COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. A8 (11/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. A8 (11/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. A8 (11/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.

Parler de nuit blanche, ce serait peu dire, la porte vient de s’ouvrir et mon Maître est là.

• As-tu bien récupéré ?
J’ai eu l’impression qu’hier tu as eu une légère indisposition.
Mes premiers patients vont arriver, tu les recevras dans le salon et tu les feras attendre et tu les feras entrer un par un.
Si j’ai besoin de toi, je t’appellerai sinon, tu resteras assise sur la chaise près de mon bureau, c’est une partie de ma maison que tu ne connais pas.
S’il y a des enfants, tu leur donnes une citronnade, j’en fais une fois par semaine les mercredis.
J’en ai fait pendant que tu te prélassais dans ta cage.
En attendant met ta tenue rouge, mais avant, nous avons encore cinq minutes, suce-moi.

Il ouvre son pantalon.
Suis-je subjuguée par le bonhomme qui me fait souffrir ou par cette verge qu’il me présente ?
Son don est peut-être plus efficace quand il a éjaculé !
Nous, ses soumises, sommes-nous là pour augmenter son efficacité.
Du moins quand je le prends en bouche, toujours avec la même difficulté, j’ai l’envie de le croire.
J’ai faim, il est vrai qu’hier j’ai mangé frugalement et j’ai renvoyé le peu que j’avais réussi à mettre dans mon estomac.
Masturbation, sussions comme il aime et je finis par avaler une rasade de sperme qui va me caler quelque temps.
Je prends goût au sperme de cet homme, celui à la casquette toujours présente sur sa tête.

• Va donner une poignée de foin dans les cages des lapins avant de me rejoindre, eux aussi ils ont le droit de manger. Tu viendras me rejoindre sur tes deux jambes, mes clients n’ont pas besoin de savoir que tu es une chienne attachée à son Maître. Tu donneras deux poignées de graines aux poules après avoir ramassé les œufs, évitent les conneries ce coup-ci.

Je sais, ne pas toucher à ceux peints en rouge.
Je fais le travail, j’entends une voiture arriver, Maître Albert doit avoir coupé les alarmes, car aucune sonnerie ne me propulse dans ma cage.

Il reste quelques pissenlits dans le panier, le sperme ne m’a pas suffi, ma grand-mère en faisait en salade, c’est donc mangeable, je donne du foin aux lapinous et j’avale une dizaine de plantes sans sauce de salade bien sûr.
C’est un peut fade, mais bof, les lapinous en mangent bien.
Je vais aux œufs quand j’ai la frayeur de ma vie.
Face à moi, un renard me regarde, il me montre même les dents, j’ai vu un reportage sur la rage.
Hier quand j’étais pendue, une pensée m’est venue et si mon Maître allait me saigner comme un lapinou, loin de moi de penser que ce serait la rage qui m’abattrait.
J’avais aussi vu qu’avec ces animaux il ne fallait surtout pas leur faire voir ma peur. Donc j’avance, les babines de l’animal deviennent encore plus expressives.
C’est à ce moment que mon petit lapinou que j’ai malencontreusement laissé sortir de sa cage sort de nulle part et lui passe entre les pattes.
Le renard a un regard d’incompréhension, il me regarde, finit par se retourner et de le suivre dans les fourrés.
Depuis, je ne l’ai plus revu, mais mon lapinou non plus, se serait-il sacrifié pour me défendre et me sauver ?
Je finis de donner à manger aux poules, je vais même mettre ma tête au sol pour regarder sous les cages s’il est revenu.
Il reste cinq pissenlits que je n’ai pas mangés, je les place sous la cage quelquefois qu’il s’en soit sorti et qu’il revienne.
Je suis obligée de dire que j’ai une larme au coin des yeux.
Si je raconte un jour à quelqu’un qu’un lapinou m’a sauvé la vie contre un renard enragé, je vais faire rire tout le monde.

Je retourne dans la maison, trois personnes attendent, deux hommes et une femme accompagnée de deux enfants, un garçon d’une dizaine d’années et une fille de quatre ans.
L’un des hommes à une cage.
Vient-il pour son chat ?
Maître Albert exerce-t-il son don aussi sur les animaux ?
C’est à ce moment que Maître Albert sort de son bureau.

• Revenez la semaine prochaine Jeanne, votre mal est profond et mérite un traitement spécial.
Viens me voir, excusez messieurs-dames, j’ai besoin de parler à mon adjointe.

Se « viens me voir » m’est dit de telle façon que cela ne présage rien de bon, qu’ai-je encore fait !
Nous entrons, il ferme la porte et m’attrape par les cheveux.

• Où étais-tu ?
J’ai failli attendre, j’avais besoin de toi auprès de moi pour recevoir cette cliente, il fallait la tenir pour que je puisse être plus efficace, à cause de toi, elle doit revenir.

Sur le bureau un billet de 100 €, j’ignore combien de temps il l’a reçue et ce qu’il lui a fait, mais le temps que j’ai passé à m’occuper des bêtes, malgré ce qu’il dit, a été assez rapide.
Il doit bien gagner sa vie.
Comment lui dire que si j’ai perdu du temps, c’est à cause d’un renard enragé qui a profité des alarmes stoppées pour recevoir ses clients que je suis en retard ?
Mais surtout comment lui dire que si je suis vivante, c’est grâce à lapinou qui a peut-être fini sa vie dans l’estomac de ce renard enragé.

Je ferme ma "gueule", il s’assoit sur une chaise où il doit faire assoir ses patients.
Il baisse ma culotte, me place les fesses en l’air sur ses genoux, à 58 ans je suis rouge de honte, mais c’est bon.
Il me donne une fessée qui au début me fait mal, là où la cravache a tapé, il y a peu.
Il a une cadence rapide, ça me rappelle la seule fois de ma vie où papa, hélas disparu, m’en a donnée une, mais en me laissant ma culotte, j’avais mangé dans le pot de confiture avec mes doigts.
Ça peut paraître disproportionné, une fessée sur les fesses pour un peu de confiture, mais quand il m’avait demandé si c’était moi, j’avais soutenu n’avoir rien fait alors que j’en avais encore au coin de mes lèvres.

La volée que je reçois de mon maître finit par me faire du bien, j’ai l’impression que j’aime son sadisme.
Je pourrais faire sciemment des conneries pour être maltraitée !
Inutile, Maître Albert semble avoir toute la panoplie du sado alors que moi, je deviens de plus en plus maso. Je vais peut-être avoir sa verge en moi, sur mon ventre, couchée sur ses genoux, je sens qu’il bande.

• Salope, tu cherches à ce que je te baise, il faut que je garde des réserves, la Jeanne, et Olga qui attendent, à mon âge, il faut que je me ménage.

Que veut dire cette phrase, pourquoi garder des réserves ?
Il doit faire des passes avec ses mains sur le corps de ses patients, son fluide diminue-t-il s’il se fatigue ?

• Fais entrer Gaspard.

Je sors du bureau après avoir remonté ma culotte, je suis rouge de honte, à mon âge, me faire traiter comme une vulgaire élève ayant mal travaillé, me fait la honte.

• Monsieur Gaspard entrez !

L’homme à la cage à chat se lève, il passe devant moi, sa main s’égare sur mes fesses. Il est rouge de la vinasse qu’il doit biberonner et entre, alors que je ferme la porte.

• T’as une nouvelle soumise, elle est un peu âgée, mais elle a un joli cul.
Voila un lapin mâle pour remplacer le tien, j’aimerais que le jour où tu feras un civet du vieux, tu m’invites à venir le déguster.
J’espère que ta numéro 13 sera aussi bonne que ta numéro 10, elle suçait divinement.
• Peut-être pour toi avec ta petite bite, j'étais insatisfait, contrairement à numéro 13, qui me pompe royalement.

Dommage qu’il ne me fasse jamais ce genre de compliment, c’est si doux à entendre.
La femme aux enfants doit être Olga dont il vient de parler, je vais donner des citronnades aux enfants, ils commençaient à bouger.
Au moment où je suis près des trois, mes deux verres en main, la petite fille tire sur le foulard que sa maman a autour du cou, je peux voir tatoué comme pour moi A8. Pourquoi une ancienne soumise vient-elle voir Maître Albert ?
Le dénommé Gaspard sort, Maître Albert m’appelle.

• Tiens, prend ce panier et va mettre ce mâle dans un clapier, dépêche, je vais recevoir monsieur Adrien pendant ce temps.
Bonjours Adrien, toujours tes maux d’estomac qui te reprennent ?
• Oui, tu me soulages pour trois mois et après ça me reprend, voilà tes 100 €, c’est cher, mais la médecine traditionnelle n’a rien pu pour moi, on me bourrait de drogues pour un piètre résultat.
• Allonge-toi sur la table de soin, je vais te faire des passes.

J’ai le temps d’entendre ces mots, le temps de fermer la porte, je comprends pourquoi les premiers 100 € posés sur son bureau.
Je retourne à la grange, je vais pour sortir le gros lapinou qui est dans le panier à chat, j’avance ma main, il me mord.
Pas profondément, j’ai enlevé ma main rapidement.
Comment faire, la porte s’ouvrant entièrement, je regarde dans quelle cage le mettre, une en haut est libre.
J’essaye de tenir le panier à hauteur en ouvrant la porte du clapier, il est trop lourd, à ma hauteur, trois cages, deux avec des petits lapinous et leur mère et au milieu, le vieux mâle.
J’ignore si les lapinous mâles sont homos, j’ouvre la cage, je place la mienne, porte ouverte, ils se sautent littéralement dessus.
Chez ma grand-mère, une fois il y avait deux chiennes labradors, elles se sont battues.
J’ai voulu les séparer, ma grand-mère a dit de les laisser, c’étaient deux dominantes, l’une deviendrait l’esclave de l’autre, un peu comme moi et Maître Albert.
Le clapier refermé, je retourne retrouver celui qui a su faire de moi une parfaite soumise.
Derrière moi, les lapinous ont du mal à se départager, il y en a bien un qui va gagner !
De retour près de mon Maître, il sort avec le client à 100 €.

• À dans trois mois, je vous place dans la liste du samedi où je pense que vous reviendrez.
Olga, à vous, occupe-toi des enfants, je veux être tranquille avec ma patiente.

Les enfants sont sages, ils dessinent sur des coloriages que leur mère a apportés.
Je laisse la porte entrouverte, une glace me permet de voir Maître Albert s’approcher de cette grande rousse.

• Tu sais que j’ai horreur que mes anciennes soumises viennent ici, surtout avec mes enfants, j’espère qu'A13 n’a pas vu que tu étais tatouée toi aussi, je veux éviter le bordel entre vous.

Trop tard, j’ai vu les lettre et chiffre « A8. »

• Que veux-tu, ne me dis pas que Jules que tu as connu sur le marché et que tu as décidé de suivre avec mon accord t’as encore manqué de respect ?
• Non, il est aux petits soins depuis que vous l’avez chopé, Maître.
Il me baise tous les jours, je veux donner un demi-frère ou sœur à nos enfants, il doit être impuissant, chaque mois mes règles reviennent.
Avec vous Maître Albert, comme les deux premières fois, quand vous m’aurez imposé vos mains, je suis sûre du résultat dans neuf mois.

Merde, mon Maître peut faire un gosse à une femme juste par ses mains !
Olga est assise sur la chaise, le Maître s’approche, lui touche le ventre quelques secondes.

• C’est bon, ça suffit, mets-toi les seins sur mon bureau, je vais te féconder.
Dans neuf mois tu auras ton gosse, je te préviens c’est la dernière fois, tu sais que je suis fidèle à A13.

Elle se lève, se place les jambes écartées les seins restés dans son corsage.
Elle soulève sa robe d’été, je vois comme si j’y étais sa grosse touffe rousse, dommage, je suis trop loin pour sentir son odeur.
Maître Albert sort sa queue qui bande déjà.
Quel homme, il enfile A8, la laboure consciencieusement, la glace me renvoie la femme se mordant la lèvre pour éviter de hurler.
Le couple se cabre, le Maître doit éjaculer tout son sperme en elle, je comprends ses allusions de tout à l’heure.
Quand il l'a remplie, je suis rassurée, mon Maître est un homme et non Dieu…

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