COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Que la chair est faible (2/5)
Certaines de mes histoires sont l’aboutissement d’un rêve soit que je m’en souvienne au matin soit qu’il me réveille.
C’est ainsi que Joseph curé de campagne vient dans ce village prendre ses fonctions en remplacement de l’ancien curé Mathieu partant à la retraite dans une abbaye.
Dès sa première messe il remarque les beaux yeux d’une jeune fille qui le fait chavirer.
Cette même jeune fille nommée Marie il la retrouve dans le jardin du presbytère à cultiver ses légumes.
Elle lui annonce que comme le faisait sa maman avec l’ancien curé c’est elle qui sera chargée de l’entretien du presbytère et de sa cuisine principalement composée de soupe de légumes.
En plus de cet entretien, dès le premier soir entendant la porte donnant sur le jardin s’ouvrir, il voit Marie entrer dans sa chambre ôter son peignoir et se présenter dans sa magnifique nudité.
Depuis qu’il est petit, il dort nu et la coquine se glissant sous son drap vient directement lui sucer la queue qui bande fièrement.
Ses vœux de chasteté sont vite balayés par l’expérience que semble montrer la jolie blonde.
Elle le suce en le masturbant et ses quinze centimètres deviennent tendus comme jamais.
La nature est ainsi faite que le processus que la petite déclenche en lui est irréversible et qu’il se sent obligé de la satisfaire pour lui éviter une frustration qui pourrait la marquer à vie.
Juda lui a bien dit de s’intégrer dans ce village et quand son sexe entre dans celui de la jeune femme, qu’elle plus belle intégration pourrait-il avoir.
Il a du mal à la pénétrer mais après un cri de Marie il est en elle.
Ce premier coït se fera sans plaisir pour elle et sans grand plaisir pour lui car il éjacule trop vite surpris que cette jeune femme soit venue se faire sauter.
- Excuse-moi.
- Non, s’était bon quand même, tu verras au fil des jours tu arriveras à me satisfaire comme Mathieu le faisait avec maman.
- Que me dis-tu, ta maman couchait avec le vieux curé ?
- Vieux quand tu l’as vu partir, mais maman m’a dit qu’à cinquante ans quand ils m’ont conçu il bandait autant que toi ce soir.
- Es-tu en train de me dire que tu es la fille du père Mathieu et que ta mère t’a mis au monde alors qu’elle avait dépassé la quarantaine ?
- Oui et aussi mes quatre frères mes aînés qui ont quitté la maison il y a longtemps.
Quand mon père est arrivé, c’est à elle qu’a été confiée sa cuisine et son ménage et comme moi en plus afin de gagner sa vie elle était l’infirmière du pays.
- Mais les gens savaient que vous étiez les enfants de votre curé ?
- Non, maman allait dans presque toutes les maisons pour piquer les fesses des gens.
À chaque naissance, il se disait que maman était une salope qui baisait avec des hommes sans jamais se faire prendre.
Elle était fidèle à son curé comme je vais l’être avec toi.
- C’est incroyable, mais après ce qui vient de se passer je suis dans l’obligation de te croire.
Mais ta maman et toi que faite vous de nos vœux de chasteté.
- Tu les trahirais si tu baisais les femmes mariées de ce village cocufiant les hommes qui aiment aller au bistrot et qui rentrent chez eux bourrés.
Insidieusement la petite joue avec ma verge qui rapidement reprend du volume.
Il me faut résister c’est au moment où je me glisse entre ses cuisses que je vois pourquoi j’ai eu du mal à rentrer.
- Mais tu étais vierge.
- Normal je m’appelle Marie.
Maman m’avait préparé à ta venue car elle savait que ton prédécesseur voulait partir finir sa vie dans une abbaye.
Je t’attendais avec anxiété car j’avais peur que tu ne fusses gros et laid.
Dimanche à la messe quand je t’ai vu et que tu m’as donné la communion, j’ai ressenti les premiers émois de ma vie de femme.
- Tu sais que ce que nous faisons est mal.
- Qui a-t-il de mal à ce que je te rejoigne la nuit et que nos corps vibrent à l’unisson comme ceux de maman et de mon papa.
Dieu nous a donné des chattes et des verges c’est pour s’en servir.
Regarde, je réussis à te faire rebander.
Ma chatte me fait mal après mon dépucelage, je veux te faire plaisir.
Je vais recommencer à te sucer et avaler ton sperme.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Maman m’a expliqué que lorsqu’elle avait ses règles c’est dans sa bouche qu’elle récupérerait sa divine semence.
Il en sera de même pour toi.
- Mais dis-moi, s’ils ont eu cinq enfants, sa semence il devait lui en déposer beaucoup dans son vagin.
- C’est sur comme toi tu l’as fait tout à l’heure, dans neuf mois je nous donnerais notre première enfant.
J’en veux autant et même plus que maman.
- Et que faite vous de notre morale ?
- Et Marie-Madeleine, elle avait de la morale.
Tu as fait de moi une femme ce soir et je te serais fidèle.
Elle retourne me pomper avale mon sperme et reprenant son peignoir retourne dans la maison voisine.
Qui a conçu ces maisons avec un passage permettant à ces femmes d’être la tentation.
Au matin quand je vais ouvrir l’église, je regarde si quelqu’un me regarde de travers.
- Bonjour curé, vous avez bien dormi.
Vous habitiez en ville avant d’être nommé ici.
- Oui.
- Ici les voitures, à part quelques jeunes rentrants de la ville en goguette le week-end, aucun bruit de ce genre pour vous réveiller.
Ce matin ça bouge de bonne heure surtout les tracteurs nos paysans vont aux champs.
Voilà, ces genres de discours même avec monsieur le maire ou le boulanger au fil des jours sont tous du même acabit.
Ça fait une semaine que je suis là et toutes les nuits Marie vient me dire son amour.
J’ai un peu honte lundi j’ai pris rendez-vous avec l’évêque Juda pour éclaircir ma situation et recueillir son sentiment.
À 11 heures, j’ai rendez-vous pour une confession de l’ancienne droguiste, la boutique ayant fermé ses portes cette femme touchant les aides de l'État.
- Mon père pardonnez-moi parce que j’ai péché.
Cette phrase, j’étais persuadé que c’était fini avec la nouvelle liturgie où les personnes se font absoudre leurs péchés seules.
Je passe ses petits travers quand elle se goinfre de petits fours.
J’ai vu son cul avant qu’elle vienne s’agenouiller dans le confessionnal.
Il doit y avoir longtemps qu’une bite n’est venue la baiser.
Elle a de la rancœur pour les autres femmes du village.
- Monsieur le curé, je dois vous dire ce que l’on m’a fait comprendre.
Il m’est impossible de garder ça pour moi.
- Dite ma fille.
- Marie, la petite Marie qui habite la maison voisine de la vôtre, c’est une salope comme sa mère.
Mon sang se glace, avons-nous fait un imper, cette vieille rombière va m’annoncer que je me tape la jeune fille.
Elle va me dire que dans le village tous savent que j’ai enfilé Marie alors qu’elle était en position de levrette.
Marie adore me sucer la queue mais aime par-dessus tout quand je viens en elle par-derrière.
Elle dit qu’elle me sent mieux.
Ouf.
- On m’a dit qu’elle était la maîtresse du grand Georges le père de Louis votre enfant de chœur.
Attention, je veux vous dire simplement la vérité loin de moi l’idée de colporter des ragots.
Mais.
Immanquablement il y a un « mais ».
- Mais on l’a vu aller chez eux dès que son fils était parti à l’école.
Vous vous rendez compte Louis est encore à l’école ici alors qu’à son âge il devrait être au collège mais moi ce que j’en dis.
Marie a profité de ce que la femme de Georges était hospitalisée pour un calcul rénal.
On lui a posé une sonde JJ.
Inutile de me demander ce que c’est JJ sinon je serais médecin.
Je suis à deux doigts de m’endormir mais c’est de Marie qu’elle parle et j’espère pouvoir la contrer sans me dévoiler.
- On dirait que dans votre voix, il y a de la rancœur ma fille, soit envers la petite Marie soit envers son soi-disant amant.
- Son amant j’en suis certaine, elle a le feu au cul comme sa putain de mère.
Cinq enfants sans jamais être vu avec un homme.
Sa mère s’était la pute du village même mon mari le Joseph, il l’a tringlé, paix à son âme mon père.
- Si je comprends bien ma fille, Marie est une pute, sa mère est une pute.
Vous avez été mariée avec un homme qui vous aurait fait porter des cornes.
Comme vous dites paix à son âme.
Mais dites-moi ma fille.
J’adore parler à ces vieilles rombières et les appeler « ma fille ».
- Dites-moi, vous me parlez des autres, mais vous à part votre boulimie de petits gâteaux, aucun petit coup de canif dans votre contrat avec Joseph.
- Une boulimie, juste de petit plaisir.
De gourmandise ma fille, de gourmandise c’est déjà un péché qu’il vous faut avouer.
Attention ma fille, vous êtes dans un lieu de culte, vous voyez la lumière rouge près du tabernacle.
Il est là qui vous regarde et qui vous écoute.
À votre âge, vous avez des chances de vous retrouver devant son jugement dans peu d’années.
Dites-moi tout surtout si vous avez toujours oublié de le dire au père Mathieu.
- Vous avez raison mon père, j’ai un gros poids sur ma poitrine.
Ça restera ente nous mon père et j’aurais l’absolution.
- Vous allez vite en besogne ma fille, dites-moi tout et je verrais si vous méritez l’absolution de celui qui nous a montré le chemin.
Je sens que je vais me marrer, à part dès on-dit, rien entre moi et Marie semble filtrer dans le village…
C’est ainsi que Joseph curé de campagne vient dans ce village prendre ses fonctions en remplacement de l’ancien curé Mathieu partant à la retraite dans une abbaye.
Dès sa première messe il remarque les beaux yeux d’une jeune fille qui le fait chavirer.
Cette même jeune fille nommée Marie il la retrouve dans le jardin du presbytère à cultiver ses légumes.
Elle lui annonce que comme le faisait sa maman avec l’ancien curé c’est elle qui sera chargée de l’entretien du presbytère et de sa cuisine principalement composée de soupe de légumes.
En plus de cet entretien, dès le premier soir entendant la porte donnant sur le jardin s’ouvrir, il voit Marie entrer dans sa chambre ôter son peignoir et se présenter dans sa magnifique nudité.
Depuis qu’il est petit, il dort nu et la coquine se glissant sous son drap vient directement lui sucer la queue qui bande fièrement.
Ses vœux de chasteté sont vite balayés par l’expérience que semble montrer la jolie blonde.
Elle le suce en le masturbant et ses quinze centimètres deviennent tendus comme jamais.
La nature est ainsi faite que le processus que la petite déclenche en lui est irréversible et qu’il se sent obligé de la satisfaire pour lui éviter une frustration qui pourrait la marquer à vie.
Juda lui a bien dit de s’intégrer dans ce village et quand son sexe entre dans celui de la jeune femme, qu’elle plus belle intégration pourrait-il avoir.
Il a du mal à la pénétrer mais après un cri de Marie il est en elle.
Ce premier coït se fera sans plaisir pour elle et sans grand plaisir pour lui car il éjacule trop vite surpris que cette jeune femme soit venue se faire sauter.
- Excuse-moi.
- Non, s’était bon quand même, tu verras au fil des jours tu arriveras à me satisfaire comme Mathieu le faisait avec maman.
- Que me dis-tu, ta maman couchait avec le vieux curé ?
- Vieux quand tu l’as vu partir, mais maman m’a dit qu’à cinquante ans quand ils m’ont conçu il bandait autant que toi ce soir.
- Es-tu en train de me dire que tu es la fille du père Mathieu et que ta mère t’a mis au monde alors qu’elle avait dépassé la quarantaine ?
- Oui et aussi mes quatre frères mes aînés qui ont quitté la maison il y a longtemps.
Quand mon père est arrivé, c’est à elle qu’a été confiée sa cuisine et son ménage et comme moi en plus afin de gagner sa vie elle était l’infirmière du pays.
- Mais les gens savaient que vous étiez les enfants de votre curé ?
- Non, maman allait dans presque toutes les maisons pour piquer les fesses des gens.
À chaque naissance, il se disait que maman était une salope qui baisait avec des hommes sans jamais se faire prendre.
Elle était fidèle à son curé comme je vais l’être avec toi.
- C’est incroyable, mais après ce qui vient de se passer je suis dans l’obligation de te croire.
Mais ta maman et toi que faite vous de nos vœux de chasteté.
- Tu les trahirais si tu baisais les femmes mariées de ce village cocufiant les hommes qui aiment aller au bistrot et qui rentrent chez eux bourrés.
Insidieusement la petite joue avec ma verge qui rapidement reprend du volume.
Il me faut résister c’est au moment où je me glisse entre ses cuisses que je vois pourquoi j’ai eu du mal à rentrer.
- Mais tu étais vierge.
- Normal je m’appelle Marie.
Maman m’avait préparé à ta venue car elle savait que ton prédécesseur voulait partir finir sa vie dans une abbaye.
Je t’attendais avec anxiété car j’avais peur que tu ne fusses gros et laid.
Dimanche à la messe quand je t’ai vu et que tu m’as donné la communion, j’ai ressenti les premiers émois de ma vie de femme.
- Tu sais que ce que nous faisons est mal.
- Qui a-t-il de mal à ce que je te rejoigne la nuit et que nos corps vibrent à l’unisson comme ceux de maman et de mon papa.
Dieu nous a donné des chattes et des verges c’est pour s’en servir.
Regarde, je réussis à te faire rebander.
Ma chatte me fait mal après mon dépucelage, je veux te faire plaisir.
Je vais recommencer à te sucer et avaler ton sperme.
- Comment sais-tu tout ça ?
- Maman m’a expliqué que lorsqu’elle avait ses règles c’est dans sa bouche qu’elle récupérerait sa divine semence.
Il en sera de même pour toi.
- Mais dis-moi, s’ils ont eu cinq enfants, sa semence il devait lui en déposer beaucoup dans son vagin.
- C’est sur comme toi tu l’as fait tout à l’heure, dans neuf mois je nous donnerais notre première enfant.
J’en veux autant et même plus que maman.
- Et que faite vous de notre morale ?
- Et Marie-Madeleine, elle avait de la morale.
Tu as fait de moi une femme ce soir et je te serais fidèle.
Elle retourne me pomper avale mon sperme et reprenant son peignoir retourne dans la maison voisine.
Qui a conçu ces maisons avec un passage permettant à ces femmes d’être la tentation.
Au matin quand je vais ouvrir l’église, je regarde si quelqu’un me regarde de travers.
- Bonjour curé, vous avez bien dormi.
Vous habitiez en ville avant d’être nommé ici.
- Oui.
- Ici les voitures, à part quelques jeunes rentrants de la ville en goguette le week-end, aucun bruit de ce genre pour vous réveiller.
Ce matin ça bouge de bonne heure surtout les tracteurs nos paysans vont aux champs.
Voilà, ces genres de discours même avec monsieur le maire ou le boulanger au fil des jours sont tous du même acabit.
Ça fait une semaine que je suis là et toutes les nuits Marie vient me dire son amour.
J’ai un peu honte lundi j’ai pris rendez-vous avec l’évêque Juda pour éclaircir ma situation et recueillir son sentiment.
À 11 heures, j’ai rendez-vous pour une confession de l’ancienne droguiste, la boutique ayant fermé ses portes cette femme touchant les aides de l'État.
- Mon père pardonnez-moi parce que j’ai péché.
Cette phrase, j’étais persuadé que c’était fini avec la nouvelle liturgie où les personnes se font absoudre leurs péchés seules.
Je passe ses petits travers quand elle se goinfre de petits fours.
J’ai vu son cul avant qu’elle vienne s’agenouiller dans le confessionnal.
Il doit y avoir longtemps qu’une bite n’est venue la baiser.
Elle a de la rancœur pour les autres femmes du village.
- Monsieur le curé, je dois vous dire ce que l’on m’a fait comprendre.
Il m’est impossible de garder ça pour moi.
- Dite ma fille.
- Marie, la petite Marie qui habite la maison voisine de la vôtre, c’est une salope comme sa mère.
Mon sang se glace, avons-nous fait un imper, cette vieille rombière va m’annoncer que je me tape la jeune fille.
Elle va me dire que dans le village tous savent que j’ai enfilé Marie alors qu’elle était en position de levrette.
Marie adore me sucer la queue mais aime par-dessus tout quand je viens en elle par-derrière.
Elle dit qu’elle me sent mieux.
Ouf.
- On m’a dit qu’elle était la maîtresse du grand Georges le père de Louis votre enfant de chœur.
Attention, je veux vous dire simplement la vérité loin de moi l’idée de colporter des ragots.
Mais.
Immanquablement il y a un « mais ».
- Mais on l’a vu aller chez eux dès que son fils était parti à l’école.
Vous vous rendez compte Louis est encore à l’école ici alors qu’à son âge il devrait être au collège mais moi ce que j’en dis.
Marie a profité de ce que la femme de Georges était hospitalisée pour un calcul rénal.
On lui a posé une sonde JJ.
Inutile de me demander ce que c’est JJ sinon je serais médecin.
Je suis à deux doigts de m’endormir mais c’est de Marie qu’elle parle et j’espère pouvoir la contrer sans me dévoiler.
- On dirait que dans votre voix, il y a de la rancœur ma fille, soit envers la petite Marie soit envers son soi-disant amant.
- Son amant j’en suis certaine, elle a le feu au cul comme sa putain de mère.
Cinq enfants sans jamais être vu avec un homme.
Sa mère s’était la pute du village même mon mari le Joseph, il l’a tringlé, paix à son âme mon père.
- Si je comprends bien ma fille, Marie est une pute, sa mère est une pute.
Vous avez été mariée avec un homme qui vous aurait fait porter des cornes.
Comme vous dites paix à son âme.
Mais dites-moi ma fille.
J’adore parler à ces vieilles rombières et les appeler « ma fille ».
- Dites-moi, vous me parlez des autres, mais vous à part votre boulimie de petits gâteaux, aucun petit coup de canif dans votre contrat avec Joseph.
- Une boulimie, juste de petit plaisir.
De gourmandise ma fille, de gourmandise c’est déjà un péché qu’il vous faut avouer.
Attention ma fille, vous êtes dans un lieu de culte, vous voyez la lumière rouge près du tabernacle.
Il est là qui vous regarde et qui vous écoute.
À votre âge, vous avez des chances de vous retrouver devant son jugement dans peu d’années.
Dites-moi tout surtout si vous avez toujours oublié de le dire au père Mathieu.
- Vous avez raison mon père, j’ai un gros poids sur ma poitrine.
Ça restera ente nous mon père et j’aurais l’absolution.
- Vous allez vite en besogne ma fille, dites-moi tout et je verrais si vous méritez l’absolution de celui qui nous a montré le chemin.
Je sens que je vais me marrer, à part dès on-dit, rien entre moi et Marie semble filtrer dans le village…
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