COLLECTION SALOPES. Pourquoi, suis-je devenue une salope (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SALOPES. Pourquoi, suis-je devenue une salope (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPES. Pourquoi, suis-je devenue une salope (1/1)
J’avais douze ans lorsque papa a quitté ma maman, j’aimais mon papa Bernard comme je l’appelais.
Maman Cléopâtre, exécrant son nom se faisant appeler Cléo que je prononçais Clio comme le nom de la voiture.
Un soir, je l’ai vu se préparer, elle que j’avais toujours vue dans des tenues de comment dire, à cette époque, oui, bourgeoise, je la voyais en femme, oui, comment dire fatale.
Nous étions en septembre, le temps était encore clément.
C’était en petit body sans le moindre soutien-gorge, une mini en cuir caramel, sur des bas dans les tons un peu plus foncés et des talons plus hauts qu’elle m’a dit.

• Iris, ton père nous ayant quitté sans laisser d’adresse, pour nous faire vivre, j’ai été obligé de chercher un travail, mais à trente-cinq ans sans diplôme c’est difficile.
Arlette, mon amie, m’a dit qu’ils cherchaient un barman homme ou femme dans une boîte ouverte les vendredis aux dimanches de 20 heures à quatre heures du matin.
Je me suis présentée, le patron m’a engagé si je mettais des tenues un peu plus sexy.
Arlette m’a relooké et je commence ce soir, à douze ans, tu es assez grande pour rester seule ces trois nuits à la maison.
Fais tes devoirs et va te coucher, ferme bien derrière toi, mais enlève la clef de la serrure que je puisse rentrer.
À oui, avant de te coucher, lave-toi les dents, c’est une chose primordiale dans la vie lorsque l’on est adulte pour trouver du travail.
Près du téléphone, je t’ai mis le numéro de la boîte où je pars travailler, tu peux m’appeler, mais vraiment en cas d’extrême urgence, sinon tu attends que je sois rentrée.

Elle est partie, me laissant seule, à mon âge, avec de l’expérience de la vie, je dirais que je faisais de l’huile tellement j’avais peur.
Une nuit, tout a changé, j’ai entendu la porte s’ouvrir et des « chutes, elle dort. »
J’ai vite compris que certaines choses avaient changé ou avant si maman avait comme ce soir ramené quelqu’un à la maison, j’étais restée à dormir.
Je devais avoir de treize à quatorze ans et comme j’ignorais tout du sexe entre adulte,
J’ai eu du mal à comprendre que maman avait ramené un homme pour faire ce que je qualifierais des galipettes comme me l’a dit Gladys, bien plus en avance dans sa sexualité.
J’étais à l’affut de son retour, j’entrouvrais la porte de ma chambre, pour mieux entendre ce qui se passait dans celle d’en face de la mienne.
C’est là que pour la première fois, j’ai entendu le mot de « salope » dit par une grosse voix.

• Salope, depuis le temps que j’espérais te baiser, tiens prend ça.

Au fil du temps, simplement en écoutant ce que maman faisait, j’approfondissais mes connaissances du sexe.

• Grosse salope, j’aime te baiser en levrette !

J’allais au collège et maman m’avait payé un portable et j’allais, sur Wikipédia, chercher la signification de certains mots.
« Salope » trop compliqué, ça fait allusion à ce mot principalement dans des films.
Je regardais aussi le Larousse, là, vu ce que maman faisait, j’ai vite compris que ce mot dit « sale voulait surtout dire « vulgaire » et « femme dévergondée. »
Je me suis bien promis qu’aucun homme pourrait dire de moi que je suis une « salope ».

C’est un mois plus tard, que je devais faire une découverte, je savais repousser ma porte avant que celui qui était avec maman parte.
Mais une fois, j’avais entendu maman crier, croyant qu’elle avait mal et la grosse voix différente de la première entendue, dire « oui, oui, oui, » finissant par « Ah ! Ah ! Ahhhh ! »
La porte de sa chambre s’est ouverte, j’ai eu le temps de voir un homme bedonnant chauve, très vieux pour moi, sortir son sexe encore tout droit, le premier que je voyais en érection.

• Je vais pisser un coup, attends, je reviens, je vais t’en remettre une petite giclée.
• Chut, ma fille, tu es singlé et si elle était sortie de sa chambre, inutile qu’elle voit que sa mère est une salope.

Ce mot de salope revenait, je voyais maman dans sa chambre sur son lit, la tête tournée vers la porte et en position de la levrette.
Dans Wikipédia, à part pour parler de la femelle du lévrier, peu d’indications sur ce mot.
Dans le dico, la position sexuelle était mentionnée et correspondait mieux à ce que j’aie pu voir avant que la porte se referme.
Maman baisait avec ce gros porc et le cul en l’air devait être la position de la levrette.
J’en ai eu confirmation, le lundi quand Gladys m’a expliqué que ce que j’avais vu et entendu était bien sexuelle.
Je lui ai caché ce qui s’est passé dès que j’ai été réveillé et maman aussi.
Sans avoir été jusqu’à se mettre dans cette position et fait l’acte sexuel, sa sœur ainée lui avait tout appris de ce qui se passait entre les garçons et les filles.
Ce que je lui ai caché, c’est ce que maman m’a dit lorsque je suis venue dans la cuisine.

• Iris, fais-toi belle, un ami m’a donné quelques billets pour que nous prenions un peu de bon temps, je t’emmène au restaurant !

J’ignorais à cet instant que de « salope, » maman devenait « pute » lorsqu’un homme te paye pour baiser avec toi.
C’est à cette époque, que Gladys m’a demandée si je me masturbais !
Inutile d’attendre d’aller sur Wikipédia ou le Larousse, je lui ai répondu directement et le soir, entre les poils de mon sexe qui commençaient à pousser, j’ai trouvé mon clito que j’ai caressé.
Mon dieu que c’était bon, dès la première caresse, j’ai senti que ma chatte coulait.
Chatte, c’est Gladys, une nouvelle fois qui m’a appris que notre zizi se disait chatte pour les filles.
Gladys était un puits de science pour une fille comme moi, bien qu’elle m’assure être vierge.

Quelques années sont passées et d’adolescente, je suis devenue jeune femme.
Mes seins avaient poussé et ma chatte avait pris d’autre proportion.
De mangue, c’est une fleur en forme de corole que j’ai sous les doigts une fois que j’ai eu écarté mes grandes lèvres.
Mon clito s’était caché derrière un petit capuchon et il fallait le décalotter pour le faire jouir, me faire jouir, étant très solidaire l’un de l’autre.

• Maman, j’ai trouvé du travail après bien des recherches.
Comme toi, j’ai été engagé dans un bar du centre-ville, avec ce que je vais gagner, nous allons pouvoir vivre en nous payant tout ce que nous voudrons.

Dès le premier jour, les hommes venant au club, m’ont demandé de finir la nuit avec eux.
Il y en avait en tous genres, même celui que j’avais vu sortir de la chambre de maman m’a proposé de s’occuper de mon petit cul.
C’est Lionel, le patron du bar qui le premier m’a caressé les fesses chaque fois qu’il passait près de moi.
Dès le deuxième soir, la porte de l’établissement fermée alors que je m’apprêtais à rentrer, il m’a pris dans ses bras et couchée sur une table.
Il a soulevé ma mini et il m’a caressé la chatte.
Je mouillais comme jamais, sachant ce qui allait m’arriver.
C’est moi qui ai écarté mes cuisses pour faciliter la verge qu’il avait sortie de son pantalon.
J’ai eu mal lorsque mon hymen a cédé, mais s’était supportable et au moment où lui-même a joui, j’allais, moi aussi jouir.
Le lendemain, c’est presque moi qui me suis assise sur la table attendant sa verge et dès qu’il a été en moi je suis devenue la même salope que ma mère.
J’ai hurlé autant qu’il hurlait en déchargeant en moi.
Heureusement, les deux fois il avait pris le temps de mettre un morceau de plastique sur sa queue.
Gladys devant m’apprendre que c’était une capote anglaise.
Toujours aussi intéressé par les mots inconnus, je me suis posée la question du pourquoi de capote dite anglaise.
Ça remonte à loin, ils disent que c’est d’Angleterre que ces capotes auraient vue le jour dans les années 1 700, toujours en avance sur les autres ces bouffeurs de pudding.

• Bonjours maman, as-tu bien travaillé ?
On se fait un resto lorsque nous serons réveillées !
• Mon gros loup, tu vois, les beaux billets que le moment que nous allons passer ensemble, ma fille les a déjà dépensés.
• Maman, tu exagères, comment t’appelles-tu ?
• Aurélien, madame !
• Clio, Aurélien va m’en donner autant que toi pour sa première fois, maman ce midi, c’est cinquante-cinquante.

Deux salopes sont de retour au même endroit à la même heure de leurs bars de nuit respectif.
Sauf qu’elles ont des chambres se faisant face.
Dès que chacune d’elles aura pris ses billets en main, ce sont deux putes qui officieront pour la satisfaction de leurs clients chacune dans leur chambre.
Vous m’excusez mon jeune puceau à du mal à bander, mes mains et ma bouche vont m’être nécessaires pour faire de lui un homme.
Je veux que pour sa première fois, il en ait pour son argent.
Certains diront, telle mère, telle fille.
Ils auront raison, maman est déjà en train de jour de l’autre côté du couloir.
J’ai réussi à faire bander mon puceau, je vais pouvoir me mêler à leurs chants dès qu’il sera devenu un homme en entrant dans ma chatte.

Aujourd’hui, changement dans notre vie, c’est au resto que j’ai fait la proposition à maman qu’elle a acceptée.
Nous quittons en partie nos clubs de nuit pour en acheter un, celui ou je travaille et ou Lionel m’a dépucelé.
Il prend sa retraite dans le sud et vend son bar, il m’a fait la proposition de le racheter, ce que nous pouvons faire avec maman lorsque nous aurons mis nos gains en commun.
Le loyer où nous habitons gagnés, il y a un grand logement à l’étage que nous allons nous partager.
Depuis le temps que maman a un double emploi, elle a une clientèle de fin de nuit fidèle et il nous sera facile de faire de la gratte sans grand risque.
Qui pourra aller voir lorsque nous montons un client habituel qu’il nous glisse quelques billets supplémentaires pour un petit moment d’intimité.
Salope ou pute, ces mots sont différents et pourtant très proches, l’un de l’autre comme je suis proche de maman.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Sympathique histoire familiale...
J'adore


Cyrille



Texte coquin : COLLECTION SALOPES. Pourquoi, suis-je devenue une salope (1/1)
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