sur le bord de la vasque des minis savons, j’en ouvre un et c’est moi qui lui lave la queue.
Pardon, ou ai-je entendu ce mot « queue », sa verge, son sexe, sa bite ou encore son membre.
Sa bite, je recommence à employer un terme qu’une prostituer emploierait communément.
Bref, je la lave et comme une vraie pute que je refuse d’être, c’est ma bouche qui prend le relais.

• Oh ! Gladys, tu es la première femme, même si tu es jeune à me prendre dans ta bouche, regarde comme tu es arrivée à me faire bander.
Viens que je te sèche et rejoignons mon lit.
• Pourquoi un lit, assieds-toi en face de moi, je vais danser pour toi.

Il s’exécute, je me lève, lui montrant l’intégralité de ma poitrine et le début de ma chatte blonde.
J’ondule langoureusement, j’approche vers lui, il essaye de me saisir.

• Tes mains sur tes cuisses dans l’eau, interdiction de te servir de tes mains, profitent du moment.
• Tu es diabolique, même dans l’eau chaude ma verge est tendue au maximum, je veux que tu te donnes à moi.
• Tu as payé pour m’avoir, tu m’auras donc, mais, regarde comme c’est bon d’attendre pour entrer en moi.
De plus, les capotes sont dans mon sac que j’ai posé sur la commode, hors de question de faire l’amour sans protection.

Je continue à onduler, ma chatte s’approche de lui, il tend sa bouche respectant mon ordre de laisser ses mains sur ses cuisses.
Il est à deux centimètres de réussir à me passer sa langue, que se passe-t-il dans ma tête, je me comporte comme une vraie chienne et je commence à aimer ça.
Mes cours et mes devoirs sont loin de mes soucis du moment, si soucis il y a.
Ce que je souhaite, c’est que cet homme réagissant comme pourrait le faire un ado en ait pour son argent.
Tout jeu à un début et une fin, il aurait pu tricher, mais il semble respectueux les ordres que je lui ai donnés.
Une dernière fois, je me tortille finissant par laisser sa langue retrouver ma grotte, si peu de fois honorée.
Je joue les putes, alors que mon expérience est seulement ce que j’ai vu de la façon dont Blanche se comportait avec nos clients dans la soirée où j’ai récupéré ce demi-puceau.
Tout ordre doit être transgressé, ses mains entourent ma taille afin que je sois dans l’impossibilité de m’échapper.
Sa langue qui récupère ce que ma chatte lui offre étant donné ce que je ressens à me faire brouter le minou, il finit par me faire jouir avant de me libérer.

• BB, tu es la première que je lèche, comme je viens de le faire comme c’était la première fois que l’on me suçait la bite.
• Je veux éviter des souvenirs douloureux, mais avec ta femme...
• Nous nous sommes connus au lycée, puceau j’étais, vierge, elle l’était aussi.
• Nous nous sommes mariés quelques années après et c’est lors de notre nuit de noces que nous avons fait l’amour pour la première fois.
J’étais tellement en manque et excité que dès que je me suis couché dans sa fourche qu’elle tenait écartée, j’ai déchargé l’ayant à peine effleuré.
Un vrai fiasco, tu as eu raison de me ralentir lorsque nous sommes entrés dans la chambre.
Si tu voyais ma verge sous l’eau, tu verrais que je suis raide comme la justice alors que sinon, j’aurais déjà lâché mon sperme, lors du repas, je bandais sous la table.

Je me rassieds face à lui, je prends le savon sur le rebord de cette divine baignoire. Lorsqu’à mon tour, j’épouserais l’homme de ma vie, j’aimerais avoir chez moi, une même baignoire à eau bouillonnante et température constante.
Mais j’ai le temps, il faut que je finisse mes études et que la chance soit avec moi pour que l’homme de ma vie ait les moyens de satisfaire tous mes désirs.
Je me passe le savon entre mes cuisses, sa douceur est à deux doigts de me faire jouir moi-même.

• BB, me permets-tu de te passer le savon, j’en ai horriblement envie.

BB, c’est moi qui l’écris comme ça et non bébé, je sens que c’est plus convenable, l’on dirait que Charles a du mal à m’appeler Gladys.
De toute façon Gladys, c’est l’autre et dès mon retour dans notre chambre, je redeviendrais Corinne ayant passé un agréable moment.
Je lui tends la savonnette, elle lui glisse des mains et jonglant avec, arrive à la saisir dans sa main.
Il la plonge sous l’eau et commence à me caresser, je dois une confidence.
Lorsque je me douche étant seule dans notre petit appartement, il m’arrive de me faire jouir entre deux devoirs afin de faire retomber la pression dans mon corps.
Sans être une gouine, c’est souvent l’image de Gladys se promenant nue d’une pièce à l’autre que je vois sans pour autant lui sauter sur le dos dès son retour.
Entre-temps, j’ai eu une petite décharge, là c’est carrément une boule qui monte du bas de mon corps.
C’est un savon tenu par une main essayant de se faire la plus discrète possible qui m’apporte un véritable orgasme.

• Et bien dit donc, quand tu jouis tu es une véritable tornade, il y a de l’eau partout dans la salle de bain.
Tu es une jeune fille pleine de ressources.

Je veux qu’il se taise, voulant ressentir les derniers soubresauts de mon corps, je lui ai presque refusé un baiser à notre arrivée, là c’est moi qui l’éteins l’embrassant à pleine bouche.
Il m’a aidé à entrer dans l’eau, il m’aide à en sortir, mes yeux se posent sur sa bite, il est encore tendu à fond, je suis sûr qu’il doit souffrir de cette situation.
Par contre je suis fière que grâce à nos jeux, il soit encore en l’état de me baiser.
Il m’essuie, je le sèche évitant sa verge, je veux éviter de me retrouver arrosée avant de lui avoir mis sa capote pour qu’il me pénètre.
Direction la chambre, j’ai vraiment rincé la salle de bains avec les vagues que mon corps a déclenchés lorsque j’ai joui.
Heureusement, la moquette absorbe cette eau au moment où j’ai une capote en main.

• Viens sur le lit, je vais te faire l’amour.
• Pourquoi sur le lit, attends, je vais te couvrir en te mettant la capote avec ma bouche ?

J’ai vu un film pour les moins de seize ans, une professeur en cours de sexologie la posait avec sa bouche, suis-je ou non une pute.
Je m’agenouille et ayant ouvert l’étui, je sors ce bout de latex qui va me permettre de me protéger.
Combien de fois ai-je aussi entendu, « il faut sortir couvert » lors des spots du gouvernement aux jeunes de notre nation...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Je me délecte de ta saga mon cher Phil

Cyrille



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