COLLECTION ZONE ROUGE. Aide Humanitaire (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Aide Humanitaire (2/2)
Moi, sœur Thérèse devenue none sous ce nom à la suite d’un signe de notre seigneur quand mes parents et mon petit ami se sont fait pulvériser à un feu rouge par un camion fou sous mes yeux, alors que j’étais descendu pour chasser une guêpe.
Maman était une bigote qui priait sainte Thérèse, quand elle a su que j’avais perdu ma virginité sur une plage avec Ludo, elle m’a prédit les flammes de l’enfer, si je ne faisais pas repentance.
Ayant vu un signe dans ce sauvetage miraculeux, j’ai respecté ma parole.
Une nuit où j’avais des ennuis gastriques suite au kilo de cerise, au singulier tout de même, que j’avais mangé au moment de leur cueillette, je vois mère Marie-Madeleine sortir du couvent, se diriger vers des maisons abandonnées et en ressortir dans une voiture après c’être apprêté comme une pute.
Les portes n’étant pas fermées à clef, je suis entré, j’ai essayé des fringues dans une armoire quand voulant me reposer, je me suis endormie.
C’est notre mère supérieure qui me réveille à son retour, étonné de me voir là, mais comprenant qu’elle est découverte me donne rendez-vous après nos obligations matinales dans son bureau attenant à sa cellule.
• Entre sœur Thérèse, je te propose de nous tutoyer quand nous sommes toutes les deux, tu connais mon secret, du moins une partie, ça crée des liens.
• Soyons directe, ou vas-tu dans ces tenues provocantes.
• Tu penses que mon histoire est simple, c’est certainement le cas, mais elle est un peu compliquée tout de même, es-tu prête à l’entendre.
• Oui, bien sûr.
• Tout a commencé en Afrique, quand je soignais les enfants africains dans des structures de fortune après un génocide, j’étais jeune sœur fidèle au précepte de notre ordre, rapidement les médicaments sont venus à manquer.
Un soir où j’étais désespéré priant pour qu’un miracle se produise, un avion-cargo non prévu est arrivé et nous avons récupéré de multiples médicaments, j’ignorais d’où ils venaient, car il n’y avait aucun bordereau, juste les caisses.
• Tu y as vu un signe du destin, comme moi après la mort de mon copain et de mes parents.
• Miens que cela, dû très haut, je me suis juré que chaque année, je ferais partir des camions de médicaments vers l’Afrique quand je serais revenue au pays.
C’est à cause des produits Bio que j’ai trouvé ma voie, nos sœurs travaillaient dur, mais sœur Astride notre comptable m’a prévenu que les prix d’achat par le groupement qui travaillait avec nous baissaient, de nombreux producteurs se mettant au Bio.
Un signe du divin m’est arrivé ce jour-là, Arlette une copine d’enfance à demander à me voir, elle avait su que j’étais revenue dans ce couvent près de chez elle.
D’un sujet à l’autre, j’ai compris qu’elle faisait partie des travailleuses du sexe, elle possédait un bar à putes à Genève.
En prenant mes fonctions, avec mère Clotilde qui partait se reposer comme nous le ferons toutes, nous avions fait le tour du couvent et elle m’avait fait voir un trou creusé dans un coin, par un homme qui voulait retrouver sa petite amie que ses parents avaient envoyée ici.
Je devais le faire reboucher avant que nos sœurs le découvrent, prise par ma charge, je l’avais oublié.
Dans la discussion, j’ai vu la possibilité de faire remonter le rendement de nos produits en m’investissant moi-même, Arlette a été surprise quand je l’ai appelé, mais le soir même elle venait me chercher à la sortie du trou quand nos sœurs dormaient et elle m’a conduite à son bar.
Elle ne me croyait pas capable de faire ce que j’ai fait, elle m’a prêté des fringues style de celles que tu as essayées et j’ai rejoint le bar, je n’ai pas eu à me poser des questions longtemps.
Un homme qui venait d’entrer, c’est approché, m’a sollicité et j’ai gagné mes premiers cent euros.
• Étais-tu vierge ?
• Oui et non, oui avec des hommes, mais non avec une femme médecin en Afrique avec qui j’ai eu une aventure.
Elle était mariée au Portugal et avait rejoint les médecins de notre association.
Elle m’a dépucelé avec ses doigts.
• Et la fellation avec un homme ?
• La première, je ne m’en suis pas mal sortie, avec Joana, j’étais devenue la reine du cunnilingus, je la léchais chaque nuit et elle me le rendait bien, cela s’est fini quand elle a rejoint son mari et ses deux enfants.
Nous correspondant toujours, elle m’envoie des lettres enflammées, elle sait que pour aider notre couvent, je fais la pute, je lui raconte mes passes avec mes clients.
Elle me parle de ses amants qu’elle prend comme des Kleenex, cachant son ennui de notre séparation.
C’est notre manière de rester unis, elle a des amants, moi des clients.
Pute et lesbienne, qui lut cru, j’y voyais là un nouveau signe du destin.
• Dis, vas-tu travailler tous les jours ?
• Non, je prendrais trop de risques et il faut que je récupère, c’est presque vingt-quatre heures sans sommeil, sans compter la voiture et les passes, j’y vais le mardi, jeudi et surtout le samedi, je me fais deux fois plus de clients.
• J’ai une idée, j’ignore si tu le sais, j’ai eu un copain et c’est suite à sa mort accidentelle que je suis venue dans un couvent.
• Je suis la Mère supérieure, je connais bien des choses, tu verras quand tu le serras.
• Tu es jeune, tu es là pour un bon moment.
• Par moments, le doute me prend.
• À cause de ce que tu fais !
• Non, Joana a des hauts et des bas avec son mari, ses enfants grandissent et elle pense les quitter, si elle le fait, nous sommes en osmose et j’irai voir notre évêque pour rendre mon voile et la rejoindre, nous retournerions en Afrique, il y a toujours du travail dans l’aide humanitaire.
Tu n’es donc plus vierge.
• Non, je sais baiser, sucer, je faisais des fellations à Ludo, seule la sodomie m’est inconnue, mais s’il le faut, je saurais me sacrifier, si ta copine a une place dans son bar, je voudrais venir avec toi, samedi.
Si tu acceptes, nous ferons entrer deux fois plus d’argent pour acheter des médicaments.
• Je vois un autre avantage si tu as ton permis de conduire.
• Je l’ai, je l’ai passé du temps de Ludo, je voulais épater ma mère qui n’a jamais su, c’est comme pour le vélo, je pense que lorsque l’on a appris, c’est pour la vie.
• C’est comme pour les fellations ou la levrette, nous les femmes, même nones, une fois et on sait en faire à vie.
• Dommage, je n’ai jamais pratiqué les cunnilingus, je pense que c’est pareil.
• Sans moi, ma belle, t’aider à écarter les cuisses pour que nous fassions des camions supplémentaires, je le peux, te brouter le minou, cherches-en une autre, je pourrais te donner les noms de quelques-unes de nos soeurs si le besoin s’en fait sentir.
Moi, dans le léchage de chatte, j’ai ce qu’il faut, même si en ce moment elle est loin, si je le faisais avec une autre, j’aurais l’impression de la tromper et je ne le veux pas.
• Et celui à qui nous avons juré fidélité, tu ne penses pas que nous le cocufions.
• Sœur Thérèse, pourquoi crois-tu que je me sois fait appeler Marie-Madeleine quand j’ai prononcé mes vœux, d’accord, samedi, je t’emmène.
Première nuit, premières passes, il est l’heure de rentrer au couvent bien crevé, mais satisfaite l’une comme l’autre de l’argent amassé grâce à nos chattes.
• Dis, ça n’a pas traîné moins de cinq minutes à attendre et tu t’es fait ton premier client, ça a été.
• Comme sur des roulettes, une fellation pour le mettre en forme et une levrette, 500 € dans notre escarcelle.
Au troisième client, j’ai eu un petit souci.
• À, tiens lequel ?
• J’ai été à deux doigts de jouir.
• C’est normal, Thérèse, nous restons des femmes et nos corps sont prévus pour jouir, tient, moi, il y a trois semaines, tu vas croire que c’est un cliché, c’est un noir très bien membré qui m’a choisi.
Il m’a pris, comme toi, en levrette, j’ai eu un orgasme, il en a profité pour me sodomiser, je ne lui ai pris que 500 € lui faisant cadeau des 500 autres.
Voilà les conversations que nous avons à chaque retour, car celle qui ne conduit pas en profite pour récupérer un peu, il ne faudrait pas louper des clients, ayant les yeux au milieu de la figure.
Tout va bien au couvent, mère Marie-Madeleine a enlevé son voile, elle est répartie en Afrique où elle a retrouvé Joana, nous entretenons une correspondance.
Avant que l'évêque ne me nomme à la tête de notre couvent, j’avais remplacé sœur Astride notre comptable, étant dans la confidence de son départ, nous avons placé une novice à mes côtés, elle s’appelle Virginie, elle a un BTS de comptabilité notre évêque souhaitant que dans les couvents les nones aient un métier utile.
Quand je suis nommée, mère supérieure, Thérèse s’appelant en réalité Blanche ayant récupéré son nom d’avant, me fait une confidence, une fois par mois, dans notre bar à pute, un visiteur du soir venait la rejoindre, c’est à moi de prendre le relais.
Quand il arrive, je comprends qui il est et je prends soin qu’il soit satisfait de ma prestation.
Il va sans dire, que lorsqu’il entre, il a enlevé une certaine soutane violette.
Vous avez compris, c’est lui qui a suggéré que Virginie, n’ayant pas encore son nom de none, soit préparée à prendre ma succession, mais avant que nous lui fassions découvrir pourquoi nous lui demandons de falsifier les comptes afin de rentrer les bénéfices de nos passes.
Je l’ai vu un jour sans son voile, que voulez-vous la chaire est souvent faible et une jolie rousse doublée de mes premiers rapports lesbiens, j’ai craqué.
Pour les autres sœurs, elles applaudissent quand nous leur annonçons le nombre de camions expédiés cette année, elle redouble de coup de binettes pendant que nous redoublons de coup de bite pour soutenir l’aide humanitaire.
Avec sœur Marie-Madeleine, Virginie ayant prononcé ses vœux et ayant voulu perpétuer le nom de la première prostituée devenue saint, nous avons investi dans l’avenir, les légumes même Bio ne sont pas sûrs d’être toujours rentables.
Au départ en retraite de la copine de Blanche, grâce à un crédit obtenu avec l’aide de notre soutien d’un soir par mois, nous avons acheté le bar à pute.
Trente pourcents de nos gains sont réinvestis, finis la lampe à pétrole, nous rejoignons Genève avec la voiture dont le couvent se dote, celle qui va tapiner la prend le soir en sortant normalement par la porte de notre couvent.
Notre protecteur, a habilement trouvé une solution, nous travaillons au bar chacune à notre tour sept jours sur sept, soeur Marie-Madeleine 2 et moi et gérons les trois autres filles qui sont des putes libres, elles nous reversent simplement une part sur leurs passes comme avant avec l’ancienne proprio, nous ne sommes pas des macs.
Bref, notre business est florissant et Blanche et Joana ainsi que toutes les Aides Humanitaire sont satisfaites des camions que nous leur envoyons.
Dans quelque temps, quand je serais fatigué de faire des passes tarifées, comme elles me le disent dans leurs courriers, comme que je viens de m’inscrire à une école d’infirmières, je les rejoindrais et nous pourrons vivre une vie à trois, ne suis-je pas préparé aux cunnilingus et autres fists entre femmes, grâce à notre soeur.
Maman était une bigote qui priait sainte Thérèse, quand elle a su que j’avais perdu ma virginité sur une plage avec Ludo, elle m’a prédit les flammes de l’enfer, si je ne faisais pas repentance.
Ayant vu un signe dans ce sauvetage miraculeux, j’ai respecté ma parole.
Une nuit où j’avais des ennuis gastriques suite au kilo de cerise, au singulier tout de même, que j’avais mangé au moment de leur cueillette, je vois mère Marie-Madeleine sortir du couvent, se diriger vers des maisons abandonnées et en ressortir dans une voiture après c’être apprêté comme une pute.
Les portes n’étant pas fermées à clef, je suis entré, j’ai essayé des fringues dans une armoire quand voulant me reposer, je me suis endormie.
C’est notre mère supérieure qui me réveille à son retour, étonné de me voir là, mais comprenant qu’elle est découverte me donne rendez-vous après nos obligations matinales dans son bureau attenant à sa cellule.
• Entre sœur Thérèse, je te propose de nous tutoyer quand nous sommes toutes les deux, tu connais mon secret, du moins une partie, ça crée des liens.
• Soyons directe, ou vas-tu dans ces tenues provocantes.
• Tu penses que mon histoire est simple, c’est certainement le cas, mais elle est un peu compliquée tout de même, es-tu prête à l’entendre.
• Oui, bien sûr.
• Tout a commencé en Afrique, quand je soignais les enfants africains dans des structures de fortune après un génocide, j’étais jeune sœur fidèle au précepte de notre ordre, rapidement les médicaments sont venus à manquer.
Un soir où j’étais désespéré priant pour qu’un miracle se produise, un avion-cargo non prévu est arrivé et nous avons récupéré de multiples médicaments, j’ignorais d’où ils venaient, car il n’y avait aucun bordereau, juste les caisses.
• Tu y as vu un signe du destin, comme moi après la mort de mon copain et de mes parents.
• Miens que cela, dû très haut, je me suis juré que chaque année, je ferais partir des camions de médicaments vers l’Afrique quand je serais revenue au pays.
C’est à cause des produits Bio que j’ai trouvé ma voie, nos sœurs travaillaient dur, mais sœur Astride notre comptable m’a prévenu que les prix d’achat par le groupement qui travaillait avec nous baissaient, de nombreux producteurs se mettant au Bio.
Un signe du divin m’est arrivé ce jour-là, Arlette une copine d’enfance à demander à me voir, elle avait su que j’étais revenue dans ce couvent près de chez elle.
D’un sujet à l’autre, j’ai compris qu’elle faisait partie des travailleuses du sexe, elle possédait un bar à putes à Genève.
En prenant mes fonctions, avec mère Clotilde qui partait se reposer comme nous le ferons toutes, nous avions fait le tour du couvent et elle m’avait fait voir un trou creusé dans un coin, par un homme qui voulait retrouver sa petite amie que ses parents avaient envoyée ici.
Je devais le faire reboucher avant que nos sœurs le découvrent, prise par ma charge, je l’avais oublié.
Dans la discussion, j’ai vu la possibilité de faire remonter le rendement de nos produits en m’investissant moi-même, Arlette a été surprise quand je l’ai appelé, mais le soir même elle venait me chercher à la sortie du trou quand nos sœurs dormaient et elle m’a conduite à son bar.
Elle ne me croyait pas capable de faire ce que j’ai fait, elle m’a prêté des fringues style de celles que tu as essayées et j’ai rejoint le bar, je n’ai pas eu à me poser des questions longtemps.
Un homme qui venait d’entrer, c’est approché, m’a sollicité et j’ai gagné mes premiers cent euros.
• Étais-tu vierge ?
• Oui et non, oui avec des hommes, mais non avec une femme médecin en Afrique avec qui j’ai eu une aventure.
Elle était mariée au Portugal et avait rejoint les médecins de notre association.
Elle m’a dépucelé avec ses doigts.
• Et la fellation avec un homme ?
• La première, je ne m’en suis pas mal sortie, avec Joana, j’étais devenue la reine du cunnilingus, je la léchais chaque nuit et elle me le rendait bien, cela s’est fini quand elle a rejoint son mari et ses deux enfants.
Nous correspondant toujours, elle m’envoie des lettres enflammées, elle sait que pour aider notre couvent, je fais la pute, je lui raconte mes passes avec mes clients.
Elle me parle de ses amants qu’elle prend comme des Kleenex, cachant son ennui de notre séparation.
C’est notre manière de rester unis, elle a des amants, moi des clients.
Pute et lesbienne, qui lut cru, j’y voyais là un nouveau signe du destin.
• Dis, vas-tu travailler tous les jours ?
• Non, je prendrais trop de risques et il faut que je récupère, c’est presque vingt-quatre heures sans sommeil, sans compter la voiture et les passes, j’y vais le mardi, jeudi et surtout le samedi, je me fais deux fois plus de clients.
• J’ai une idée, j’ignore si tu le sais, j’ai eu un copain et c’est suite à sa mort accidentelle que je suis venue dans un couvent.
• Je suis la Mère supérieure, je connais bien des choses, tu verras quand tu le serras.
• Tu es jeune, tu es là pour un bon moment.
• Par moments, le doute me prend.
• À cause de ce que tu fais !
• Non, Joana a des hauts et des bas avec son mari, ses enfants grandissent et elle pense les quitter, si elle le fait, nous sommes en osmose et j’irai voir notre évêque pour rendre mon voile et la rejoindre, nous retournerions en Afrique, il y a toujours du travail dans l’aide humanitaire.
Tu n’es donc plus vierge.
• Non, je sais baiser, sucer, je faisais des fellations à Ludo, seule la sodomie m’est inconnue, mais s’il le faut, je saurais me sacrifier, si ta copine a une place dans son bar, je voudrais venir avec toi, samedi.
Si tu acceptes, nous ferons entrer deux fois plus d’argent pour acheter des médicaments.
• Je vois un autre avantage si tu as ton permis de conduire.
• Je l’ai, je l’ai passé du temps de Ludo, je voulais épater ma mère qui n’a jamais su, c’est comme pour le vélo, je pense que lorsque l’on a appris, c’est pour la vie.
• C’est comme pour les fellations ou la levrette, nous les femmes, même nones, une fois et on sait en faire à vie.
• Dommage, je n’ai jamais pratiqué les cunnilingus, je pense que c’est pareil.
• Sans moi, ma belle, t’aider à écarter les cuisses pour que nous fassions des camions supplémentaires, je le peux, te brouter le minou, cherches-en une autre, je pourrais te donner les noms de quelques-unes de nos soeurs si le besoin s’en fait sentir.
Moi, dans le léchage de chatte, j’ai ce qu’il faut, même si en ce moment elle est loin, si je le faisais avec une autre, j’aurais l’impression de la tromper et je ne le veux pas.
• Et celui à qui nous avons juré fidélité, tu ne penses pas que nous le cocufions.
• Sœur Thérèse, pourquoi crois-tu que je me sois fait appeler Marie-Madeleine quand j’ai prononcé mes vœux, d’accord, samedi, je t’emmène.
Première nuit, premières passes, il est l’heure de rentrer au couvent bien crevé, mais satisfaite l’une comme l’autre de l’argent amassé grâce à nos chattes.
• Dis, ça n’a pas traîné moins de cinq minutes à attendre et tu t’es fait ton premier client, ça a été.
• Comme sur des roulettes, une fellation pour le mettre en forme et une levrette, 500 € dans notre escarcelle.
Au troisième client, j’ai eu un petit souci.
• À, tiens lequel ?
• J’ai été à deux doigts de jouir.
• C’est normal, Thérèse, nous restons des femmes et nos corps sont prévus pour jouir, tient, moi, il y a trois semaines, tu vas croire que c’est un cliché, c’est un noir très bien membré qui m’a choisi.
Il m’a pris, comme toi, en levrette, j’ai eu un orgasme, il en a profité pour me sodomiser, je ne lui ai pris que 500 € lui faisant cadeau des 500 autres.
Voilà les conversations que nous avons à chaque retour, car celle qui ne conduit pas en profite pour récupérer un peu, il ne faudrait pas louper des clients, ayant les yeux au milieu de la figure.
Tout va bien au couvent, mère Marie-Madeleine a enlevé son voile, elle est répartie en Afrique où elle a retrouvé Joana, nous entretenons une correspondance.
Avant que l'évêque ne me nomme à la tête de notre couvent, j’avais remplacé sœur Astride notre comptable, étant dans la confidence de son départ, nous avons placé une novice à mes côtés, elle s’appelle Virginie, elle a un BTS de comptabilité notre évêque souhaitant que dans les couvents les nones aient un métier utile.
Quand je suis nommée, mère supérieure, Thérèse s’appelant en réalité Blanche ayant récupéré son nom d’avant, me fait une confidence, une fois par mois, dans notre bar à pute, un visiteur du soir venait la rejoindre, c’est à moi de prendre le relais.
Quand il arrive, je comprends qui il est et je prends soin qu’il soit satisfait de ma prestation.
Il va sans dire, que lorsqu’il entre, il a enlevé une certaine soutane violette.
Vous avez compris, c’est lui qui a suggéré que Virginie, n’ayant pas encore son nom de none, soit préparée à prendre ma succession, mais avant que nous lui fassions découvrir pourquoi nous lui demandons de falsifier les comptes afin de rentrer les bénéfices de nos passes.
Je l’ai vu un jour sans son voile, que voulez-vous la chaire est souvent faible et une jolie rousse doublée de mes premiers rapports lesbiens, j’ai craqué.
Pour les autres sœurs, elles applaudissent quand nous leur annonçons le nombre de camions expédiés cette année, elle redouble de coup de binettes pendant que nous redoublons de coup de bite pour soutenir l’aide humanitaire.
Avec sœur Marie-Madeleine, Virginie ayant prononcé ses vœux et ayant voulu perpétuer le nom de la première prostituée devenue saint, nous avons investi dans l’avenir, les légumes même Bio ne sont pas sûrs d’être toujours rentables.
Au départ en retraite de la copine de Blanche, grâce à un crédit obtenu avec l’aide de notre soutien d’un soir par mois, nous avons acheté le bar à pute.
Trente pourcents de nos gains sont réinvestis, finis la lampe à pétrole, nous rejoignons Genève avec la voiture dont le couvent se dote, celle qui va tapiner la prend le soir en sortant normalement par la porte de notre couvent.
Notre protecteur, a habilement trouvé une solution, nous travaillons au bar chacune à notre tour sept jours sur sept, soeur Marie-Madeleine 2 et moi et gérons les trois autres filles qui sont des putes libres, elles nous reversent simplement une part sur leurs passes comme avant avec l’ancienne proprio, nous ne sommes pas des macs.
Bref, notre business est florissant et Blanche et Joana ainsi que toutes les Aides Humanitaire sont satisfaites des camions que nous leur envoyons.
Dans quelque temps, quand je serais fatigué de faire des passes tarifées, comme elles me le disent dans leurs courriers, comme que je viens de m’inscrire à une école d’infirmières, je les rejoindrais et nous pourrons vivre une vie à trois, ne suis-je pas préparé aux cunnilingus et autres fists entre femmes, grâce à notre soeur.
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