COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (5/5)
• Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusqu’à ce que la mort nous sépare.

C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Jean, celui que je vois allongé près de sa mère, un drap sur son corps.
Sa mère, ma putain de belle-mère qui semble avoir manipulé et qui elle aussi a fini de gruger les gens.
Je vois leur visage, lorsque la gendarme en chef m’ayant ramenée chez moi alors que j’avais été amenée à la gendarmerie après un coup de fil anonyme m’accusant d’être une pute.

• Oui, ce sont bien la vicomtesse de la Bal et son fils, le vicomte Jean.
• Nous avons trouvé une lettre sur cette table expliquant leur geste.

Ce qu’ils déclaraient dans cette lettre étant exacte, ils auraient eu des remords sur ce qu’ils avaient fait pour capter l’héritage du voisin du Duc et d’Arsène.
Quand les gendarmes sont venus me chercher, ils se sont sentis cernés.
Il va sans le dire, que dès le premier soir, je suis rejointe par mon amant.
Ma chatte et mon anus étant bien reposés, la nuit suivie des suivantes sont extraordinaires.

Deux ans que ça dure, un seul problème, j’essaye de vendre le manoir, mais le double suicide fait peur aux éventuels acheteurs.
Arsène me dit avoir la solution, il est plein de ressource Arsène.

Deux ans, je suis à la mairie à côté du Duc, qui va faire de moi une vraie Duchesse, pas une Vicomtesse de pacotille comme je le suis devenue à la mort de ma belle-mère.
Je m’interrogeais, sur le titre du vivant de la mère de Jean, c’était inutile, leurs pendaisons ont fait de moi la seule vicomtesse sur cette terre !

Deux ans ou malgré le monstre qu’est François pour certains, je l’épouse sans plus de questions sur la mort de l’homme et de la femme qui m’avaient obligée à me prostituer. Qu’on le veuille ou pas, faire déflorer sa jeune épouse pour rembourser une dette, c’est de la prostitution.

• Madame Marie, vicomtesse de la Bal, voulez-vous épouser, le Duc François de la Ravière ici présent ?
• Oui, je le veux.
• Et vous monsieur le Duc François de la Ravière, voulez-vous prendre pour épouse, madame marie, vicomtesse de la Bal ici présent.
• Oui, je le veux, plutôt deux fois qu’une.

François me passe mon alliance, c’est sa première adjointe qui nous marie.
Bien sûr, mes parents sont là.
Nous les avons installés dans les appartements qui auraient dû m'être réservés et que j’ai quitté dès le deuxième jour retrouvant le lit ducal.
Pour la première fois, je vois mon père essuyer une larme, regrette-t-il mon premier mariage, celui où il a enfilé ma belle-mère ?
Là point d’épouse du duc, une seule duchesse et c’est moi et ce titre est loin d’être en bois, je viens de m’anoblir.

Lors de la soirée, nous ouvrons le bal avec François, qu’il est doux de valser dans des bras amants !
Je vois mon père venir inviter Alice, la première adjointe de mon mari.
Elle se coule dans ses bras alors qu’elle était à côté de son mari parlant avec ma mère.
Le connaissant, il y a du cocu dans l’air surtout lorsqu’un peu plus tard je les vois se diriger vers la sortie.
J’ai une petite envie, mais je me garde bien d’aller la satisfaire.
Malgré le temps passant, j’ai encore dans mes oreilles le bruit de mon précédent mariage lorsque je l’ais ai entendu baiser lui et ma belle-mère.
Comment maman a-t-elle fait pour supporter ces tromperies toutes sa vie ?
La fête bat son plein quand une deuxième fois, c’est une drôle de nuit de noces que je passe.

• Au feu, au feu, monsieur le maire le manoir de la vicomtesse de la Bal votre femme est en feu, les pompiers sont partis pour intervenir.

J’avais constaté un mouvement de certains jeunes du village, ils avaient dû être bipés par leur chef qui lui-même a quitté la salle de bal.
C’est dans la voiture de François, le mien, celui qui m’a passé la bague au doigt que nous nous rendons sur les lieux.
Pour la première fois, je le sens tendu.
D’un coup pour une fois je revois ses brûlures que j’avais complètement effacées de ma mémoire surtout lorsque je lui fais l’amour.
Je dis bien « lui faire l’amour ».
J’adore le dénuder, le sucer bien sûr pour qu’il soit tendu au maxi avant de venir m’empaler sur sa grosse verge qui m’apporte tant de plaisir.
Mes mains dans ces moments de délires érotiques se posent sur son corps sans que j’en sois rebutée, le Duc est devenu mon homme m’apportant un maximum de plaisirs et d’orgasmes.
Pour la première fois, voir des flammes doit le rendre mal à l’aise, repense-t-il à sa vieille nounou qu’il a été dans l’impossibilité de sauver.
Je pose ma main sur sa cuisse et ma tête sur son épaule lui faisant comprendre tout mon soutien.
C’est un homme prudent qui conduit même si j’aimerais qu’il soit audacieux et me donne un baiser.

Cent mètres avant mon manoir, la chaleur se sent, lorsque nous arrivons.
Le ciel est rouge, ça doit flamber dur !
La gendarmette semblant me poursuivre nous arrête.

• Bonjours monsieur le maire, bonjours madame, impossible d’avancer avec votre voiture, garez-vous ici.
Madame, soyez forte, ça flambait tellement quand nous sommes arrivées en même temps que les pompiers.
C’est monsieur Arsène votre majordome qui nous a alertés, il a entendu du bruit et sortant sur le perron de votre château.
Il a vu et compris que les lueurs rouges qu’il voyait au-dessus des arbres venaient de chez-vous.
Il nous a signalé avoir vu un homme passer derrière vos grilles en courant.
Le voisin dans la villa voisine nous a déjà signalé que depuis deux ou trois jours, il voyait un homme genre SDF passer dans le quartier.
J’ai fait placer des patrouilles à chaque sortie de la ville pour l’intercepter.
Madame Marie, de votre côté avez-vous vu quelque chose nous permettant de faire avancer l’enquête ?
• Vous savez que monsieur le Duc m’hébergeait depuis le décès de mon mari et de ma belle-mère.

J’ai failli me trahir et dire ma pute de belle-mère.

• Avant de mettre en vente, nous avions vidé tous les meubles ayant de la valeur.
Il restait quelques bricoles sans valeur, je vais appeler mon assureur dans la journée.

François prend la décision de rentrer quand mes parents arrivent, il est temps d’aller nous coucher.

• Messieurs dames, bonjours, je m’excuse de vous déranger pendant la fin de votre petit déjeuner.
Je vous présente Roger, mon fils qui va venir m’aider à partir de ce jour avec votre accord monsieur le Duc.
• Bonjours messieurs-dames, si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis à votre disposition.

J’ai un doute, me souvenant une nouvelle fois sur l’implication de monsieur Arsène dans l’incendie de mon manoir, surtout lorsque je reçois l’assureur en présence de mon mari.
C’est le même qui assure la commune qu’il gère et a plus à perdre qu’à gagner à contester l’incendie.
Le SDF, non retrouvé par la gendarmerie, des gens l’ayant vu aux quatre coins de la ville est-il un jeune homme bien mis qui ce matin s’est présenté à nous ?
Je vais être franche, cette évidence me vient lorsque je suis empalée sur la verge du duc que je viens de sucer à la limite de me faire inonder ma gorge.
Sous couvert de boire un verre d’eau lorsque mon corps m’apporte un très bel orgasme, j’enfile mon peignoir acheté spécialement pour ma nuit de noces et je vais pour descendre.

• Ou allez-vous ma mie ?
• Boire un verre d’eau, je vous en remonte un !
• Restez, je vais appeler Arsène, il se fera un plaisir de venir vous servir.
• J’ai besoin de bouger un peu avant le prochain round que vous allez m’apporter, masturbez-vous !

Je sors de ma chambre, je vais dans la cuisine, j’ouvre le frigo pour donner le change, je sors jusqu’à la poubelle, ce que je supputais est là, une perruque.
Elle a dû donner au fils d’Arsène, l’allure d’un SDF avec des vêtements crade ayant donné le change.

Roger a dû accomplir sa première mission de protection du duc et de sa femme comme son aïeul avec mes ancêtres lors de la révolution.
Grâce à eux, je réussis indirectement à me venger.

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