COLLECTION SALOPE. La cabane de chantier (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. La cabane de chantier (1/2)
• Just, j’ai une demande à te faire !
• Oui mon amour, accepté d’avance, je suis d’accord avant que tu m’en dises plus.
• Tu es sûr, je serais très déçu si tu revenais sur cette prise de position, je me lance !
Te souviens-tu de Juliette ma copine d’enfance ?
• Oui, celle qui est partie en Afrique sucer des bites noires !
• Arrête de te moquer, je me souviens que tu disais déjà cela quand je t’ai appris qu’elle partait au Burkina Faso.
Tu sais très bien que c’était pour de la coopération étant infirmière qu’elle est partie là-bas.
• Et sucer des bites noires, elle avait suivi un chirurgien black et dont tous nous étions persuadés qu’elle était sa maîtresse.
• Ça, c’est vrai, mais personne n’a pu prouver qu’elle couchait avec lui, elle avait fait un an de médecine la même année que lui.
C’était leur seul point commun, mais ayant été recalée à la fin de cette première année, de dix ans d’études, elle est passée à trois pour devenir infirmière.
Je l’ai croisé ce midi pendant ma pose.
Elle a réuni plusieurs anciennes de nos copines et un mercredi par mois elle organise une soirée resto entre filles.
Je dois la rappeler pour lui dire si tu acceptes que je sorte pour les rejoindre.
La première soirée, c’est samedi, tu pourrais garder Romain ce mois si après ce sont les vacances et il sera chez mes parents.
Vous joueriez à la dinette avant que tu le couches !
• Et je serais pénard pour suivre mes matchs de foot sans que mon amour de femme me demande toutes les cinq minutes que je lui explique pourquoi sur la dernière action, il y avait un hors-jeu.
• Par exemple, mais c’est d’accord, car tu me l’as promis.
• Et je n’ai qu’une parole, tu pourras lui téléphoner ou la voir pour lui confirmer ta présence.
Mercredi, notre fils est content de passer la soirée avec son papa, jusqu’au moment où Véronique sort du couloir des chambres pour rejoindre ses amis.
• Maman ou vas-tu, je viens avec toi !
Cinq ans, c’est en pleurs quelle l’embrasse puis vient vers moi pour m’embrasser comme au premier jour.
Étant déjà sur le canapé, je suis à deux doigts de lui passer ma main sous sa mini, mais la présence de mon fils m’en empêche.
Je vois qu’elle a mis ses bas résilles, ceux que je lui vois mettre lorsque nous sortons principalement pour aller au restaurant, ce sera dans deux mois en juillet, pour nos dix ans de mariage.
Son chemisier blanc laissant apercevoir ses seins magnifiques dans toute sa splendeur de ses trente ans, est un autre point de mon étonnement pour une réunion entre copines, mais je laisse courir, j’ai une confiance totale en celle qui m’a juré fidélité.
Elle prend son imper, il pleut en ce joli mois de mai et un geste de la main, elle quitte la pièce et j’entends la porte palière claquer.
Ça tombe bien, le match débute, Romain est à mes pieds, il joue avec son nouveau camion de pompiers que je lui ai acheté à la sortie de mon travail, je suis avocat, espérant qu’il se tiendra tranquille ce qui est le cas.
Comme prévu à la mi-temps de nouveau des pleurs lorsque je lui demande d’aller au dodo.
Le camion me sauve, c’est lorsque je vais le rechercher et qu’il le prend dans ses bras que j’arrive à le faire dormir.
J’attends quelques minutes, je le récupère et le pose sur la commode ou son linge est rangé.
J’ai loupé dix minutes du début de la deuxième mi-temps, heureusement ce match est insipide et au coup de sifflet final, je vais me coucher sans que ma femme soit de retour.
Suis-je inquiet, non, pour preuve une fois douchée, je me couche sans me poser plus de question.
Je me réveille, je m’excuse, je bande, mais ce sont les deux bières que j’ai bues, je vais pisser.
Je me prépare, je vais boire un café vite fait grâce à ma machine à grains programmée, avant de partir à mon cabinet à pied ma sacoche en main.
Je longe la palissade du chantier d’une maison entièrement en rénovation.
À un endroit, un passage est ouvert, il y a quatre ou cinq gars qui eux aussi doivent se lever, ils sont devant un Algeco et ils fument une clope en rigolant entre eux.
Vu l’heure, ils doivent coucher sur place, si l’inspection du travail déboulait, je pense que cela nous donnerait du travail à défendre, les travailleurs sans papier.
Je passe sans entendre ce qui se dit et un kilomètre plus loin je suis arrivé dans mes bureaux.
Le matin se passe au tribunal, une audience a lieu avec un homme ayant eu un conflit de voisinage et en étant venue aux mains.
Le juge étant conciliant, mon client s’en sort avec une mise à l’épreuve et une amende de 1 000 € et bien sûr mes émoluments prévus, il faut bien vivre.
Je mange au resto à la sortie du tribunal, j’y mange souvent, car mon cabinet se trouve à deux pas.
L’après-midi avec mon équipe je prépare le procès du lendemain, je vais retourner au tribunal, aux assises, un meurtre avec préméditation, mais je défends la partie civile.
Une semaine de travail à préparer, mais comme mes collaborateurs ont déjà bien travaillé à 17 heures, je peux me libérer.
Je rentre chez moi, le chantier va de bon train, les noirs et les Arabes, que j’ai vus ce matin, à non, il y a un jeune blond avec eux qui pousse une brouette.
L’un des blacks, lui parle en français, ce doit être le responsable de l’équipe, mais une nouvelle fois, étant sur le trottoir d’en face, ce qu’ils se disent m’échappe.
Je rentre chez moi, c’est vrai, nous sommes jeudi et chaque jeudi après-midi, c’est le jour où elle récupère Romain et va chez sa mère avec sa voiture, elle habite de l’autre côté de notre ville.
Je vais me doucher, notre salle de bains à aussi une baignoire, mais me prélacer c’est loin d’être ma tartine de pain, j’aime que cela aille vite.
Je vais boire un café, la femme de ménage est venue, tout est en ordre, je décide de leur faire des crêpes, Romain adore en manger après que sa mère lui ait fait faire ses devoirs.
Le litre de lait dont je me suis servi ainsi que les sachets de sucre vanillé et les coquilles d’œufs sont à jeter, j’ouvre la poubelle.
Un morceau de tissu noir si trouve avec des épluchures de légumes, je le saisis ce sont ses bas résiles que Véronique portait hier lorsqu’elle m’a quitté, ils sont à moitié déchirés, mais ils ont peut-être simplement filé.
En dessous, caché par le noir, un autre morceau de tissu, là c’est plus surprenant sa petite culotte rose, que j’aime tant lui voir porter, lorsque nous sommes seules surtout si elle met ses talons hauts, ça lui fait ressortir le cul.
La dernière fois que nous étions seuls, elle a passé la soirée à les porter, je bandais comme un âne et nous avons baisé assis sur une chaise dans la cuisine.
À la voir se tortiller chaque fois qu’elle passait vers moi, j’ai été dans l’incapacité de résister.
Je remets tous ça là où c’était, et lorsqu’ils rentrent je suis à deux doigts de lui poser une question, mais Romain est là et je risque de déclencher une scène de ménage, très rare entre nous il est vrai.
Mais je connais sa mauvaise foi, je m’abstiens et j’oublie jusqu’au mercredi un mois plus tard.
Je rentre tard ce soir-là, quand je passe non loin du chantier, lorsqu’au loin, je vois Véronique arriver avec Josyane, sans qu’elles puissent me voir.
Un camion emprunte cette route et un court instant les filles me sont cachées.
Arrivé à l’ouverture dans la palissade, elle regarde à gauche et à droite et entre dans le chantier disparaissant de ma vue.
L’une d’elles a-t-elle eu une envie urgente et va-t-elle se soulager, je me suis arrêté mais ça dure, je décide d’aller voir.
Je fais comme elles, je franchis la palissade par le trou que forment deux parties de ces murs de bois.
Dans la cabane de chantier, des rires et de la musique, serait-il possible, ce qui est impensable, qu’elles soient entrées dans cet endroit où je sais quel genre d’homme s’y trouve ?
Une fenêtre entrouverte, c’est par là que la musique s’échappe, je m’approche, c’est impensable, elles sont là, mais les hommes aussi, trois chacune sont déjà en train de s’occuper d’elles.
La jupe de ma femme a déjà sauté ainsi que sa blouse, elle a la chatte à l’air ainsi que ces seins, certainement l’expérience de la première fois, nul doute qu’elles sont déjà venues se faire baiser.
La salope de Josyane a dû entrainer ma femme dans ces débauches et cette idiote a suivi.
La rudesse de ces hommes n’a d’égale que leur manque de femme et ses sous-vêtements ont fini dans notre poubelle.
Au sol des matelas, Josyane se baisse la première et un à un des hommes ayant sorti leur sexe les présentent à la bouche de cette salope qui a entrainé ma femme dans cette débauche.
• Josyane, je t’ai laissée Hugo, tu t’en occupe, le mois dernier, il n’était pas encore parmi nous lorsque je t’ai invité à venir m’aider à satisfaire tous ces hommes.
Il est puceau, mais je te le laisse, Omar va me combler avec ses deux copains, n’est-ce pas messieurs.
La salope, c’est Véronique qui a entraîné sa copine le mois dernier, si j’y réfléchis bien, quelques jours avant la première sortie, elle était chez sa mère qui était soi-disant malade.
Elle avait dû se faire tous ces mecs avant de faire venir Josyane à la rescousse.
• Assez de discours ma salope, on est à votre disposition pour vous baiser, suce, tu fais ça si bien.
Combien de temps, je reste là à les voir franchir les étapes de leur débauche ?
Je devrais contourner la cabane de chantier ouvrir la porte et faire un scandale.
Je suis avocat et je vois souvent des affaires d’adultères, c’est une grande partie de ce qui nous fait vivre.
Combien de pauvres cons comme moi, se sont retrouvés le bec dans l’eau.
Même si je film ma femme suçant à tour de rôle chacun des trois qui s’occupent d’elle, certes la garde de Romain me sera confiée, mais les gardes alternés, la justice séparant rarement complètement la mère et l’enfant me font réfléchir.
Est-ce l’exact sentiment où je prends gout à la voir sucer avidement les mecs qui semblent aux anges des salopes qui leur sont dévolus.
• Suce-nous comme tu l’as fait la première fois où je t’ai vu lorsque tu es venue visiter le chantier en vue de la vente dans ton agence.
J’ai la clef du problème, un soir Véronique m’a parlé d’un bien en rénovation qu’elle a visitée, soi-disant avec son patron, afin d’en faire une estimation avant que son agence soit chargée de la vente.
Elle m’a piégé, en le disant qu’elle était avec son patron, elle devait être seule à venir.
Elle a assez de connaissances de son métier pour venir le faire seule et flacher sur ce chef de chantier à la bite bien plus impressionnante que la mienne.
Jusqu’à où vais-je m’apercevoir qu’elle est capable d’aller !...
• Oui mon amour, accepté d’avance, je suis d’accord avant que tu m’en dises plus.
• Tu es sûr, je serais très déçu si tu revenais sur cette prise de position, je me lance !
Te souviens-tu de Juliette ma copine d’enfance ?
• Oui, celle qui est partie en Afrique sucer des bites noires !
• Arrête de te moquer, je me souviens que tu disais déjà cela quand je t’ai appris qu’elle partait au Burkina Faso.
Tu sais très bien que c’était pour de la coopération étant infirmière qu’elle est partie là-bas.
• Et sucer des bites noires, elle avait suivi un chirurgien black et dont tous nous étions persuadés qu’elle était sa maîtresse.
• Ça, c’est vrai, mais personne n’a pu prouver qu’elle couchait avec lui, elle avait fait un an de médecine la même année que lui.
C’était leur seul point commun, mais ayant été recalée à la fin de cette première année, de dix ans d’études, elle est passée à trois pour devenir infirmière.
Je l’ai croisé ce midi pendant ma pose.
Elle a réuni plusieurs anciennes de nos copines et un mercredi par mois elle organise une soirée resto entre filles.
Je dois la rappeler pour lui dire si tu acceptes que je sorte pour les rejoindre.
La première soirée, c’est samedi, tu pourrais garder Romain ce mois si après ce sont les vacances et il sera chez mes parents.
Vous joueriez à la dinette avant que tu le couches !
• Et je serais pénard pour suivre mes matchs de foot sans que mon amour de femme me demande toutes les cinq minutes que je lui explique pourquoi sur la dernière action, il y avait un hors-jeu.
• Par exemple, mais c’est d’accord, car tu me l’as promis.
• Et je n’ai qu’une parole, tu pourras lui téléphoner ou la voir pour lui confirmer ta présence.
Mercredi, notre fils est content de passer la soirée avec son papa, jusqu’au moment où Véronique sort du couloir des chambres pour rejoindre ses amis.
• Maman ou vas-tu, je viens avec toi !
Cinq ans, c’est en pleurs quelle l’embrasse puis vient vers moi pour m’embrasser comme au premier jour.
Étant déjà sur le canapé, je suis à deux doigts de lui passer ma main sous sa mini, mais la présence de mon fils m’en empêche.
Je vois qu’elle a mis ses bas résilles, ceux que je lui vois mettre lorsque nous sortons principalement pour aller au restaurant, ce sera dans deux mois en juillet, pour nos dix ans de mariage.
Son chemisier blanc laissant apercevoir ses seins magnifiques dans toute sa splendeur de ses trente ans, est un autre point de mon étonnement pour une réunion entre copines, mais je laisse courir, j’ai une confiance totale en celle qui m’a juré fidélité.
Elle prend son imper, il pleut en ce joli mois de mai et un geste de la main, elle quitte la pièce et j’entends la porte palière claquer.
Ça tombe bien, le match débute, Romain est à mes pieds, il joue avec son nouveau camion de pompiers que je lui ai acheté à la sortie de mon travail, je suis avocat, espérant qu’il se tiendra tranquille ce qui est le cas.
Comme prévu à la mi-temps de nouveau des pleurs lorsque je lui demande d’aller au dodo.
Le camion me sauve, c’est lorsque je vais le rechercher et qu’il le prend dans ses bras que j’arrive à le faire dormir.
J’attends quelques minutes, je le récupère et le pose sur la commode ou son linge est rangé.
J’ai loupé dix minutes du début de la deuxième mi-temps, heureusement ce match est insipide et au coup de sifflet final, je vais me coucher sans que ma femme soit de retour.
Suis-je inquiet, non, pour preuve une fois douchée, je me couche sans me poser plus de question.
Je me réveille, je m’excuse, je bande, mais ce sont les deux bières que j’ai bues, je vais pisser.
Je me prépare, je vais boire un café vite fait grâce à ma machine à grains programmée, avant de partir à mon cabinet à pied ma sacoche en main.
Je longe la palissade du chantier d’une maison entièrement en rénovation.
À un endroit, un passage est ouvert, il y a quatre ou cinq gars qui eux aussi doivent se lever, ils sont devant un Algeco et ils fument une clope en rigolant entre eux.
Vu l’heure, ils doivent coucher sur place, si l’inspection du travail déboulait, je pense que cela nous donnerait du travail à défendre, les travailleurs sans papier.
Je passe sans entendre ce qui se dit et un kilomètre plus loin je suis arrivé dans mes bureaux.
Le matin se passe au tribunal, une audience a lieu avec un homme ayant eu un conflit de voisinage et en étant venue aux mains.
Le juge étant conciliant, mon client s’en sort avec une mise à l’épreuve et une amende de 1 000 € et bien sûr mes émoluments prévus, il faut bien vivre.
Je mange au resto à la sortie du tribunal, j’y mange souvent, car mon cabinet se trouve à deux pas.
L’après-midi avec mon équipe je prépare le procès du lendemain, je vais retourner au tribunal, aux assises, un meurtre avec préméditation, mais je défends la partie civile.
Une semaine de travail à préparer, mais comme mes collaborateurs ont déjà bien travaillé à 17 heures, je peux me libérer.
Je rentre chez moi, le chantier va de bon train, les noirs et les Arabes, que j’ai vus ce matin, à non, il y a un jeune blond avec eux qui pousse une brouette.
L’un des blacks, lui parle en français, ce doit être le responsable de l’équipe, mais une nouvelle fois, étant sur le trottoir d’en face, ce qu’ils se disent m’échappe.
Je rentre chez moi, c’est vrai, nous sommes jeudi et chaque jeudi après-midi, c’est le jour où elle récupère Romain et va chez sa mère avec sa voiture, elle habite de l’autre côté de notre ville.
Je vais me doucher, notre salle de bains à aussi une baignoire, mais me prélacer c’est loin d’être ma tartine de pain, j’aime que cela aille vite.
Je vais boire un café, la femme de ménage est venue, tout est en ordre, je décide de leur faire des crêpes, Romain adore en manger après que sa mère lui ait fait faire ses devoirs.
Le litre de lait dont je me suis servi ainsi que les sachets de sucre vanillé et les coquilles d’œufs sont à jeter, j’ouvre la poubelle.
Un morceau de tissu noir si trouve avec des épluchures de légumes, je le saisis ce sont ses bas résiles que Véronique portait hier lorsqu’elle m’a quitté, ils sont à moitié déchirés, mais ils ont peut-être simplement filé.
En dessous, caché par le noir, un autre morceau de tissu, là c’est plus surprenant sa petite culotte rose, que j’aime tant lui voir porter, lorsque nous sommes seules surtout si elle met ses talons hauts, ça lui fait ressortir le cul.
La dernière fois que nous étions seuls, elle a passé la soirée à les porter, je bandais comme un âne et nous avons baisé assis sur une chaise dans la cuisine.
À la voir se tortiller chaque fois qu’elle passait vers moi, j’ai été dans l’incapacité de résister.
Je remets tous ça là où c’était, et lorsqu’ils rentrent je suis à deux doigts de lui poser une question, mais Romain est là et je risque de déclencher une scène de ménage, très rare entre nous il est vrai.
Mais je connais sa mauvaise foi, je m’abstiens et j’oublie jusqu’au mercredi un mois plus tard.
Je rentre tard ce soir-là, quand je passe non loin du chantier, lorsqu’au loin, je vois Véronique arriver avec Josyane, sans qu’elles puissent me voir.
Un camion emprunte cette route et un court instant les filles me sont cachées.
Arrivé à l’ouverture dans la palissade, elle regarde à gauche et à droite et entre dans le chantier disparaissant de ma vue.
L’une d’elles a-t-elle eu une envie urgente et va-t-elle se soulager, je me suis arrêté mais ça dure, je décide d’aller voir.
Je fais comme elles, je franchis la palissade par le trou que forment deux parties de ces murs de bois.
Dans la cabane de chantier, des rires et de la musique, serait-il possible, ce qui est impensable, qu’elles soient entrées dans cet endroit où je sais quel genre d’homme s’y trouve ?
Une fenêtre entrouverte, c’est par là que la musique s’échappe, je m’approche, c’est impensable, elles sont là, mais les hommes aussi, trois chacune sont déjà en train de s’occuper d’elles.
La jupe de ma femme a déjà sauté ainsi que sa blouse, elle a la chatte à l’air ainsi que ces seins, certainement l’expérience de la première fois, nul doute qu’elles sont déjà venues se faire baiser.
La salope de Josyane a dû entrainer ma femme dans ces débauches et cette idiote a suivi.
La rudesse de ces hommes n’a d’égale que leur manque de femme et ses sous-vêtements ont fini dans notre poubelle.
Au sol des matelas, Josyane se baisse la première et un à un des hommes ayant sorti leur sexe les présentent à la bouche de cette salope qui a entrainé ma femme dans cette débauche.
• Josyane, je t’ai laissée Hugo, tu t’en occupe, le mois dernier, il n’était pas encore parmi nous lorsque je t’ai invité à venir m’aider à satisfaire tous ces hommes.
Il est puceau, mais je te le laisse, Omar va me combler avec ses deux copains, n’est-ce pas messieurs.
La salope, c’est Véronique qui a entraîné sa copine le mois dernier, si j’y réfléchis bien, quelques jours avant la première sortie, elle était chez sa mère qui était soi-disant malade.
Elle avait dû se faire tous ces mecs avant de faire venir Josyane à la rescousse.
• Assez de discours ma salope, on est à votre disposition pour vous baiser, suce, tu fais ça si bien.
Combien de temps, je reste là à les voir franchir les étapes de leur débauche ?
Je devrais contourner la cabane de chantier ouvrir la porte et faire un scandale.
Je suis avocat et je vois souvent des affaires d’adultères, c’est une grande partie de ce qui nous fait vivre.
Combien de pauvres cons comme moi, se sont retrouvés le bec dans l’eau.
Même si je film ma femme suçant à tour de rôle chacun des trois qui s’occupent d’elle, certes la garde de Romain me sera confiée, mais les gardes alternés, la justice séparant rarement complètement la mère et l’enfant me font réfléchir.
Est-ce l’exact sentiment où je prends gout à la voir sucer avidement les mecs qui semblent aux anges des salopes qui leur sont dévolus.
• Suce-nous comme tu l’as fait la première fois où je t’ai vu lorsque tu es venue visiter le chantier en vue de la vente dans ton agence.
J’ai la clef du problème, un soir Véronique m’a parlé d’un bien en rénovation qu’elle a visitée, soi-disant avec son patron, afin d’en faire une estimation avant que son agence soit chargée de la vente.
Elle m’a piégé, en le disant qu’elle était avec son patron, elle devait être seule à venir.
Elle a assez de connaissances de son métier pour venir le faire seule et flacher sur ce chef de chantier à la bite bien plus impressionnante que la mienne.
Jusqu’à où vais-je m’apercevoir qu’elle est capable d’aller !...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chris 71 je lis vos récits avec tant de plaisir, toujours bien écrit et souvent très chaud, merci
Et oui la chipie, je vais te faire un aveu, il y a au moins deux mois que j'ai écrit cette histoire, je ne me souviens pas de la chute...
Ah elle l'a bien pris pour 1 con, à savoir si Romain est bien son fils. Que va t'il faire : cocu content , divorcé , prendre sa femme et la fouetter ou attacher sa femme sur 1 chaise avec 1 bailon dans la bouche et niquer dans le lit conjugal devant elle 1 autre femme !!!!
A toi Chris
La chipie
A toi Chris
La chipie