COLLECTION VENGEANCE. Qui l’aurait cru, il y a huit jours (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-04-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Qui l’aurait cru, il y a huit jours (1/1)
J’ai épousé Jean, il y a 12 ans, j’avais 18 ans, j’en ai donc 30 ans, ça coule de source.
Au moment présent, j’ai une bite dans le cul et l’autre dans la chatte, comment en suis-je arrivé là ?
C’est mon mari qui va vous le raconter.
Je m’appelle Jean, j’avais 25 ans quand j’ai épousé Véronique, elle 18, j’ai donc 37 ans, je vais allègrement vers la quarantaine mais je fais tout ce qu’il faut pour rester en forme.
C’est le cas ce matin, je pars faire mon jogging comme tous les samedis qu’il fasse beau ou qu’il pleuve.
1 mètre 80, 78 kilos, quelqu'un peut dire mieux !
7 ans d’écart, au début de notre union ça semblait peu, mais au fil des ans cet écart aurait pu se faire sentir, ce qui est loin d’être le cas dans notre couple.
Quand je fais mon jogging, je suis connecté à mon téléphone portable qui me permet lorsque je rentre à la maison d’analyser mes performances.
• Chéri, je vais profiter de mon jogging pour aller chez mon copain Antoine !
Il veut me voir, ayant une affaire à me proposer, ça semble un coup juteux, on va pouvoir changer ta voiture.
• C’est gentil, j’ai toujours peur de tomber en panne lorsque j’emmène Laure et Lucien à leur école.
Quand Véronique parle de Laure et Lucien, ce sont nos jumeaux qui sont nés, il y a 6 ans et qui font notre bonheur.
Elle les a conduits chez ses parents hier après l’école, pour les vacances de Toussaint.
Ce sont eux qui les gardent pendant ce temps, cela nous évite de payer une baby-sitter.
Nous habitons en banlieue parisienne, eux dans la vallée de Chevreuse, nous avons récupéré leur maison alors qu’ils se retiraient dans leur maison de campagne pour leur retraite.
Je parlerais bien de ma belle-mère Jacqueline.
Elle m’a dans le nez, elle est persuadée que j’ai séduit sa fille pour le pognon qu’ils possèdent.
Avec cette différence d’âge, elle m’a pris pour un gigolo.
La naissance des jumeaux a aplani son jugement, je suis moins stressé quand je la rencontre.
Il faut reconnaître que le jour de notre mariage, j’avais déjà goûté aux fruits défendus de sa fille.
Elle nous avait surpris dans sa chambre alors qu’ils étaient censés être partis pour leur maison de campagne.
Le destin a voulu qu’ils aient oublié leurs clefs et qu’ils aient fait demi-tour alors qu’ils étaient presque arrivés.
Le pauvre homme là entendu passer encore plus quand elle a trouvé sa fille en levrette sur son lit de jeune fille, ma verge lui défonçant le vagin.
Je suis resté stoïque, quand je leur ai demandé la main de leur fille.
J’ai cru qu’elle allait m’arracher les yeux.
Comme on dit, elle aurait eu des mitraillettes à la place, je serais mort mille fois à cette heure.
Mariage pluvieux, mariage heureux, robe blanche pour Véronique et smoking pour moi.
Nuit de noces sans surprise, nous avons baisé comme nous le faisons des dizaines de fois.
Voyage de Noces à Venise, promenade sur les canaux et retour à Paris.
Emménagement chez mes beaux-parents dans la chambre d’amie avant de récupérer l’appartement, il faut dire que mon beau-père a 16 ans de plus qu’elle et qu’il prend sa retraite.
C’était mon patron, j’étais son employé dans la banque qu’il dirigeait.
Un matin, une jeune fille qui s’avèrera être Véronique est venue s’amuser à ouvrir elle-même un compte.
C’est moi qui l’ai reçu, j’ai été étonné de la similitude des noms de famille, mais ignorant que Véronique était la fille de Hugo mon patron, j’ai donné les formulaires d’ouverture.
Formulaire le premier jour, verre de l’amitié lorsqu’elle est revenue et petite culotte à ses pieds quand je l’ai invité au restaurant dans un premier temps et dans mon petit studio pour finir.
Nous étions dans mon lit, je venais de sortir ma verge couverte du sang de sa virginité.
C’est à ce moment qu’elle m’a avoué être la fille de mon chef d’agence, la suite, je l’ai déjà raconté.
Jusqu’à ce matin où je pars faire mon jogging en me rendant chez Antoine.
Sur sa porte une enveloppe tenue par du papier adhésif avec mon nom, il m’annonçait que notre affaire était en bonne voie.
Il avait été obligé de rencontrer la personne qui allait nous faire gagner la grosse somme que j’espérais.
Il remettait notre repas au samedi suivant, il aurait une réponse définitive.
J’ai donc fait demi-tour, quand je suis arrivé devant notre pavillon, une voiture de la poste était arrêtée.
N’ayant pas de poche lorsque je fais mon jogging, j’ai récupéré mes clefs que j’aie l’habitude de placer à droite de la porte et je suis entré.
J’ai trouvé bizarre que le postier et Véronique se trouve autre part que dans le hall.
Du bruit à gauche dans la cuisine, ils étaient là, le saligaud devait avoir une vingtaine d’années et avait sa queue dans ma salope de femme qui agenouillé, le peignoir à moitié défait l’avait mise dans sa bouche.
J’ai failli hurler, mais reprenant mon sang-froid, j’ai sorti mon portable, je l’ai déconnecté du système d’enregistrements de mes performances et j’ai fait de belles photos.
En ayant assez, certaines très suggestives, je suis rentré, quand il m’a vu le petit saligaud s'est sauvé sans demander son reste.
Que faire, de cette salope, demander le divorce ?
Même si j’avais épousé Véronique par amour et non intérêt comme le prétendait Jacqueline, si nous nous séparions, le contrat de mariage qu’elle m’avait obligé à signer, risquait de me faire tout perdre même mes enfants.
C’est en pensant à eux que j’ai rapidement pensés comment me venger, elle voulait jouer les salopes, elle allait le devenir définitivement.
Dite que vous avez une salope qui veut se faire baiser à l’œil devant son mari qui restera à regarder le tout gratuitement, en peu de temps la liste d’attente deviendra interminable.
Elle peut vous le dire, ça fait deux mois que je lui présente des amants pour la journée du dimanche avant d’aller rechercher mes petits anges.
En ce moment, un grand noir et un jeune bellâtre la prennent.
Le bellâtre est dans sa chatte, le noir dans son anus.
Vu le mandrin qu’il m’avait présenté à l’écran quand nous avons pris contact, je suis sûr que pendant cette semaine, son trou du cul restera ouvert attendant ceux de la semaine prochaine.
Voilà c’est ma vengeance, il va sans dire qu’une telle salope qui se fait baiser à couille rabattue, j’évite de tremper mon poireau de peur d’attraper des maladies.
Je vous quitte, j’ai connecté mon cardio, je me rends chez Jocelyne, notre nouvelle stagiaire.
Je vais la prendre en levrette sur son lit de jeune fille, ses parents sont partis deux mois au Québec.
Même s’ils ont oublié leurs clefs, je pense que la distance m’empêchera de les voir débarquer.
Au moment présent, j’ai une bite dans le cul et l’autre dans la chatte, comment en suis-je arrivé là ?
C’est mon mari qui va vous le raconter.
Je m’appelle Jean, j’avais 25 ans quand j’ai épousé Véronique, elle 18, j’ai donc 37 ans, je vais allègrement vers la quarantaine mais je fais tout ce qu’il faut pour rester en forme.
C’est le cas ce matin, je pars faire mon jogging comme tous les samedis qu’il fasse beau ou qu’il pleuve.
1 mètre 80, 78 kilos, quelqu'un peut dire mieux !
7 ans d’écart, au début de notre union ça semblait peu, mais au fil des ans cet écart aurait pu se faire sentir, ce qui est loin d’être le cas dans notre couple.
Quand je fais mon jogging, je suis connecté à mon téléphone portable qui me permet lorsque je rentre à la maison d’analyser mes performances.
• Chéri, je vais profiter de mon jogging pour aller chez mon copain Antoine !
Il veut me voir, ayant une affaire à me proposer, ça semble un coup juteux, on va pouvoir changer ta voiture.
• C’est gentil, j’ai toujours peur de tomber en panne lorsque j’emmène Laure et Lucien à leur école.
Quand Véronique parle de Laure et Lucien, ce sont nos jumeaux qui sont nés, il y a 6 ans et qui font notre bonheur.
Elle les a conduits chez ses parents hier après l’école, pour les vacances de Toussaint.
Ce sont eux qui les gardent pendant ce temps, cela nous évite de payer une baby-sitter.
Nous habitons en banlieue parisienne, eux dans la vallée de Chevreuse, nous avons récupéré leur maison alors qu’ils se retiraient dans leur maison de campagne pour leur retraite.
Je parlerais bien de ma belle-mère Jacqueline.
Elle m’a dans le nez, elle est persuadée que j’ai séduit sa fille pour le pognon qu’ils possèdent.
Avec cette différence d’âge, elle m’a pris pour un gigolo.
La naissance des jumeaux a aplani son jugement, je suis moins stressé quand je la rencontre.
Il faut reconnaître que le jour de notre mariage, j’avais déjà goûté aux fruits défendus de sa fille.
Elle nous avait surpris dans sa chambre alors qu’ils étaient censés être partis pour leur maison de campagne.
Le destin a voulu qu’ils aient oublié leurs clefs et qu’ils aient fait demi-tour alors qu’ils étaient presque arrivés.
Le pauvre homme là entendu passer encore plus quand elle a trouvé sa fille en levrette sur son lit de jeune fille, ma verge lui défonçant le vagin.
Je suis resté stoïque, quand je leur ai demandé la main de leur fille.
J’ai cru qu’elle allait m’arracher les yeux.
Comme on dit, elle aurait eu des mitraillettes à la place, je serais mort mille fois à cette heure.
Mariage pluvieux, mariage heureux, robe blanche pour Véronique et smoking pour moi.
Nuit de noces sans surprise, nous avons baisé comme nous le faisons des dizaines de fois.
Voyage de Noces à Venise, promenade sur les canaux et retour à Paris.
Emménagement chez mes beaux-parents dans la chambre d’amie avant de récupérer l’appartement, il faut dire que mon beau-père a 16 ans de plus qu’elle et qu’il prend sa retraite.
C’était mon patron, j’étais son employé dans la banque qu’il dirigeait.
Un matin, une jeune fille qui s’avèrera être Véronique est venue s’amuser à ouvrir elle-même un compte.
C’est moi qui l’ai reçu, j’ai été étonné de la similitude des noms de famille, mais ignorant que Véronique était la fille de Hugo mon patron, j’ai donné les formulaires d’ouverture.
Formulaire le premier jour, verre de l’amitié lorsqu’elle est revenue et petite culotte à ses pieds quand je l’ai invité au restaurant dans un premier temps et dans mon petit studio pour finir.
Nous étions dans mon lit, je venais de sortir ma verge couverte du sang de sa virginité.
C’est à ce moment qu’elle m’a avoué être la fille de mon chef d’agence, la suite, je l’ai déjà raconté.
Jusqu’à ce matin où je pars faire mon jogging en me rendant chez Antoine.
Sur sa porte une enveloppe tenue par du papier adhésif avec mon nom, il m’annonçait que notre affaire était en bonne voie.
Il avait été obligé de rencontrer la personne qui allait nous faire gagner la grosse somme que j’espérais.
Il remettait notre repas au samedi suivant, il aurait une réponse définitive.
J’ai donc fait demi-tour, quand je suis arrivé devant notre pavillon, une voiture de la poste était arrêtée.
N’ayant pas de poche lorsque je fais mon jogging, j’ai récupéré mes clefs que j’aie l’habitude de placer à droite de la porte et je suis entré.
J’ai trouvé bizarre que le postier et Véronique se trouve autre part que dans le hall.
Du bruit à gauche dans la cuisine, ils étaient là, le saligaud devait avoir une vingtaine d’années et avait sa queue dans ma salope de femme qui agenouillé, le peignoir à moitié défait l’avait mise dans sa bouche.
J’ai failli hurler, mais reprenant mon sang-froid, j’ai sorti mon portable, je l’ai déconnecté du système d’enregistrements de mes performances et j’ai fait de belles photos.
En ayant assez, certaines très suggestives, je suis rentré, quand il m’a vu le petit saligaud s'est sauvé sans demander son reste.
Que faire, de cette salope, demander le divorce ?
Même si j’avais épousé Véronique par amour et non intérêt comme le prétendait Jacqueline, si nous nous séparions, le contrat de mariage qu’elle m’avait obligé à signer, risquait de me faire tout perdre même mes enfants.
C’est en pensant à eux que j’ai rapidement pensés comment me venger, elle voulait jouer les salopes, elle allait le devenir définitivement.
Dite que vous avez une salope qui veut se faire baiser à l’œil devant son mari qui restera à regarder le tout gratuitement, en peu de temps la liste d’attente deviendra interminable.
Elle peut vous le dire, ça fait deux mois que je lui présente des amants pour la journée du dimanche avant d’aller rechercher mes petits anges.
En ce moment, un grand noir et un jeune bellâtre la prennent.
Le bellâtre est dans sa chatte, le noir dans son anus.
Vu le mandrin qu’il m’avait présenté à l’écran quand nous avons pris contact, je suis sûr que pendant cette semaine, son trou du cul restera ouvert attendant ceux de la semaine prochaine.
Voilà c’est ma vengeance, il va sans dire qu’une telle salope qui se fait baiser à couille rabattue, j’évite de tremper mon poireau de peur d’attraper des maladies.
Je vous quitte, j’ai connecté mon cardio, je me rends chez Jocelyne, notre nouvelle stagiaire.
Je vais la prendre en levrette sur son lit de jeune fille, ses parents sont partis deux mois au Québec.
Même s’ils ont oublié leurs clefs, je pense que la distance m’empêchera de les voir débarquer.
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