COLLECTION TRIOLISME. Incroyable (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION TRIOLISME. Incroyable (1/2)
- Regarde frérot, mâle ou femelle sous ce costume de Dingo et Clarabelle !
- Pourquoi pas femelle et femelle ou mâle et mâle ?
C’est à une fête costumée où je suis venu avec mon copain Fred que nous nous posons la question.
Tant que ces zozos seront sous ces costumes avec leur grosse tête, Fred et moi serons dans l’incapacité d’avoir une réponse à notre question.
Pour ma part, j’ai un costume de D’Artagnan et lui en toubib, domaine où il fait ses études.
Pour ma part, je suis en dernière année d’architecture et je viens de finir mes derniers examens attendant de rentrer dans le cabinet de notre père où je pense prendre sa succession.
- Aller Fred, chacun pour soi, bonne chance, j’espère que tu trouveras chaussure à ton pied.
Une fois dans une soirée, nous nous étions rapprochés de deux filles, sans le savoir nous avions jeté notre dévolue sur la même fille, nous aimons les blondes.
L’une l’était, l’autre non.
J’ai emporté le morceau bien que cette jeune femme ait un corps très harmonieux et notre amitié a failli en être définitivement brisée.
Depuis chacun de son côté, Fred est un tombeur et moi aussi.
Boudin, boudin, boudin, rien que des boudins.
Un verre en main je sors sur la terrasse de ce pavillon de banlieue où a lieu la fête.
Il y a des marches, pour descendre dans le jardin, Dingo est là assise.
Assise, car elle a enlevé sa tête, quelle a posé à ses côtés et regarde la lune briller.
- Je peux m’asseoir ?
- Oui, cet escalier est à tout le monde.
Putain qu’il fait chaud dans ce costume, Virginie a toujours des plans foireux.
Foireux, mais blonde avec un visage d’ange.
J’engage la conversation, 23 ans, maxi, soyons large 25 ans.
- Quel est ton nom ?
- Rosy, j’ai 24 ans.
- Que fais-tu, es-tu encore étudiante ?
- Non, je suis institutrice dans une maternelle grande section.
Je prépare les petits à bien s’adapter à la grande école l’an prochain.
De fil en aiguille, nous sympathisons.
La soirée semble pouvoir être prolifique.
- Danses-tu ?
- Avec ce costume, tu rigoles, j’ignore où est partie Clarabelle, sinon je lui aurais demandé de me ramener.
- J’ai ma voiture, si tu le veux, je peux le faire.
- C’est gentil, de tout cœur, si dans le quart d’heure, ce déguisement absurde est toujours sur mon dos, je vais crever.
Je l’aide à se relever et après avoir descendu les quelques marches nous rejoignons ma voiture.
Chevaleresque, je suis D’Artagnan, je l’aide à s’installer lui tenant sa tête.
Sa tête, celle du costume, celle de Dingo.
Elle me guide et cinq minutes après nous sommes près de deux vieux pavillons mitoyens.
- Je t’offre un verre !
En temps normal, c’est le garçon qui demande si la fille veut prendre un dernier verre.
Mais dans ces temps modernes, tout est possible, même à suivre cette poupée jusqu’à son canapé.
Surtout pour poser ce crâne qui finit par être pesant.
- Peux-tu m’aider à enlever cette horrible chose ?
- Sans problème, comment dois-je faire ?
Je tire d’un côté, bref je me bats jusqu’à la voir nue, comme elle était le jour de sa naissance sous son costume.
Elle a raison, il faut être complètement dingo pour venir dans cette soirée déguisée en Dingo.
Ma nature chevaleresque à des limites, je la prends dans mes bras sans qu’elle se refuse, nos bouches se retrouvant.
Elle m’arrache mes vêtements surtout ma chemise où les boutons sont arrachés tous d’un coup.
Je la couche sur le canapé.
- Attends, je suis vierge, je veux bien que tu sois le premier, mais soit doux.
- Merci, tu verras, je serais doux, très doux.
Je le suis, millimètres par millimètre, j’en fais une femme.
24 ans, c’est rare de trouver une pucelle ayant cet âge.
- Veux-tu passer la nuit, des fois j’ai peur dans cette vieille maison.
Pourquoi refuser, comme je l’ai dit j’adore les blondes et je vois bien qu’elle s’est naturelle ?
Nous prenons un bain où elle me lave la queue.
Ses mains sur mon sexe me font rebander.
Nous nous séchons et c’est sur son lit que nous repartons pour un deuxième round.
J’ai beaucoup d’endurance et c’est naturellement qu’elle doit faire entendre à ceux de la maison voisine que j’en ai faite une femme comblée.
Je m’endors avec la petite dans mes bras.
Au moment de m’endormir, une pensée me vient, si elle le désire, cette nuit sera suivie de quelques autres.
Au matin, j’émerge, mon bras palpe les draps, seule, je suis abandonné, pourtant je sens une bonne odeur de café.
J’enfile mon boxer et je rejoins l’odeur.
J’aime me sentir libre, avec le minimum de vêtements.
Elle est là de dos à éplucher des légumes sur le plan de travail.
Sur elle, un string, rien qu’un petit string.
Je la prends dans mes bras, elle tourne, sa tête et nos langues ont le plaisir de se retrouver.
Mes mains caressent ses seins, nous les hommes, nous oublions souvent ces petits détails dont les femmes raffolent.
Demi-tour contact, je l’assois sur le plan de travail.
Le string est loin de me gêner quand ma langue entre en contact avec son clito qui réagit immédiatement.
Le clito des femmes, là encore, ma voisine qui m’a dépucelé, m’a bien fait travailler le sujet.
Je sais comment le faire rouler sous ma langue et s’il est assez proéminent, je le mordille légèrement.
Rosy me prend par la tête et me plaque littéralement sur sa chatte, son plaisir montant.
En temps normal, c’est la première fois où j’ai un rapport avec l’une d’elles que je commence par un cunnilingus jusqu’à embrasement.
Mais hier au soir ma partenaire avait tellement hâte de perdre son pucelage, que nous avons baisée sans plus de fioriture.
Je l’aide à redescendre, la retournant de nouveau et c’est le long du plan de travail que je la pénètre.
Je sens que j’ai du mal à la pénétrer, son hymen doit être encore un peu récalcitrant.
Du moins c’est la seule chose qui me vient jusqu’à son embrasement.
J’ai, moi aussi une grande jouissance même si mon sperme est moins volumineux comparé aux deux premières fois.
- Tu viens me rejoindre ce soir, il faut que je parte, mes petits chérubins m’attendent.
- Si tu veux de moi, bien sûr, j’ai passé une nuit merveilleuse.
Je t’invite au restaurant, mes parents me donnent de quoi bien vivre pendant mes études.
Eh bien, d’accord, je serais prête à 20 heures.
20 heures, elle est là dans une tenue à faire bander un saint, petit short ras la craquette et débardeur soulignant la ligne de ses seins qui, vu la fraise le marquant, doit être libre de toutes entraves.
Au volant de ma deudeuche hors d’âge, je descends pour lui ouvrir la portière et l’aider à monter.
C’est sur la place centrale que nous nous installons en terrasse profitant de la première fraîcheur liée à la tombée de la nuit.
- Qu’est-ce que tu aimes ?
- Je suis végétarienne une salade de chèvre chaud fera mon affaire.
- Pour moi, ce sera un gros steak frites avec une bouteille de bourgogne.
- Un petit Givry 1er cru ?
- C’était le vin favori d’Henri IV !
- Tu connais les vins ?
- Oui, j’allais en vacances dans ma jeunesse avec ma sœur.
- Va pour une bouteille de Givry si Henri IV y a goûté.
Le serveur part chercher la bouteille et déposer la commande en cuisine.
À la suite de ce qu’elle a dit, une question me vient.
- Tu as une sœur !
- Oui, elle est en voyage, je te la présenterais dès qu’elle sera de retour.
Je sens que mon cœur bat un peu plus fort chaque fois que je la regarde.
Quelle jolie blonde aux yeux bleus…
- Pourquoi pas femelle et femelle ou mâle et mâle ?
C’est à une fête costumée où je suis venu avec mon copain Fred que nous nous posons la question.
Tant que ces zozos seront sous ces costumes avec leur grosse tête, Fred et moi serons dans l’incapacité d’avoir une réponse à notre question.
Pour ma part, j’ai un costume de D’Artagnan et lui en toubib, domaine où il fait ses études.
Pour ma part, je suis en dernière année d’architecture et je viens de finir mes derniers examens attendant de rentrer dans le cabinet de notre père où je pense prendre sa succession.
- Aller Fred, chacun pour soi, bonne chance, j’espère que tu trouveras chaussure à ton pied.
Une fois dans une soirée, nous nous étions rapprochés de deux filles, sans le savoir nous avions jeté notre dévolue sur la même fille, nous aimons les blondes.
L’une l’était, l’autre non.
J’ai emporté le morceau bien que cette jeune femme ait un corps très harmonieux et notre amitié a failli en être définitivement brisée.
Depuis chacun de son côté, Fred est un tombeur et moi aussi.
Boudin, boudin, boudin, rien que des boudins.
Un verre en main je sors sur la terrasse de ce pavillon de banlieue où a lieu la fête.
Il y a des marches, pour descendre dans le jardin, Dingo est là assise.
Assise, car elle a enlevé sa tête, quelle a posé à ses côtés et regarde la lune briller.
- Je peux m’asseoir ?
- Oui, cet escalier est à tout le monde.
Putain qu’il fait chaud dans ce costume, Virginie a toujours des plans foireux.
Foireux, mais blonde avec un visage d’ange.
J’engage la conversation, 23 ans, maxi, soyons large 25 ans.
- Quel est ton nom ?
- Rosy, j’ai 24 ans.
- Que fais-tu, es-tu encore étudiante ?
- Non, je suis institutrice dans une maternelle grande section.
Je prépare les petits à bien s’adapter à la grande école l’an prochain.
De fil en aiguille, nous sympathisons.
La soirée semble pouvoir être prolifique.
- Danses-tu ?
- Avec ce costume, tu rigoles, j’ignore où est partie Clarabelle, sinon je lui aurais demandé de me ramener.
- J’ai ma voiture, si tu le veux, je peux le faire.
- C’est gentil, de tout cœur, si dans le quart d’heure, ce déguisement absurde est toujours sur mon dos, je vais crever.
Je l’aide à se relever et après avoir descendu les quelques marches nous rejoignons ma voiture.
Chevaleresque, je suis D’Artagnan, je l’aide à s’installer lui tenant sa tête.
Sa tête, celle du costume, celle de Dingo.
Elle me guide et cinq minutes après nous sommes près de deux vieux pavillons mitoyens.
- Je t’offre un verre !
En temps normal, c’est le garçon qui demande si la fille veut prendre un dernier verre.
Mais dans ces temps modernes, tout est possible, même à suivre cette poupée jusqu’à son canapé.
Surtout pour poser ce crâne qui finit par être pesant.
- Peux-tu m’aider à enlever cette horrible chose ?
- Sans problème, comment dois-je faire ?
Je tire d’un côté, bref je me bats jusqu’à la voir nue, comme elle était le jour de sa naissance sous son costume.
Elle a raison, il faut être complètement dingo pour venir dans cette soirée déguisée en Dingo.
Ma nature chevaleresque à des limites, je la prends dans mes bras sans qu’elle se refuse, nos bouches se retrouvant.
Elle m’arrache mes vêtements surtout ma chemise où les boutons sont arrachés tous d’un coup.
Je la couche sur le canapé.
- Attends, je suis vierge, je veux bien que tu sois le premier, mais soit doux.
- Merci, tu verras, je serais doux, très doux.
Je le suis, millimètres par millimètre, j’en fais une femme.
24 ans, c’est rare de trouver une pucelle ayant cet âge.
- Veux-tu passer la nuit, des fois j’ai peur dans cette vieille maison.
Pourquoi refuser, comme je l’ai dit j’adore les blondes et je vois bien qu’elle s’est naturelle ?
Nous prenons un bain où elle me lave la queue.
Ses mains sur mon sexe me font rebander.
Nous nous séchons et c’est sur son lit que nous repartons pour un deuxième round.
J’ai beaucoup d’endurance et c’est naturellement qu’elle doit faire entendre à ceux de la maison voisine que j’en ai faite une femme comblée.
Je m’endors avec la petite dans mes bras.
Au moment de m’endormir, une pensée me vient, si elle le désire, cette nuit sera suivie de quelques autres.
Au matin, j’émerge, mon bras palpe les draps, seule, je suis abandonné, pourtant je sens une bonne odeur de café.
J’enfile mon boxer et je rejoins l’odeur.
J’aime me sentir libre, avec le minimum de vêtements.
Elle est là de dos à éplucher des légumes sur le plan de travail.
Sur elle, un string, rien qu’un petit string.
Je la prends dans mes bras, elle tourne, sa tête et nos langues ont le plaisir de se retrouver.
Mes mains caressent ses seins, nous les hommes, nous oublions souvent ces petits détails dont les femmes raffolent.
Demi-tour contact, je l’assois sur le plan de travail.
Le string est loin de me gêner quand ma langue entre en contact avec son clito qui réagit immédiatement.
Le clito des femmes, là encore, ma voisine qui m’a dépucelé, m’a bien fait travailler le sujet.
Je sais comment le faire rouler sous ma langue et s’il est assez proéminent, je le mordille légèrement.
Rosy me prend par la tête et me plaque littéralement sur sa chatte, son plaisir montant.
En temps normal, c’est la première fois où j’ai un rapport avec l’une d’elles que je commence par un cunnilingus jusqu’à embrasement.
Mais hier au soir ma partenaire avait tellement hâte de perdre son pucelage, que nous avons baisée sans plus de fioriture.
Je l’aide à redescendre, la retournant de nouveau et c’est le long du plan de travail que je la pénètre.
Je sens que j’ai du mal à la pénétrer, son hymen doit être encore un peu récalcitrant.
Du moins c’est la seule chose qui me vient jusqu’à son embrasement.
J’ai, moi aussi une grande jouissance même si mon sperme est moins volumineux comparé aux deux premières fois.
- Tu viens me rejoindre ce soir, il faut que je parte, mes petits chérubins m’attendent.
- Si tu veux de moi, bien sûr, j’ai passé une nuit merveilleuse.
Je t’invite au restaurant, mes parents me donnent de quoi bien vivre pendant mes études.
Eh bien, d’accord, je serais prête à 20 heures.
20 heures, elle est là dans une tenue à faire bander un saint, petit short ras la craquette et débardeur soulignant la ligne de ses seins qui, vu la fraise le marquant, doit être libre de toutes entraves.
Au volant de ma deudeuche hors d’âge, je descends pour lui ouvrir la portière et l’aider à monter.
C’est sur la place centrale que nous nous installons en terrasse profitant de la première fraîcheur liée à la tombée de la nuit.
- Qu’est-ce que tu aimes ?
- Je suis végétarienne une salade de chèvre chaud fera mon affaire.
- Pour moi, ce sera un gros steak frites avec une bouteille de bourgogne.
- Un petit Givry 1er cru ?
- C’était le vin favori d’Henri IV !
- Tu connais les vins ?
- Oui, j’allais en vacances dans ma jeunesse avec ma sœur.
- Va pour une bouteille de Givry si Henri IV y a goûté.
Le serveur part chercher la bouteille et déposer la commande en cuisine.
À la suite de ce qu’elle a dit, une question me vient.
- Tu as une sœur !
- Oui, elle est en voyage, je te la présenterais dès qu’elle sera de retour.
Je sens que mon cœur bat un peu plus fort chaque fois que je la regarde.
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