COLLECTION VENGEANCE. Crime parfait (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Crime parfait (1/1)
Quand on a 40 ans, une fille de 20 ans Laure.
Quand dans sa vie nous avons été fidèle à une seule femme Jennifer 40 ans elle aussi.
Vous croyez être un homme heureux.
Quand vous amenez votre fille unique devant le maire et ensuite le curé, vous êtes l’homme le plus heureux du monde.
Heureux, car elle épouse Bruno un jeune homme de 25 ans, représentant de commerce multicarte qui roule en BMW et qui possède déjà son appartement à Bruxelles.
Nous habitons Lille.
C’est dans cette ville qu’ils se sont rencontrés lors d’une soirée entre jeunes à la fin de ses études.
Il était là à l’invitation d’un copain alors que Laure venait de réussir son BTS de communication.
Nous sommes allés plusieurs fois chez eux.
Chaque fois Bruno nous reçoit chaleureusement.
Étant très pris, jamais au grand jamais nous nous invitons.
Ma fille appelle sa mère et d’un commun accord nous prenons date pour passer quelques heures avec eux.
Un jour je dois me rendre à Bruxelles pour mon entreprise.
J’essaye de lui téléphoner, mais chaque fois j’ai son répondeur.
Je laisse un message, je me rends chez eux malgré l’interdiction pour trouver le couple absent.
Sont-ils partis en vacances sans nous le dire.
C’est leurs droits, ils sont majeurs et font bien ce qu’ils veulent.
Je vais à mon rendez-vous, j’avais prévu de dormir chez eux.
Je prends un hôtel pour la nuit, demain je dois revoir une deuxième entreprise pour finaliser là aussi un contrat.
Je suis dans mon hôtel, je sors pour aller dîner quand mon portable sonne.
C’est ma fille qui a eu mon message et me confirme qu’ils sont chez des amis à Envers et qu’il est impossible de nous voir.
Je lui souhaite une bonne soirée et nous raccrochons.
Après manger, je retourne vers mon hôtel quand je vois un bar encore ouvert.
L’absence de ma fille m’a contrarié, inutile de rentrer me coucher, je mettrais trop de temps à m’endormir.
Dès que j’entre, je me souviens que nous sommes en Belgique et que les bars à putes sont autorisés.
Cinq filles sont là.
Une blonde vient vers moi.
• Tu me payes un verre beau gosse.
Gentille la jeune femme ayant certainement l’âge de ma fille.
Tient, pourquoi et si je m’amusais un peu.
20 ans de mariage avec Véroniques, pourquoi me refuser un moment de plaisir avec cette jeune fille.
L’une des cinq filles entraîne un homme vers un box où je vois la barmaid apporter deux verres de whisky.
• Paye-moi une bouteille de champagne on aura plus de temps à passer ensemble.
Je te vois hésitant, je vois ton alliance, tu as peur de tromper ta femme.
• Je vais être franc, je pensais passer la soirée chez ma fille, mais elle est à Envers.
Je suis à l’hôtel voisin après avoir dîné, j’ai vu ce bar sans penser qu’il y avait des filles qui y travaillaient.
Tu as raison, je t’offre une bouteille de champagne.
J’ai les moyens, le contrat de cette après-midi et celui de demain va me permettre de boucler une grande partie du chiffre d’affaires annuel de mon entreprise.
Elle m’entraîne dans un box discret.
Comme pour l’autre box, la bouteille arrive, la barmaid nous sert deux coupes.
Je vois passer une jeune femme au moment où je regardais les seins de Gloria, c’est le nom que ma blonde me donne.
Gloria, je suis sûr que c’est un nom d’emprunt.
• À la tienne, merci pour la bouteille, je touche une partie sur cette vente ! Qu’est-ce que tu aimes faire dans un lit.
100 € la pipe avec éjaculation dans ma bouche.
200 € la pénétration vaginale avec éjaculation.
300 € la sodomie, mais là je te proposerais d’être remplacé par Laura une copine.
C’est elle qui vient de revenir avec le client qu’elle avait réussi à alpager lorsque tu es arrivé.
• Pas nécessaire, j’aime prendre ma femme en levrette, la bouteille bue tu m’emmèneras à l’arrière du bar.
C’est à ce moment que j’entends que l’on s’installe dans le box voisin.
• Fait moi plaisir, paye-moi une bouteille, j’ai peu travaillé ce soir.
Gloria se penche vers moi et me parle à l’oreille.
• C’est Laura qui vient d’amener un gars à côté.
Si le mec refuse de payer sa bouteille et selon ce qu’ils vont faire, elle risque de ramasser par son homme, c’est une véritable pourriture.
Je lui réponds à l’oreille.
• Je croyais que dans vos bars, les filles étaient libres de choisir et de monter avec les clients.
• C’est mon cas et c’est pour cela que je refuse les sodomies.
Laura, son mec la frappe si à la fin de son service, il lui manque du pognon.
Il l’amène le soir à 18 heures et revient la cherche à 1 heure.
Tout à l’heure il sera là avec sa grosse bagnole allemande pour la ramener chez eux.
• Ils sont mariés ?
• Oui, il l’a épousé pour gruger ses parents qui sont français.
Ils ignorent que leur gendre prostitue leur fille.
• Comment sais-tu ça ?
• Un jour où elle avait un peu picolé avec un client, nous étions seules au bar et elle s’est épanchée.
Écoute, elle a de la chance, le mec va l’enculer, la pauvre, elle vient d’en prendre pour 300 €.
Ça fait deux fois ce soir que son cul va ramasser.
Si elle continue à ce rythme dans un à deux ans, elle devra se faire poser une prothèse anale.
Quand elle monnaye une dernière fois ses faveurs, j’ai l’impression d’entendre la voix de ma fille.
L’accent est bien français, loin d’être un accent belge.
Elle passe devant notre box, j’ai le temps de reconnaître Laure.
Par chance lorsqu’elle est revenue la première fois et maintenant elle passe sans me voir.
• Excuse, le champagne était de mauvaise qualité et je me sens mal.
Je serais dans l’impossibilité de bander si nous allons dans une chambre.
Voilà 500 € et je te quitte.
Je me suis levé, un premier réflexe veut que j’aille vers les chambres.
Je me vois mal entrer où cette jeune fille reçoit son client, surtout si c’est elle.
Même si j’en suis presque sûr, la voir se faire baiser par le noir avec lequel elle est partie, je suis capable de tuer son client.
Sous le regard incrédule de Gloria semblant dans l’incompréhension de mon départ si précipiter, je quitte l’établissement.
Je vais dans mon hôtel ma chambre donne sur le bar.
Lumière éteinte, j’attends.
Vers minuit trente, je vois arriver une BMW, il fait chaud, le chauffeur en descend.
C’est bien Bruno mon gendre qui attend ma fille en étant appuyée sur son capot.
Ce fumier est l’homme dont Gloria m’a dit qu’il se glorifiait de nous avoir baisés Véronique et moi.
Ma fille sort, elle lui donne des billets.
Il semble en colère, elle ramasse une baffe.
J’évite de bouger bien que l’envie de descendre lui casser la gueule soit fort.
Je dois reconnaître qu’il est plus fort que moi, je l’ai vu torse nu et j’avais cru que c’était ses plaquettes et ses biceps qui avaient fait craquer ma fille.
Le lendemain je remets mon, rendez-vous, les contrats on verra plus tard.
À 17 heures 30 je suis au volant de ma voiture et je surveille l’arrivée de ma fille.
Son fumier de maquereaux la déposer.
Je le suis prêt à lui faire son affaire si l’occasion se présente.
Après avoir déposé Laura, pardon Laure, il repart et va dans un bar où ils retrouvent deux autres gars.
J’arrive à voir qu’ils jouent aux dés commandant des verres pour celui qui perd.
Il a le billet facile qu’il sort d’une liasse de sa poche.
Ce fumier vie une vie de nabab sur le compte du cul de ma fille.
Aucune ouverture pour faire la peau à ce fumier.
De plus, si je le tue dès ce soir, je risque de me retrouver en tôle pour vingt ans car il y aurait préméditation.
Je sais, je laisse ma fille aux prises de clients, mais je me calme car cela m’énerve.
Surtout que Gloria a oublié de me dire depuis combien de temps il la prostitue.
Alors un soir de plus ou de moins, le mal est fait.
Assez machiavélique, je la laisse en prise avec ses clients
Je rentre à Lille directement, Véronique est couchée, je suis crevé.
Ma femme vient se blottir dans mes bras.
Tout le temps de mon retour, je peaufine ma vengeance.
Mon grand-père était anglais et en 45 il a récupéré un Luger sur un officier allemand.
À sa mort mon père l’avait trouvé et j’en ai hérité à la sienne.
Je connais un hôtel à Cologne en Allemagne ou je descends régulièrement.
Une semaine plus tard, j’ai pris contact avec ma société avec laquelle je travaille pour l’après-midi.
Je dîne dans l’hôtel à vingt heures et à 21 heures je suis dans ma chambre.
J’ai demandé cette chambre quand j’ai téléphoné, elle était libre sinon j’aurais déplacé mon rendez-vous.
Cette chambre donne sur l’échelle de sécurité débouchant dans une petite impasse.
C’est en femme avec une perruque et grosse lunette teintée, que je rejoins la ruelle.
J’ai loué une grosse Mercedes par Internet que j’ai récupéré avec des postiches me rendant méconnaissable.
Il faut penser à tout, je laisse mon portable sous tension dans la chambre, inutile que la police quand elle enquêtera le trace et voit que j’ai bougé.
Je passe la frontière, et en 2 heures je suis à Bruxelles.
Il est 11 heures, j’arrive près du bar.
Ce fumier de gendre fait sa partie de dés.
Cette partie de dés s’était la seule chose non contrôlée prenant le risque d’être obligé de revenir une autre fois.
J’entre luger en main et je mets trois balles dans la tête de celui qui prostitue ma petite fille.
Deux heures après j’arrive à Cologne, je m’arrête près du Rhin, un sac un luger des effets de femmes et tout cela à l’eau.
Pas d’arme, pas de meurtre.
Je rentre dans ma chambre.
Je prends mon portable en main.
Aucun appel, je me couche.
Le lendemain je dépose la Mercedes là où je l’avais prise et je laisse les clefs dans la boîte prévue à cet effet.
Revenue à Lille, la police vient nous interroger.
Ma femme peut leur dire qu’elle était chez sa sœur qui confirme.
L’hôtel confirme que je suis monté à 21 heures me coucher.
La police enquête sur mon portable qui est resté toute la soirée au même endroit.
Je vais sur Internet voire les journaux bruxellois.
« Un souteneur belge se fait abattre par une femme dans un bar de la ville… »
La suite me dit que j’ai bien réussi ma vengeance.
La police est sur la piste de cette femme qu’ils ont vue sur plusieurs caméras de surveillance à des carrefours.
Ma fille est disculpée, assez de témoins l’ont vue tapiner.
Je la récupère lui demandant de taire à sa mère ce que son mari lui obligeait à faire.
Je la récupère dans ma boîte comme conseillère en communication.
Un point positif, le coffre de son mari était plein de billets ainsi que leur appartement et la voiture que nous nous empressons de vendre.
Elle va pouvoir reprendre sa vie dans un meilleur chemin.
Pour moi un seul regret, mais pourquoi prendre le risque de retourner dans ce bar à pute.
Gloria, je l’aurais bien sauté.
C’est Véronique qui profite de cette envie de sexe, je la prends fougueusement en levrette comme j’en avais parlé avec la collègue de ma fille.
Qui dit qu’il est difficile de réaliser le crime parfait ?
Quand dans sa vie nous avons été fidèle à une seule femme Jennifer 40 ans elle aussi.
Vous croyez être un homme heureux.
Quand vous amenez votre fille unique devant le maire et ensuite le curé, vous êtes l’homme le plus heureux du monde.
Heureux, car elle épouse Bruno un jeune homme de 25 ans, représentant de commerce multicarte qui roule en BMW et qui possède déjà son appartement à Bruxelles.
Nous habitons Lille.
C’est dans cette ville qu’ils se sont rencontrés lors d’une soirée entre jeunes à la fin de ses études.
Il était là à l’invitation d’un copain alors que Laure venait de réussir son BTS de communication.
Nous sommes allés plusieurs fois chez eux.
Chaque fois Bruno nous reçoit chaleureusement.
Étant très pris, jamais au grand jamais nous nous invitons.
Ma fille appelle sa mère et d’un commun accord nous prenons date pour passer quelques heures avec eux.
Un jour je dois me rendre à Bruxelles pour mon entreprise.
J’essaye de lui téléphoner, mais chaque fois j’ai son répondeur.
Je laisse un message, je me rends chez eux malgré l’interdiction pour trouver le couple absent.
Sont-ils partis en vacances sans nous le dire.
C’est leurs droits, ils sont majeurs et font bien ce qu’ils veulent.
Je vais à mon rendez-vous, j’avais prévu de dormir chez eux.
Je prends un hôtel pour la nuit, demain je dois revoir une deuxième entreprise pour finaliser là aussi un contrat.
Je suis dans mon hôtel, je sors pour aller dîner quand mon portable sonne.
C’est ma fille qui a eu mon message et me confirme qu’ils sont chez des amis à Envers et qu’il est impossible de nous voir.
Je lui souhaite une bonne soirée et nous raccrochons.
Après manger, je retourne vers mon hôtel quand je vois un bar encore ouvert.
L’absence de ma fille m’a contrarié, inutile de rentrer me coucher, je mettrais trop de temps à m’endormir.
Dès que j’entre, je me souviens que nous sommes en Belgique et que les bars à putes sont autorisés.
Cinq filles sont là.
Une blonde vient vers moi.
• Tu me payes un verre beau gosse.
Gentille la jeune femme ayant certainement l’âge de ma fille.
Tient, pourquoi et si je m’amusais un peu.
20 ans de mariage avec Véroniques, pourquoi me refuser un moment de plaisir avec cette jeune fille.
L’une des cinq filles entraîne un homme vers un box où je vois la barmaid apporter deux verres de whisky.
• Paye-moi une bouteille de champagne on aura plus de temps à passer ensemble.
Je te vois hésitant, je vois ton alliance, tu as peur de tromper ta femme.
• Je vais être franc, je pensais passer la soirée chez ma fille, mais elle est à Envers.
Je suis à l’hôtel voisin après avoir dîné, j’ai vu ce bar sans penser qu’il y avait des filles qui y travaillaient.
Tu as raison, je t’offre une bouteille de champagne.
J’ai les moyens, le contrat de cette après-midi et celui de demain va me permettre de boucler une grande partie du chiffre d’affaires annuel de mon entreprise.
Elle m’entraîne dans un box discret.
Comme pour l’autre box, la bouteille arrive, la barmaid nous sert deux coupes.
Je vois passer une jeune femme au moment où je regardais les seins de Gloria, c’est le nom que ma blonde me donne.
Gloria, je suis sûr que c’est un nom d’emprunt.
• À la tienne, merci pour la bouteille, je touche une partie sur cette vente ! Qu’est-ce que tu aimes faire dans un lit.
100 € la pipe avec éjaculation dans ma bouche.
200 € la pénétration vaginale avec éjaculation.
300 € la sodomie, mais là je te proposerais d’être remplacé par Laura une copine.
C’est elle qui vient de revenir avec le client qu’elle avait réussi à alpager lorsque tu es arrivé.
• Pas nécessaire, j’aime prendre ma femme en levrette, la bouteille bue tu m’emmèneras à l’arrière du bar.
C’est à ce moment que j’entends que l’on s’installe dans le box voisin.
• Fait moi plaisir, paye-moi une bouteille, j’ai peu travaillé ce soir.
Gloria se penche vers moi et me parle à l’oreille.
• C’est Laura qui vient d’amener un gars à côté.
Si le mec refuse de payer sa bouteille et selon ce qu’ils vont faire, elle risque de ramasser par son homme, c’est une véritable pourriture.
Je lui réponds à l’oreille.
• Je croyais que dans vos bars, les filles étaient libres de choisir et de monter avec les clients.
• C’est mon cas et c’est pour cela que je refuse les sodomies.
Laura, son mec la frappe si à la fin de son service, il lui manque du pognon.
Il l’amène le soir à 18 heures et revient la cherche à 1 heure.
Tout à l’heure il sera là avec sa grosse bagnole allemande pour la ramener chez eux.
• Ils sont mariés ?
• Oui, il l’a épousé pour gruger ses parents qui sont français.
Ils ignorent que leur gendre prostitue leur fille.
• Comment sais-tu ça ?
• Un jour où elle avait un peu picolé avec un client, nous étions seules au bar et elle s’est épanchée.
Écoute, elle a de la chance, le mec va l’enculer, la pauvre, elle vient d’en prendre pour 300 €.
Ça fait deux fois ce soir que son cul va ramasser.
Si elle continue à ce rythme dans un à deux ans, elle devra se faire poser une prothèse anale.
Quand elle monnaye une dernière fois ses faveurs, j’ai l’impression d’entendre la voix de ma fille.
L’accent est bien français, loin d’être un accent belge.
Elle passe devant notre box, j’ai le temps de reconnaître Laure.
Par chance lorsqu’elle est revenue la première fois et maintenant elle passe sans me voir.
• Excuse, le champagne était de mauvaise qualité et je me sens mal.
Je serais dans l’impossibilité de bander si nous allons dans une chambre.
Voilà 500 € et je te quitte.
Je me suis levé, un premier réflexe veut que j’aille vers les chambres.
Je me vois mal entrer où cette jeune fille reçoit son client, surtout si c’est elle.
Même si j’en suis presque sûr, la voir se faire baiser par le noir avec lequel elle est partie, je suis capable de tuer son client.
Sous le regard incrédule de Gloria semblant dans l’incompréhension de mon départ si précipiter, je quitte l’établissement.
Je vais dans mon hôtel ma chambre donne sur le bar.
Lumière éteinte, j’attends.
Vers minuit trente, je vois arriver une BMW, il fait chaud, le chauffeur en descend.
C’est bien Bruno mon gendre qui attend ma fille en étant appuyée sur son capot.
Ce fumier est l’homme dont Gloria m’a dit qu’il se glorifiait de nous avoir baisés Véronique et moi.
Ma fille sort, elle lui donne des billets.
Il semble en colère, elle ramasse une baffe.
J’évite de bouger bien que l’envie de descendre lui casser la gueule soit fort.
Je dois reconnaître qu’il est plus fort que moi, je l’ai vu torse nu et j’avais cru que c’était ses plaquettes et ses biceps qui avaient fait craquer ma fille.
Le lendemain je remets mon, rendez-vous, les contrats on verra plus tard.
À 17 heures 30 je suis au volant de ma voiture et je surveille l’arrivée de ma fille.
Son fumier de maquereaux la déposer.
Je le suis prêt à lui faire son affaire si l’occasion se présente.
Après avoir déposé Laura, pardon Laure, il repart et va dans un bar où ils retrouvent deux autres gars.
J’arrive à voir qu’ils jouent aux dés commandant des verres pour celui qui perd.
Il a le billet facile qu’il sort d’une liasse de sa poche.
Ce fumier vie une vie de nabab sur le compte du cul de ma fille.
Aucune ouverture pour faire la peau à ce fumier.
De plus, si je le tue dès ce soir, je risque de me retrouver en tôle pour vingt ans car il y aurait préméditation.
Je sais, je laisse ma fille aux prises de clients, mais je me calme car cela m’énerve.
Surtout que Gloria a oublié de me dire depuis combien de temps il la prostitue.
Alors un soir de plus ou de moins, le mal est fait.
Assez machiavélique, je la laisse en prise avec ses clients
Je rentre à Lille directement, Véronique est couchée, je suis crevé.
Ma femme vient se blottir dans mes bras.
Tout le temps de mon retour, je peaufine ma vengeance.
Mon grand-père était anglais et en 45 il a récupéré un Luger sur un officier allemand.
À sa mort mon père l’avait trouvé et j’en ai hérité à la sienne.
Je connais un hôtel à Cologne en Allemagne ou je descends régulièrement.
Une semaine plus tard, j’ai pris contact avec ma société avec laquelle je travaille pour l’après-midi.
Je dîne dans l’hôtel à vingt heures et à 21 heures je suis dans ma chambre.
J’ai demandé cette chambre quand j’ai téléphoné, elle était libre sinon j’aurais déplacé mon rendez-vous.
Cette chambre donne sur l’échelle de sécurité débouchant dans une petite impasse.
C’est en femme avec une perruque et grosse lunette teintée, que je rejoins la ruelle.
J’ai loué une grosse Mercedes par Internet que j’ai récupéré avec des postiches me rendant méconnaissable.
Il faut penser à tout, je laisse mon portable sous tension dans la chambre, inutile que la police quand elle enquêtera le trace et voit que j’ai bougé.
Je passe la frontière, et en 2 heures je suis à Bruxelles.
Il est 11 heures, j’arrive près du bar.
Ce fumier de gendre fait sa partie de dés.
Cette partie de dés s’était la seule chose non contrôlée prenant le risque d’être obligé de revenir une autre fois.
J’entre luger en main et je mets trois balles dans la tête de celui qui prostitue ma petite fille.
Deux heures après j’arrive à Cologne, je m’arrête près du Rhin, un sac un luger des effets de femmes et tout cela à l’eau.
Pas d’arme, pas de meurtre.
Je rentre dans ma chambre.
Je prends mon portable en main.
Aucun appel, je me couche.
Le lendemain je dépose la Mercedes là où je l’avais prise et je laisse les clefs dans la boîte prévue à cet effet.
Revenue à Lille, la police vient nous interroger.
Ma femme peut leur dire qu’elle était chez sa sœur qui confirme.
L’hôtel confirme que je suis monté à 21 heures me coucher.
La police enquête sur mon portable qui est resté toute la soirée au même endroit.
Je vais sur Internet voire les journaux bruxellois.
« Un souteneur belge se fait abattre par une femme dans un bar de la ville… »
La suite me dit que j’ai bien réussi ma vengeance.
La police est sur la piste de cette femme qu’ils ont vue sur plusieurs caméras de surveillance à des carrefours.
Ma fille est disculpée, assez de témoins l’ont vue tapiner.
Je la récupère lui demandant de taire à sa mère ce que son mari lui obligeait à faire.
Je la récupère dans ma boîte comme conseillère en communication.
Un point positif, le coffre de son mari était plein de billets ainsi que leur appartement et la voiture que nous nous empressons de vendre.
Elle va pouvoir reprendre sa vie dans un meilleur chemin.
Pour moi un seul regret, mais pourquoi prendre le risque de retourner dans ce bar à pute.
Gloria, je l’aurais bien sauté.
C’est Véronique qui profite de cette envie de sexe, je la prends fougueusement en levrette comme j’en avais parlé avec la collègue de ma fille.
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