COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Ma flagellation dans la grange. (12/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Ma flagellation dans la grange. (12/13)
COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Ma flagellation dans la grange. (12/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
• On est bien d’accord Olga, c’est la dernière fois, tu sais que j’ai horreur de tromper mes soumises, surtout qu’A13 est parfaite, elle fait tout ce que je lui dis, c’est une soumise à mes ordres.
Je bombe le torse, enfin la poitrine et elle est bien dense, même si le compliment est dit à une autre, c’est de moi qu’il parle, je vais m’atteler à le satisfaire du mieux que je peux.
A8 satisfaite, récupère ses enfants et quitte la ferme.
• C’est bien, pour une fois, tu n’as pas fait de connerie, dommage, j’avais envie de t’attacher au palan de la grange.
• Faites-le Maître, je suis prête à souffrir pour vous.
Il vient jusqu’à moi.
Depuis qu’A8 est partie, j’ai repris la position de la chienne soumise nue, rangeant mes vêtements sur une chaise, je les emmènerais dans ma cage lorsque j’aurais fini ici.
Il me flatte la tête comme je le faisais étant petite avec un petit loulou que mes parents m’avaient offert pour Noël.
Comme de nombreux enfants, au bout de huit jours, c’est papa qui a été obligé de s’en occuper, un jour il a disparu sans que je m’en inquiète.
Heureusement que je connais A2 et maintenant A8, sinon je pourrais croire que, comme barbe bleu, l’un des contes de mon enfance, il mange ses soumises.
• Nettoie la maison de fond en comble, à partir de maintenant, en plus de la nourriture des animaux, tu auras cette charge de travail.
• Oui, Maître, vous serez satisfait, vaquez à vos occupations, je maîtrise.
• Je vais voir mon nouveau mâle, j’ai une jeune qui est prenable, ils vont me faire une belle et grande portée.
Je le vois partir et je me mets au travail quand j’entends hurler.
• Salope vient là.
Je comprends que la salope c’est moi, je vais le rejoindre.
• Où as-tu mis mon nouveau lapin ?
• Dans une cage avec l’autre gros, ils se sont battus au début, j’étais vers la porte quand ils se sont tus, l’un avait pris l’ascendant sur l’autre.
• Pauvre conne, il était mort, on ne met jamais deux mâles dominants ensemble, donne tes mains.
Une nouvelle fois, je me retrouve accrochée au palan alors qu’il regrettait de n’avoir aucun motif pour m’y accrocher.
Cette fois, le motif était bien là.
• Je vais téléphoner aux copains, ce soir au lieu de faire notre poker hebdomadaire, nous allons nous occuper de ton cul, je les connais, ils vont te déchirer.
Il me quitte, fâché.
C’est vrai que le peu de temps où j’ai pu faire du ménage, près de la porte de la cuisine, j’ai vu un vieux téléphone de point d’âge, dans cette vieille ferme, ce doit être ça le modernisme !
En attendant, ça fait des heures que je suis pendue, mes bras me font mal à hurler car mes jambes ne me supportent plus, Maître Albert avait envie de me faire souffrir, que fait-il ?
Vivement qu’il vienne me flageller avec la cravache que je vois devant moi et que j’aille dormir dans ma cage.
Il fait nuit quand la lumière s’allume dans la grange.
Je dormais, je discerne quatre formes trois que je connais une autre, nouvelle pour moi.
Maître Albert bien sûr, Jacques son frère, bien sûr, Fred bien sûr et un homme assez âgé que je vois pour la première fois.
C’est lui qui s’approche de moi, me prend la tête, soulève une de mes paupières, m’ouvre la bouche pour regarder ma denture, passe derrière moi, me tâte la croupe. J'ai des frissons partout.
J’ai l’impression d’un maquignon qui caresse le cul d’une vache au marché aux bestiaux.
Il va même jusqu’à me mettent deux puis trois doigts dans la chatte avant de les sucer. Heureusement que mon sexe est souple, ils entrent sans me faire mal.
• Fred, tu peux y aller, cette salope a mérité sa punition, je t’accorde cinq minutes de fouet à la salope qui tue des lapins.
Ce sont bien les lapinous qui sont la cause du courroux que mon Maître affiche sur son visage, il s’assoit sur l’établi où se trouve le couteau qui lui sert pour les saigner.
C’est sûr, c’est ma fin, je vais mourir en martyr.
À la porte de cette grange, on va pouvoir mettre une plaque pour les générations futures.
« Ici, a été battue à mort, avant d’être étripée, Simone, autrement appelée Soumise 13 et enterrée à l’arrière de cette ferme à cause d’un lapinou ne sachant pas se battre. »
Un lapinou, au moment où je vois Fred avancer un fouet à la main, j’ai une nouvelle qui me remplit le cœur, lapinou est de retour, il sort de sous la cage, un pissenlit dans sa bouche.
Je suis heureuse qu’il ait échappé au renard, même si moi, les pissenlits, je risque dans peu de temps de les manger par la racine.
• Fred, tu sais où tu dois frapper, évite les muqueuses sensibles, n’oublie pas que nous allons nous aussi nous amuser avec cette truie.
• Pas de problème Doc, juste la pointe de ses seins, je vais les "massacrer", je voudrais bien la voir, la pointe de ses seins allongés, durs et longs.
• Fred, tu fais peur à la dame.
Ne t’en fais pas, c’est un vicieux, depuis qu’il a pris l’habitude d’enculer tout ce qui bouge, même les mouches, il délire un peu dans sa tête. Je suis là pour le réfréner.
C’est Jacques, le frère de mon Maître qui m’a lui-même flatté la croupe avec la cravache dans le tube au marché car je lui avais donné des œufs pourris qui me dit ça, je suis loin d’être rassurée.
La cravache, c’était impressionnant, le fouet ça l’est tout autant surtout quand le Doc ajoute.
• Tu vas voir, c’est un expert, avec la soumise A5, ils faisaient un numéro de cirque où il déchirait des papiers de plus en plus petits qu’elle tenait dans ses doigts.
Il faisait de même avec des bougies allumées et autres objets qu’elle tenait dans sa bouche.
J’ai envie de demander où se trouve Soumise 5, mais le fouet claque à vide avant que la pointe du fouet ne vienne me toucher la pointe de mon sein droit.
Les propos de Doc étaient purement pour me détourner de ce coup me faisant hurler, vite suivi d’un autre qui fait de même et qui me fait crier de douleur.
• Frappe ses fesses, je veux les voir rubicondes.
C’est mon Maître qui vient de donner cet ordre, je prends conscience que ce soir il a décidé de m’offrir à ses trois copains, je m’en rends définitivement compte quand il ajoute.
• C’est mieux que notre sempiternelle partie de poker.
Pour être précis, il est précis.
Il a raccourci la distance pour pouvoir toucher mes deux fesses en même temps, je peux bien voir ses babines retroussées chaque fois qu’il frappe.
• Alors salope, tu aimes ça, regarde les cages avec le lapin mort devant, tu sauras pourquoi je te déchire le cul.
Ce que je vois c’est certes le lapinou mort posé au sol devant les cages, mais surtout Lapinou mangeant un autre pissenlit les pattes avant posées sur la poitrine du défunt comme s’il disait "regardez, c’est moi qui l’ai terrassé".
• C’est bon Fred, le temps est passé, nous allons la détacher.
• Non, Doc, fais-là tourner, juste un petit coup en ami sur sa chatte, vous savez que j’aime les regarder avec ma marque personnelle, Zorro c’était un Z, moi, c’est une croix.
La croix des sacrifiés.
De quel sacrifié parle-t-il, le sait-il lui-même !
On me fait tourner, deux coups de fouet se font entendre.
Sur le coup, la pointe de mes seins me faisant horriblement souffrir, je suis comme anesthésiée, jusqu’à ce que la douleur irradie ma chatte.
Malgré ce qu’il a promis, je sens que mes muqueuses vaginales ont été touchées.
• Détachez-là, vous allez la baiser, je lui donnerai le coup de grâce avec ma pine après que vous l’ayez bien défoncée.
Mes bras et tout mon corps tombent au sol, ils ont distendu mes liens sans avoir le moindre regard sur ma personne.
En restant près de mon Maître, j’avais l’envie d’être soumise, cette séance est le paroxysme de mes envies.
Si je ne sens plus mes bras, ma chatte malgré la douleur, le dernier coup de fouet l’ayant "coupée" en deux, n’empêche pas ma cyprine de couler en abondance, lubrifiant mon vagin…
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
• On est bien d’accord Olga, c’est la dernière fois, tu sais que j’ai horreur de tromper mes soumises, surtout qu’A13 est parfaite, elle fait tout ce que je lui dis, c’est une soumise à mes ordres.
Je bombe le torse, enfin la poitrine et elle est bien dense, même si le compliment est dit à une autre, c’est de moi qu’il parle, je vais m’atteler à le satisfaire du mieux que je peux.
A8 satisfaite, récupère ses enfants et quitte la ferme.
• C’est bien, pour une fois, tu n’as pas fait de connerie, dommage, j’avais envie de t’attacher au palan de la grange.
• Faites-le Maître, je suis prête à souffrir pour vous.
Il vient jusqu’à moi.
Depuis qu’A8 est partie, j’ai repris la position de la chienne soumise nue, rangeant mes vêtements sur une chaise, je les emmènerais dans ma cage lorsque j’aurais fini ici.
Il me flatte la tête comme je le faisais étant petite avec un petit loulou que mes parents m’avaient offert pour Noël.
Comme de nombreux enfants, au bout de huit jours, c’est papa qui a été obligé de s’en occuper, un jour il a disparu sans que je m’en inquiète.
Heureusement que je connais A2 et maintenant A8, sinon je pourrais croire que, comme barbe bleu, l’un des contes de mon enfance, il mange ses soumises.
• Nettoie la maison de fond en comble, à partir de maintenant, en plus de la nourriture des animaux, tu auras cette charge de travail.
• Oui, Maître, vous serez satisfait, vaquez à vos occupations, je maîtrise.
• Je vais voir mon nouveau mâle, j’ai une jeune qui est prenable, ils vont me faire une belle et grande portée.
Je le vois partir et je me mets au travail quand j’entends hurler.
• Salope vient là.
Je comprends que la salope c’est moi, je vais le rejoindre.
• Où as-tu mis mon nouveau lapin ?
• Dans une cage avec l’autre gros, ils se sont battus au début, j’étais vers la porte quand ils se sont tus, l’un avait pris l’ascendant sur l’autre.
• Pauvre conne, il était mort, on ne met jamais deux mâles dominants ensemble, donne tes mains.
Une nouvelle fois, je me retrouve accrochée au palan alors qu’il regrettait de n’avoir aucun motif pour m’y accrocher.
Cette fois, le motif était bien là.
• Je vais téléphoner aux copains, ce soir au lieu de faire notre poker hebdomadaire, nous allons nous occuper de ton cul, je les connais, ils vont te déchirer.
Il me quitte, fâché.
C’est vrai que le peu de temps où j’ai pu faire du ménage, près de la porte de la cuisine, j’ai vu un vieux téléphone de point d’âge, dans cette vieille ferme, ce doit être ça le modernisme !
En attendant, ça fait des heures que je suis pendue, mes bras me font mal à hurler car mes jambes ne me supportent plus, Maître Albert avait envie de me faire souffrir, que fait-il ?
Vivement qu’il vienne me flageller avec la cravache que je vois devant moi et que j’aille dormir dans ma cage.
Il fait nuit quand la lumière s’allume dans la grange.
Je dormais, je discerne quatre formes trois que je connais une autre, nouvelle pour moi.
Maître Albert bien sûr, Jacques son frère, bien sûr, Fred bien sûr et un homme assez âgé que je vois pour la première fois.
C’est lui qui s’approche de moi, me prend la tête, soulève une de mes paupières, m’ouvre la bouche pour regarder ma denture, passe derrière moi, me tâte la croupe. J'ai des frissons partout.
J’ai l’impression d’un maquignon qui caresse le cul d’une vache au marché aux bestiaux.
Il va même jusqu’à me mettent deux puis trois doigts dans la chatte avant de les sucer. Heureusement que mon sexe est souple, ils entrent sans me faire mal.
• Fred, tu peux y aller, cette salope a mérité sa punition, je t’accorde cinq minutes de fouet à la salope qui tue des lapins.
Ce sont bien les lapinous qui sont la cause du courroux que mon Maître affiche sur son visage, il s’assoit sur l’établi où se trouve le couteau qui lui sert pour les saigner.
C’est sûr, c’est ma fin, je vais mourir en martyr.
À la porte de cette grange, on va pouvoir mettre une plaque pour les générations futures.
« Ici, a été battue à mort, avant d’être étripée, Simone, autrement appelée Soumise 13 et enterrée à l’arrière de cette ferme à cause d’un lapinou ne sachant pas se battre. »
Un lapinou, au moment où je vois Fred avancer un fouet à la main, j’ai une nouvelle qui me remplit le cœur, lapinou est de retour, il sort de sous la cage, un pissenlit dans sa bouche.
Je suis heureuse qu’il ait échappé au renard, même si moi, les pissenlits, je risque dans peu de temps de les manger par la racine.
• Fred, tu sais où tu dois frapper, évite les muqueuses sensibles, n’oublie pas que nous allons nous aussi nous amuser avec cette truie.
• Pas de problème Doc, juste la pointe de ses seins, je vais les "massacrer", je voudrais bien la voir, la pointe de ses seins allongés, durs et longs.
• Fred, tu fais peur à la dame.
Ne t’en fais pas, c’est un vicieux, depuis qu’il a pris l’habitude d’enculer tout ce qui bouge, même les mouches, il délire un peu dans sa tête. Je suis là pour le réfréner.
C’est Jacques, le frère de mon Maître qui m’a lui-même flatté la croupe avec la cravache dans le tube au marché car je lui avais donné des œufs pourris qui me dit ça, je suis loin d’être rassurée.
La cravache, c’était impressionnant, le fouet ça l’est tout autant surtout quand le Doc ajoute.
• Tu vas voir, c’est un expert, avec la soumise A5, ils faisaient un numéro de cirque où il déchirait des papiers de plus en plus petits qu’elle tenait dans ses doigts.
Il faisait de même avec des bougies allumées et autres objets qu’elle tenait dans sa bouche.
J’ai envie de demander où se trouve Soumise 5, mais le fouet claque à vide avant que la pointe du fouet ne vienne me toucher la pointe de mon sein droit.
Les propos de Doc étaient purement pour me détourner de ce coup me faisant hurler, vite suivi d’un autre qui fait de même et qui me fait crier de douleur.
• Frappe ses fesses, je veux les voir rubicondes.
C’est mon Maître qui vient de donner cet ordre, je prends conscience que ce soir il a décidé de m’offrir à ses trois copains, je m’en rends définitivement compte quand il ajoute.
• C’est mieux que notre sempiternelle partie de poker.
Pour être précis, il est précis.
Il a raccourci la distance pour pouvoir toucher mes deux fesses en même temps, je peux bien voir ses babines retroussées chaque fois qu’il frappe.
• Alors salope, tu aimes ça, regarde les cages avec le lapin mort devant, tu sauras pourquoi je te déchire le cul.
Ce que je vois c’est certes le lapinou mort posé au sol devant les cages, mais surtout Lapinou mangeant un autre pissenlit les pattes avant posées sur la poitrine du défunt comme s’il disait "regardez, c’est moi qui l’ai terrassé".
• C’est bon Fred, le temps est passé, nous allons la détacher.
• Non, Doc, fais-là tourner, juste un petit coup en ami sur sa chatte, vous savez que j’aime les regarder avec ma marque personnelle, Zorro c’était un Z, moi, c’est une croix.
La croix des sacrifiés.
De quel sacrifié parle-t-il, le sait-il lui-même !
On me fait tourner, deux coups de fouet se font entendre.
Sur le coup, la pointe de mes seins me faisant horriblement souffrir, je suis comme anesthésiée, jusqu’à ce que la douleur irradie ma chatte.
Malgré ce qu’il a promis, je sens que mes muqueuses vaginales ont été touchées.
• Détachez-là, vous allez la baiser, je lui donnerai le coup de grâce avec ma pine après que vous l’ayez bien défoncée.
Mes bras et tout mon corps tombent au sol, ils ont distendu mes liens sans avoir le moindre regard sur ma personne.
En restant près de mon Maître, j’avais l’envie d’être soumise, cette séance est le paroxysme de mes envies.
Si je ne sens plus mes bras, ma chatte malgré la douleur, le dernier coup de fouet l’ayant "coupée" en deux, n’empêche pas ma cyprine de couler en abondance, lubrifiant mon vagin…
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