COLLECTION SALOPES. Vie mondaine (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION SALOPES. Vie mondaine (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPES. Vie mondaine (1/1)
Lorsque j’étais petite mamy Susette me disais qu’il fallait être fière de son corps et de le réserver à l’homme de sa vie comme elle l’avait fait depuis cinquante ans avec papy Joseph.
Moi, Patricia sa petite fille, ça fait trois ans que j’ai suivi le précepte de Sandra une amie rencontrée dans une boîte de nuit parisienne où un couple d’amis m’avait entraîné lorsque je faisais mes études.
Ça ramait un peu de ce côté-là et le samedi suivant je me retrouvais avec elle dans une soirée dite mondaine.
Dans cette soirée, j’ai vite compris que si nous voulions survivre dans ce monde de requins, je devais me débarrasser et de mes préjugés et de mon pucelage.
Ce soir-là, un homme a semblé s’intéresser à moi.

• Vous êtes nouvelle, c’est la première fois que je vous vois !
• Oui, c’est Sandra mon amie qui m’a proposé de venir, j’ai hésité, j’avais peur de me sentir seule.
• À partir de maintenant, Charles c’est ainsi que mes parents m’ont appelé, je serais votre chevalier servant.
• Je dois vous avouer quelque chose.
• Vous pouvez tout me dire, je serais toujours de bon conseil...

Voilà, c’est fait, mes préjugés ont disparu et mon pucelage avec.
Ça s’est fait dans un hôtel voisin de l’endroit où se tenait la soirée.
Ça s’est fait naturellement lorsque j’ai évoqué mon pucelage.
Le lendemain Sandra pour me féliciter en plus d’un restaurant, m’a fait connaître mes premières approches lesbiennes.
Là encore dans ce monde de fête et de paillettes être bisexuelle peut être utile.
Ça a été rapidement mon cas, dès notre deuxième soirée, là encore, j’ai rapidement compris où était mon intérêt dès que la maîtresse de maison s’est intéressée à moi.
Elle avait une maison à Cannes et dès le joli mois de mai, elle m’invitait à faire ce que l’on appelle le festivale.
Certains diront que j’étais devenue une pute, mais c’était loin d’être notre cas.
Certes, il fallait pouvoir s’entretenir, coiffeur, salon de beauté et autres pédicures, nos corps devant être parfaits, alors on sait se fait aider.
Sandra ayant ses entrées dans tous les endroits à la mode, rapidement j’en ai fait partie.
Le processus était toujours le même, maillot de bain au bord des piscines, vite abandonné quand les invités pics assiette étant rassasiée partaient courir après la célébrité vers un autre lieu du festival.
Après Cannes, il y avait Avignon où il était de bon ton de venir là encore se montrer et profiter de quelques belles queues sachant nous baiser autant que nous le voulions.
Je dois reconnaitre qu’au bout d’un moment tous ces hommes friqués dépensants plus que de raison, étaient souvent un peu bedonnants.
Alors la fête succédait à la fête sur les plages de Saint-Tropez, rapidement nous avions nos entré pour ce que l’on appelait la saison.
Il m’est arrivé de rencontrer des tarés, ce fut le cas avec Ludovic fils de bonne famille qui a accepté de me faire remonter à Paris pour la saison d’hiver dans sa Ferrari.
Nous nous sommes arrêtés sur un air d’autoroute, il m’a offert le restaurant.
En ressortant il a parlé avec un força de la route.
J’étais tombée sur un mec aimant regarder, je me suis retrouvée dans la cabine et sur la couchette qui sentait la sueur.
Je dois reconnaitre qu’après l’avoir sucé ce qui était le plus déplaisant s’était de voir Ludovic sur le siège passager nous mattant tout le temps où je me suis fait baiser.
Se faire baiser par une grosse queue prenant mon pied comme jamais, contre un voyage à Paris j’aurais pu tomber plus mal.

Cette vie, je l’ai vécue jusqu’à environ trente ans ou j’ai commencé à m’apercevoir que mes charmes sans se faner étaient dépasser par de nouvelles jeunes femmes en mal de vie facile.

• Patricia, voulez-vous m’épouser ?

J’ai envie de dire oui, mais l’expérience acquise au cours des années, me fais dire « oui », mais « non ».
Je sais c’est contradictoire, mais avant d’accepter, de convoler avec Charles-Antoine, je voulais consulter l’un de mes vieux copains de fac, qui était devenu avocat sur les droits maritaux.
Se marier avec un milliardaire, j’en ai connu quelques-unes, mais un contrat mal ficelé et elle se trouvait un jour le bec dans l’eau ayant fané leur beauté avec leur valise à la main.

• Oui, Charles-Antoine, je veux être votre femme.

Oui dans la haute comme on dit, mari et femmes se vouvoient alors je suis la tradition.
Côté contrat de mariage, deux closes principales.
Si je le trompe, je vais ma valise avec ce que j’avais sur mon dos lorsque nous nous sommes rencontrés.
Je rappelle que s’était au bord d’une piscine cannoise avec deux timbres-poste sur le corps.
Mais si lui me trompait et que je puisse le prouver, les détectives ça sert à ça pour ceux qui ont de quoi payer.
C’est le cas grâce à mon mariage, j’ai les moyens de faire chauffer ma carte de crédit et je toucherais 50% de sa fortune.
Je rappelle que Charles-Antoine est milliardaire.

Un revers à ça, les queues des hommes, à tout âge, elles me sont définitivement interdites.
Mais j’en avais tellement connu que c’était loin d’être un problème.
Dès le début, ce sont le fils et sa fille issue d’un premier mariage s’étant terminée par un décès et qui est devenu mon problème.
Même âge que moi pour le fils et cinq de moins pour Régina.
Charles-Henri étant comme son père, homme à faire du fric, rapidement la belle-mère il s’en ait fichu même s’il risquait de perdre gros si son père décédait.
Pour sa part, il était déjà millionnaire.
Pour la fille ça fut plus dur, j’ai dit que j’aimais faire l’amour avec les femmes dès le début de ma vie de débauche.
Parlons pour commencer contrat, tout était précisé s’il y avait tromperie avec un homme, rien avec les femmes.
Je savais que ces messieurs aimaient nous exhiber à leur bras lors de soirées mondaines et qu’ils choisissaient pour épouse des femmes capable de porter élégamment Dior, Cardin ou autre Givenchy.
Moi je suis plutôt Dior, la boutique parisienne me voit régulièrement à Paris ou à Monaco ou nous habitons avec Charles-Antoine.
Un appartement de huit grandes pièces avec terrasse donnant sur la Méditerranée ou nous donnons des soirées très prisées par nos amis.
Ces femmes, nous aimons nous retrouver de cinq à sept dans les meilleurs endroits de Paris ou de Monaco pour manger des petits fours et plus si affinités.
En plus, ce sont dans les chambres de nos maisons, ou nous finissons immanquablement à nous caresser et à nous gouiner.
Nos maris le savent, mais pour eux, entre femmes c’est loin de compter comme une trahison.

Ma belle-fille nous a surpris avec Sandra, qui habite Nice mariée avec un bel italien propriétaire de dizaines de boutiques de chaussures haut de gamme de son pays pour hommes.
Il a même ses propres usines de fabrication.
J’avais expliqué à Sandra les ennuis que la jeune femme me pausait et c’est elle qui l’a attiré dans notre couche Régina ayant des envies féminines.
Elle les refoulait jusqu’à cet instant ou avec Sandra nous l’avons brouté jusqu’à la faire jouir.
Maintenant au moment où j’écris, elle a fait son co-ming out et vit avec Sonia une Brésilienne, une vraie avec une chatte, rencontrée lors d’un voyage à Rio.
Entre femmes, je connais autant de pénétration qu’avant, car nous aimons jouer avec des godes, nos doigts et depuis la naissance de mon fils.
Gérémy fierté de son père et de son demi-frère, qui fait le bonheur de Charles-Antoine.

Lorsque j’ai plaqué mes études, pour vivre une vie de débauche, pour eux, les ponts ont été rompus avec mes parents.
C’est Charles-Antoine qui a fait le nécessaire avant notre mariage pour que les liens soient retrouvés entre nous.
Papa a été fier de me faire entrer à la Madeleine pour la cérémonie du mariage, eux qui vivent à Montrouge et surtout voire les trois cents personnes qui y étaient invitées.

En ce moment je suis avec eux sur le yacht de quatre-vingts mètres de long que nous possédons et qui est amarré à l’année à Monte-Carlo.
Il y a un bruit d’enfer car c’est le grand prix de formule 1, et où nous pouvons voir passer les voitures de course à la sortie du tunnel.
Papa à mes côtés et celui de Charles-Antoine, boivent un whisky en étant passionné par ces voitures tournant en rond.
Maman joue avec Gérémy, comme toute grand-mère, elle en est gaga.
Demain, ils rentrent à Paris dans le nouvel appartement que nous leur avons offert avec notre fils qu’ils vont garder quelques jours.
Avec l’appartement, nous leur avons fait deux cadeaux supplémentaires.
La banque double la pension de retraite de papa chaque mois et venu en train, ils repartent dans leur voiture que le concessionnaire est venu nous livrer dès leur arrivée.
À Paris, la vieille guimbarde qu’ils avaient je la trouvais indigne de mon standing.

Pour nous, départ en croisière dans les Antilles et après Rio.
Sandra s’occupe du voyage avec Régina qui veut faire une surprise à Sonia de la conduire par la mer dans son pays.
Elle était venue clandestinement en France et Régina lui a eu des papiers, elle va revenir reine grâce à nous.
Pour ce voyage, Charles-Antoine a donné congé leurs congés annuels à ses six hommes d’équipage.
Ils seront remplacés par six femmes toutes moins de trente ans.
J’ai hâte de retrouver Louise, la capitaine avec qui j’ai déjà fait une croisière sur le yacht d’un des amis de mon mari.
Elle commande ses troupes d’une main de maître, mais c’est aussi s’échapper de sa passerelle pour venir nous donner du plaisir.
J’espère qu’elle sera aussi fougueuse que lors de cette croisière.
En cas d’impossibilité de sa part Sandra a fait venir quatre de ces filles, comme moi, il y a quelques années, j’ai participé à ma première soirée mondaine.
Quand je repense à mamy Susette, que dirait-elle de la jeune femme que je suis devenue même si je suis passée par des chemins plus détournés qu’elle pour trouver le bonheur.
Quand on a connu papy Joseph, avec sa rigueur et sa droiture même si pour mamy ça a duré cinquante ans, ai-je fait le mauvais choix en devenant une mondaine ?

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