COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (3/5)
Autour de moi, vole un paquet de billets de 500 €.
Ça fait bien des jours que mon homme, Léon celui qui m’a dépucelée me rapporte des billets ou autres bijoux.
Je sais, je suis avec un truand, mais un truand que j’aime.
Comme le disait la môme Piaf, mon homme, je l’ai dans la peau.
Il faut dire qu’en plus d’être beau, c’est une vraie bête de sexe.
Surtout lorsqu’il revient d’un coup.
Il m’éclate la chatte à son retour l’adrénaline devant lui faire de l’effet.
Pas une fois, il me laisse au bord du chemin, chaque fois j’ai des orgasmes dévastateurs.
À ce jour, j’arrive à jongler entre mon père et mon homme.
Adeline connaissant ma liaison même si elle ignore l’homme réel qu’il est, m’aide me couvrant si besoin .
Lorsqu’il monte sur des coups ou qu’il gagne de l’argent en jouant au poker toute la nuit, officiellement je suis chez elle.
Ces parties sans fin m’emmerdent, mais comme il est chanceux, c’est toujours moi qui suis bénéficiaire.
Quand je lui demande quelques billets, ils me les donnent comme d’autres sortent leur surin pour planter leur adversaire.

• Léon, lorsque tu montes sur un coup, je voudrais t’accompagner pour ressentir, ce que tu ressens et ainsi être au plus près de toi.
• Tu me fais plaisir poussin, je veux bien t’emmener seulement si tu restes dans la voiture.
Tu feras le guet et tu me préviendras grâce à ton portable.
Quelquefois lorsque je suis chez une proie, il me faut dégager le plus rapidement possible et tu manquerais d’entrainement dans ces moments-là.
À part les fois où il m’a attrapé ton père avec ses équipes souvent arrivent trop tard, je suis déjà loin.
Serais-tu capable de sauter d’un toit à l’autre au-dessus d’une ruelle de cinq mètres de large ?
Moi, j’ai été amené à sauter il y a deux jours.
Je t’aime trop pour te faire risquer ta vie.
Moi-même je vieillis et je mets de côté afin de me retirer avec toi.
Si part malheur, il m’arrivait quelque chose, tu vois cette boîte, il te suffira d’appuyer des deux côtés en même temps et une trappe s’ouvrira.
Tu y trouveras une adresse où j’ai caché une grande partie de mon butin.
Laisse là bien ici, je crois largement subvenir à tes besoins mon cœur.

Si l’on se demande pourquoi je reste avec un type de ce genre, je viens d’en apporter la preuve.
Vivre de manière aussi trépidante avec un amant comme lui, quelle autre vie, une petite fille comme moi pourrait espérer.
Celle que me promettait mon père, pouah, ça me ferait gerber.

C’est parti, je passe une nouvelle étape, je suis dans la voiture qu’il m’a offerte après avoir passé mon permis.
J’arrive à gruger papa que je croise rarement, pour mes couvertures Adeline me permets de m’absenter deux ou trois jours faisans croire que je couche chez elle.
Aucune question, lorsque j’ai acheté ma voiture, sur comment je me la suis payée.
Arsène Lupin celui de notre localité l’obnubile tellement, qu’il me fiche une paix royale.
S’il savait qu’il y a une heure, la queue après laquelle il court était dans le vagin de sa petite fifille.
Elle se faisait prendre en levrette et hurlant à qui veut l’entendre la jouissance que cette queue lui apportait.

• Je te laisse bébé, surtout évite de me souhaiter bonne chance, ça porte malheur dans mon bisness.
• Je t’aime chéri, tu sais, j’ai un peu les chocottes, seule dans ma voiture et dans cette rue, mais je sens que ma chatte dégouline.
Salopard, demain je vais devoir nettoyer mes sièges.

Léon, tel un chat de gouttière au pelage noir, son sac avec ses outils saute pour attraper le bas d’un échafaudage et je le vois grimper jusqu’à ce qu’il disparaisse.
Dire qu’il y a des cons qui mettent en place ce genre d’échelle pour que mon homme puisse aller fracturer les bourges qui vivent dans cet immeuble en réfection.

Il y a une demi-heure, qu’il est parti lorsqu’une voiture tourne dans la rue.
Une fraction de seconde ses phares m’éblouissent avant que je plonge vers le siège passager pour me planquer.
J’espère qu’elle passe, mais elle s’arrête.
J’appuie sur la touche d’appel du portable de Léon et je raccroche avant de recommencer.
Deux appels cour, danger, Léon saura qu’une chose louche se passe dans la rue et sera sur ses gardes.
On tape à ma vitre, je me redresse, une lampe torche m’éblouit.

• Madame, ouvrez votre vitre.

Je m’exécute, un gyrophare de police tourne sur la voiture qui s’est arrêtée.

• Francine, que fais-tu là dans ta voiture à te cacher quand nous avons tourné dans la rue.
• Papa, c’est toi, tu peux croire que je me suis cachée, mais c’est mon portable qui est tombé au sol et je me suis couchée pour le ramasser.
• Explique-moi ce que tu fais là ?
• Adeline est montée avec un garçon pour faire ce que tu sais.
Elle l’a rencontré dans la discothèque de la ville.
Je les ai conduits jusqu’ici et depuis, j’attends.
Lorsque mon portable m’a échappé, je voulais la rappeler pour lui dire que je rentrais à la maison papa.
Soit sûr que je respecte tes principes papa, même si ma copine est du genre à avoir la cuisse légère.
Je vais rentrer dès qu’elle sera redescendue, je te le promets papa.

Je vois l’adjoint de papa sortir de la voiture de police et venir vers mon père et moi.

• Commissaire, le central vient d’appeler, il y a une bagarre sur le parking du supermarché, il nous demande d’intervenir le plus rapidement possible.
Ils disent que c’est nous qui sommes les plus près.
• Rentre à la maison Francine, laisse tomber ton amie, elle se démerdera, les rues sont peu sûres la nuit et j’ai peur pour toi.

Ouf , papa remonte dans la voiture de police et file vers le parking ou a lieu cette altercation.
Cinq minutes, la portière s’ouvre et Léon avec son matos monte près de moi
• Poussin, c’était papa qui était en patrouille avec ses adjoints qui m’ont contrôlée.
Papa, m’a fait la peur de ma vie, j’ai réussi à l’embrouiller, par chance ils ont été appelés pour une bagarre au supermarché.
Il veut que je rentre.
• Dépose-moi non loin de l’hôtel et suis son conseil, inutile de l’alarmer.
Merci de ton appel, j’allais dégager, j’allais te rejoindre.
Regarde mon sac est plein argent, bijoux et quelques papiers qui vont nous permettre de gagner encore plus de pognon.
Je vais te faire une confidence, ton père, j’ignorais que c’était lui quand tu as fait les deux appels, il peut toujours courir pour trouver quelqu’un au supermarché.
Lorsque je monte sur un coup, j’ai toujours un portable neutre dans mon sac.
C’est moi qui ai appelé le central des flics au commissariat lorsque j’ai eu ton appel.
Je voyais le gyrophare par la fenêtre que j’avais laissée ouverte et j’ai eu peur pour toi alors que de mon côté je savais que tu risquais gros.
• J’ai compris, papa va faire chou blanc, car tout est calme là-bas !

Le temps de ces explications, nous sommes proches de l’hôtel, je me gare.

• Léon baise-moi, nous avons le temps, mon père voyant que tout est calme même s’il retourne au commissariat, il sera à la maison dans plus de deux heures.

L’adrénaline, je ressens ce phénomène pour la première fois.
Peur et excitation.
Baiser dans une voiture je suis jeune et Léon sportif, mais c’est plutôt une sinécure.
Mais la peur ressentie fait qu’il me fait monter très haut dans l’échelle du plaisir.
Le plus gros problème, c’est le toit de la voiture où je me cogne plusieurs fois.
De retour à la maison, je suis couchée lorsque mon père rentre et déjà reparti quand je me lève.
J’évite les questions gênantes.

• Qu’as-tu fait ma fille, ton père est rentré furieux et reparti tout autant ?
Tu sais comment il est lorsqu’une affaire grave l’embête, c’est le cas avec ce type, Léon, je crois.
• Maman, je suis majeure, tu sais que j’ai quelqu’un dans ma vie, je sais que Papa sera encore plus furieux lorsqu’il l’apprendra.
Tu sais que je sors dès qu’il a le dos tourné, continu à me protéger.
Je te promets de faire attention.


Ça fait bien des jours que tout ça s’est passé.
La vie familiale a repris son cours, maman m’a déjà couverte deux fois, bien avalé par papa.
Je suis dans ma chambre, je vais dans la salle de bains, me préparer, dès que mon père sera couché.
J’ai la chance que depuis que je suis majeure, il semble un peu moins strict.
C’est à ce moment que j’entends mes parents se disputer.

• Tu m’énerves, ce soir nous allons taper un gros coup et tu voudrais que je reste ici à regarder la télé.
On va le choper ce fumier.
Je serai en retraite très bientôt, je prends mon arme et je pars, je l’ai déjà embastillé deux fois, ce soir ce sera mon heure de gloire chérie.

J’entends le bruit du baiser qu’il donne à maman.
J’espère qu’avec Léon dans des années lorsque je lui aurais donné des enfants, nous serons toujours autant amoureux.

Mais ces mots m’interpellent, je l’entends souvent parler à maman de Léon qui lui pose des soucis, j’ai peur que le gros coup, ce soit lui ce soir.
Je le rejoins à la discothèque ou je l’ai rencontré et qu’il m’a subjugé.
C’est là dans l’arrière-salle, qu’il joue au poker.

• Ma puce, merci d’avoir couru pour me prévenir.
Peu de risques, même si la conversation entre tes parents peut être anxiogène.
Viens avec moi, non, mieux, va dans notre chambre, je sens que je suis en veine ce soir, embrasse-moi.

Comme pour mes parents, Léon m’embrasse montrant à tous que je suis sa meuf, sa moitié.
Ouf, je le quitte pour aller l’attendre, je suis une femme aimante et heureuse.
Hélas, la fin de nuit va être plus agité que je peux le penser...

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