COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (5/6)
Chapitre V, saurons-nous le fin mot de cette histoire ?
En attendant Marie-Madeleine, celle qui aurait pu être ma vraie belle-mère quitte notre chambre, ce demandant certainement ce que je veux encore leur faire subir.
Je suis nue sur notre lit comme Aïcha aussi, elle me masturbe d’une main semblant faire voir à celle qui l’a élevé que mon sexe est son appartenance.
Joseph et Marie-Madeleine arrive en chemise de nuit, comme les hommes en portaient il y a bien des années.
• Que nous voulez-vous encore, m’enculer, vous l’avez déjà fait avec ma femme et ma fille ?
• Non, les culs mâles je les laisse à d’autres, le Casino Royal va prendre fin, Joseph, rouge ou noir !
• Joseph, à son regard, Pierre est loin de jouer, dit lui rouge ou noir qu’on en finisse.
• Rouge !
• Eh toi, Marie Madeleine rouge ou noir !
• Noir !
• Aïcha demande leur de se mettre d’accord, il me faut la même réponse pour les deux.
Aïcha me regarde se demandant certainement où je veux en venir.
• Bon, décidez-vous, noir ou rouge, j’ai envie de m’occuper de la queue de l’homme de ma vie, vous finissez par nous emmerder.
Allez, je décide pour vous, « noirs ».
• Ma chérie, j’ai entendu le nom que Pierre t’a donné, il nous a dit avoir visité notre maison de façon frauduleuse.
Il a dû tomber sur la gourmette que ta vraie mère t’avait donnée avant de t’abandonner.
J’ai bien compris que ce garçon est celui qui a tiré un coup du pistolet de ton père étant dans la boîte à gants de notre traction.
Nous venions de finir de donner l’argent à la directrice et à prendre les papiers lorsque le coup est parti.
Nous sommes sortis avec toi et nous avons vu un jeune garçon se faire vertement emmener vers l’arrière de l’orphelinat par l’adjoint de la mère supérieure.
Elle a eu peur que le coup de feu ait été entendu dans le voisinage et que quelqu’un appelle la maréchaussée.
Nous avons repris notre voiture et nous sommes rentrés à Paris, depuis nous t’avons élevé dans la foi chrétienne ma chérie.
• Tu connais la chanson, « c’est une belle histoire, c’est une belle vie » de Michel Fugain !
• Oui, pourquoi ma fille je l’ai aimé de toutes les fibres de mon corps même si c’est une autre qui l’a mise au monde ?
• Salope, tu te permets de parler d’amour, alors que tu viens de dire que tu avais acheté cette petite fille, comme tu achètes du jambon, à la charcuterie.
• Que sais-tu de nos motivations, nous voulions un enfant et rapidement nous nous sommes aperçus malgré notre obstination que j’étais incapable de procréer ?
• Tu te fous vraiment de notre gueule, attends, je te montre quelque chose, on a toujours tendance à garder de vieux souvenir dans les tiroirs de sa chambre.
Je me penche manquant d’éjaculer malgré mes exploits de la nuit quand la main d’Aïcha m’a tiré sur la verge.
Je prends dans mon sac une lettre que je me mets à lire.
« Cher Joseph, chère Marie-Madeleine, j’ai fait des recherches, il existe un orphelinat où la mère supérieure vous préviendra quand un bébé blond, plutôt une fille, lui sera confié.
Ça vous coutera 10 000 francs et cet enfant sera à vous sans passer par les tracas de l’administration.
Je comprends ta femme refusant de se retrouver enceinte, ce qui déformerait son joli corps. »
• Marie-Madeleine, c’était ton amant pour qu’il connaisse ton joli corps.
Un orphelinat avec des sœurs qui s’occupaient de nous ?
Je voyais souvent des curés venir, c’était l’un de tes amants !
Joseph tu savais que ta femme te cocufiait avec des hommes d'Église !
À non, je sais, tu es pédé comme un phoque et je t’ai fait voir que j’étais au courant.
Vous vous êtes payé un bébé blond et comme elle s’appelait « Aïcha », s’était insupportable pour vous alors ce curé vous a aidé à changer son identité.
Bonsoir, souvenez-vous, la banque gagne toujours, il aurait fallu dire rouge.
Je vous donne jusqu’à la fin de la mâtiner pour réunir quelques affaires.
Voici la clef d’une maison que tu connais bien Marie-Madeleine, c’est celle de ta famille dans le Cantal.
Ton grand-père et ton père était éleveur de porc dans cette ferme.
Je l’ai racheté et vous allez y finir votre vie.
Marie-Madeleine, tu vas y retrouver une grande partie de ceux avec qui tu as baisé dans ta jeunesse.
C’est fou ce que les langues peuvent se délier après quelques verres de la piquette locale.
Il m’a été dit qu’un jour un homme avec une traction était passé dans votre village et que l’on t’avait vu monter et prendre la direction de Paris.
Tous pensent que tu es partie faire la pute à la capitale, non tu étais venue jouer à la grande dame en te cachant derrière la religion.
Pour vivre et l’éducation que vous avez donnée à celle qui va devenir ma femme, je vous alloue un pécule de 2 000 € par mois.
• Que veux-tu que nous fassions avec 2 000 €, tu veux que je vive dans la misère comme je l’étais avant de partir ?
• Tu te faisais baiser gratuit dans ta jeunesse, tu as des beaux restent, trouve-toi un ou deux clients et tu amélioreras ton ordinaire.
• Je suis sûr que Joseph sera regardant comme il l’était quand tu as monté ton coup avec Timoté et son eunuque de fils.
De plus, voici les clefs de ta traction Joseph, je l’ai retrouvé et je l’ai acheté.
Tu remarqueras que c’est la même, tu verras la réparation que tu as dû faire faire après mon coup de feu.
Je les vois partir la queue basse, je reprends Aïcha dans mes bras, je suis loin de lui avoir appris tout ce qu’elle doit savoir en amour.
• Ma chérie, je t’emmène en voyage en Normandie.
Ça fait quelques jours que nous vivons d’amour et d’eau fraîche mangeant simplement dans les plus grandes maisons parisiennes.
Nous prenons la route avec ma chérie, Aïcha et ma deudeuche.
• Bonjours monsieur, dame, venez dans mon bureau, avec mon adjoint je vais voir les modalités pour vous trouver un bébé conforme à vos besoins.
Un instant, j’ai peur que l’on me reconnaisse, pour Aïcha, peu de risques, mais moi j’ai vingt-cinq ans et j’en avais dix-huit lorsque j’ai été fichu dehors de l’orphelinat.
Pour venir et donner le change, j’ai fait pousser ma barbe que j’ai teinte ainsi que mes cheveux en roux, j’embraye rapidement.
• Contrairement à notre voiture qui semble un peu pouilleuse, mais c’est une pièce de famille, nous sommes blindés questions frics.
Vu mon âge avançant, je veux un enfant, mais Marie a peur d’accoucher.
Une amie en commun ayant eu recours à vos services nous a dit qu’avec vous l’adoption était très rapide et avec peu de formalités.
• Je peux savoir qui vous a donné ce renseignement !
• Il y a longtemps, Marie-Madeleine et Joseph.
• Certes, de vieux amis, nous avons fait affaire avec eux, voilà notre tarif, c’est sans appel, à prendre ou à laisser, 35 000 €.
• 35 000 €, vous m’avez vendu à ceux que je croyais être mes parents pour 10 000 francs, un peut plus de 2 000 €, vos tarifs ont vachement augmenté.
Un peu plus de 17 fois la mise, mon père empruntait à des taux usuraires, vous vous avez plusieurs longueurs d’avance.
Disant cela, Aïcha plonge sa main dans mon sac posé entre nous sur les chaises où ces escrocs nous ont fait assoir.
Elle en ressort le révolver que j’ai récupéré avec la gourmette et l’acte de naissance de ma petite amie.
• Vous voyez cette arme, parfaitement chargée, c’est un Luger 1901 de l’armée allemande.
Vous l’avez déjà vu, Pierre mon ami ici présent a tiré un coup dans le toit de la voiture de ceux que pendant dix-huit ans, j’ai pris pour mes parents naturels.
C’est à cause de vous que j’ai perdu mes origines, je suis Aïcha, le bébé que vous avez vendu à Marie-Madeleine et Joseph.
• Restez calme mademoiselle, ce sont de bons parents, j’en suis persuadée, même si c’est une autre qui vous a porté sur cette terre.
C’est moi qui ai montré à Aïcha le révolver avant de partir en le mettant dans le sac de sport.
• De bon parent, grâce à Pierre qui est intervenu, aujourd’hui 25 décembre, à cette heure, je serais mariée avec Eustache.
Ce soir pour ma nuit de noce comme son fils est un eunuque, c’est Timoté, le père qui m’aurait défloré.
• Mademoiselle, ça peut arriver, que des parents soient en dessous de tout.
Ou pouvez-vous nous imputer ces travers.
• Assez rigoler, mon compagnon, c’est Pierre que vous enfermiez et que vous priviez de nourriture pour mieux vous enrichir.
Mettez-vous à poil tous les deux, vite, j’ai la gâchette facile et ces vieilles armes sont très sensibles.
Demandez-lui le toit de la voiture de ceux que je pensais être mes parents s’en souviens encore.
• C’est vous, vous nous avez emmerdés pendant des années et maintenant vous venez nous menacer jusque dans nos bureaux !
• Je laissais faire ma compagne, mais puisque tu m’interpelles Thénardier, je vais reprendre l’arme et de vous demander de suivre la directive qu’elle vous a donnée.
J’ai pris un ton menaçant et avec mon arme au poing, je dois être persuasif, car la mère supérieure se lève et elle enlève sa tenue de bonne sœur...
En attendant Marie-Madeleine, celle qui aurait pu être ma vraie belle-mère quitte notre chambre, ce demandant certainement ce que je veux encore leur faire subir.
Je suis nue sur notre lit comme Aïcha aussi, elle me masturbe d’une main semblant faire voir à celle qui l’a élevé que mon sexe est son appartenance.
Joseph et Marie-Madeleine arrive en chemise de nuit, comme les hommes en portaient il y a bien des années.
• Que nous voulez-vous encore, m’enculer, vous l’avez déjà fait avec ma femme et ma fille ?
• Non, les culs mâles je les laisse à d’autres, le Casino Royal va prendre fin, Joseph, rouge ou noir !
• Joseph, à son regard, Pierre est loin de jouer, dit lui rouge ou noir qu’on en finisse.
• Rouge !
• Eh toi, Marie Madeleine rouge ou noir !
• Noir !
• Aïcha demande leur de se mettre d’accord, il me faut la même réponse pour les deux.
Aïcha me regarde se demandant certainement où je veux en venir.
• Bon, décidez-vous, noir ou rouge, j’ai envie de m’occuper de la queue de l’homme de ma vie, vous finissez par nous emmerder.
Allez, je décide pour vous, « noirs ».
• Ma chérie, j’ai entendu le nom que Pierre t’a donné, il nous a dit avoir visité notre maison de façon frauduleuse.
Il a dû tomber sur la gourmette que ta vraie mère t’avait donnée avant de t’abandonner.
J’ai bien compris que ce garçon est celui qui a tiré un coup du pistolet de ton père étant dans la boîte à gants de notre traction.
Nous venions de finir de donner l’argent à la directrice et à prendre les papiers lorsque le coup est parti.
Nous sommes sortis avec toi et nous avons vu un jeune garçon se faire vertement emmener vers l’arrière de l’orphelinat par l’adjoint de la mère supérieure.
Elle a eu peur que le coup de feu ait été entendu dans le voisinage et que quelqu’un appelle la maréchaussée.
Nous avons repris notre voiture et nous sommes rentrés à Paris, depuis nous t’avons élevé dans la foi chrétienne ma chérie.
• Tu connais la chanson, « c’est une belle histoire, c’est une belle vie » de Michel Fugain !
• Oui, pourquoi ma fille je l’ai aimé de toutes les fibres de mon corps même si c’est une autre qui l’a mise au monde ?
• Salope, tu te permets de parler d’amour, alors que tu viens de dire que tu avais acheté cette petite fille, comme tu achètes du jambon, à la charcuterie.
• Que sais-tu de nos motivations, nous voulions un enfant et rapidement nous nous sommes aperçus malgré notre obstination que j’étais incapable de procréer ?
• Tu te fous vraiment de notre gueule, attends, je te montre quelque chose, on a toujours tendance à garder de vieux souvenir dans les tiroirs de sa chambre.
Je me penche manquant d’éjaculer malgré mes exploits de la nuit quand la main d’Aïcha m’a tiré sur la verge.
Je prends dans mon sac une lettre que je me mets à lire.
« Cher Joseph, chère Marie-Madeleine, j’ai fait des recherches, il existe un orphelinat où la mère supérieure vous préviendra quand un bébé blond, plutôt une fille, lui sera confié.
Ça vous coutera 10 000 francs et cet enfant sera à vous sans passer par les tracas de l’administration.
Je comprends ta femme refusant de se retrouver enceinte, ce qui déformerait son joli corps. »
• Marie-Madeleine, c’était ton amant pour qu’il connaisse ton joli corps.
Un orphelinat avec des sœurs qui s’occupaient de nous ?
Je voyais souvent des curés venir, c’était l’un de tes amants !
Joseph tu savais que ta femme te cocufiait avec des hommes d'Église !
À non, je sais, tu es pédé comme un phoque et je t’ai fait voir que j’étais au courant.
Vous vous êtes payé un bébé blond et comme elle s’appelait « Aïcha », s’était insupportable pour vous alors ce curé vous a aidé à changer son identité.
Bonsoir, souvenez-vous, la banque gagne toujours, il aurait fallu dire rouge.
Je vous donne jusqu’à la fin de la mâtiner pour réunir quelques affaires.
Voici la clef d’une maison que tu connais bien Marie-Madeleine, c’est celle de ta famille dans le Cantal.
Ton grand-père et ton père était éleveur de porc dans cette ferme.
Je l’ai racheté et vous allez y finir votre vie.
Marie-Madeleine, tu vas y retrouver une grande partie de ceux avec qui tu as baisé dans ta jeunesse.
C’est fou ce que les langues peuvent se délier après quelques verres de la piquette locale.
Il m’a été dit qu’un jour un homme avec une traction était passé dans votre village et que l’on t’avait vu monter et prendre la direction de Paris.
Tous pensent que tu es partie faire la pute à la capitale, non tu étais venue jouer à la grande dame en te cachant derrière la religion.
Pour vivre et l’éducation que vous avez donnée à celle qui va devenir ma femme, je vous alloue un pécule de 2 000 € par mois.
• Que veux-tu que nous fassions avec 2 000 €, tu veux que je vive dans la misère comme je l’étais avant de partir ?
• Tu te faisais baiser gratuit dans ta jeunesse, tu as des beaux restent, trouve-toi un ou deux clients et tu amélioreras ton ordinaire.
• Je suis sûr que Joseph sera regardant comme il l’était quand tu as monté ton coup avec Timoté et son eunuque de fils.
De plus, voici les clefs de ta traction Joseph, je l’ai retrouvé et je l’ai acheté.
Tu remarqueras que c’est la même, tu verras la réparation que tu as dû faire faire après mon coup de feu.
Je les vois partir la queue basse, je reprends Aïcha dans mes bras, je suis loin de lui avoir appris tout ce qu’elle doit savoir en amour.
• Ma chérie, je t’emmène en voyage en Normandie.
Ça fait quelques jours que nous vivons d’amour et d’eau fraîche mangeant simplement dans les plus grandes maisons parisiennes.
Nous prenons la route avec ma chérie, Aïcha et ma deudeuche.
• Bonjours monsieur, dame, venez dans mon bureau, avec mon adjoint je vais voir les modalités pour vous trouver un bébé conforme à vos besoins.
Un instant, j’ai peur que l’on me reconnaisse, pour Aïcha, peu de risques, mais moi j’ai vingt-cinq ans et j’en avais dix-huit lorsque j’ai été fichu dehors de l’orphelinat.
Pour venir et donner le change, j’ai fait pousser ma barbe que j’ai teinte ainsi que mes cheveux en roux, j’embraye rapidement.
• Contrairement à notre voiture qui semble un peu pouilleuse, mais c’est une pièce de famille, nous sommes blindés questions frics.
Vu mon âge avançant, je veux un enfant, mais Marie a peur d’accoucher.
Une amie en commun ayant eu recours à vos services nous a dit qu’avec vous l’adoption était très rapide et avec peu de formalités.
• Je peux savoir qui vous a donné ce renseignement !
• Il y a longtemps, Marie-Madeleine et Joseph.
• Certes, de vieux amis, nous avons fait affaire avec eux, voilà notre tarif, c’est sans appel, à prendre ou à laisser, 35 000 €.
• 35 000 €, vous m’avez vendu à ceux que je croyais être mes parents pour 10 000 francs, un peut plus de 2 000 €, vos tarifs ont vachement augmenté.
Un peu plus de 17 fois la mise, mon père empruntait à des taux usuraires, vous vous avez plusieurs longueurs d’avance.
Disant cela, Aïcha plonge sa main dans mon sac posé entre nous sur les chaises où ces escrocs nous ont fait assoir.
Elle en ressort le révolver que j’ai récupéré avec la gourmette et l’acte de naissance de ma petite amie.
• Vous voyez cette arme, parfaitement chargée, c’est un Luger 1901 de l’armée allemande.
Vous l’avez déjà vu, Pierre mon ami ici présent a tiré un coup dans le toit de la voiture de ceux que pendant dix-huit ans, j’ai pris pour mes parents naturels.
C’est à cause de vous que j’ai perdu mes origines, je suis Aïcha, le bébé que vous avez vendu à Marie-Madeleine et Joseph.
• Restez calme mademoiselle, ce sont de bons parents, j’en suis persuadée, même si c’est une autre qui vous a porté sur cette terre.
C’est moi qui ai montré à Aïcha le révolver avant de partir en le mettant dans le sac de sport.
• De bon parent, grâce à Pierre qui est intervenu, aujourd’hui 25 décembre, à cette heure, je serais mariée avec Eustache.
Ce soir pour ma nuit de noce comme son fils est un eunuque, c’est Timoté, le père qui m’aurait défloré.
• Mademoiselle, ça peut arriver, que des parents soient en dessous de tout.
Ou pouvez-vous nous imputer ces travers.
• Assez rigoler, mon compagnon, c’est Pierre que vous enfermiez et que vous priviez de nourriture pour mieux vous enrichir.
Mettez-vous à poil tous les deux, vite, j’ai la gâchette facile et ces vieilles armes sont très sensibles.
Demandez-lui le toit de la voiture de ceux que je pensais être mes parents s’en souviens encore.
• C’est vous, vous nous avez emmerdés pendant des années et maintenant vous venez nous menacer jusque dans nos bureaux !
• Je laissais faire ma compagne, mais puisque tu m’interpelles Thénardier, je vais reprendre l’arme et de vous demander de suivre la directive qu’elle vous a donnée.
J’ai pris un ton menaçant et avec mon arme au poing, je dois être persuasif, car la mère supérieure se lève et elle enlève sa tenue de bonne sœur...
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