COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (6/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ZONE ROUGE. Croisière dans les îles de Méditerranée (6/7)
Pour la première fois depuis que le bateau de croisière devant faire le tour des îles de la Méditerranée, offert par mon mari que je viens de visiter à l’infirmerie.
Mon sexe semble être ignoré par Louis qui m’invite à venir lui porter bonheur au casino du bateau.
Tant mieux, la pommade que le toubib du bord vient de m’appliquer sur mon cul rebondi, commence à faire effet et je reste derrière Louis, mari de Violette femme elle aussi à la cuisse légère.
Ou est-elle en ce moment, je l’ignore, mais elle doit lui faire porter de belles cornes, car les sommes s’accumulent sur la carte bancaire directement introduite dans la machine.
Dans nos premières années de mariage avec Justin, nous sommes allés en vacances au bord de mer, à Royan.
Mais nous sommes restés sur terre nous baignant sur la plage naturiste de la grande côte, c’était la mode à cette époque.
Un soir, nous sommes allées au casino de la ville voisine de Pontaillac avec des amis eux aussi présents sur cette côte.
Le mode de fonctionnement était bien différent, nous avions acheté des jetons que nous introduisions dans une machine appelée « bandit manchot. »
Ces machines étaient déjà plus sophistiquées que de vieux modèle où il fallait tirer sur un levier pour faire tourner des cylindres.
Du moins c’est dont je me souviens de l’explication de Ronald qui nous avait emmené claquer notre argent, ce nom venant de l’argot du temps de ces vieilles machines et de ce levier.
Pour faire tourner nos machines, il y avait déjà des boutons qui au bout du compte vous bouffaient les quelques sous que vous aviez apportés.
• Wendy, nous avons gagné 2 200 €, la moitié te revient, tu es une véritable porte chance, je vais les sortir en liquide et te les donner, les bons comptes faisant les bons amis !
• Louis, j’ai bien d’autres problèmes que cet argent, garde les et fais un cadeau à Violette !
Je suis à deux doigts de lui dire, « surtout si elle te fait cocu et c’est là qu’a été sa chance. »
Mais je me tais inutile de mettre le binz dans leur ménage, est bien cocu celui qui le veut.
Prenez Justin, il aurait résisté au mal de mer, nous serions ensemble en ce moment et Vladimir comme Vénus n’aurait pas réussi à me faire dévier du droit chemin.
On se console comme l’on peut des faiblesses que nous avons eues.
Je quitte Louis et je rejoins ma cabine.
• Wendy, je te cherchais, peux-tu venir dans notre cabine, Louis m’a dit pour les gains qu’il a faits au Casino avec toi comme mascotte.
Merci de lui avoir dit de me faire un cadeau sur la part qu’il voulait te donner.
Comme je l’ai dit, j’ai rejoint ma cabine et je m’étais mis dans un des sièges en tissu fourni par la compagnie et que j’ai placée sur le balcon de notre cabine.
Cela fait une heure que je profite de l’air marin, lorsque l’on frappe à ma porte.
Ce moment de détente avec la pommade serviablement étalé sur mon postérieur par le toubib a commencé à me soulager.
Je serais bien resté ainsi surtout que Vladimir ou l’un de ses officiers de quart vient de nous signaler que nous commençons à contourner l’île de Lesbos.
À ce moment je suis seule, mais je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Comme moi, Vénus a-t-elle entendu l’annonce de l’île où tous semblent avoir commencé pour les filles aimant les filles, Saphos n’étant pas étrangère à l’affaire.
Je pourrais demander à Bastien de me dire où je peux la retrouver à bord, mais mes fesses me font dire qu’il est préférable que je l’évite au maxi du temps présent et à l’avenir.
Dans mon délire avec le toubib, une partie de ce qu’il m’a dit me remonte à la mémoire.
« Je viens de lui changer la poche de traitement et afin qu’il se réveille, j’ai commencé à diminuer les doses le faisant dormir. »
Supposons que demain ou après-demain, il me le rende redevenu un homme présentable et surtout en bonne santé.
Ensemble, nous sommes souvent nus et je me vois mal lui expliquer que Saphos ayant dû agir sur nous, je me suis gouinée avec Vénus et qu’en prime elle m’a placé une première ceinture autour de mes poignets pour mieux me faire fouetter le cul avec sa deuxième.
Avant mon mariage j’ai réussi à lui cacher ma liaison avec Amila, j’avais peur que cette déviance féminine, le trouble et qu’il ne me quitte de peur de me voir revenir un jour à ce penchant féminin.
Lui avouer que pendant son coma provoqué, j’avais joué à des jeux sadomasos avec cette jeune fille guère plus vieille que nos enfants, je prends peur de ce que j’ai accepté de faire.
Sans parler de Vladimir où je l’ai carrément trompé alors qu’il était à l’article de la mort.
En un mot, je suis une salope qui craque à la moindre sollicitation comme si le sexe avec lui soit inexistant.
C’est ainsi qu’une fois encore je suis mon amie Violette, comme les moutons de Panurge on suivit leur berger et tombé de la falaise tous bêtement ayant suivi.
Ce que j’ignore, c’est si cette expression est la suite d’histoires grecques venu de la mythologie ou de tout autre pays du coin ou nous nous trouvons.
La mythologie étant une source de bon nombre de citations passées à la postérité.
J(aurais été chez moi, j’aurais demandé à Wikipédia, mais ici, j’ignore même si les réseaux fonctionnent, mon portable étant bien au chaud au fond de mon sac à main.
• Entre Wendy, j’espère que tu aimes le whisky, j’ai demandé à Bastien de nous en amener une bouteille avec des verres.
C’est Louis qui est dans un des fauteuils identiques au nôtre, les cabines de première étant toutes sur le même modèle.
• Louis m’a dit que vous avez eu une veine de cocu !
C’est le moment où l’on frappe à la porte, Violette se déplace pour ouvrir.
• Bastien, Louis vient de nous dire qu’il avait eu une veine de cocu, ce qui est faux, je faisais la sieste et j’étais sage comme une image.
Nous nous connaissons depuis l’an dernier et même si j’ai pris un an de bouteille de plus, suis-je toujours aussi bandante.
Réponds-moi sans la moindre hésitation Wendy est en âge de tout entendre.
• Ce que nous avons fait l’an passé, j’espérais bien que vous me redemanderiez de recommencer cette année.
• Wendy, je vais te faire une confidence entre amies.
Louis adore regarder les autres baisers, viens m’aider à défaire le Tergal de Bastien, tu verras, il en a une bien plus grosse que Vladimir ou Louis.
Pose ton plateau et viens ici.
Que disais-je sur ma soumission à la moindre sollicitation, si le toubib l’avait voulue, j’aurais accepté de tromper Justin à quelques mètres de lui ?
Violette ordonne et je m’agenouille comme elle le fait et rapidement la queue de Bastien est dans nos mains et nos bouches de chaque côté de cette verge qui certes est plus impressionnante que celle de Vladimir.
Comment Violette sait-elle que Vladimir est moins monté que Bastien, elle qui espérait ouvrir le bal comme je l’ai fait lors de la soirée d’ouverture de la croisière ?
Je me poserais ces questions ultérieurement car Bastien prenant sa bite en main à notre place me la fourre carrément dans ma bouche.
C’est à ce moment qu’on frappe à la porte de la cabine.
Une nouvelle fois, Violette étant la plus rapproché de la porte et moi étant prise jusqu’à ma glotte par cette bite que j’ai du mal à faire entrer, elle se redresse et va entrouvrir la porte.
• C’est moi Alain, j’ai apporté le tube de pommade qu’Aurélien le toubib m’a fait passer pour faire disparaitre les traces se trouvant sur les fesses de madame Wendy.
Annabel à l’office m’a dit qu’elle était ici, pouvez-vous lui donner ?
Entendant ce que dit Alain, ma bouche étant obstruée, mais pas mes oreilles malgré le bruit des moteurs, je me mets à rougir.
Comment cet impertinent peut-il dire à tout le monde que je dois me pommader le train arrière, autant leur dire directement que j’ai cédé à Vénus sous ses coups de la ceinture de mon mari ?
• Entrez cher ami, nous étions en train de nous amuser avec Bastien, depuis le temps que tu me promets de venir dans ma cabine, Wendy s’occupe de Bastien je vais m’occuper de toi.
Mon mari est là mais il est candaulisme, il adore voir sa femme baiser !
Incroyable de persuasion, Violette à ouvert la porte de la cabine, permettant à ce garçon tenant le bar de la piscine de me voir alors que je pompe son copain Bastien.
Il entre sa boîte de pommade en main qu’il pose avant à son tour d’ouvrir la braguette de son Tergal identique comme la chemisette blanche que Bastien a encore sur lui son futal étant à ses pieds.
Les hommes comme les femmes de service aux passagers ont un uniforme identique avec sur la poitrine, le sigle et le nom de la compagnie maritime qui possède ce géant des mers.
À la vitesse où il a réagi, sans sourciller lorsqu’il voit la situation dans laquelle je suis, ces petites soirées entre adulte, doivent être fréquentes à bord de ces bateaux de croisière.
Je veux me dédouaner, de ce que je fais en suçant le mettant jusqu’au fond de ma gorge mon nouvel amant, Justin savait-il que ces croisières avaient pour habitude des débordements sexuels et avait-il en vue que nous aussi nous pratiquions l’échangisme ?
• Viens là grand fou, je savais bien qu’un jour ta verge serait mienne.
Sans plus attendre, comme moi je le fais elle suce cette nouvelle jeune bite.
Je devrais fuir et me réfugier dans la cabine voisine, la fermant à double tour, mais Bastien bande tellement que ce serait malice de le laisser dans un tel état.
Une nouvelle fois un homme tout juste un peu plus grand qu’un adolescent le relève, me dénude et me faisant tomber sur le lit, me fait attendre pour me prendre le temps de mettre la capote qu’il a sortie de sa poche...
Mon sexe semble être ignoré par Louis qui m’invite à venir lui porter bonheur au casino du bateau.
Tant mieux, la pommade que le toubib du bord vient de m’appliquer sur mon cul rebondi, commence à faire effet et je reste derrière Louis, mari de Violette femme elle aussi à la cuisse légère.
Ou est-elle en ce moment, je l’ignore, mais elle doit lui faire porter de belles cornes, car les sommes s’accumulent sur la carte bancaire directement introduite dans la machine.
Dans nos premières années de mariage avec Justin, nous sommes allés en vacances au bord de mer, à Royan.
Mais nous sommes restés sur terre nous baignant sur la plage naturiste de la grande côte, c’était la mode à cette époque.
Un soir, nous sommes allées au casino de la ville voisine de Pontaillac avec des amis eux aussi présents sur cette côte.
Le mode de fonctionnement était bien différent, nous avions acheté des jetons que nous introduisions dans une machine appelée « bandit manchot. »
Ces machines étaient déjà plus sophistiquées que de vieux modèle où il fallait tirer sur un levier pour faire tourner des cylindres.
Du moins c’est dont je me souviens de l’explication de Ronald qui nous avait emmené claquer notre argent, ce nom venant de l’argot du temps de ces vieilles machines et de ce levier.
Pour faire tourner nos machines, il y avait déjà des boutons qui au bout du compte vous bouffaient les quelques sous que vous aviez apportés.
• Wendy, nous avons gagné 2 200 €, la moitié te revient, tu es une véritable porte chance, je vais les sortir en liquide et te les donner, les bons comptes faisant les bons amis !
• Louis, j’ai bien d’autres problèmes que cet argent, garde les et fais un cadeau à Violette !
Je suis à deux doigts de lui dire, « surtout si elle te fait cocu et c’est là qu’a été sa chance. »
Mais je me tais inutile de mettre le binz dans leur ménage, est bien cocu celui qui le veut.
Prenez Justin, il aurait résisté au mal de mer, nous serions ensemble en ce moment et Vladimir comme Vénus n’aurait pas réussi à me faire dévier du droit chemin.
On se console comme l’on peut des faiblesses que nous avons eues.
Je quitte Louis et je rejoins ma cabine.
• Wendy, je te cherchais, peux-tu venir dans notre cabine, Louis m’a dit pour les gains qu’il a faits au Casino avec toi comme mascotte.
Merci de lui avoir dit de me faire un cadeau sur la part qu’il voulait te donner.
Comme je l’ai dit, j’ai rejoint ma cabine et je m’étais mis dans un des sièges en tissu fourni par la compagnie et que j’ai placée sur le balcon de notre cabine.
Cela fait une heure que je profite de l’air marin, lorsque l’on frappe à ma porte.
Ce moment de détente avec la pommade serviablement étalé sur mon postérieur par le toubib a commencé à me soulager.
Je serais bien resté ainsi surtout que Vladimir ou l’un de ses officiers de quart vient de nous signaler que nous commençons à contourner l’île de Lesbos.
À ce moment je suis seule, mais je suis à deux doigts d’éclater de rire.
Comme moi, Vénus a-t-elle entendu l’annonce de l’île où tous semblent avoir commencé pour les filles aimant les filles, Saphos n’étant pas étrangère à l’affaire.
Je pourrais demander à Bastien de me dire où je peux la retrouver à bord, mais mes fesses me font dire qu’il est préférable que je l’évite au maxi du temps présent et à l’avenir.
Dans mon délire avec le toubib, une partie de ce qu’il m’a dit me remonte à la mémoire.
« Je viens de lui changer la poche de traitement et afin qu’il se réveille, j’ai commencé à diminuer les doses le faisant dormir. »
Supposons que demain ou après-demain, il me le rende redevenu un homme présentable et surtout en bonne santé.
Ensemble, nous sommes souvent nus et je me vois mal lui expliquer que Saphos ayant dû agir sur nous, je me suis gouinée avec Vénus et qu’en prime elle m’a placé une première ceinture autour de mes poignets pour mieux me faire fouetter le cul avec sa deuxième.
Avant mon mariage j’ai réussi à lui cacher ma liaison avec Amila, j’avais peur que cette déviance féminine, le trouble et qu’il ne me quitte de peur de me voir revenir un jour à ce penchant féminin.
Lui avouer que pendant son coma provoqué, j’avais joué à des jeux sadomasos avec cette jeune fille guère plus vieille que nos enfants, je prends peur de ce que j’ai accepté de faire.
Sans parler de Vladimir où je l’ai carrément trompé alors qu’il était à l’article de la mort.
En un mot, je suis une salope qui craque à la moindre sollicitation comme si le sexe avec lui soit inexistant.
C’est ainsi qu’une fois encore je suis mon amie Violette, comme les moutons de Panurge on suivit leur berger et tombé de la falaise tous bêtement ayant suivi.
Ce que j’ignore, c’est si cette expression est la suite d’histoires grecques venu de la mythologie ou de tout autre pays du coin ou nous nous trouvons.
La mythologie étant une source de bon nombre de citations passées à la postérité.
J(aurais été chez moi, j’aurais demandé à Wikipédia, mais ici, j’ignore même si les réseaux fonctionnent, mon portable étant bien au chaud au fond de mon sac à main.
• Entre Wendy, j’espère que tu aimes le whisky, j’ai demandé à Bastien de nous en amener une bouteille avec des verres.
C’est Louis qui est dans un des fauteuils identiques au nôtre, les cabines de première étant toutes sur le même modèle.
• Louis m’a dit que vous avez eu une veine de cocu !
C’est le moment où l’on frappe à la porte, Violette se déplace pour ouvrir.
• Bastien, Louis vient de nous dire qu’il avait eu une veine de cocu, ce qui est faux, je faisais la sieste et j’étais sage comme une image.
Nous nous connaissons depuis l’an dernier et même si j’ai pris un an de bouteille de plus, suis-je toujours aussi bandante.
Réponds-moi sans la moindre hésitation Wendy est en âge de tout entendre.
• Ce que nous avons fait l’an passé, j’espérais bien que vous me redemanderiez de recommencer cette année.
• Wendy, je vais te faire une confidence entre amies.
Louis adore regarder les autres baisers, viens m’aider à défaire le Tergal de Bastien, tu verras, il en a une bien plus grosse que Vladimir ou Louis.
Pose ton plateau et viens ici.
Que disais-je sur ma soumission à la moindre sollicitation, si le toubib l’avait voulue, j’aurais accepté de tromper Justin à quelques mètres de lui ?
Violette ordonne et je m’agenouille comme elle le fait et rapidement la queue de Bastien est dans nos mains et nos bouches de chaque côté de cette verge qui certes est plus impressionnante que celle de Vladimir.
Comment Violette sait-elle que Vladimir est moins monté que Bastien, elle qui espérait ouvrir le bal comme je l’ai fait lors de la soirée d’ouverture de la croisière ?
Je me poserais ces questions ultérieurement car Bastien prenant sa bite en main à notre place me la fourre carrément dans ma bouche.
C’est à ce moment qu’on frappe à la porte de la cabine.
Une nouvelle fois, Violette étant la plus rapproché de la porte et moi étant prise jusqu’à ma glotte par cette bite que j’ai du mal à faire entrer, elle se redresse et va entrouvrir la porte.
• C’est moi Alain, j’ai apporté le tube de pommade qu’Aurélien le toubib m’a fait passer pour faire disparaitre les traces se trouvant sur les fesses de madame Wendy.
Annabel à l’office m’a dit qu’elle était ici, pouvez-vous lui donner ?
Entendant ce que dit Alain, ma bouche étant obstruée, mais pas mes oreilles malgré le bruit des moteurs, je me mets à rougir.
Comment cet impertinent peut-il dire à tout le monde que je dois me pommader le train arrière, autant leur dire directement que j’ai cédé à Vénus sous ses coups de la ceinture de mon mari ?
• Entrez cher ami, nous étions en train de nous amuser avec Bastien, depuis le temps que tu me promets de venir dans ma cabine, Wendy s’occupe de Bastien je vais m’occuper de toi.
Mon mari est là mais il est candaulisme, il adore voir sa femme baiser !
Incroyable de persuasion, Violette à ouvert la porte de la cabine, permettant à ce garçon tenant le bar de la piscine de me voir alors que je pompe son copain Bastien.
Il entre sa boîte de pommade en main qu’il pose avant à son tour d’ouvrir la braguette de son Tergal identique comme la chemisette blanche que Bastien a encore sur lui son futal étant à ses pieds.
Les hommes comme les femmes de service aux passagers ont un uniforme identique avec sur la poitrine, le sigle et le nom de la compagnie maritime qui possède ce géant des mers.
À la vitesse où il a réagi, sans sourciller lorsqu’il voit la situation dans laquelle je suis, ces petites soirées entre adulte, doivent être fréquentes à bord de ces bateaux de croisière.
Je veux me dédouaner, de ce que je fais en suçant le mettant jusqu’au fond de ma gorge mon nouvel amant, Justin savait-il que ces croisières avaient pour habitude des débordements sexuels et avait-il en vue que nous aussi nous pratiquions l’échangisme ?
• Viens là grand fou, je savais bien qu’un jour ta verge serait mienne.
Sans plus attendre, comme moi je le fais elle suce cette nouvelle jeune bite.
Je devrais fuir et me réfugier dans la cabine voisine, la fermant à double tour, mais Bastien bande tellement que ce serait malice de le laisser dans un tel état.
Une nouvelle fois un homme tout juste un peu plus grand qu’un adolescent le relève, me dénude et me faisant tomber sur le lit, me fait attendre pour me prendre le temps de mettre la capote qu’il a sortie de sa poche...
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Les avis des lecteurs
Olga pourquoi "pauvre Justin"?
Il dort tranquillement alors que sa femme se bat contre ses démons...
Il dort tranquillement alors que sa femme se bat contre ses démons...
Pauvre Justin!