COLLECTION VENGEANCE. Amour sans limite (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Amour sans limite (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Amour sans limite (1/2)
• Bonjour, Pierre, merci de nous recevoir, je te présente Gladys, ma jeune stagiaire.
Je parlais d’un dossier avec elle où tu plaidais pour la partie adverse.
Figure-toi, qu’elle est folle de tes exploits dans notre métier.
Lorsque je lui ai dit que même dans cette affaire si nous étions opposés, nous sommes de vieux amis, elle a été surprise.
Je lui ai proposé de te rencontrer et nous voilà.
• Mademoiselle, ça me fait très plaisir que vous aimiez mes prestations.
• Si je peux me permettre, c’est votre voix un soir à la télé qui m’a fasciné.
Vous faisiez le contre rendu dans l’affaire Hugo et vous étiez persuasif grâce à votre voix.
• Vous avez quel âge mademoiselle !
• 25 ans, je vais prêter serment à la fin de cette année d’études.
• En ce moment, elle est bien partie pour être la meilleure de sa génération.
• Comment mon cabinet a-t-il pu louper une telle perle !
• Je fais mon stage chez maître François, il voulait me faire signer un précontrat d’embauche, mais déjà deux cabinets souhaitent que je les rejoigne.
• Serge et Léon, ces vieux requins sont à l’affut de jeunes recrus de qualité, mais je veille au grain.
• Et si je me mettais sur les rangs, j’aurais une chance !
Alain, mon adjoint par en retraite dans deux ans, il aurait le temps de vous faire connaitre notre étude.
• Je choisirais l’offre la meilleure, bien sûr.
• Donnez-lui votre numéro de portable, si c’est pour cela que vous avez voulu venir.
• Eh ! François évite les crises de jalousie, Gladys est bien trop jeune pour nous, nous avons le double de son âge.
• Merci, monsieur Pierre, 06.00.00.00.00, appelez si vous vous mettez sur les rangs.

Gladys, magnifique blonde de 25 ans, une poitrine comme je les aime, malgré son jeune âge, bien sûr, comparé à mes 52 ans.
Contrairement à ce que dit François, concernant les vieux requins, les jeunettes, je m’en régale.
Les jeunes pucelles, déjà dépucelées, mais jolies comme des cœurs, de nombreuses fois, je les couche dans mon lit.
Cette jeune femme me fait envie, elle m’intéresse.
Elle donne l’impression d’avoir des scrupules, mais souvent, elles vous tombent toutes cuites dans vos bras.
Après 30 ans, une femme est bonne pour la retraite.
Je sais, je suis un gros macho, je l’ai toujours été surtout dans ma jeunesse.
Gladys a de faux airs d’une jeune femme que j’ai connus et avec lesquels j’ai fait tout ce qui était possible de faire pour des jeunes.
Bien sûr, le sexe, je l’ai même amenée à partouzer alors que c’était une jeune femme très pieuse à nos débuts.
Fumette et même pour finir cocaïne, mais nous métrisions.
D’ailleurs nul besoin de cure de désintoxication, quelques mois sans sortir et je me suis sevré.
Diplôme en poche, j’ai ouvert mon cabinet et à ce jour, je suis comme celui de François, l’un des touts meilleurs cabinets d’avocats sur la place de Paris.

Je sais que des poulettes de ce calibre sont très prisées par les coureurs de jupons comme moi.
Deux jours après, nous sommes un vendredi, il est 14 heures quand je compose son numéro.

• Gladys à l’appareil, que puis-je pour vous ?
• Diner avec moi demain soir, je voudrais parler contrat avec vous !
• Pierre, c’est toi, pardon, je vous ai tutoyé.
• Continuez Gladys, si un jour vous me secondez, comme avec Alain au début, ça a été dur, mais nous y sommes arrivés.
Autant commencer tout de suite.
• Alors, je suis d’accord.
• Pour me tutoyer ?
• Et aussi pour le restaurant, je te donne mon adresse, j’habite une petite chambre de bonne dans le Quartier Latin.
Je suis loin d’avoir de gros moyens.
• Si nous collaborons, vous aurez largement de quoi vivre, vous pourrez avoir une vie de rêve.
• J’aime la vie simple, maman m’a élevé dans le respect des règles.
• Elle est toujours de ce monde !
• Si tu veux bien, on en reparlera demain, monsieur François m’a confié un dossier afin que je démêle certains éléments et je voudrais avoir fini avant ce soir.
• Aucun problème, 21 heures devant chez toi, rue Rollin.

Je suis à l’heure avec un taxi.
À Paris, les voitures, j’en ai une dans un parking que je prends simplement lorsque je me rends à Cannes dans ma villa dernièrement achetée.
L’affaire d’un sénateur accusé de corruption que j’ai défendu au point de renverser l’accusation, m’a fait gagner tellement d’argent entre le premier procès et l’appel que nous avons gagné.
Le procureur a fait appel et j’ai là encore gagné.
En plus d’une grosse sommes d’argent, j’ai gagné trois gros contrats dont un député qui habituellement se servait de l’étude de Léon, mon concurrent.
Bref, le genre d’affaire qui vous place comme le meilleur sur le marché des avocats parisiens.

• Bonjours Gladys, tu es radieuse.
Monte, j’ai retenu une table au restaurant Henri IV à Saint-Germain-en-Laye.
• Le restaurant Henri IV, j’en ai entendu parler, tu veux m’impressionner !

C’est elle qui m’impressionne, deux bouts de chiffons, une paire de chaussures, des boucles blondes bien coiffées et c’est une bombe que j’installe à une table dans ce restaurant prestigieux.
Un détail, j’ai toujours l’impression de déjà-vu sans être capable de dire pourquoi j’ai dû voir ces derniers temps une femme lui ressemblant ce qui fausse mon jugement.

• Au téléphone, je t’ai posé une question si ta maman était toujours de ce monde.
• C’était difficile par téléphone de t’expliquer que maman m’a quitté lorsque j’avais 12 ans.

Ce qu’elle me confie est émouvant.
Sa maman a contracté une maladie incurable et après sa mort jusqu’à ses dix-huit ans, elle a été placée dans des familles d’accueil.
C’est en travaillant d’arrache-pied et avec la chance d’être dans une famille d’enseignants qu’elle était ce qu’elle est aujourd’hui une première de la classe.
Je crois que c’est gagné pour la mettre dans mon lit, quand par-dessus la table, elle accepte de me mettre sa main dans la mienne.

• Pierre, je sens que tu as du sentiment pour moi, je dois t’avouer quelque chose.

C’est dans une boîte de nuit au Quartier Latin, près de chez elle, que nous dansons très soudé l’un à l’autre.

• Sur son lit de mort, maman m’a fait jurer d’être la femme d’un seul homme, celui qui me passera la bague aux doigts.
Je sens que je te fais envie, je sens ton sexe bandé le long de mon ventre.
Inutile de penser que devant chez moi, tout à l’heure, je vais te demander de monter boire un dernier verre.

J’ai raccompagné Gladys, elle m’a fait un petit signe de la main et a passé le porche de son immeuble.

• Gladys, voulez-vous prendre Pierre ici présent comme légitime époux.
• Oui, je le veux !
• Et vous monsieur Pierre.
• Oui, je le veux.

Qui aurait dit que moi le vieux célibataire ayant toujours juré de bien me garder du mariage, je viens d’épouser Madame Gladys, jeune femme de presque 26 ans.
Gladys, ma nouvelle employée au cabinet après son serment de défendre la veuve et l’orphelin.
Eh oui, après bien des essais pour la mettre dans mon lit, j’ai fini par l’emmener au Henri IV pour mettre un genou au sol et lui offrir une bague achetée chez le joaillier Courbet place Vendôme.
Mon cabinet est à deux pas derrière l’Opéra.

• Gladys, je te prends dans mes bras pour te faire franchir la porte de notre chambre nuptiale et te coucher sur ce lit de mille pétales de roses blanches.

Et dire, que c’est moi qui fais ça.

• Gladys, permettez-vous que je vous prenne votre vertu.
• Cela faisait partie du contrat de mariage, monsieur mon mari.
• Je vais entrer en toi doucement pour éviter de souffrir.

C’est ma femme qui s’est empalée sur moi pour la première fois de sa jeune vie.

• Chérie, laisse-moi travailler, j’ai une audience demain et je suis affreusement en retard.
• Monsieur mon mari, vous avez voulu épouser une jeunette après l’avoir poursuivi de vos assiduités.
Alors, il faut assurer, j’ai soif d’amour de notre amour et de ton sexe en moi.

Cette fois, c’est sur mon bureau, ses seins posés sur mon sous-main en cuir rouge.
Nos employés sont partis et nous sommes seules.

• Mon chéri, depuis combien de temps ta verge est telle sortie de moi pour la dernière fois.
• À peine trois heures mon amour, tu es folle, tu vas me tuer.
• Mais non mon cœur, seulement te faire jouir pendant que moi aussi je jouirais.

Et ça continue, même la nuit.
Je sens sa bouche sur ma verge, j’ai épousé une pucelle, et je retrouve la reine des suceuses de ma seule queue.
Agile, comme une chatte, elle arrive encore une fois à me faire bander et c’est elle qui mène notre danse d’amour.
Je vais finir par espérer qu’elle prenne un amant après deux ans de ce traitement moi un homme de plus de cinquante ans.

• Ha, ma chérie, appelle le médecin, ça me sert au cœur.

Je m’écroule d’une seule masse.
Je sens ma vie m’échapper...

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