COLLECTION ZONE ROUGE. Anna Duval grande actrice de théâtre (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-01-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Anna Duval grande actrice de théâtre (1/1)
Anna Duval, le reportage que je vois sur mon actrice préférée sur FR3 me montre une femme magnifique, que j’adule depuis que je l’ai vu jouer, il y a cinq ans dans le Bourgeois Gentilhomme à la maison des théâtres de notre petite ville.
J’étais encore un Provincial qui est monté à Paris pour réussir, ma spécialité, la magie, je fais apparaître et disparaître des choses depuis que je suis tout petit.
Les premiers temps, j’arrive à décrocher deux ou trois contrats dans des cabarets minables.
Tout s’est déclenché un jour dans le métro, j’allais faire mon numéro dans la boîte la plus pourrie de la capitale, je me tenais à la barre centrale d’un wagon quand une femme sortant certainement de son travail est montée et c’est placé devant moi.
Elle avait son sac en bandoulière, malencontreusement ouvert, c’était trop tentant, en une fraction de seconde son porte-papier était dans ma poche.
Ce soir-là, j’ai fait mon numéro persuadé qu’avant la fin, des policiers viendraient m’arrêter, il n’en fut rien, dans le café où j’avais pris l’habitude de prendre un café mon travail terminé, je l’ai sorti de ma poche et j’ai regardé son contenu.
À part 20 € il n’y avait que des papiers, carte d’identité au nom de Geneviève Lara, elle habite non loin d'ici aussi, je décide de lui rapporter ses papiers pour lui éviter d’avoir tout à refaire.
Mon grand-père qui m’a initié à la magie savait aussi ouvrir toutes portes, cadenas et autres systèmes de fermeture, il avait même fait de la prison pour cambriolage avec des comparses où il devait ouvrir le coffre-fort.
Un jour que je l’interrogeais, il m’a conseillé de travailler en solo, c’est ce que je fais avec comme couverture mon travail au cabaret.
J’ai visité plusieurs appartements, mais ce qui me manquait, c’était un receleur pour fourguer les bijoux nombreux qui s’accumulent dans ma chambre mansardée.
Seul le fric me sert à vivre un peu mieux, je réussis à entrer, forçant le Digicode, appareil moderne, mais complétement inefficace pour un pro comme moi et après avoir lu le nom, M. et Mme Lara, 3e droite, je me retrouve derrière la porte, j’écoute, il est 21 heures, elle doit dormir, car aucun bruit ne filtre.
La porte ne résiste à mon rossignol que cinq secondes et sans bruit j’entre, je suis dans la salle à manger, je viens lui rendre ses papiers, mais pourquoi avoir fait le chemin pour seulement les 20 € que je sens dans ma poche.
C’est à ce moment que j’entends un gémissement, je me rapproche de la source de ce bruit, je constate qu’ils viennent de la chambre, je m’avance sur mes chaussons de danse que je porte quand je suis en mode monte en l’air et grâce à la glace de l’armoire, elle est là devant moi nue, empalé sur la bite de celui qui doit être le M. de la boîte aux lettres.
Elle est assise à califourchon, l’une des positions que j’aime pour la femme quand j’ai des rapports avec une des rares maîtresses que j’ai réussi à séduire.
Il a ses mains sur ses seins et chaque fois qu’elle se redresse pour mieux retomber sur la verge qui la pourfend, elle a un gémissement, je sors ma bite et je me masturbe serrant mes lèvres pour éviter de montrer ma présence.
J’ai souvent vu des films pornos sur Canal, le samedi soir, mais là le porno est en direct avec en plus une actrice simplement entrevue quelques minutes dans le métro.
Quand je baise, j’adore parler, avec des mots crus du type, salope, grosse pute, c'est mon vocabulaire, là seuls ses gémissements me font bander encore plus fort.
Encore quelques coups de bite en elle, c'est de véritable vagissement qui sort de sa bouche, mieux de sa gorge et même du fond de sa gorge, elle a un orgasme, un vrai, pas un orgasme simulé.
Je bas en retraite sans avoir déchargé, la plupart des femmes où des hommes se déplacent dans leur appartement après avoir baisé, c’est le cas là aussi, son mec va dans la cuisine bandant encore à moitié.
Elle boit une gorgée et s’agenouille, j’ai envie de lui caresser les seins comme lui le faisait tout à l’heure, je reprends ma masturbation.
Elle se redresse se déplace jusqu’à la table, se couche les seins posés dessus les jambes écartées, il s’approche, écarte ses fesses et entre en elle.
• Non, sodomise-moi, ma chatte à eux sa ration de plaisir.
La salope, dans le métro, on pouvait la prendre pour une bourgeoise à qui l’on aurait donné le bon Dieu sans confession, là c’est une pute qui présente son cul à la verge qui sort de son vagin pour enter dans sa rosette, il s’en passe de beau chez les bobos.
Il lui remplit le conduit anal dans un grand cri, alors que de mon côté des jets de sperme viennent engluer la porte derrière laquelle je me cache.
Ils retournent dans la chambre, j’entends l’eau couler dans une douche ou une baignoire, il est temps de partir, j’en ai assez vu, mais avant de sortir aussi discrètement que lorsque je suis entré, je vois une veste sur un porte-manteaux, banco le portefeuille de M. est là, je l’ouvre, 3 billets de 500 € qui rejoignent les 20 dans ma poche.
Je repose celui de Geneviève, et je sors les entendant rire dans leur bain.
Dans les jours qui suivent, je recommence à faire le pickpocket et chaque fois que j’ai une adresse, je rends les papiers à leurs propriétaires, c’est comme un jeu pour moi, d’autant plus que huit fois sur dix, je ramasse de quoi vivre avec moins de galère.
Je finis par être un pickpocket reconnu, dans les journaux plusieurs articles que je découpe parle de moi, le rat d’immeuble qui pique le fric, avant de rendre les papiers à leurs propriétaires, mais en leur en prenant chaque fois un peu plus.
Je suis à la limite d’être L’Arsène Lupin moderne.
Ce jour-là, je descends dans le métro, une affiche publicitaire attire mon regard.
« Théâtre du Bon temps, Anna Duval dans « La Catin.
Je vais la voir deux fois, mais je veux l’approcher de plus près, je me faufile dans les coulisses profitant des mouvements importants derrière la scène, j’arrive devant une porte marquée « Anna Duval » entrouverte, nous sommes à quelques minutes de l’entracte.
Je suis fou, j’espère dérober un objet qui me permettra dans ma chambre de me masturber en le touchant, le cajolant, le suçant même.
Une brosse, trop voyante, une bouteille de parfum, pourquoi pas, j’en mets un dans ma poche, parmi les nombreux qui sont sur sa table à maquillage, j’hésite, quand j’entends quelqu’un venir.
Quand on visite des appartements comme je le fais, il faut savoir d’un simple coup d’œil trouver où se replier dans la situation où je me trouve, la cachette est bien là sous cette table me permettant de voir l’intégralité de la loge.
Un homme entre, il a une quarantaine d’années, il est en costume certainement fait sur mesure, il s’assoit sur le canapé où Anna a la possibilité de se reposer et allume un cigare.
Du bruit me prouve que l’entracte est là, Anna apparaît dans sa guêpière les seins à moitié à l’air, ses bas résille tenus par des jarretelles, perchés sur des talons hauts.
Avant la fin de l’entracte, elle enlève ses vêtements tenus principalement par des scratchs apparaissant dans sa magnifique semi-nudité, en gardant ses bas, cette tenue entraînant beaucoup de réactions du public.
La presse a repris ce moment pour faire de la pub sur la pièce et je suis persuadé que grands nombres des spectateurs masculins sont venus pour mater mon actrice favorite.
• Tu es là, Max, je sais ce que tu vas me demander, mais c’est non, tu ne me feras plus faire la pute.
Le terme employé est surprenant venu de cette dame.
Max se lève, envoie une baffe dans la figure d’Anna et l’attrape par les cheveux.
Elle commence à pleurer.
• Sale pute, si je te dis de recevoir notre producteur à la fin de la pièce, tu le reçois et tu fermes ta gueule, ce que tu lui feras avec ton cul, je n’en ai rien à foutre.
Quand je te donne un ordre tu t’exécutes, quand tu te fais sauter dans des séries pornos crades et de bas étage, quand tu avais vingt ans, je t’avais dit que je t’aiderais à sortir de ta fange où tu te trouvais, mais que ton cul m’appartenait et que chaque fois que je te sifflerais tu retrouveras tes habitudes de ces années-là.
• Lâche-moi, je ferais ce que tu voudras, un jour j’aurais ta peau salope.
• Ma pauvre fille, si tu veux, je vais te trouver un « porte-flingue » qui viendra chez moi pour me tirer, mais ce sera à lui à que j’arracherais la tête.
Il la lâche et sort fier de sa tirade, il est vrai que nous sommes dans un théâtre et que si ma vedette favorite avait les yeux secs, on aurait pu croire qu’ils jouaient une scène de la pièce, là elle a tout le mal du monde à récupérer pour la deuxième partie.
Une costumière entre le remplaçant, elle aide l’actrice à mettre son nouveau costume.
• Il vous a encore frappé, si vous voulez, j’ai un bon couteau chez moi, je vais le planter madame.
• Surtout pas, je dois porter ma croix, mais je suis sûr qu’un jour quelqu’un me libérera, il a tellement d’ennemis que je suis sûr que ce moment arrivera.
La pièce se termine sans que je puisse sortir, c’était calme quand je suis arrivé, là je pense qu’il va falloir que j’assiste à ce qui va se passer entre le promoteur et l’actrice qui tournait des pornos quand elle était jeune fille.
C’est un vieux beau qui arrive ferme la porte à clef et sort sa bite de son pantalon.
• Fais-moi bander salope, il paraît que tu as fait des manières.
Sans un mot, elle s’agenouille et prend le salopard dans sa bouche, actrice et pute, j’ignorais que cela était possible.
On voit qu’elle a de l’expérience, les films X forme une femme à toutes ces positions, quand le vieux connard la traite de salope et de pute, lui débitant des mots de plus en plus orduriers, je me jure que la prochaine femme que j’emmènerais dans mon lit, plus un mot de ce genre ne sortira de ma bouche.
• Mets-toi en levrette sur ton canapé, je vais te remplir la chatte, enlève ta culotte.
Le han qui sort de sa bouche, quand il la baise sans aucune précaution, je vois qu’elle a recommencé à pleurer, mais son sabreur n’en a cure, seul son plaisir compte, contrairement à Geneviève, je sais qu’elle restera stoïque, attendant que tout cela se termine.
• Putain, je jouis.
Il range sa queue et au moment de sortir, il lui dit.
• Tu te laveras la chatte plus tard, mets une robe, je vais te présenter à un ami, je lui ai promis que tu passerais la nuit avec lui, continue à être sage et Max aura son fric pour tourner le film qu’il projette avec toi en vedette.
Tu as de la chance d’avoir un agent comme lui.
Elle s’habille pleurant à chaude lame, s’essuyant simplement la chatte avec un mouchoir en papier avant de sortir.
J’arrive à m’extraire de ma cachette très ankylosée et à descendre jusqu’à mon Piaggio, j’attends le producteur qui sort et monte dans sa limousine avec son chauffeur qui lui ouvre la portière.
Anna sort et monte avec un homme dans une autre voiture, la grande actrice va encore se prostituer et cela, je ne le tolère plus.
Je suis la voiture du producteur qui entre dans un garage souterrain, avant que la porte se ferme, j’entre m’étant garé, le vieux beau descend et va pour prendre l’ascenseur, 8e et dernier étage.
J’attends deux heures que tout soit calme dans l’immeuble, je pénètre dans sa chambre et je prends mon fil avec poigner de bois que mon grand-père m’a donné m’interdisant d’avoir une arme à feu.
Le lendemain, je suis Max et je ressors mon fil.
J’ai pu faire le travail sur les deux hommes ayant un coup de chance, le producteur ayant donné des ordres pour que personne ne vienne le déranger.
La presse a titré !
« Deux morts dans l’entourage d’Anna Duval, le producteur et son agent ont été retrouvés chacun chez eux dans leur chambre la tête tranchée certainement par une corde de violon. »
Je suis déçu, il aurait été dangereux de trouver qu’elle était l’homme qui l’a emmenée sur ordre du producteur se faire sauter, car lui aussi aurait été retrouvé avec le même motif et la même punition.
Anna ne sait pas que je veille sur elle, son nouvel agent est un homme complètement différent de Max.
Il prend une commission tout à fait raisonnable à mon égérie, je vais souvent chez lui contrôler tous ses papiers, ainsi que chez Anna que je regarde dormir une grande partie de la nuit et je suis heureux.
La publicité autour de son nom a relancé sa carrière et je la vois partout, au cinéma à la télé, prochainement de nouveau au théâtre.
Je campe près des marches du Palais à Cannes quand elle reçoit les honneurs pour la meilleure actrice.
Il en va de même pour les Césars et peut-être les oscars son dernier film ayant fait un tabac en Amérique.
Merci grand-père, de m’avoir appris ton métier, non, notre passion, en respectant les bonnes règles.
J’étais encore un Provincial qui est monté à Paris pour réussir, ma spécialité, la magie, je fais apparaître et disparaître des choses depuis que je suis tout petit.
Les premiers temps, j’arrive à décrocher deux ou trois contrats dans des cabarets minables.
Tout s’est déclenché un jour dans le métro, j’allais faire mon numéro dans la boîte la plus pourrie de la capitale, je me tenais à la barre centrale d’un wagon quand une femme sortant certainement de son travail est montée et c’est placé devant moi.
Elle avait son sac en bandoulière, malencontreusement ouvert, c’était trop tentant, en une fraction de seconde son porte-papier était dans ma poche.
Ce soir-là, j’ai fait mon numéro persuadé qu’avant la fin, des policiers viendraient m’arrêter, il n’en fut rien, dans le café où j’avais pris l’habitude de prendre un café mon travail terminé, je l’ai sorti de ma poche et j’ai regardé son contenu.
À part 20 € il n’y avait que des papiers, carte d’identité au nom de Geneviève Lara, elle habite non loin d'ici aussi, je décide de lui rapporter ses papiers pour lui éviter d’avoir tout à refaire.
Mon grand-père qui m’a initié à la magie savait aussi ouvrir toutes portes, cadenas et autres systèmes de fermeture, il avait même fait de la prison pour cambriolage avec des comparses où il devait ouvrir le coffre-fort.
Un jour que je l’interrogeais, il m’a conseillé de travailler en solo, c’est ce que je fais avec comme couverture mon travail au cabaret.
J’ai visité plusieurs appartements, mais ce qui me manquait, c’était un receleur pour fourguer les bijoux nombreux qui s’accumulent dans ma chambre mansardée.
Seul le fric me sert à vivre un peu mieux, je réussis à entrer, forçant le Digicode, appareil moderne, mais complétement inefficace pour un pro comme moi et après avoir lu le nom, M. et Mme Lara, 3e droite, je me retrouve derrière la porte, j’écoute, il est 21 heures, elle doit dormir, car aucun bruit ne filtre.
La porte ne résiste à mon rossignol que cinq secondes et sans bruit j’entre, je suis dans la salle à manger, je viens lui rendre ses papiers, mais pourquoi avoir fait le chemin pour seulement les 20 € que je sens dans ma poche.
C’est à ce moment que j’entends un gémissement, je me rapproche de la source de ce bruit, je constate qu’ils viennent de la chambre, je m’avance sur mes chaussons de danse que je porte quand je suis en mode monte en l’air et grâce à la glace de l’armoire, elle est là devant moi nue, empalé sur la bite de celui qui doit être le M. de la boîte aux lettres.
Elle est assise à califourchon, l’une des positions que j’aime pour la femme quand j’ai des rapports avec une des rares maîtresses que j’ai réussi à séduire.
Il a ses mains sur ses seins et chaque fois qu’elle se redresse pour mieux retomber sur la verge qui la pourfend, elle a un gémissement, je sors ma bite et je me masturbe serrant mes lèvres pour éviter de montrer ma présence.
J’ai souvent vu des films pornos sur Canal, le samedi soir, mais là le porno est en direct avec en plus une actrice simplement entrevue quelques minutes dans le métro.
Quand je baise, j’adore parler, avec des mots crus du type, salope, grosse pute, c'est mon vocabulaire, là seuls ses gémissements me font bander encore plus fort.
Encore quelques coups de bite en elle, c'est de véritable vagissement qui sort de sa bouche, mieux de sa gorge et même du fond de sa gorge, elle a un orgasme, un vrai, pas un orgasme simulé.
Je bas en retraite sans avoir déchargé, la plupart des femmes où des hommes se déplacent dans leur appartement après avoir baisé, c’est le cas là aussi, son mec va dans la cuisine bandant encore à moitié.
Elle boit une gorgée et s’agenouille, j’ai envie de lui caresser les seins comme lui le faisait tout à l’heure, je reprends ma masturbation.
Elle se redresse se déplace jusqu’à la table, se couche les seins posés dessus les jambes écartées, il s’approche, écarte ses fesses et entre en elle.
• Non, sodomise-moi, ma chatte à eux sa ration de plaisir.
La salope, dans le métro, on pouvait la prendre pour une bourgeoise à qui l’on aurait donné le bon Dieu sans confession, là c’est une pute qui présente son cul à la verge qui sort de son vagin pour enter dans sa rosette, il s’en passe de beau chez les bobos.
Il lui remplit le conduit anal dans un grand cri, alors que de mon côté des jets de sperme viennent engluer la porte derrière laquelle je me cache.
Ils retournent dans la chambre, j’entends l’eau couler dans une douche ou une baignoire, il est temps de partir, j’en ai assez vu, mais avant de sortir aussi discrètement que lorsque je suis entré, je vois une veste sur un porte-manteaux, banco le portefeuille de M. est là, je l’ouvre, 3 billets de 500 € qui rejoignent les 20 dans ma poche.
Je repose celui de Geneviève, et je sors les entendant rire dans leur bain.
Dans les jours qui suivent, je recommence à faire le pickpocket et chaque fois que j’ai une adresse, je rends les papiers à leurs propriétaires, c’est comme un jeu pour moi, d’autant plus que huit fois sur dix, je ramasse de quoi vivre avec moins de galère.
Je finis par être un pickpocket reconnu, dans les journaux plusieurs articles que je découpe parle de moi, le rat d’immeuble qui pique le fric, avant de rendre les papiers à leurs propriétaires, mais en leur en prenant chaque fois un peu plus.
Je suis à la limite d’être L’Arsène Lupin moderne.
Ce jour-là, je descends dans le métro, une affiche publicitaire attire mon regard.
« Théâtre du Bon temps, Anna Duval dans « La Catin.
Je vais la voir deux fois, mais je veux l’approcher de plus près, je me faufile dans les coulisses profitant des mouvements importants derrière la scène, j’arrive devant une porte marquée « Anna Duval » entrouverte, nous sommes à quelques minutes de l’entracte.
Je suis fou, j’espère dérober un objet qui me permettra dans ma chambre de me masturber en le touchant, le cajolant, le suçant même.
Une brosse, trop voyante, une bouteille de parfum, pourquoi pas, j’en mets un dans ma poche, parmi les nombreux qui sont sur sa table à maquillage, j’hésite, quand j’entends quelqu’un venir.
Quand on visite des appartements comme je le fais, il faut savoir d’un simple coup d’œil trouver où se replier dans la situation où je me trouve, la cachette est bien là sous cette table me permettant de voir l’intégralité de la loge.
Un homme entre, il a une quarantaine d’années, il est en costume certainement fait sur mesure, il s’assoit sur le canapé où Anna a la possibilité de se reposer et allume un cigare.
Du bruit me prouve que l’entracte est là, Anna apparaît dans sa guêpière les seins à moitié à l’air, ses bas résille tenus par des jarretelles, perchés sur des talons hauts.
Avant la fin de l’entracte, elle enlève ses vêtements tenus principalement par des scratchs apparaissant dans sa magnifique semi-nudité, en gardant ses bas, cette tenue entraînant beaucoup de réactions du public.
La presse a repris ce moment pour faire de la pub sur la pièce et je suis persuadé que grands nombres des spectateurs masculins sont venus pour mater mon actrice favorite.
• Tu es là, Max, je sais ce que tu vas me demander, mais c’est non, tu ne me feras plus faire la pute.
Le terme employé est surprenant venu de cette dame.
Max se lève, envoie une baffe dans la figure d’Anna et l’attrape par les cheveux.
Elle commence à pleurer.
• Sale pute, si je te dis de recevoir notre producteur à la fin de la pièce, tu le reçois et tu fermes ta gueule, ce que tu lui feras avec ton cul, je n’en ai rien à foutre.
Quand je te donne un ordre tu t’exécutes, quand tu te fais sauter dans des séries pornos crades et de bas étage, quand tu avais vingt ans, je t’avais dit que je t’aiderais à sortir de ta fange où tu te trouvais, mais que ton cul m’appartenait et que chaque fois que je te sifflerais tu retrouveras tes habitudes de ces années-là.
• Lâche-moi, je ferais ce que tu voudras, un jour j’aurais ta peau salope.
• Ma pauvre fille, si tu veux, je vais te trouver un « porte-flingue » qui viendra chez moi pour me tirer, mais ce sera à lui à que j’arracherais la tête.
Il la lâche et sort fier de sa tirade, il est vrai que nous sommes dans un théâtre et que si ma vedette favorite avait les yeux secs, on aurait pu croire qu’ils jouaient une scène de la pièce, là elle a tout le mal du monde à récupérer pour la deuxième partie.
Une costumière entre le remplaçant, elle aide l’actrice à mettre son nouveau costume.
• Il vous a encore frappé, si vous voulez, j’ai un bon couteau chez moi, je vais le planter madame.
• Surtout pas, je dois porter ma croix, mais je suis sûr qu’un jour quelqu’un me libérera, il a tellement d’ennemis que je suis sûr que ce moment arrivera.
La pièce se termine sans que je puisse sortir, c’était calme quand je suis arrivé, là je pense qu’il va falloir que j’assiste à ce qui va se passer entre le promoteur et l’actrice qui tournait des pornos quand elle était jeune fille.
C’est un vieux beau qui arrive ferme la porte à clef et sort sa bite de son pantalon.
• Fais-moi bander salope, il paraît que tu as fait des manières.
Sans un mot, elle s’agenouille et prend le salopard dans sa bouche, actrice et pute, j’ignorais que cela était possible.
On voit qu’elle a de l’expérience, les films X forme une femme à toutes ces positions, quand le vieux connard la traite de salope et de pute, lui débitant des mots de plus en plus orduriers, je me jure que la prochaine femme que j’emmènerais dans mon lit, plus un mot de ce genre ne sortira de ma bouche.
• Mets-toi en levrette sur ton canapé, je vais te remplir la chatte, enlève ta culotte.
Le han qui sort de sa bouche, quand il la baise sans aucune précaution, je vois qu’elle a recommencé à pleurer, mais son sabreur n’en a cure, seul son plaisir compte, contrairement à Geneviève, je sais qu’elle restera stoïque, attendant que tout cela se termine.
• Putain, je jouis.
Il range sa queue et au moment de sortir, il lui dit.
• Tu te laveras la chatte plus tard, mets une robe, je vais te présenter à un ami, je lui ai promis que tu passerais la nuit avec lui, continue à être sage et Max aura son fric pour tourner le film qu’il projette avec toi en vedette.
Tu as de la chance d’avoir un agent comme lui.
Elle s’habille pleurant à chaude lame, s’essuyant simplement la chatte avec un mouchoir en papier avant de sortir.
J’arrive à m’extraire de ma cachette très ankylosée et à descendre jusqu’à mon Piaggio, j’attends le producteur qui sort et monte dans sa limousine avec son chauffeur qui lui ouvre la portière.
Anna sort et monte avec un homme dans une autre voiture, la grande actrice va encore se prostituer et cela, je ne le tolère plus.
Je suis la voiture du producteur qui entre dans un garage souterrain, avant que la porte se ferme, j’entre m’étant garé, le vieux beau descend et va pour prendre l’ascenseur, 8e et dernier étage.
J’attends deux heures que tout soit calme dans l’immeuble, je pénètre dans sa chambre et je prends mon fil avec poigner de bois que mon grand-père m’a donné m’interdisant d’avoir une arme à feu.
Le lendemain, je suis Max et je ressors mon fil.
J’ai pu faire le travail sur les deux hommes ayant un coup de chance, le producteur ayant donné des ordres pour que personne ne vienne le déranger.
La presse a titré !
« Deux morts dans l’entourage d’Anna Duval, le producteur et son agent ont été retrouvés chacun chez eux dans leur chambre la tête tranchée certainement par une corde de violon. »
Je suis déçu, il aurait été dangereux de trouver qu’elle était l’homme qui l’a emmenée sur ordre du producteur se faire sauter, car lui aussi aurait été retrouvé avec le même motif et la même punition.
Anna ne sait pas que je veille sur elle, son nouvel agent est un homme complètement différent de Max.
Il prend une commission tout à fait raisonnable à mon égérie, je vais souvent chez lui contrôler tous ses papiers, ainsi que chez Anna que je regarde dormir une grande partie de la nuit et je suis heureux.
La publicité autour de son nom a relancé sa carrière et je la vois partout, au cinéma à la télé, prochainement de nouveau au théâtre.
Je campe près des marches du Palais à Cannes quand elle reçoit les honneurs pour la meilleure actrice.
Il en va de même pour les Césars et peut-être les oscars son dernier film ayant fait un tabac en Amérique.
Merci grand-père, de m’avoir appris ton métier, non, notre passion, en respectant les bonnes règles.
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