COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Notre rencontre (1/13)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Notre rencontre (1/13) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Notre rencontre (1/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie, ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.

Moment difficile de ma vie, je vois venir la retraite plus vite que je le pensais lorsque j’ai entamé ma relation avec Pierre.
Bien sûr on ne vit pas ensemble mais on se fréquente.
C'est pratique pour sortir, partir en vacances, mais la routine c'est terrible.
J’ai 58 ans, châtain clair, femme bien balancée pour mon âge, j’ai évité l’embonpoint de la plupart des femmes vieillissantes, voyez vous-même, 1,60 mètre pour 55 kilos. Pierre quant à lui, c’est l’inverse, la taille plus petite que le poids, au dessus du mètre, 1,75 mètres pour 85 kilos.
Je suis à deux doigts de le quitter, je veux nous donner une dernière chance.

• Pierre, regarde cette annonce qui propose de louer un gite dans le massif des Bauges au dessus d’Aix les Bains, allons y.
Toi qui aime marcher en montagne, je te promets de faire toutes les marches possibles.
• Merci Simone pour cette idée, j’avais envie d’une promenade en montagne, espérant perdre au moins cinq kilos dans ce mois de vacances, tu peux faire une demande de congé pour l’occasion.

Quand je formule mon envie, je suis loin de penser que ma vie va basculer, même mes fantasmes les plus enfouis en moi vont apparaître au grand jour.
Nous prenons le train avec sac à dos et chaussures de marche, de vrais montagnards, il ne nous manque que le chapeau tyrolien pour faire complètement figure locale.
À la gare d’Aix les Bains, un taxi accepte la course nous menant au-dessus de la ville, dans un lieu à moitié isolé.
À moitié seulement, car le gite est loué par un paysan qui habite la ferme voisine de la maison qu’il loue.
Notre taxi doit passer devant la ferme avant de s’arrêter devant le chalet en bois qui sera notre lieu de villégiature pour 3 semaines, le paysan est appuyé à sa barrière, je croise son regard, cet homme dégouline de vulgarité.
Ses fringues sont crades, cela se voit à distance et malgré la fenêtre du taxi fermée, il pue la crasse et la sueur mal lavée.
Pour compléter le tableau, il a sur sa tête une casquette qui doit être visée depuis des années, il lui manque la clope et la baguette pour être un parfait bidochon.
Le taxi s’arrête devant le chalet, je descends, je vois notre homme ouvrir sa barrière et venir vers nous.

• C’est vous qu’avez loué mon chalet, les services de nettoyage sont venus le mettre en état, voilà les clefs, bon séjour.

Vu de près, j’avais raison, l’odeur est là, me rebutant, mais ce que la distance m’avait caché ce sont ses yeux perçants, j’ai l’impression d’être déshabillée, même si je porte simplement un short en jean et un débardeur décolleté cachant le minimum de mes seins.
Je me surprends à sentir mon entrecuisse s’humidifier, cela m’arrivait étant jeune.
Dès que j’ai été dépucelée, j’ai eu quelques amants avant de rencontrer Pierre et de devenir une femme sérieuse.
Et le paysan poursuit :
• Installez-vous, à 18 heures, venez à la ferme, je vous offrirai l’apéro, je vous donnerai de quoi crouter ce soir.

Il m’apparaît plus sympathique qu’au premier abord, la seule chose qui me chagrine, c’est qu’il me regarde comme si j’étais une de ses bêtes s’apprêtant à la conduire au marché.
J’allais avoir de la compassion pour cet homme, certainement plus vieux que nous quand je le vois se gratter les couilles en mettant sa main dans sa poche de pantalon en velours.
Je parierais que sa poche est percée et qu’il est sans caleçon, est-il possible qu’il se masturbe en faisant ce geste, je vais éviter de me poser des questions qui de toute façon resteront sans réponse.
Il s’éloigne, nous montons sur la terrasse, il y a une table et quatre chaises en bois, je me vois bien déjeuner avec ce paysage magnifique les matins où nous serons au chalet.
Pierre a une qualité qui peut vite devenir un problème quand on le subit, il planifie tout.
Dans le train il m’a montré les trois premiers jours de notre séjour, trois jours de marche dans les sentiers environnants tracés sur sa carte topographique.
Pour dormir on se démerdera comme il dit, Albert, le voisin, c’est le nom que nous a donné l’agence quand j’ai loué, Albert donc semble avoir le même langage imagé que lui.
Une fois entrés, on fait le tour du propriétaire, si Albert est peu soigné, le chalet est nickel, spartiate, mais nickel.

• Viens là, toi, si nous essayons le lit, te voir dans ton petit short m’émoustille
Il vient derrière moi, me prend dans ses bras, sa main venant directement se poser sur ma chatte.
Il y a bien longtemps qu’un tel geste de sa part m’était refusé, je tourne la tête et je lui offre ma bouche, que pourrait aussi sentir la bouche d’Albert, j’ai eu le temps de voir ses dents, elles m’ont paru saines.
Mais je suis bête pourquoi cette pensée pour cet homme alors que le mien vient de glisser sa main dans mon short, se glissant dans ma petite culotte et atteignant ma chatte, je dois faire une fixation.
Je suis aux anges, j’ai accepté toutes ses marches pour revivre nos moments de folie de nos premiers émois, il trouvait toujours quelque chose pour m’épater, jusqu’au moment où il s’est mis à tirer de petits coups rapides.
Il me joue le grand jeu, me conduit vers le lit, nos vêtements tombent, j’écarte mes cuisses, sa langue se souvient que j’ai un clito, il est obligé de le chercher entre mes grandes lèvres, longues et un peu charnues.
Mon bouton n'est pas grand, mais très dur et très sensible, il le sait.
Je suis lisse, je me fais épiler régulièrement, ça lui permet de le trouver plus facilement, j’avais oublié la sensation procurée par une langue tournoyant au plus profond de moi.
Est-ce l’altitude, je m’envole rapidement ayant un profond orgasme lui aussi oublié depuis des lustres.
Son corps vient sur le mien, je rêve de levrette, mais cette position du missionnaire me va, inutile de couper le charme, quand il entre, je regrette un peu son sexe normal.
Albert a-t-il un gros sexe ?
Quand il avait sa main dans sa poche, j’ai eu l’impression qu’une grosse bosse déformait son pantalon.
Je suis folle, j’ai la bite de mon homme dans mon vagin et je pense à cet homme qui m’avait rebuté au premier regard, il faut que je le chasse de mon esprit et que je me concentre.
Peu de temps, car si la langue de Pierre m’a fait jouir très vite, le sexe de Pierre se déverse en moi avec un grand cri de plaisir, me laissant au bord du chemin.
Pour compléter le tableau, en vrai bof, il se lève, se gratte les couilles enfile son pantalon et quitte la chambre alors que j’aurais voulu qu’il me prenne dans ses bras, que je me love le long de son corps, allant même jusqu’à un second round.
Une chose est bonne dans tout ce marasme qu’est ma vie, le lit est bon, je m’endors.

• Pierre, tu es là !

Je regarde par la fenêtre du chalet, je le vois qui se promène le long du chemin menant dans les alpages, je me souviens de la carte, de ce qu'il disait que nous partirions demain à l’aube c’est par là que nous partirons pour nos trois jours de marche.
Je le vois manger des mûres, le chemin fait un coude, il disparaît à ma vue, je vais aller à la douche, ma chatte poisse de son sperme, j’entre dans le bac, il y a un mitigeur, il fait chaud, j’aime l’eau froide sur moi.
J’ouvre, très rapidement l’eau devient chaude très chaude.

• Simone, Pierre vous êtes là.
• Ah !

La voix m’a surprise, j’ai fait un faux mouvement et je tombe dans la douche, me faisant énormément mal à une cheville.

• Que t’arrive-t-il Simone, merde t’es tombée dans la douche, j’avais pourtant dit à Fred de mettre un tapis anti-dérapant, il va m’entendre ce con de plombier. J’étais justement venu vous dire que Fred avait inversé l’arrivée d’eau chaude et froide au mitigeur.
Attends, j’arrête l’eau, tu vas être cuite comme un homard, t’es comme moi, tu aimes les douches froides, là tu as ouvert sur le maximum du chaud.

J’essaye de me redresser une fois l’eau coupée, je me ramasse lamentablement, impossible de poser le pied au sol, j’ai trop mal.

• Attends, je vais t’aider, je sais t’es à poil, j’en ai vu d’autres, dès aussi bien gaulées que toi, si je te racontais ma vie...
C’est bien, te voilà debout, passe ce peignoir, si ton mâle arrive, tu seras plus décente.

Trempée, sautant sur ma jambe valide, soutenue par Albert, nous nous dirigeons vers la salle à manger, principalement sur le canapé où il m’installe.
Tout le long dès quelques mètres à franchir, son bras passer derrière mon dos, sa main se pose sur mon sein, mon mamelon est en pleine forme, il me brûle même et surement pas à cause de l’eau.
Il faut dire que j'ai une poitrine de femme mure, des seins en poire, en fonction des soutiens gorges, je mets du 90D ou du 95C.

• Fais-moi voir, je suis rebouteux et un peu guérisseur, il y a un toubib au village, la plupart des gens d’ici viennent vers moi lorsqu’ils ont un problème, je vais même voir leurs bêtes quand l’une d’elles se fait mal aux pattes.
• Voyons, foulure classique, je vais te remettre ça en place.
• Monsieur Albert, que faites vous à genoux devant ma femme.
• Tout doux mon brave, je venais vous dire que l’eau sur le mitigeur de la douche était mal montée, Fred va passer comme d’habitude selon son bon vouloir, il est le seul dans la région et il en profite.
Quand je suis arrivé, votre femme étant tombée sous la douche, elle a pu se traîner jusqu’ici, je suis rebouteux, je vais lui remettre sa cheville en place.
• Aïe, vous m’avez fait horriblement mal, vous auriez pu me prévenir.
• Simone, c’est un vrai pro, remettre une cheville en place sans prévenir le patient afin qu’il ait un mouvement naturel, merci monsieur Albert, nous vous sommes redevables.
• Appelle-moi Albert, comme Simone, tu as une bande que je lui immobilise sa cheville.
• Oui, j’ai une mallette de survie, nécessaire quand on fait de la randonnée surtout en montagne, je vais la chercher.

Quand il m’a remis ma cheville, mon peignoir s’est légèrement ouvert, Albert semble avoir une vue plongeante sur ma chatte, je mouille.
Pierre revient, Albert me bande la cheville, avant son retour, j’ai refermé mon peignoir, ce vieux cochon en a assez vu.

• Aviez-vous prévu une balade en montagne demain, ça va être difficile, bien que je l’aie remise en place, deux, trois jours immobilisés seront nécessaires, même si tu peux poser ton pied parterre.
• Oui, nous allions partir faire une rando de trois jours, nous allons reporter.
• Mon chéri part faire cette première balade seul, de toute façon, je suis crevée de mon année de travail, profite de tes soirées pour nous concocter un autre parcours que nous ferons quand je serais remise.

Cette prise de décision devait bouleverser ma vie, mais c’est une autre histoire…

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