COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Saison I (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Saison I (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Saison I (2/3)
Vous savez que j’ai contacté Chris pour lui expliquer ma vie, celle que je vous ai contée dans ce premier chapitre.
Vous savez donc pourquoi nous avons décidé de classer mon histoire dans la « collection soumise. »
Essayant de compter les amants de ma vie, j’ai pris peur.
Je prends une grande bouffée d’air et je prends la résolution de ma vie.
À 25 ans, je vais me ranger, je vais carrément arrêter le sexe et fonder une famille.
Fini la soumission à ce dernier, à partir de maintenant, c’est moi qui dirigerai ma vie et non ce trou sans fond que j’essaye de remplir par des langues des bites et du sperme.
Je vais me ranger et fonder une famille, la seule verge qui devra me satisfaire, ce sera celle de mon mari.
Dans le plan que j’élabore, je vais garder mon gode au fond de notre armoire pour me satisfaire les moments où mon sexe voudra de nouveau me soumettre à ses turpitudes.
Fini Pierre, Paul, Jacques, Aglaé et autres chattes poilues ou non poilues.
Seule celle de l’homme que j’aurai choisi aura ma préférence, les autres je vais les ignorer.

Quelques jours plus tard après une dernière nuit à me soumettre à ma chatte, je prends les choses en main.
Je mets mes affaires dans ma voiture, j’embrasse mes parents et je prends la route du logement que j’ai loué à des kilomètres de mes lieux de débauche.
J’y ai trouvé un travail de secrétaire dans le cabinet d’un notaire, ce qui va me permettre de m’assumer.
Toute la semaine, je travaille, j’ai changé mon look, mode pute pour un look bourgeoise bcbg.
Je travaille, sans regarder Maître Benoit mon patron genre de mec sur qui j’aurais sauté il y a encore quelques jours.
Le samedi je me mets en chasse de l’homme de ma vie.
J’ai faim, mais je me résigne à ma condition de jeune femme bien mise, mais réservée sur une grande partie des choses de la vie.
De la boîte à la musique hurlante, j’entre dans une discothèque tango, valse avec piano à bretelles.
Je me fais rapidement chier, mais si je dois trouver le type d’homme que je cherche, c’est ici que je vais le trouver.
Je danse avec divers partenaires, aucun, même si certains ont des atouts, arrivent à la hauteur de ce que je cherche.
Je veux rapidement des enfants et je les veux beaux, même très beaux, des merveilles de la nature.
Tous ceux que je teste dans leurs bras, refusant que mon sexe prenne le pas sur ma quête de l’homme parfait, ont un point de détail qui les écarte.
C’est trois soirées plus tard que je le vois, beau comme il me le faut, mais timide.
Assez pour éviter d’être rapidement cocu avec des femmes à la cuisse légère comme je l’ai été pendant des années.
Là se pose un problème, sa timidité est telle que je suis dans l’ignorance de comment je peux danser avec lui.
Il est avec un couple d’amis.
Je le regarde, il me regarde et c’est tout, la soirée se termine sans que j’ai dansé avec lui.
Je le vois partir avec ses amis me laissant la chatte humide, tout à l’heure en rentrant ce sera mon gode pour effacer l’envie de sauter sur tout ce qui bouge.
Je suis très destins, jusqu’à ce jour, lorsque je me soumettais à mon sexe, c’était souvent le destin qui mettait sur ma route des bites hors du commun sachant satisfaire mon envie de partie de trou du cul intense.

La semaine est éprouvante, mais je résiste, Maître Benoit me regarde de plus en plus avec des yeux montrant son envie de me clouer sur la porte de son bureau.
De plus, Adrien un jeune clerc de notaire pensant certainement que je suis pucelle vient régulièrement me faire du gringue.
Il pourrait être l’élue, il est promis à un bel avenir dans le monde notarial, mais il a un strabisme prononcé.
En un mot, il a un œil qui dit merde à l’autre.

Le samedi lorsque je rentre dans la discothèque, je repère rapidement qu’il est là.
Seul cette fois.
Par chance une place est libre devant un petit guéridon où la serveuse nous pose nos verres.
Je dois être chanceuse, un groupe de six personnes arrive.

• Mademoiselle, pouvez-vous vous décaler sur le siège voisin si monsieur le permet bien sûr !
• Je permets, je permets.

Je suis aux anges, je me lève, m’approchant de ma proie, car proie il y a.
La serveuse déplace mon verre et je m’assieds attendant la suite.

• Je vous ai vu la semaine dernière, j’étais avec des amis.
Je mourrais d’envie de vous inviter à danser, mais vous savez...

Je sais, ça se voit sur ta figure, malgré les lumières tamisées, tu dois rougir.

• Moi aussi, je vous ai vu et j’ai attendu vainement que vous m’invitiez à danser.
C’est en espérant vous revoir que je suis venue ce soir, pourtant c’est loin de mes habitudes de courir après un homme.
• Vous avez bien fait de courir surtout après-moi, je crois que toute ma vie, j’aurais eu vos yeux dans la tête.
Voulez-vous danser ?

Voilà, c’est ce soir-là que je l’ai mis dans ma poche.
Ma poche, pas mon lit pour autant, je suis une honorable femme qui fera l’amour le jour où il me demandera en mariage et qu’il me mettra la bague au doigt.

• Je dois t’avouer quelque chose Loïc !
• Je suis prêt à tout entendre France, je t’aime comme un fou.

C’est au restaurant le samedi suivant où il m’a invité, que je me jette à l’eau.
Je sens la bague proche d’être à moi, mais ma virginité disparue risque de me poser problème.

• J’ai déjà eu un garçon dans ma vie.
• C’est tout, que tu aies eu une liaison à 25 ans qui y a-t-il de plus normal même si moi je suis encore puceau.
• Tu te méprends Loïc, j’ai eu un garçon avec qui j’ai couché, une seule fois un mercredi.
Nous étions adolescents avec Christian et j’ignore comment je me suis retrouvée avec sa verge dans mon vagin.
Ça s’est passé une seule fois, je te le répète, après il est parti pour Barcelone afin de devenir footballeur.

Ça sert les vieilles histoires, ça m’évite de lui raconter toutes mes turpitudes et la liste de mes amants impossible à mettre à jour.

• La franchise que tu as eue avec moi le soir de mon anniversaire m’a conforté dans mon idée de t’offrir ceci.
Tu es l’élue.

J’ai ma bague, j’ai ma bague, j’ai ma bague.
Comme le veut la tradition, il met un genou au sol et m’offrir une bague qui a dû coûter un paquet de fric.
J’ai oublié de vous signaler que Loïc dirige une société de métallurgie, plus précisément une chaudronnerie.
Parti d’un CAP, il est arrivé à ouvrir cette boîte où à ce jour, il emploie 200 ouvriers.
Bref, je gagne le gros lot, un homme courtois, prévenant, propre sur lui et sentimental.

• Oui, Loïc, je suis à toi jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Maman est en larmes, elle sait ce que je leur ai fait voir.
C’est dur à vivre une fille soumise à son sexe et voir le mariage que je fais, tout est pour le mieux pour elle.
Papa impossible, de voir ses sentiments, toute sa vie, il les aura cachés même envers ma mère.

Enfin ma nuit de noce, très traditionnelle étant donné le contexte.
Je crains un peu, pas mon pseudo dépucelage, je suis déjà si défoncée qu’un autobus avec tous ses passagers pourrait me rentrer dedans.
Non, comment aborder le sexe avec un puceau.
Un baiseur, je sais ça sur le bout des doigts, plutôt de la langue lorsque je faisais de multiples fellations.

• Ma chérie, que fais-tu, pourquoi te mets s-tu à genoux devant moi ?
• Quand l’après-midi où Christian m’a pris, pour la seule fois de ma vie.

Je dis cela très sérieusement avec mon copain, on l’a fait une seule fois du moins une seule journée.
Son frère un peu plus souvent et sa mère aussi.

• Il m’a fait sucer son sexe avant de le faire entrer en moi sans que je m’en rende compte.
• Relève-toi, la future mère de mes enfants, je dois la respecter et d’éviter de faire ces choses hors de nature.

J’ai envie de crier, mieux hurler que je veux sucer des bites, j’adore ça.
Mais j’ai décidé d’échapper à la soumission de mon sexe, alors je me relève, j’embrasse le prenant simplement en main le masturbant légèrement.

Bien sûr, il va de soi, que j’ai droit à l’inévitable missionnaire et avant que j’aie le temps de comprendre ce qu’il m’arrivait, Jules notre fils était attendu.
Oh ! mon mari m’honore souvent, mais plus en formule lapin bonjour madame, au revoir madame.

• Merci mon amour d’avoir fait de moi un homme, j’ai senti que tu prenais du plaisir dès la première fois, certainement dû à ton aventure de jeunesse avec ce dénommé Christian.

Où a-t-il senti que je prenais du plaisir ?...

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