COLLECTION SM. Accro au sexe violent (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SM. Accro au sexe violent (5/6)
Dans mon récit de ce qui s’est passé dès que j’ai été livré à moi-même jusqu’à la forge de l’enfer, je pensais être arrivée au bout de ma déchéance.
Ludovic m’a petit à petit appâté avec quelques billets afin de m’amener là où je suis arrivée aujourd’hui.
Un objet, oui, mais un objet sexuel tout juste bon à être filmé dans des postures indignes de la jeune fille que j’étais en arrivant de mon village perché au milieu des vignes bourguignonnes.
Ernest, Annabelle ont été mes dernières étapes de cette descente aux enfers lorsque j’ai accepté d’être filmé en me faisant baiser par cet homme immonde, dans cette caravane immonde.
Filmé les seins enserrés par une petite corde me coupant le sang et que je ressens encore lorsque j’émerge de la légère perte de conscience qui m’a frappé.
Je parlais d’étapes, la sévère volée de coups de badines qu’Annabelle m’a infligée en était une, surtout lorsque certains coups ont été appliqués sur ma chatte.
Lorsque j’ouvre les yeux, les refermant aussitôt.
L’impression d’avoir entendu des voix disant qu’on me manipulait est loin, surtout qu’Annabelle peut être pour se faire pardonner des sévices qu’elle m’a infligés, m’a écarté les jambes et me broute le minou.
Jouir, sous la langue d’une femme, ça aurait pu être normal, mais un œil nous regardait.
L’œil de la caméra dont se sert Ludovic pour tourner ses films pornos.
Elle m’est cachée lorsque Annabella se retournant vient offrir sa chatte à ma langue.
Je plonge littéralement sur son clitoris comme elle le fait pour le mien.
De nouveau, jouirent sous la langue de cette salope est une étape nouvelle des débauches que j’accepte, mais une bien bonne débauche.
• C’est bien les filles, roulez-vous une pelle et venez snifer les lignes que j’ai préparées sur la table ou je choisis mes photos.
J’ai parlé de la manière dont Ludovic m’a appâté, billets puis alcool et cigarettes en passant par des joints et par finir par cette poudre blanche que chacun de nous, nous nous mettons dans le pif.
Là encore lorsque je prends le petit tube de plastique pour me bourrer le nez, j’ignore que je deviens de plus en plus accro à la coke fourni par une certaine Radia.
Radia, marocaine, que Ludovic m’a dit avoir rencontré lors d’un de ses tournages le fournit en coke en petite quantité, mais suffisante pour notre consommation.
Quelques minutes pour que la poudre fasse effet et je suis de nouveau en pleine forme lorsque la porte de la forge s’ouvre.
Ernest est là avec deux beaux gosses, la parfaite image de l’un ou de l’autre, des jumeaux blonds comme les blés comme ceux qui poussent dans la partie basse de notre village à Sylvain et à moi.
Les parties plus abruptes étant couverte de vignes pour en faire du blanc ou du rouge en d’énormes quantités.
• Salut, les gars, elles sont prêtes à tourner, emmenez-les dans le fond de la forge et attachez-les.
Merde, je croyais avoir rêvé les propos de Ludovic disant qu’il allait me confier à ces pervers.
Rapidement Annabelle et moi nous nous retrouvons pendu par les poignets, chacune à un palan qu’Ernest manipule comme s’il avait fait ça toute sa vie.
Était-il ouvrier dans cette forge avant la faillite de ce secteur d’activité et de se retrouver en fin de droit dans sa caravane où l’odeur nauséabonde est encore au plus profond de moi ?
Ernest est peu loquace, mais rapidement il me prend en main, alors qu’Annabelle est sollicitée par les jumeaux.
Pour elle le fouet, l’un d’un côté l’autre de l’autre.
Je vois les lanières claquer et venir s’enrouler autour de son corps.
J’ai mal pour elle, mais de temps en temps ce sont mes fesses que le jumeau, derrière moi, vise, me faisant hurler de douleur.
De son côté Ernest s’occupe de mes seins.
Il sort une à une des aiguilles pour seringues qu’il me passe devant les yeux.
Combien mesure l’aiguille, six, sept ou huit centimètres ?
Une à une il les fait entrer dans mes seins, les disposants en couronne comme si ces derniers avaient des cils.
Il les fait entrer une à une de nouveau me faisant hurler.
Ludovic film, sans oublier le moindre détail.
Mes fraises sont aussi un terrain de jeu pour mon tortionnaire.
À la place d’aiguilles de médecine, ce sont des tiges métalliques, comme celles que l’on trouve dans les jeux de mikados, du moins la forme, qu’il passe à une flamme avant de me les enfoncer à cet endroit si sensible.
Tortionnaire, mais malgré son lieu de vie dégueulasse, son travail est fidèle à l’hygiène afin d’éviter les risques d’infection.
Je voudrais bien voir les images que Ludovic tourne, mais je sais que ce sera pour ses acheteurs.
Je vois Ernest sortir sa verge et en me faisant légèrement redescendre, entre son sexe en moi.
De son côté, Annabelle est détachée et les jumeaux la baise en levrette.
Un dans sa chatte, l’autre dans sa bouche.
Je pars rapidement, jusqu’à ce que l’on me détache et que je sois confiée aux jumeaux.
Pour la première fois, ils me prennent en double pénétration, j’adore la sensation de sentir les deux bites en moi se frottant autour de mon périnée.
• C’est bon, c’est dans la boîte, merde, les jumeaux, vous avez déchargé dans cette salope, j’aurais aimé vous filmer la prenant en double anal.
Venez, on va se faire des lignes, ça va vous remettre en forme.
• Merci patron, on reviendra demain, nous avons un rendez-vous, laissez-nous ces petites salopes au chaud, nous tournerons vos doubles pénétrations anales.
Je snif mes lignes, mais je suis crevée, je retourne me coucher.
En moi, deux mots reviennent en boucles, « double anal », ils vont me défoncer.
« Double anal ».
« Double anal ».
Dans la nuit, je me réveille, pas un bruit, sont-ils partis, non, j’entends des voix au fond de la forge.
Je cherche mes vêtements, ils doivent être dans la camionnette, je vais nu à la porte, elle s’ouvre.
C’est nuit noire, je veux sauvegarder mon cul de cette double pénétration.
À la pendule de la gare, quatre coups sonnent, c’est vrai, les rues sont dans le noir à cause des économies d’énergie pour éviter les surcoups de consommation.
Nue, je me lance sans plus réfléchir, je longe les murs, il faut que j’échappe à ces tarés qui vont me pourrir la vie.
D’un coup, un bruit de moteur et je suis prise dans les halos des phares d’une voiture qui s’arrête.
• Mademoiselle, que vous arrive-t-il voulez-vous que je vous reconduise jusque chez vous ?
C’est une providence, il me restait presque deux kilomètres à faire dans le plus simple appareil.
• Tournez là, je suis arrivée devant mon foyer.
• À ce que je vois, tu sembles être une belle salope, lorsque je vais rentrer chez moi, ma femme va me faire un cul tourné et je devrais me pignoler.
Veux-tu me sucer ?
Une de plus, une de moins, elle est petite mais propre, il a dû se la laver avant de quitter son service.
Qui aurait dit lorsque je suis venue faire mes études, que je me retrouverais à poil dans une voiture à sucer la bite d’un honnête père de famille, car immanquablement il doit avoir des enfants.
• Que fais-tu, pourquoi bascules-tu mon siège ?
•
Ludovic m’a petit à petit appâté avec quelques billets afin de m’amener là où je suis arrivée aujourd’hui.
Un objet, oui, mais un objet sexuel tout juste bon à être filmé dans des postures indignes de la jeune fille que j’étais en arrivant de mon village perché au milieu des vignes bourguignonnes.
Ernest, Annabelle ont été mes dernières étapes de cette descente aux enfers lorsque j’ai accepté d’être filmé en me faisant baiser par cet homme immonde, dans cette caravane immonde.
Filmé les seins enserrés par une petite corde me coupant le sang et que je ressens encore lorsque j’émerge de la légère perte de conscience qui m’a frappé.
Je parlais d’étapes, la sévère volée de coups de badines qu’Annabelle m’a infligée en était une, surtout lorsque certains coups ont été appliqués sur ma chatte.
Lorsque j’ouvre les yeux, les refermant aussitôt.
L’impression d’avoir entendu des voix disant qu’on me manipulait est loin, surtout qu’Annabelle peut être pour se faire pardonner des sévices qu’elle m’a infligés, m’a écarté les jambes et me broute le minou.
Jouir, sous la langue d’une femme, ça aurait pu être normal, mais un œil nous regardait.
L’œil de la caméra dont se sert Ludovic pour tourner ses films pornos.
Elle m’est cachée lorsque Annabella se retournant vient offrir sa chatte à ma langue.
Je plonge littéralement sur son clitoris comme elle le fait pour le mien.
De nouveau, jouirent sous la langue de cette salope est une étape nouvelle des débauches que j’accepte, mais une bien bonne débauche.
• C’est bien les filles, roulez-vous une pelle et venez snifer les lignes que j’ai préparées sur la table ou je choisis mes photos.
J’ai parlé de la manière dont Ludovic m’a appâté, billets puis alcool et cigarettes en passant par des joints et par finir par cette poudre blanche que chacun de nous, nous nous mettons dans le pif.
Là encore lorsque je prends le petit tube de plastique pour me bourrer le nez, j’ignore que je deviens de plus en plus accro à la coke fourni par une certaine Radia.
Radia, marocaine, que Ludovic m’a dit avoir rencontré lors d’un de ses tournages le fournit en coke en petite quantité, mais suffisante pour notre consommation.
Quelques minutes pour que la poudre fasse effet et je suis de nouveau en pleine forme lorsque la porte de la forge s’ouvre.
Ernest est là avec deux beaux gosses, la parfaite image de l’un ou de l’autre, des jumeaux blonds comme les blés comme ceux qui poussent dans la partie basse de notre village à Sylvain et à moi.
Les parties plus abruptes étant couverte de vignes pour en faire du blanc ou du rouge en d’énormes quantités.
• Salut, les gars, elles sont prêtes à tourner, emmenez-les dans le fond de la forge et attachez-les.
Merde, je croyais avoir rêvé les propos de Ludovic disant qu’il allait me confier à ces pervers.
Rapidement Annabelle et moi nous nous retrouvons pendu par les poignets, chacune à un palan qu’Ernest manipule comme s’il avait fait ça toute sa vie.
Était-il ouvrier dans cette forge avant la faillite de ce secteur d’activité et de se retrouver en fin de droit dans sa caravane où l’odeur nauséabonde est encore au plus profond de moi ?
Ernest est peu loquace, mais rapidement il me prend en main, alors qu’Annabelle est sollicitée par les jumeaux.
Pour elle le fouet, l’un d’un côté l’autre de l’autre.
Je vois les lanières claquer et venir s’enrouler autour de son corps.
J’ai mal pour elle, mais de temps en temps ce sont mes fesses que le jumeau, derrière moi, vise, me faisant hurler de douleur.
De son côté Ernest s’occupe de mes seins.
Il sort une à une des aiguilles pour seringues qu’il me passe devant les yeux.
Combien mesure l’aiguille, six, sept ou huit centimètres ?
Une à une il les fait entrer dans mes seins, les disposants en couronne comme si ces derniers avaient des cils.
Il les fait entrer une à une de nouveau me faisant hurler.
Ludovic film, sans oublier le moindre détail.
Mes fraises sont aussi un terrain de jeu pour mon tortionnaire.
À la place d’aiguilles de médecine, ce sont des tiges métalliques, comme celles que l’on trouve dans les jeux de mikados, du moins la forme, qu’il passe à une flamme avant de me les enfoncer à cet endroit si sensible.
Tortionnaire, mais malgré son lieu de vie dégueulasse, son travail est fidèle à l’hygiène afin d’éviter les risques d’infection.
Je voudrais bien voir les images que Ludovic tourne, mais je sais que ce sera pour ses acheteurs.
Je vois Ernest sortir sa verge et en me faisant légèrement redescendre, entre son sexe en moi.
De son côté, Annabelle est détachée et les jumeaux la baise en levrette.
Un dans sa chatte, l’autre dans sa bouche.
Je pars rapidement, jusqu’à ce que l’on me détache et que je sois confiée aux jumeaux.
Pour la première fois, ils me prennent en double pénétration, j’adore la sensation de sentir les deux bites en moi se frottant autour de mon périnée.
• C’est bon, c’est dans la boîte, merde, les jumeaux, vous avez déchargé dans cette salope, j’aurais aimé vous filmer la prenant en double anal.
Venez, on va se faire des lignes, ça va vous remettre en forme.
• Merci patron, on reviendra demain, nous avons un rendez-vous, laissez-nous ces petites salopes au chaud, nous tournerons vos doubles pénétrations anales.
Je snif mes lignes, mais je suis crevée, je retourne me coucher.
En moi, deux mots reviennent en boucles, « double anal », ils vont me défoncer.
« Double anal ».
« Double anal ».
Dans la nuit, je me réveille, pas un bruit, sont-ils partis, non, j’entends des voix au fond de la forge.
Je cherche mes vêtements, ils doivent être dans la camionnette, je vais nu à la porte, elle s’ouvre.
C’est nuit noire, je veux sauvegarder mon cul de cette double pénétration.
À la pendule de la gare, quatre coups sonnent, c’est vrai, les rues sont dans le noir à cause des économies d’énergie pour éviter les surcoups de consommation.
Nue, je me lance sans plus réfléchir, je longe les murs, il faut que j’échappe à ces tarés qui vont me pourrir la vie.
D’un coup, un bruit de moteur et je suis prise dans les halos des phares d’une voiture qui s’arrête.
• Mademoiselle, que vous arrive-t-il voulez-vous que je vous reconduise jusque chez vous ?
C’est une providence, il me restait presque deux kilomètres à faire dans le plus simple appareil.
• Tournez là, je suis arrivée devant mon foyer.
• À ce que je vois, tu sembles être une belle salope, lorsque je vais rentrer chez moi, ma femme va me faire un cul tourné et je devrais me pignoler.
Veux-tu me sucer ?
Une de plus, une de moins, elle est petite mais propre, il a dû se la laver avant de quitter son service.
Qui aurait dit lorsque je suis venue faire mes études, que je me retrouverais à poil dans une voiture à sucer la bite d’un honnête père de famille, car immanquablement il doit avoir des enfants.
• Que fais-tu, pourquoi bascules-tu mon siège ?
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