COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (1/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (1/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (1/5)
Certaines de mes histoires sont l’aboutissement d’un rêve soit que je m’en souvienne au matin soit qu’il me réveille.
Celui-ci m'a réveillé et m'a inspiré cette histoire.
Je sais que ce texte peut m’apporter les foudres de l’enfer après mon passage sur terre mais si le prix à payer pour vous satisfaire chers lecteurs et surtout chères lectrices, j’y suis prêt.
Je créé donc une nouvelle collection mes rêves étant nombreux.
Pourquoi ce matin j’étais un jeune curé ayant à dire sa première messe et étant pétrifié de peur ?
Voilà ce que ça m’a inspiré.

- Père Joseph, vous voici arrivé au terme de votre formation.
Je vais vous affecter une paroisse.
- Merci évêque Juda, sachez que je servirais mes ouailles du mieux que je le pourrais.
- Vous avez intérêt à vous faire bien voir de vos brebis.
Je vois votre dossier, vous étiez le dernier de votre séminaire.
Comme le père Mathieu que vous allez remplacer, vous serez là-bas pour les quarante prochaines années.
À moins que le très haut décide de vous décharger de votre fardeau et vous rappelle à lui.
- Soyez certain que j’assumerais ma tâche du mieux que je le peux.
- Venez me voir si quelque chose vous tracasse, je serais toujours là pour vous conseiller.
À oui, quelques petits conseils, l’église évolue mais dans ces petits villages on y arrive lentement.
Donc, dès votre arrivée vous serez confronté à certaines vieilles paroissiennes qui pour elles se sont arrêtées au temps des confessions.
Évitez de vous les mettre à dos, si elles viennent à vous pour se confesser acceptez, vous en apprendrez plus que quiconque dans les travers de vos brebis.
Un autre endroit que je vous conseille, le bistrot du coin.
Mais attention pas d’alcool nous avons quelques prêtes s’étant retrouvés en cure de désintoxe.
Eux aussi, même s’ils parlent gras ce sont des rustres qui à part la terre qu’ils cultivent sont des êtres simples.
Si je vous dis cela c’est qu’avant d’être votre évêque j’ai servi dans une petite bourgade comme la vôtre mais bien sûr j’ai fini mon séminaire major ce qui me vaut le poste que j’occupe aujourd’hui.
Aller père Joseph, mon fils, un taxi vous attend et va vous conduire dans votre paroisse.
Le père Mathieu récupérera ce taxi après les cinq minutes que vous passerez ensemble pour être conduit dans l’Abbaye où il fera retraite jusqu’à sa mort.
Je vous bénis mon fils.

La bénédiction de mon évêque sur mon front imposé et son anneau baisé, je pars fièrement vers mon destin.
Si j’ai fini dernier c’est surtout par timidité.
Je suis entré au séminaire afin d’éviter de dire à une jeune fille que je l’aimais.
Eh oui, j’ai fui.
Nous roulons, mon chauffeur est peu causant et enfin après être monté dans la montagne, je vois apparaître le clocher de l’église que je vais administrer.
Que dire du père Mathieu, il est vieux et voûté !
Comme moi il est arrivé il avait une trentaine d'années et part vers son monde de prière quarante ans après.
Quand il prend son taxi, je remarque sur la porte de la maison voisine du presbytère où je vais vivre, une vieille femme devant sa porte semblant être triste.
Je salue mon ancien et je rentre découvrir le lieu où je vais vivre.
À l’arrière, entouré du mur protégeant le presbytère un jardin est là.
Le père Mathieu a oublié de me dire qu’il cultivait ses légumes.
Ça tombe bien, la paye est maigre et j’ignore la générosité de mes paroissiens lors des messes et des diverses occasions où j’aurais à leur tendre le panier de la quête.

Le lendemain c’est dimanche, je prépare mon sermon sur les vues du seigneur car étant novice j’ignore ce qui les intéresse.
Je les reçois aux portes de mon église.
Je suis fière de dire mon église.

- Bonjour mon père, heureux de vous connaître.
- Joseph pour vous servir.

La plupart de mes fidèles plus femmes qu’hommes, me salut et j'en fais de même.
Tout va bien jusqu’à la communion.
Devant moi viennent s’agenouiller une jeune femme qui aide la vieille femme vue devant la maison voisine du presbytère à mon arrivé et au moment du départ du père Mathieu.
Ce doit être sa maman qui communie et elle me tend ses mains.
Ses magnifiques yeux bleus pénètrent les miens.
On est curé mais malgré mes vœux de chasteté je suis homme et je sens une certaine réaction que j’ai du mal à chasser quand je vois son joli petit cul s’éloigner soutenant cette vieille femme.

- C’est Marie monsieur le curé.
- Pardon de qui me parles-tu Louis ?
- De la pucelle du village qui fait bander tous les hommes.
- Quel âge as-tu Louis ?
- Douze ans monsieur le curé.
- Et tu sais déjà que les petits culs des femmes font bander les hommes.
- On est à la campagne monsieur le curé et nous apprenons très tôt les choses de la vie.
Cette nuit j’ai aidé mon père à faire mettre bas le troisième petit veau de notre élevage.
J’étais là quand nous avons amener la marguerite au taureau Arthur.
C’est moi qui lui aie tenu sa queue pour la mettre dans son cul.
Il est comme le père Mathieu que vous remplacez Arthur il est un peu vieux et a du mal à tendre le bras.

Louis est l’enfant de chœur qui s’est présenté à moi avant la messe pendant que je me préparais dans la sacristie.
C’est le fils d’un agriculteur étant une force de la nature étant lui-même déjà un garçon à qui j’aurais donné au moins quinze ou seize ans.

- Mon père, je peux vous parler, je suis madame Agnès, l’ancienne institutrice.
Je pense que vous êtes un jeune curé qui va nous refuser de nous confesser.
- Non madame Agnès, venez quand vous voudrez et j’entendrais votre confession.
- Ça c’est bien, je vais dire à mes copines du club de tricot qu’elles pourront venir à confesse que vous êtes un jeune curé prenant soin de nous.
Dommage que vous soyez en costume malgré votre croix on aimait quand les curés étaient en soutane.

Elle s’éloigne un peu voûter soutenue par une canne.

- Vous auriez dû vous abstenir de lui dire de venir se confesser.
Vous allez en apprendre de belles, l’Agnès, des élèves de son école du temps où elle exerçait elle en a dépucelé plus d’un.
- Comment sais-tu ça Louis ?
- C’est mon père qui me l’a dit, c’est elle qui l’a dépucelé ainsi que les deux tiers de ses copains quand ils ont été en âge.
- Et maintenant, l’institutrice !
- Aucun risque, c’est un maître et il est marié.
Dans notre village les PD ont leur casse la gueule.

Heureusement que l’évêque Juda m’a prévenu.
En peu de temps à part les grands yeux que celle que Louis a appelé Marie m’ayant troublé, je m’adapte à mon village.

- Monsieur le curé, on vous attend au bistrot voisin, je vous présenterais un grand nombre de copains.
Le père Mathieu venait toujours les dimanches passer un moment et discuter du foot avec nous.
- Vous avez une équipe de foot ?
- Oui, nous sommes en première série.
- Le temps de ranger l’église et je viens vous voir mais je m’installe, je resterais peu longtemps.
- Le principal c’est que vous veniez, je vous trouve sympa.

Ouf, merci Juda sans tous tes conseils, je me serais certainement mis à dos tous les ivrognes et bigotes de mon village.

- J’y vais moi aussi, mon père vous le verrez au bistrot, c’est le plus balaise.
- Tu vas au bistrot ?
- Non, maman m’attend avant qu’il arrive, attention au vin blanc.

Ce grand échalas me quitte, quand j’arrive au bistrot il est fermé.

- Je viens d’apprendre que Jules était parti en ville, sa mère est à l’EPAD et elle a eu une crise cardiaque.
Je suis Georges le père de mon Louis.
Attention, il sert la messe et fait sa communion car j’ai un accord avec Berthe.
Vous savez nous sommes fort ici mais chez nous ce sont nos femmes qui nous tiennent par les couilles.
Dès qu’il aura enlevé son aube après sa communion c’est ici chez Jules qu’il apprendra la vie.

Je salue ce fruste et je retourne au presbytère.
Le très haut a pourvu à mon bien-être, ça sent très bon dans ma cuisine.
À petit feu une marmite de soupe de légumes cuit sur le fourneau à bois.
J’entends chanter dans le jardin.
Je franchis la porte arrière.

- Père Joseph vous avez trouvé la soupe, j’espère que le père Mathieu vous a mis au courant.
C’est moi qui prends la suite de ma maman pour m’occuper de vous.
Je fais votre jardin, j’adore planter des choux, des navets et surtout des carottes.
- Tu t’appelles Marie, quel joli prénom.
Comment viens-tu dans mon jardin, j’étais devant avec ce bourru de Georges.
- Regardez la porte entre nos deux jardins, je passe par là pour vous amener votre soupe et faire votre ménage.
- Je suis pauvre Marie, je viens de compter la quête.
Un peu plus de 12 € plus un joint de bougie de mobylette.
J’aurais du mal à te payer un salaire.
- Maman était l’infirmière du village, je le suis aujourd’hui, c’est moi qui la remplace.
Nous aussi nous vivons chichement.
- Je vais manger ta soupe, à l’odeur elle doit être succulente.

Je retourne à l’intérieur.
On m’a apporté mes affaires et je range tout de manière à être prêt pour mon travail de curé de ce village le plus rapidement possible.
Au soir, je prends ma douche toujours froide et nu je me couche.
J’ai toujours dormi nu.
J’entends du bruit du côté jardin.

- Joseph, tu dors ?
- Marie que fais-tu là ?

Sans me répondre, elle enlève son peignoir se montrant nue dans sa magnifique blondeur.
Je lisais mon bréviaire.
Elle soulève mon drap, se colle à mon côté et avant que je réagisse, elle empoigne ma verge.
Je bande.
Elle l’a fait entrer dans sa jolie bouche.
Mon Dieu que la chair est faible…

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