COLLECTION ZONE ROUGE. Ignominie ! (2/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Ignominie ! (2/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION ZONE ROUGE. Ignominie ! (2/2)
Venue à l’appel de maman dans un bistrot que je fréquente avec des copains, je me retrouve dans une situation insolite.
C’est dans l’arrière-salle que je la retrouve dans une situation plus que délicate pour elle et pour moi.
Je savais déjà que le démon du jeu avait certainement été la cause de la disparition de papa.
J’en ai la confirmation par monsieur Adolphe, il aurait fini immergé avec des chaussures en ciment aux pieds.
Maman avait la même addiction et c’est là que j’apprends qu’elle m’a vendu à cet homme, monsieur Adolphe le patron de ce café et d’un lieu qui s’appelle le château.
Le château bien connu des amateurs de femmes de petites vertus, ou je comprends que je vais aller grossir les rangs des escortes qui tapinent là-haut.
En peu de temps, je suce les verges de trois hommes, je me fais défoncer la chatte finissant par une sodomie de Bruno, appelé le manchot dans notre ville.
Je suis à deux doigts de laisser, maman, se démerder avec ces hommes et sa dette, mais lorsque je comprends qu’elle aussi va perdre une main, je cède à l’injonction de ce fumier d’Adolphe.
Maman doit assister à ma déchéance, alors qu’elle était prête à détaller me laissant avec mon destin.
Tout ce joli monde ignorait que moi aussi j’avais des envies de luxe et de luxure.
Dépucelé de partout, je tente mon va-tout.
Je rejoins Adolphe, refusant de l’appeler, monsieur, un maquereau, un mac, comment pourrais-je lui dire monsieur surtout s’il a tué mon papa.

• Juliette que fais-tu, pourquoi viens-tu sur mes genoux ?
• Je veux bien faire la pute pour toi, mais je veux aussi avoir une place près de toi.

La machette est posée sur la table, je la prends en main et je la pose sur sa braguette de pantalon.

• Tu te trompes, mes putes, ce sont mes putes, je sens que tu es douée pour en devenir une.
Impossible donc que tu sois ma maîtresse, il faut éviter de mélanger boulot et plaisir sinon l’on finit comme ton père.

À ces mots maman me montre qu’il lui reste quelques larmes dans son corps.

• Je serais là pour te défendre, monsieur, vous vous êtes bien amusé avec mes intimités, maintenant c’est moi qui prends les choses en mains avec Adolphe.
Avez-vous une remarque à faire ?

Tous baisse la tête, Adolphe me regardant avec amusement.
Je sens que j’aurais pu prendre le poids sur tout ce petit monde, mais je voulais comprendre le fonctionnement de tous ce bisness avant de leur faire voir qui j’étais.
Adolphe a un jean à boutons apparent, un par un, la machette les fait sauter coupant même la ceinture.
Je sors sa verge, il bande déjà, je m’empale scellant notre pacte.
Le plus dur ça aura été de lui prendre la bouche et de lui faire croire que c’est par passion.
Lorsqu’un orgasme me frappe, j’ai un instant peur de lui faire voir que je suis une femme faible, mais je vois qu’il est fier de m’avoir amené à la jouissance.

• Maman, tire-toi, non attend, lorsque tu auras franchi cette porte, si tu as le malheur de te retrouver devant Adolphe et moi, car tu as rejoué, c’est moi personnellement qui te couperais une main.
Va te faire pendre ailleurs, messieurs, j’espère que vous avez compris que je réserverais ma et chatte et mon cul à mes clients et à Adolphe chaque fois qu’il aura envie de moi.

C’est ainsi que je prends une partie du pouvoir sur cet homme et ses adjoints dès qu’il m’arrose de long jets de spermes.

• Aldo, j’ai un rendez-vous à midi, monte notre petite recrue à madame Alice, qu’elle lui trouve une chambre et qu’elle la mette au parfum de ce que j’attends d’elle.

C’est ainsi que je me retrouve au château, cette vieille baptiste possède une tour de guet comme bon nombre de châteaux de l’époque médiévale en possèdent.
Il y a même un chemin de ronde avec ses créneaux qui devaient servir à repousser des assauts, si tenté que des armées soient passées par là.
L’intérieur a été aménager pour le confort des filles et des clients.
Ma chambre est agréable à un détail près, ce sont des chambres borgnes aucune fenêtre qui pourrait profiter aux filles pour s’échapper.
Madame Alice doit être une vieille pute, recasé là pour diriger le bordel.
À midi, nous nous retrouvons dans une salle qui devait être celle d’armes.
J’ai trouvé des tenues sexy à mes dimensions, je viens de descendre lorsque j’entends des hurlements.
Dès ces premiers moments, j’apprends l’un des fonctionnements du château.

• Amenez-moi, Ludivine, mesdemoiselles, voyez, comment vous serez traitée si comme elle, vous essayez de vous échapper.

C’est tiré par ses cheveux que deux hommes vus pour la première fois font entrer cette jeune Ludivine entièrement nue.
Un peu plus vieille que moi, environ deux à trois ans, elle est très bien foutue surtout qu’elle est rousse de partout, sa chatte me montrant sa rousseur même là.

• Madame Alice, je vous promets, c’était une erreur, donné-moi une seconde chance !
• Mesdemoiselles, Ludivine était prévenue comme les douze filles qui travaillent ici le sont, aucune tolérance à ce qu’elle a fait, Aldo, conduisez cette fille au chantier où elle ira faire de l’abatage.
Trente à quarante coups de queue par jour pendant trois mois, ça lui enlèvera le gout de recommencer.
Après vous la mettrez sans le cargo direction l’Afrique, elle finira sa carrière à bouffer de belles verges noires.

Aldo a tiré Ludivine vers la sortie de nouveau par les cheveux, je venais d’apprendre une chose qui pourra me servir si le besoin s’en fait sentir.
Dès le premier après midi et avant la soirée je suis assise dans la salle de bar où les clients viennent nous choisir pour aller baiser.
Neuf clients dès le premier soir, j’aurais pu croire que j’étais la nouveauté avant qu’Adolphe me récupère dans sa chambre.
Passé après la bite des clients montrent le peu de cas qu’il fait des vagins comme le mien.
Un avantage, de fréquente altercation entre filles se fait jour, moi j’y échappe, elles doivent avoir peur de la possibilité que j’ai auprès de notre maquereau.

Un soir, je suis près du bar où les filles attendent les clients, j’ai la surprise de voir un homme arrivé que je connais bien, le pharmacien.

• Juliette, comment se fait-il que tu travailles ici, tu as arrêté tes études.
• Oui, je devais soutenir, maman, c’est le moyen le plus rapide que j’ai trouvé pour l’aider.
• C’est formidable, je t’offre un verre, après nous irons dans ta chambre, chaque fois que je voyais tes boucles blondes, je révais de te serrer dans mes bras !
• Madame Berthe votre femme va bien, mais je vous taquine si vous venez au château, c’est que vous êtes insatisfait avec elle.

René vient régulièrement me voir dans les semaines qui suivent, il est membre du conseil municipal et il multiplie les réunions auprès de Berthe.
Je trouve rapidement son point faible, la sodomie, Berthe lui refuse ce plaisir, moi je la pratique depuis que Bruno m’a dépucelé le cul, ça fidélise un homme comme René.
Il va m’aider sans le savoir dans mon entreprise dès que je suis prête.
Ça arrive un jour, j’ai bien travaillé ce soir et j’ai de plus en plus de poids sur les gens du château.
Je suis dans mon bain lorsque Adolphe arrive, je lui ai préparé son whisky qu’il adore boire lorsqu’il vient me rejoindre.

• Je suis crevé ce soir, merci de m’avoir préparé mon whisky, Juliette.

Voilà comment Adolphe dort avant de se réveiller les pieds dans une bassine de ciment.
La bassine et le ciment à prose rapide, il y en avait dans une remise que j’ai découverte en visitant le château.
Dans son whisky, j’y ai mis du somnifère fourni discrètement par René.
Je lui ai fait croire que j’avais des insomnies, mais qu’il fallait qu’il me donne des somnifères en flacon liquide, ma gorge ayant du mal à faire passer des gélules.
Adolphe dormait comme un bébé lorsque je l’ai tiré par les pieds pour les lui tremper dans le ciment à prise rapide.
Lorsque le ciment est assez pris, je le secoue pour le réveiller.

• Salope qu’est-ce que tu m’as fait, libère mes pieds immédiatement.
• Tu as tué mon papa, il t’attend au large du port, je pense que vous allez bien vous entendre tous les deux.

Je fais venir Aldo et Bruno pour qu’il prenne la camionnette servant à acheminer les vivres pour tout mon petit monde.
Quel plaisir dans la nuit de voir son corps plonger vers les abimes pour l’éternité.
Dans les jours qui suivent je prends tout en main, je suis la reine du château et du coffre ou j’ai à ma disposition les liquidités et les actes de propriété de tous les biens amassés par Adolphe.
Mon histoire pourrait s’arrêter là, j’ai fait fortune comme je l’avais prévu grâce à un peu de ciment et une bassine sans oublier le somnifère.

• Maman que fais-tu là, je t’avais pourtant prévenu !
• J’ai craqué, j’ai fait une petite partie de poker qui s’est éternisée et j’ai de nouveau perdu une grosse somme.
• Que tu me dois, c’est moi qui t’ai financé.
• Vas-tu me couper la main ?
• Non, Aldo, tu conduisis maman au chantier et lorsque l’autobus lui sera passé dessus, tu la mettras dans un cargo pour qu’elle aille sucer de la bite noire.

Je sais c’est une ignominie de faire cela à sa mère, mais que voulez-vous, madame Alice m’a dit avoir connu papa qui a rénové mon château, les actes éprouvants que tout est à moi.
Maman, l’a trahi avec Adolphe qui lui-même l’a jeté comme une malpropre.
Qui parle d’ignominie !

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