COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. La comtesse et ses servantes (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-07-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. La comtesse et ses servantes (2/2)
C’est le lendemain que je me présente à l’étude pour savoir de quoi il en ressort.
Pendant la nuit, pas de vin, qu’une attente interminable.
Pourquoi, suis-je convoqué par maître Albert notaire de notre village, dans le cadre de la succession de ma patronne la comtesse morte sur les routes de Provence ?
Je suis à l’heure.
- Je dois contrôler votre identité bien que je te connaisse Julie.
J’étais ami d’enfance de ta maman avant sa disparition.
Rapidement je comprends de quoi il ressort.
Maman était tombée amoureuse de Paul, le fils de la comtesse.
Cette dernière avait d’autres vues pour sa progéniture.
La grossesse de maman a changé ses plans malgré l’éloignement qu’elle avait fait subir à son fils pour Nice où ils avaient une villa.
Celui-ci même s’il avait des relations avec d’autres femmes, refusait d’avoir d’autres descendances.
La comtesse pensant avoir gagné se retrouvait cocue comme devant.
C’est à la suite de la mort de maman que l’idée lui est venue de me récupérer à son service pendant qu’elle travaillait son fils pour qu’il me reconnaisse.
C’est dans ce but qu’elle était partie sur la côte.
Elle avait réussi et maître Leroy l’homologue de maître Albert avait fait les démarches de reconnaissance de paternité.
Cette dernière avait abouti avant que leur voiture fasse le grand saut.
- Madame la comtesse, voici un numéro de téléphone que vous devez appeler.
La voiture de votre grand-mère a été expertisée par la maison Rolls-Royce, ils se confondent en excuses.
C’est le système de freinage qui s’est trouvé défectueux.
Ils vont vous offrir une nouvelle voiture avec l’entretien à vie de cette dernière.
Rolls-Royce, Phantom 2020 dans les roses métallisées.
Je suis au volant et je roule direction Nice rencontrer le notaire de mon père.
- Bonjour Madame, le West End Nice est heureux de vous recevoir et vous souhaite un heureux séjour.
West End Nice, je peux me payer une suite au Négresco, mais après avoir rencontré le comptable de ma grand-mère, j’y ai renoncé.
Cette dernière avait des principes, toujours dépenser le superflu, les dividendes de ses biens, mais sans jamais toucher au capital.
Au contraire, régulièrement le faire grossir.
Dans l’attente de la finalité des deux successions, le notaire de Bourgogne, a pu me faire allouer cent mille euros pour mes faux frais.
J’ai fait les boutiques de Lyon avec Babette, j’ai maintenant le look qui va avec mes nouvelles responsabilités, mais attention en restant jeune, pas BCBG.
Avoir des jeans à 800 €, des tee-shirts à 500, sans oublier un passage chez le coiffeur pour 300 €, ça change la vie et surtout la vision du monde qui vous entoure.
- John, pouvez-vous m’apporter un autre Martini.
- Bien madame la comtesse, j’y cours.
Je suis sur un transat de la plage Blue Beach, je suis en maillot des plus sexy.
J’ai rencontré maître Leroy, la fortune de mon père est au moins identique à celle de grand-mère.
Papa était architecte et possédait un cabinet qui est dirigé par Sylvain son successeur.
Il avait décidé de prendre sa retraite.
- John, 22 heures chambre 69.
Soyez à l’heure, j’ai une sainte horreur des gens en retard.
John est un afro-américain qui travaille sur cette plage pour payer ses études.
Il est à l’heure.
Il m’embrasse, je suis en déshabillé comme je l’étais quand je me faisais passer pour la comtesse dans les bras de Babette.
J’ai emmené une guêpière de la collection de ma grand-mère dégageant ma chatte et mettant mes seins en valeur.
De la façon dont les gens me traitent depuis que j’ai récupéré mon titre de noblesse et le pognon qui va avec, j’ai très vite compris qu’il suffisait de demander pour être servi.
Bon amant, au matin il me quitte retournant à ses matelas, ma chatte pleinement satisfaite.
John adorant le culturisme après m’avoir embrassé m’a soulevé comme une plume et ma cloué à la porte grâce à sa verge sortie de son Tergal.
Ses muscles débordaient de son maillot sans manche.
Une vraie bête de sexe.
Mes affaires réglées je retourne vers mon domaine maçonnais.
Babette est là.
- Julie, j’ai plusieurs choses à te dire.
Mais avant ton voyage, j’ai vu ta voiture, c’est dingue cette histoire.
- Mon voyage s’est bien passé.
Grand-mère, c’est drôle de dire grand-mère à celle qui pour moi a toujours été la comtesse depuis ma plus tendre enfance.
Bref, les trois corps seront de retour dans quelques heures.
Julien le chauffeur sera rendu à sa famille, il était célibataire et je crois que suite à cet accident son frère touchera un gros paquet de pognon.
- Julie, j’ai quelque chose à te dire, tu connais Gaëtan, le garçon que tu draguais avant de venir au service de la comtesse !
- En es-tu amoureuse ?
- Surtout pas c’est un gros con, regarde et surtout écoute, nous étions au café avec Luis.
- Luis, qui sait celui-là ?
- Le jeune postier que tu as sucé et qui m’a sauté.
- Tu es tombée amoureuse.
- C’était non, pour Gaëtan, c’est oui pour Luis.
Nous étions au restaurant pour fêter la bague qu’il m’a offerte quand je l’ai entendu parler à ses copains.
Gaëtan, je connais, c’est lui qui m’a dépucelé un soir de la fête du 14 Juillet.
Rapidement à part mon hymen envolé, ce mec m’a été indifférent.
J’écoute ce que mon amie a enregistré sur son portable.
« Et oui les mecs, je vais gagner le gros lot.
Julie c’est dans la poche, je vais aller lui faire les yeux doux en lui apportant une bague de fiançailles.
À moi la moto 1 000 centimètres cube et les petits déjeuners à poil dans son lit. »
Il y avait une litanie de ce qu’il allait me faire pour que je le comble de cadeaux.
C’est lors de l’enterrement de mon père et de ma grand-mère dans le même caveau familial qu’il a attaqué.
- Julie, j’ai besoin de te parler.
- Dégage de ma vue, tu as une petite bite.
Si elle a fait de moi une femme, elle est loin de m’avoir fait jouir.
Trouve-toi un autre tiroir-caisse.
En prononçant ces mots, je savais que je me coupais de toute chance de rencontrer quelqu’un de petite condition sociale que je pourrais aimer.
Baiser avec le petit peuple, oui, mais s’engager avec ce petit peuple, c’est prendre trop de risques de tomber sur un de ces mecs en voulant à votre fortune.
Malgré son amoureux, Babette est restée à mon service.
Nous avons mis des guêpières.
Ma main est sur sa chatte qu’elle ouvre pour que les doigts la pénètrent.
Des jeux avec mon amie, là je peux, sans risque de tomber sur un salopard qui en veut à mon pognon.
J’avance ma bouche, elle est chaude comme la braise.
Nous basculons en 69, nos deux chattes surexcitées dégoulinent dans nos bouches jusqu’à l’explosion.
- Babette, maître Albert vient de me confirmer que la succession de mes parents est terminée et conforme.
Que fais-tu avec Luis, j’ai une proposition à vous faire ?
- J’ai bien une petite idée, si ça me permet de continuer à être dans tes bras.
- Luis souhaite-t-il rester à la poste jusqu’à sa retraite ?
- Il est vacataire, son contrat vient de se terminer, il va aller à Pôle emploi.
- La petite maison où habitait Lucien, vous intéresserait-elle ?
Il deviendrait mon chauffeur, toi tu resterais ma servante.
Paye, voiture, autre que la Rolls, à disposition et lors de mes visites de boutiques, tu m’accompagnerais et bien sûr je t’offrirais des vêtements.
C’est dans un gros baiser que nous scellons notre contrat.
Inutile pour les trois à nous rendre à Pôle emploi.
Aujourd’hui, je reçois un jeune homme qui a un projet à me soumettre.
C’est mon comptable, qu’il avait joint, qui me l’envoi.
- Madame la comtesse, vous possédez une ferme dans le hameau de Bellegarde qui est à l’abandon.
Elle est entourée de terres maraîchères de première qualité.
Je viens de finir mes études au lycée agricole à Tournus et je serais intéressé de les exploiter.
Je ferais des légumes bio très tendance en ce moment.
Si vous me les concédez pour un baye de 10 ans, je m’engage de rénover la maison à mes frais.
De plus, vous serez approvisionné en légumes frais presque toute l’année.
Il y aura des serres.
- Il vous faudra un financement pour commencer, vous l’avez ?
- Il me reste ce point à finaliser.
- Voyez mon comptable qu’il monte un projet en ce sens, j’étudierais votre projet avec beaucoup de bienveillance.
Capital, risque, c’est ma première décision positive que je prends.
Côté sexe, Steve est plutôt à mon goût, mais, hélas, il fait partie de la tranche dont je dois fuir comme la peste.
Nous signons, je vais avoir des légumes sans quitter ma terrasse devant la piscine que je me suis fait installer avant de me rendre à Nice pour les deux mois d’été.
En attendant de retrouver la plage et les coups d’un soir comme avec John pendant mon premier séjour là-bas, je tape sur mon nouveau portable, tout ceci entrant dans mon budget hors capital.
« Escortboy »« David, 1m80, culturiste, bronzage naturel, bien pourvu. »
Il est dans mon budget, c’est le premier qui va venir de Lyon me baiser sans risque d’en vouloir à mon argent autre que celui que je vais lui donner.
J’adapte ma vie en fonction de mon budget sans toucher à mon capital.
Pendant la nuit, pas de vin, qu’une attente interminable.
Pourquoi, suis-je convoqué par maître Albert notaire de notre village, dans le cadre de la succession de ma patronne la comtesse morte sur les routes de Provence ?
Je suis à l’heure.
- Je dois contrôler votre identité bien que je te connaisse Julie.
J’étais ami d’enfance de ta maman avant sa disparition.
Rapidement je comprends de quoi il ressort.
Maman était tombée amoureuse de Paul, le fils de la comtesse.
Cette dernière avait d’autres vues pour sa progéniture.
La grossesse de maman a changé ses plans malgré l’éloignement qu’elle avait fait subir à son fils pour Nice où ils avaient une villa.
Celui-ci même s’il avait des relations avec d’autres femmes, refusait d’avoir d’autres descendances.
La comtesse pensant avoir gagné se retrouvait cocue comme devant.
C’est à la suite de la mort de maman que l’idée lui est venue de me récupérer à son service pendant qu’elle travaillait son fils pour qu’il me reconnaisse.
C’est dans ce but qu’elle était partie sur la côte.
Elle avait réussi et maître Leroy l’homologue de maître Albert avait fait les démarches de reconnaissance de paternité.
Cette dernière avait abouti avant que leur voiture fasse le grand saut.
- Madame la comtesse, voici un numéro de téléphone que vous devez appeler.
La voiture de votre grand-mère a été expertisée par la maison Rolls-Royce, ils se confondent en excuses.
C’est le système de freinage qui s’est trouvé défectueux.
Ils vont vous offrir une nouvelle voiture avec l’entretien à vie de cette dernière.
Rolls-Royce, Phantom 2020 dans les roses métallisées.
Je suis au volant et je roule direction Nice rencontrer le notaire de mon père.
- Bonjour Madame, le West End Nice est heureux de vous recevoir et vous souhaite un heureux séjour.
West End Nice, je peux me payer une suite au Négresco, mais après avoir rencontré le comptable de ma grand-mère, j’y ai renoncé.
Cette dernière avait des principes, toujours dépenser le superflu, les dividendes de ses biens, mais sans jamais toucher au capital.
Au contraire, régulièrement le faire grossir.
Dans l’attente de la finalité des deux successions, le notaire de Bourgogne, a pu me faire allouer cent mille euros pour mes faux frais.
J’ai fait les boutiques de Lyon avec Babette, j’ai maintenant le look qui va avec mes nouvelles responsabilités, mais attention en restant jeune, pas BCBG.
Avoir des jeans à 800 €, des tee-shirts à 500, sans oublier un passage chez le coiffeur pour 300 €, ça change la vie et surtout la vision du monde qui vous entoure.
- John, pouvez-vous m’apporter un autre Martini.
- Bien madame la comtesse, j’y cours.
Je suis sur un transat de la plage Blue Beach, je suis en maillot des plus sexy.
J’ai rencontré maître Leroy, la fortune de mon père est au moins identique à celle de grand-mère.
Papa était architecte et possédait un cabinet qui est dirigé par Sylvain son successeur.
Il avait décidé de prendre sa retraite.
- John, 22 heures chambre 69.
Soyez à l’heure, j’ai une sainte horreur des gens en retard.
John est un afro-américain qui travaille sur cette plage pour payer ses études.
Il est à l’heure.
Il m’embrasse, je suis en déshabillé comme je l’étais quand je me faisais passer pour la comtesse dans les bras de Babette.
J’ai emmené une guêpière de la collection de ma grand-mère dégageant ma chatte et mettant mes seins en valeur.
De la façon dont les gens me traitent depuis que j’ai récupéré mon titre de noblesse et le pognon qui va avec, j’ai très vite compris qu’il suffisait de demander pour être servi.
Bon amant, au matin il me quitte retournant à ses matelas, ma chatte pleinement satisfaite.
John adorant le culturisme après m’avoir embrassé m’a soulevé comme une plume et ma cloué à la porte grâce à sa verge sortie de son Tergal.
Ses muscles débordaient de son maillot sans manche.
Une vraie bête de sexe.
Mes affaires réglées je retourne vers mon domaine maçonnais.
Babette est là.
- Julie, j’ai plusieurs choses à te dire.
Mais avant ton voyage, j’ai vu ta voiture, c’est dingue cette histoire.
- Mon voyage s’est bien passé.
Grand-mère, c’est drôle de dire grand-mère à celle qui pour moi a toujours été la comtesse depuis ma plus tendre enfance.
Bref, les trois corps seront de retour dans quelques heures.
Julien le chauffeur sera rendu à sa famille, il était célibataire et je crois que suite à cet accident son frère touchera un gros paquet de pognon.
- Julie, j’ai quelque chose à te dire, tu connais Gaëtan, le garçon que tu draguais avant de venir au service de la comtesse !
- En es-tu amoureuse ?
- Surtout pas c’est un gros con, regarde et surtout écoute, nous étions au café avec Luis.
- Luis, qui sait celui-là ?
- Le jeune postier que tu as sucé et qui m’a sauté.
- Tu es tombée amoureuse.
- C’était non, pour Gaëtan, c’est oui pour Luis.
Nous étions au restaurant pour fêter la bague qu’il m’a offerte quand je l’ai entendu parler à ses copains.
Gaëtan, je connais, c’est lui qui m’a dépucelé un soir de la fête du 14 Juillet.
Rapidement à part mon hymen envolé, ce mec m’a été indifférent.
J’écoute ce que mon amie a enregistré sur son portable.
« Et oui les mecs, je vais gagner le gros lot.
Julie c’est dans la poche, je vais aller lui faire les yeux doux en lui apportant une bague de fiançailles.
À moi la moto 1 000 centimètres cube et les petits déjeuners à poil dans son lit. »
Il y avait une litanie de ce qu’il allait me faire pour que je le comble de cadeaux.
C’est lors de l’enterrement de mon père et de ma grand-mère dans le même caveau familial qu’il a attaqué.
- Julie, j’ai besoin de te parler.
- Dégage de ma vue, tu as une petite bite.
Si elle a fait de moi une femme, elle est loin de m’avoir fait jouir.
Trouve-toi un autre tiroir-caisse.
En prononçant ces mots, je savais que je me coupais de toute chance de rencontrer quelqu’un de petite condition sociale que je pourrais aimer.
Baiser avec le petit peuple, oui, mais s’engager avec ce petit peuple, c’est prendre trop de risques de tomber sur un de ces mecs en voulant à votre fortune.
Malgré son amoureux, Babette est restée à mon service.
Nous avons mis des guêpières.
Ma main est sur sa chatte qu’elle ouvre pour que les doigts la pénètrent.
Des jeux avec mon amie, là je peux, sans risque de tomber sur un salopard qui en veut à mon pognon.
J’avance ma bouche, elle est chaude comme la braise.
Nous basculons en 69, nos deux chattes surexcitées dégoulinent dans nos bouches jusqu’à l’explosion.
- Babette, maître Albert vient de me confirmer que la succession de mes parents est terminée et conforme.
Que fais-tu avec Luis, j’ai une proposition à vous faire ?
- J’ai bien une petite idée, si ça me permet de continuer à être dans tes bras.
- Luis souhaite-t-il rester à la poste jusqu’à sa retraite ?
- Il est vacataire, son contrat vient de se terminer, il va aller à Pôle emploi.
- La petite maison où habitait Lucien, vous intéresserait-elle ?
Il deviendrait mon chauffeur, toi tu resterais ma servante.
Paye, voiture, autre que la Rolls, à disposition et lors de mes visites de boutiques, tu m’accompagnerais et bien sûr je t’offrirais des vêtements.
C’est dans un gros baiser que nous scellons notre contrat.
Inutile pour les trois à nous rendre à Pôle emploi.
Aujourd’hui, je reçois un jeune homme qui a un projet à me soumettre.
C’est mon comptable, qu’il avait joint, qui me l’envoi.
- Madame la comtesse, vous possédez une ferme dans le hameau de Bellegarde qui est à l’abandon.
Elle est entourée de terres maraîchères de première qualité.
Je viens de finir mes études au lycée agricole à Tournus et je serais intéressé de les exploiter.
Je ferais des légumes bio très tendance en ce moment.
Si vous me les concédez pour un baye de 10 ans, je m’engage de rénover la maison à mes frais.
De plus, vous serez approvisionné en légumes frais presque toute l’année.
Il y aura des serres.
- Il vous faudra un financement pour commencer, vous l’avez ?
- Il me reste ce point à finaliser.
- Voyez mon comptable qu’il monte un projet en ce sens, j’étudierais votre projet avec beaucoup de bienveillance.
Capital, risque, c’est ma première décision positive que je prends.
Côté sexe, Steve est plutôt à mon goût, mais, hélas, il fait partie de la tranche dont je dois fuir comme la peste.
Nous signons, je vais avoir des légumes sans quitter ma terrasse devant la piscine que je me suis fait installer avant de me rendre à Nice pour les deux mois d’été.
En attendant de retrouver la plage et les coups d’un soir comme avec John pendant mon premier séjour là-bas, je tape sur mon nouveau portable, tout ceci entrant dans mon budget hors capital.
« Escortboy »« David, 1m80, culturiste, bronzage naturel, bien pourvu. »
Il est dans mon budget, c’est le premier qui va venir de Lyon me baiser sans risque d’en vouloir à mon argent autre que celui que je vais lui donner.
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