COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. L’orage (10/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. L’orage (10/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens de franchir une étape, après ce que j’ai subi avec délice dans la camionnette, au marché, ayant fait une erreur avec Jacques le frère de Maître Albert, mon mentor. Sans oublier que j’ai carrément refusé de suivre Pierre que je peux considérer comme mon ex.
De toute façon, il semble m’avoir remplacé, par une salope qu’il a baisée sur un sentier de randonnée au bord d’un petit lac alors qu’il disait me chercher.
Alors, j'ai décidé de rester chez mon nouveau Maître.
Ça fait deux jours que je prends mon bain à 2 degrés tous les matins.
Ce qui me plait avec Maître Albert, c’est qu’il est fidèle à sa parole, même si la température de l’eau semble être une vengeance à mon exigence.
Je continue à nourrir mes lapinous, ces petites bêtes mangent beaucoup et je dois couper de plus en plus de pissenlits.
Fidèle à son habitude, et à ma situation de chienne, bonne à baiser, Maître Albert vient régulièrement m’honorer et ma chatte adore se faire défoncer, depuis la première fois, mon fourreau est à l'exacte dimension du morceau qu’il me propose.
Que dire de mon anus, il commence à se distendre de plus en plus, mais je n’en ai cure, s’il veut me baiser, il me baise et en plus je dis merci !
Je suis au travail ce vendredi, j’ai déjà coupé la moitié de mon panier quand le ciel noir qui menaçait ce transforme en orage.
Depuis des semaines que la pluie nous a abandonnée, ça va être bon pour le champ, de nouveaux pissenlits vont pousser.
J’ai une peur bleue des orages, surtout qu’un éclair zèbre et vient s’abattre sur la forêt voisine d’où sortent les renards que nous sommes obligés de chasser pour éviter qu’ils viennent bouffer nos poules et nos lapinous.
N’écoutant que mon courage, quand les premières gouttes viennent singler mon dos, je me relève et rentre en courant vers la grange.
Mon Maître est là, la casquette toujours vissée sur sa tête.
Il va falloir que je lui en achète une autre au marché mardi, à son regard, je vois qu’il est courroucé, qu’ai-je fait de mal ?
Je n’aime pas ce regard, il avait le même lorsqu’il m’a offert à son frère dans la camionnette.
• Ou vas-tu ?
• Me mettre à l’abri, il tombe des cordes, j’ai peur des éclairs.
• Et les lapins ?
• Quoi les lapinous ?
• Les lapins ça mange, ça grossit, ça fait des petits, il est impossible de donner les mâles à leur mère comme pour nous les hommes, c’est pour cela qu’ils finissent au marché.
Les femelles rencontrent des mâles, j’en rachète à Louis pour croiser l’espèce. Quand elles ont eu plusieurs portées, direction le marché comme les mâles, mais pour arriver à avoir de belles bêtes il faut qu’elles mangent.
Si tu crois que ton demi-panier va leur suffire, tu te mets le doigt dans l’œil. L’orage je m’en fous, je m’en contrefou, de plus tu es revenue en te levant, va derrière dans le tube et rapporte la cravache.
La cravache, je vais ramasser une râclée à cause de ma peur de l’orage.
Il faut que je lui sois plus que soumise pour ne pas me sauver en courant, même nue. Il me suffirait de dire au village quel tyran il est.
• Chiche !
• Pourquoi me dites vous, chiche, Maître Albert ?
• Qu’as-tu de tatoué sur ton cou ?
• A13, Albert 13, je suis votre treizième soumise.
• Tu crois que la façon dont tu as regardé le chemin menant au village, je ne le connais pas ?
Toutes depuis A1, même si ça a été la soumise parfaite, se sont posées la question si elles n’allaient pas partir en courant.
Elle l'a fait, ce sont mes amis qui me l’ont remontée.
Ils ont trop besoin de moi, pour mon don, d’ailleurs tu verras cela demain matin. Tu as trois secondes pour disparaitre et revenir avec la cravache.
Je suis brisée.
Derrière comme devant la grange, l’orage fait rage, je sais que la cravache va me déchirer.
Je cherche à ouvrir la porte latérale de la camionnette, qui semble bloquée.
Des grêlons comme des billes tombent venant me cingler le dos, je dois aller jusqu’à la porte arrière pour entrer et être provisoirement à l’abri.
Je suis transie, j’ai presque envie de courir me cacher dans ma cage.
Mais je sais que le temps presse quand je prends mon engin de torture en main.
Il me faut rejoindre Maître Albert le plus vite possible, je l’ai déjà mis en colère. Malgré la grêle quand je ressors, je ferme consciencieusement la porte, c’est l’enfer, ça zèbre de partout.
• Pose la cravache sur la table et donne-moi tes mains.
Qu’a-t-il encore inventé ?
Je m’attendais à me mettre à quatre pattes comme dans la camionnette, mais il a une corde avec un nœud coulant attaché au palan que j’ai vu depuis mon arrivée et que je lui croyais utile dans certains travaux.
Les lapinous, avant d’être exécutés, avaient la tête en bas, moi c’est la tête en haut que je m’apprête à finir ma vie, il est impossible de survivre à une telle épreuve.
Mes bras vont se déchirer, je sens mes jointures à la hauteur des épaules se tendre dès qu’il tire sur la corde qu’il a prise en main.
Au début, mes pieds au sol me permettent de supporter la douleur, mais très vite, je me trouve décollée du sol.
Il est possible qu’il mette une bassine sous moi pour récolter mon sang pour faire sa sauce.
Va-t-il m’égorger ou m’enlever un œil, j’ai ces pensées quand le premier coup de cravache atteint mes seins, ils bougent, denses et lourds comme ils sont, au fil des coups qu’ils reçoivent.
Je hurle et je me mets à me tortiller, j’essaye d’atteindre son bras avec mes jambes, il esquive.
• Je vois qu’il faut que j’emploie les grands moyens.
Je suis fatiguée de ruer, je reste pendue attendant la suite.
Il prend un lien sur la table, me ceinture les jambes d’un bras puissant et m’attache les pieds.
Je lui balançais une jambe après l’autre écartant ma chatte au passage, comme je suis lisse, mes lèvres sont luisantes.
Là je suis prise.
Tout juste, j’arrive à me balancer, mais dès que le deuxième coup zèbre mes fesses, je sais que je dois subir son courroux qui semble grand.
Je comprends que ses lapinous ont plus de valeur que mes fesses, ma chatte ou mes seins.
Dans mon champ de vision, le petit lapinou s’étant échappé me regarde, il penche sa tête de droit à gauche comme s’il réfléchissait, qu’il se méfie, s’il me nargue et que je l’attrape, malgré tout l’amour que je peux avoir pour les lapinous, je vais en faire un civet.
Combien de temps, subis-je la punition ?
Impossible de le dire, car je tourne de l’œil, comme de bien entendu.
Ma mort est pour plus tard et c’est dans le spa à température normale que je reprends pied.
Je suis assise dans l’eau me soulageant d’un côté.
Mais comme je suis sur mes fesses, j’ai énormément mal.
Une nouvelle fois, le soin qu’il a pris à me mettre dans cette eau à température me montre pourquoi j’aime Maître Albert.
• Aller, l’orage est passé, va finir de donner à manger aux lapins, laver leurs cages et t’occuper des poules.
J’ai remis des œufs dans les six pondoirs, je les ai peints en rouge, fait gaffe, pour finir tu iras biner les poireaux et butter les patates.
Bien Maître.
Je vois que tu es revenue dans de meilleurs sentiments, si tu es sage, ce soir tu dîneras à ma table, j’ai cuisiné un lapin, celui que tu as refusé de tuer, le client qui me l’avait commandé m’a fait faux bon.
Mon Maître m’en veut, il souffle le chaud et le froid, il m’invite mais pour manger du lapinou, ce n’est pas un Maître, c’est un sadique.
J’ai peur de tout renvoyer, il serait capable de me faire tout récupérer.
Je réussis tout bien, aucune fosse note, heureusement au pied de mon Maître, j’ai mal aux fesses quand je les pose sur le carrelage.
Il me donne les cotes du lapinou, contrairement à ce que je pensais, c’est bon, même si ça ne vaut pas un bon steak.
Comme je suis placée, je ne vois pas ce qu’il fait. Je devine qu’avec son Opinel, il appuie sur un os qui craque.
• Tient, mange la cervelle, c’est le morceau de roi dans un lapin, c’est un honneur que je te fais.
Je n’ai pas le temps de me reprendre, je jonche le carrelage.
• Va chercher de quoi nettoyer, tu me fais honte, tu n’en veux pas, je la mange.
À le voir manger la cervelle, heureusement que dans nos rapports, il ne m’a jamais embrassé, je serais capable d’avoir qu’elle réserve de lapinou au fond de mon estomac et de lui servir directement bien chaud.
• Va dans ta cage, je saurais me souvenir de ton affront, demain je reçois les personnes qui montent pour profiter de mon don.
Je sais que lorsqu’il me dit qu’il va se souvenir, dans les heures prochaines, j’aurai le droit à son courroux, mais pour le moment, je file me coucher.
Je pense dormir facilement après cette rude journée, mais quand je l’analyse bien, j’ai adoré.
Mon Maître a des ressources, j’avais pris l’habitude de dormir lumière allumée, il a dû déclencher un système, mis en place par Fred, la lumière s’allume puis s’éteint, puis s’allume puis s’éteint, puis s’allume puis s’éteint.
Il n’a pas traîné pour se souvenir de l’affront…
Je viens de franchir une étape, après ce que j’ai subi avec délice dans la camionnette, au marché, ayant fait une erreur avec Jacques le frère de Maître Albert, mon mentor. Sans oublier que j’ai carrément refusé de suivre Pierre que je peux considérer comme mon ex.
De toute façon, il semble m’avoir remplacé, par une salope qu’il a baisée sur un sentier de randonnée au bord d’un petit lac alors qu’il disait me chercher.
Alors, j'ai décidé de rester chez mon nouveau Maître.
Ça fait deux jours que je prends mon bain à 2 degrés tous les matins.
Ce qui me plait avec Maître Albert, c’est qu’il est fidèle à sa parole, même si la température de l’eau semble être une vengeance à mon exigence.
Je continue à nourrir mes lapinous, ces petites bêtes mangent beaucoup et je dois couper de plus en plus de pissenlits.
Fidèle à son habitude, et à ma situation de chienne, bonne à baiser, Maître Albert vient régulièrement m’honorer et ma chatte adore se faire défoncer, depuis la première fois, mon fourreau est à l'exacte dimension du morceau qu’il me propose.
Que dire de mon anus, il commence à se distendre de plus en plus, mais je n’en ai cure, s’il veut me baiser, il me baise et en plus je dis merci !
Je suis au travail ce vendredi, j’ai déjà coupé la moitié de mon panier quand le ciel noir qui menaçait ce transforme en orage.
Depuis des semaines que la pluie nous a abandonnée, ça va être bon pour le champ, de nouveaux pissenlits vont pousser.
J’ai une peur bleue des orages, surtout qu’un éclair zèbre et vient s’abattre sur la forêt voisine d’où sortent les renards que nous sommes obligés de chasser pour éviter qu’ils viennent bouffer nos poules et nos lapinous.
N’écoutant que mon courage, quand les premières gouttes viennent singler mon dos, je me relève et rentre en courant vers la grange.
Mon Maître est là, la casquette toujours vissée sur sa tête.
Il va falloir que je lui en achète une autre au marché mardi, à son regard, je vois qu’il est courroucé, qu’ai-je fait de mal ?
Je n’aime pas ce regard, il avait le même lorsqu’il m’a offert à son frère dans la camionnette.
• Ou vas-tu ?
• Me mettre à l’abri, il tombe des cordes, j’ai peur des éclairs.
• Et les lapins ?
• Quoi les lapinous ?
• Les lapins ça mange, ça grossit, ça fait des petits, il est impossible de donner les mâles à leur mère comme pour nous les hommes, c’est pour cela qu’ils finissent au marché.
Les femelles rencontrent des mâles, j’en rachète à Louis pour croiser l’espèce. Quand elles ont eu plusieurs portées, direction le marché comme les mâles, mais pour arriver à avoir de belles bêtes il faut qu’elles mangent.
Si tu crois que ton demi-panier va leur suffire, tu te mets le doigt dans l’œil. L’orage je m’en fous, je m’en contrefou, de plus tu es revenue en te levant, va derrière dans le tube et rapporte la cravache.
La cravache, je vais ramasser une râclée à cause de ma peur de l’orage.
Il faut que je lui sois plus que soumise pour ne pas me sauver en courant, même nue. Il me suffirait de dire au village quel tyran il est.
• Chiche !
• Pourquoi me dites vous, chiche, Maître Albert ?
• Qu’as-tu de tatoué sur ton cou ?
• A13, Albert 13, je suis votre treizième soumise.
• Tu crois que la façon dont tu as regardé le chemin menant au village, je ne le connais pas ?
Toutes depuis A1, même si ça a été la soumise parfaite, se sont posées la question si elles n’allaient pas partir en courant.
Elle l'a fait, ce sont mes amis qui me l’ont remontée.
Ils ont trop besoin de moi, pour mon don, d’ailleurs tu verras cela demain matin. Tu as trois secondes pour disparaitre et revenir avec la cravache.
Je suis brisée.
Derrière comme devant la grange, l’orage fait rage, je sais que la cravache va me déchirer.
Je cherche à ouvrir la porte latérale de la camionnette, qui semble bloquée.
Des grêlons comme des billes tombent venant me cingler le dos, je dois aller jusqu’à la porte arrière pour entrer et être provisoirement à l’abri.
Je suis transie, j’ai presque envie de courir me cacher dans ma cage.
Mais je sais que le temps presse quand je prends mon engin de torture en main.
Il me faut rejoindre Maître Albert le plus vite possible, je l’ai déjà mis en colère. Malgré la grêle quand je ressors, je ferme consciencieusement la porte, c’est l’enfer, ça zèbre de partout.
• Pose la cravache sur la table et donne-moi tes mains.
Qu’a-t-il encore inventé ?
Je m’attendais à me mettre à quatre pattes comme dans la camionnette, mais il a une corde avec un nœud coulant attaché au palan que j’ai vu depuis mon arrivée et que je lui croyais utile dans certains travaux.
Les lapinous, avant d’être exécutés, avaient la tête en bas, moi c’est la tête en haut que je m’apprête à finir ma vie, il est impossible de survivre à une telle épreuve.
Mes bras vont se déchirer, je sens mes jointures à la hauteur des épaules se tendre dès qu’il tire sur la corde qu’il a prise en main.
Au début, mes pieds au sol me permettent de supporter la douleur, mais très vite, je me trouve décollée du sol.
Il est possible qu’il mette une bassine sous moi pour récolter mon sang pour faire sa sauce.
Va-t-il m’égorger ou m’enlever un œil, j’ai ces pensées quand le premier coup de cravache atteint mes seins, ils bougent, denses et lourds comme ils sont, au fil des coups qu’ils reçoivent.
Je hurle et je me mets à me tortiller, j’essaye d’atteindre son bras avec mes jambes, il esquive.
• Je vois qu’il faut que j’emploie les grands moyens.
Je suis fatiguée de ruer, je reste pendue attendant la suite.
Il prend un lien sur la table, me ceinture les jambes d’un bras puissant et m’attache les pieds.
Je lui balançais une jambe après l’autre écartant ma chatte au passage, comme je suis lisse, mes lèvres sont luisantes.
Là je suis prise.
Tout juste, j’arrive à me balancer, mais dès que le deuxième coup zèbre mes fesses, je sais que je dois subir son courroux qui semble grand.
Je comprends que ses lapinous ont plus de valeur que mes fesses, ma chatte ou mes seins.
Dans mon champ de vision, le petit lapinou s’étant échappé me regarde, il penche sa tête de droit à gauche comme s’il réfléchissait, qu’il se méfie, s’il me nargue et que je l’attrape, malgré tout l’amour que je peux avoir pour les lapinous, je vais en faire un civet.
Combien de temps, subis-je la punition ?
Impossible de le dire, car je tourne de l’œil, comme de bien entendu.
Ma mort est pour plus tard et c’est dans le spa à température normale que je reprends pied.
Je suis assise dans l’eau me soulageant d’un côté.
Mais comme je suis sur mes fesses, j’ai énormément mal.
Une nouvelle fois, le soin qu’il a pris à me mettre dans cette eau à température me montre pourquoi j’aime Maître Albert.
• Aller, l’orage est passé, va finir de donner à manger aux lapins, laver leurs cages et t’occuper des poules.
J’ai remis des œufs dans les six pondoirs, je les ai peints en rouge, fait gaffe, pour finir tu iras biner les poireaux et butter les patates.
Bien Maître.
Je vois que tu es revenue dans de meilleurs sentiments, si tu es sage, ce soir tu dîneras à ma table, j’ai cuisiné un lapin, celui que tu as refusé de tuer, le client qui me l’avait commandé m’a fait faux bon.
Mon Maître m’en veut, il souffle le chaud et le froid, il m’invite mais pour manger du lapinou, ce n’est pas un Maître, c’est un sadique.
J’ai peur de tout renvoyer, il serait capable de me faire tout récupérer.
Je réussis tout bien, aucune fosse note, heureusement au pied de mon Maître, j’ai mal aux fesses quand je les pose sur le carrelage.
Il me donne les cotes du lapinou, contrairement à ce que je pensais, c’est bon, même si ça ne vaut pas un bon steak.
Comme je suis placée, je ne vois pas ce qu’il fait. Je devine qu’avec son Opinel, il appuie sur un os qui craque.
• Tient, mange la cervelle, c’est le morceau de roi dans un lapin, c’est un honneur que je te fais.
Je n’ai pas le temps de me reprendre, je jonche le carrelage.
• Va chercher de quoi nettoyer, tu me fais honte, tu n’en veux pas, je la mange.
À le voir manger la cervelle, heureusement que dans nos rapports, il ne m’a jamais embrassé, je serais capable d’avoir qu’elle réserve de lapinou au fond de mon estomac et de lui servir directement bien chaud.
• Va dans ta cage, je saurais me souvenir de ton affront, demain je reçois les personnes qui montent pour profiter de mon don.
Je sais que lorsqu’il me dit qu’il va se souvenir, dans les heures prochaines, j’aurai le droit à son courroux, mais pour le moment, je file me coucher.
Je pense dormir facilement après cette rude journée, mais quand je l’analyse bien, j’ai adoré.
Mon Maître a des ressources, j’avais pris l’habitude de dormir lumière allumée, il a dû déclencher un système, mis en place par Fred, la lumière s’allume puis s’éteint, puis s’allume puis s’éteint, puis s’allume puis s’éteint.
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