COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (4/11)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (4/11)
Ou en étais-je, Chris71 est bien gentil de couper l’histoire de ma vie en plein milieu d’une explication.
J’ai rendez-vous avec mon beau-père à 14 heures, il va me mettre en retard.
À oui, Manon que mes beaux-parents ont mise à mon service enlève sa petite culotte puis me la tend.
Avant je la vois, ma nouvelle amie, bien que l’on se connaisse depuis l’école primaire, sentir sa culotte.
• Met la mienne, elle sens un peu ma mouille, te caresser le clito, m’a fait couler la chatte, mais ça plaira à ton beau-papa.
Pas le temps de parler, dans sept minutes, je dois être à quelques centaines de mètres, mon beau-père m’attend.
• Que fais-tu, ôte-moi ce soutien-gorge, une véritable horreur, laisse tes seins en liberté, ce sont de vraies merveilles, si je te montrais les miens, c’est de véritables œufs sur le plat ?
Petite culotte avec un nœud rose, seins libres sous la blouse qu’elle m’a choisie et une paire de mes baskets de course.
Course qu’il va falloir que je reprenne le plus vite possible, je courais chez les sœurs dans un parc clos et ça me manque, une vraie drogue.
J’ai l’impression que je tombe de plus en plus dans la partie chaude des enfers de mon triptyque.
Je quitte la chambre, presque en courant.
• Père, je me suis dépêchée, j’avais peur de vous indisposer en étant en retard.
• C’est comme ça que je suis perçu auprès de mes proches !
Tu sais, il faut avoir une certaine poigne pour diriger un domaine comme le nôtre et surtout tous ces gens que nous employons.
Enfin quelqu’un habillée de façon jeune, à part Éric qui est de son temps, toute ma famille doit être restée cinquante ans en arrière.
Manon semble avoir vu juste dans le choix de mon habillement, mais comment pouvait-elle savoir que mon beau-père serait sensible à cette tenue plus que suggestive pour une jeune fille sortant d’une école tenue par des bonnes sœurs ?
J’aurais l’occasion d’éclaircir cela au cours du temps, je suis mariée avec le fils de la maison et amenée à y rester un grand moment de ma vie.
• Marie-Antoinette, prends cette chaise de bureau et viens t’assoir à côté de moi, j’ai à te montrer le travail que je souhaite te voir faire.
Je prends la chaise roulante derrière le bureau vide et je la fais rouler jusqu’à côté du fauteuil de ministre de beau-papa.
Comme à midi à table, il est en costume trois-pièces, avec une chaîne entrant dans sa poche de gilet, il doit y avoir sa montre.
J’avais quelquefois vu cet homme chez ma mère, chaque fois ils parlaient principalement vins, et je l’ai toujours vu avec ce costume plein d’élégance.
Il faut aussi dire qu’avec ses cheveux poivre et sel impeccablement coiffé, il a une prestance qui force le respect.
• Voilà, ta maman m’ayant dit que dans ton école tu faisais de l’informatique, si tu le désires, je voudrais que tu t’occupes de divers fichiers que tu auras à envoyer chez notre comptable.
Je te donne un exemple, pour la totalité, je te dirais au fur et à mesure ce qu’il faut faire pour que notre affaire tourne surtout dans la légalité envers les douanes.
Notre commerce dépend d’eux, il faudra communiquer au comptable les entrées et sorties d’hectolites de diverses de nos vins.
Les responsables de la production, des entrées et des sorties émettent des fiches, comme celle que tu vois là.
Tu devras régulièrement passer les chercher avant de les enregistrer.
T’en sens-tu capable, petite fleur ?
• Aurais-je un ordinateur ?
• Celui devant toi, c’est le tien.
L’informaticien qui gère le domaine est passé il y a deux jours et a tout mis en place, regarde !
Beau papa semble m’avoir à la bonne, j’ai bien entendu qu’il m’a appelé « petite fleur ».
Il me montre comment mettre en marche et entrer dans les services spécifiques à l’exploitation en me faisant changer les mots de passe sans qu’il les regarde.
• Avant d’aller plus loin, tu auras tous les loisirs de découvrir ce que je viens de te montrer, tu pourras même emmener ton ordinateur dans ta chambre, nous avons Internet avec le wi-fi.
Moi qui me demandais comment présenter ma demande d’un ordi à ma disposition, quelle chance, mon beau-papa m’en offre un sans que j’aie à le demander et fournir des explications de ce que je désire en faire.
• Mais comme j’aurais besoin de toi souvent dans la journée, tu t’installeras sur ce bureau près de moi.
À ce jour, s’était Charles-Antoine qui faisait ce travail, tu pourras te reposer sur lui, si je suis absent et si tu as un souci.
Lorsque tu es arrivée, tu as vu le bureau dans la pièce voisine, c’est le sien désormais.
Comme j’espère que, rapidement il sera chargé de famille, j’ai profité du départ à la retraite du vieil Albert fidèle des fidèles de l’exploitation, chargé des ventes afin qu’il le remplace.
C’est à ce titre, que depuis ce matin il est parti dans une grande enseigne renouveler le contrat qui nous lit à eux et qui arrivait à expiration.
Je m’excuse, mais tu seras privé de ton mari très souvent, car nous avons des clients dans le monde entier et il faut les visiter fréquemment.
• J’ignorais ce que serait ma vie avant que maman me fasse venir pour épouser votre fils beau-papa !
• Je vois que nous sommes sur la même longueur d’onde, mais avant puis-je avoir confiance à cent pour cent avec toi ?
• Vous le pouvez beau...
• Arrête avec ton beau-papa ou beau-père, je sais que Charles-Henri, c’est long à dire, je te permets de m’appeler Charles tout court.
• Merci, beau...
Pardons Charles.
• Voilà, ce que je vais te demander est délicate, comme je te l’ai dit, ta maman m’a dit que tu risquais d’être décalé par rapport à ce que tu as vécu depuis qu’elle t’a placé dans ton école.
Ce matin, ma femme m’a dit t’avoir vu sortir du couloir où se trouve la chambre de mon neveu Éric.
Que s’est-il passé dans sa chambre, a-t-il respecté la femme de son cousin ou avez-vous eu un comportement qui pourrait être répréhensible et déplaire à ton mari.
J’ai un moment de panique, est-ce que se faire enculer pourrais pencher vers le bien ou vers le mal, vers, j’allais dire, le paradis ou au moins le purgatoire ou vers l’enfer.
Je décide d’être franche, c’est ainsi que les sœurs nous éduquaient et garent aux jeunes filles qui essayaient de leur cacher des choses.
Comme je l’ai dit le cachot auquel j’ai réussi à échapper tout au long de ces années, comme si sont retrouvées Carinne et Solange.
• Je dois vous dire, voilà ce qui s’est passé !
Je lui rapporte mon dépucelage et le doigt dans le cul de mon mari me promettant de me dépuceler l’anus ce soir.
J’ai vu Éric un peu amusé, jusqu’à ce qu’il me dépucelle me sodomisant pour faire la pige à Charles-Antoine.
• Je suis rassurée, ce que tu viens de me dire, me montre que je peux avoir entièrement confiance en toi.
Éric pour sa part a respecté les règles de la famille.
J’aurais voulu te parler de notre manière de voir les choses dans notre famille, mais j’ai tellement eu de chose à faire que je vais t’en parler maintenant.
Chacun peut vivre sa vie comme bon lui semble en respectant une simple règle, j’ai du mal à exprimer ce que j’ai à te dire.
• Charles, soyez directe, je peux tout entendre, je suis une femme mariée donc une grande fille.
• Bien, je me lance, tu peux aller avec qui tu veux hors de ton couple.
Je te donne un exemple, Élisabeth ma femme, elle était fille de notaire lorsque je l’ai épousé.
Je savais et ma famille aussi qu’elle vivait une relation amoureuse lesbienne avec Marie-Pascale, mais pour le bien de nos familles, je lui ai donné un garçon et j’ai permis à son amante de devenir sa dame de compagnie.
• Lorsque Éric m’a fait visiter le château, nous sommes passés devant sa chambre et j’ai entendu des cris.
Votre neveu m’a expliqué ce que votre femme faisait sans aller jusqu’à me dire que s’était avant votre mariage qu’elles avaient commencé cette relation.
• Tu sais tout, Éric en te sodomisant pour une fois a respecté mon fils, tu verras ton mari, il sera peu porté sur les jeux sexuels.
Lorsqu’ils étaient jeunes, ils ont été élevés ensemble et lorsqu’ils ont été en âge de tomber des filles, Éric s’amusait à lui piquer ses conquêtes.
Il en a fait de même avec toi, mais il l’a respecté en étant le premier à te sodomiser.
Inutile ce soir de dire à mon fils que son cousin est passé avant lui, le principal, c’est qu’il t’ait défloré et mis sa semence dans ta mignonne petite chatte.
Chaque fois tu refuseras ta petite fente, tu peux juste leur faire des fellations et te faire prendre comme Éric l’a fait.
Lorsque tu auras un fils, je veux qu’il soit bien de ma descendance pas celle d’un autre.
• Et vous Charles, vous vous retrouvez seul !
C’est à ce moment que mon beau-père pose sa main sur ma cuisse.
• J’étais seule et tu viens de me rejoindre, ta franchise me permet de croire à de grandes choses entre nous.
Charles-Henri soulève ma mini et passe un doigt par le côté de la petite culotte de Manon.
Il me le rentre dans ce qu’il a appelé ma fente, je sens qu’il est en moi avant que je réalise.
• As-tu encore mal ?...
J’ai rendez-vous avec mon beau-père à 14 heures, il va me mettre en retard.
À oui, Manon que mes beaux-parents ont mise à mon service enlève sa petite culotte puis me la tend.
Avant je la vois, ma nouvelle amie, bien que l’on se connaisse depuis l’école primaire, sentir sa culotte.
• Met la mienne, elle sens un peu ma mouille, te caresser le clito, m’a fait couler la chatte, mais ça plaira à ton beau-papa.
Pas le temps de parler, dans sept minutes, je dois être à quelques centaines de mètres, mon beau-père m’attend.
• Que fais-tu, ôte-moi ce soutien-gorge, une véritable horreur, laisse tes seins en liberté, ce sont de vraies merveilles, si je te montrais les miens, c’est de véritables œufs sur le plat ?
Petite culotte avec un nœud rose, seins libres sous la blouse qu’elle m’a choisie et une paire de mes baskets de course.
Course qu’il va falloir que je reprenne le plus vite possible, je courais chez les sœurs dans un parc clos et ça me manque, une vraie drogue.
J’ai l’impression que je tombe de plus en plus dans la partie chaude des enfers de mon triptyque.
Je quitte la chambre, presque en courant.
• Père, je me suis dépêchée, j’avais peur de vous indisposer en étant en retard.
• C’est comme ça que je suis perçu auprès de mes proches !
Tu sais, il faut avoir une certaine poigne pour diriger un domaine comme le nôtre et surtout tous ces gens que nous employons.
Enfin quelqu’un habillée de façon jeune, à part Éric qui est de son temps, toute ma famille doit être restée cinquante ans en arrière.
Manon semble avoir vu juste dans le choix de mon habillement, mais comment pouvait-elle savoir que mon beau-père serait sensible à cette tenue plus que suggestive pour une jeune fille sortant d’une école tenue par des bonnes sœurs ?
J’aurais l’occasion d’éclaircir cela au cours du temps, je suis mariée avec le fils de la maison et amenée à y rester un grand moment de ma vie.
• Marie-Antoinette, prends cette chaise de bureau et viens t’assoir à côté de moi, j’ai à te montrer le travail que je souhaite te voir faire.
Je prends la chaise roulante derrière le bureau vide et je la fais rouler jusqu’à côté du fauteuil de ministre de beau-papa.
Comme à midi à table, il est en costume trois-pièces, avec une chaîne entrant dans sa poche de gilet, il doit y avoir sa montre.
J’avais quelquefois vu cet homme chez ma mère, chaque fois ils parlaient principalement vins, et je l’ai toujours vu avec ce costume plein d’élégance.
Il faut aussi dire qu’avec ses cheveux poivre et sel impeccablement coiffé, il a une prestance qui force le respect.
• Voilà, ta maman m’ayant dit que dans ton école tu faisais de l’informatique, si tu le désires, je voudrais que tu t’occupes de divers fichiers que tu auras à envoyer chez notre comptable.
Je te donne un exemple, pour la totalité, je te dirais au fur et à mesure ce qu’il faut faire pour que notre affaire tourne surtout dans la légalité envers les douanes.
Notre commerce dépend d’eux, il faudra communiquer au comptable les entrées et sorties d’hectolites de diverses de nos vins.
Les responsables de la production, des entrées et des sorties émettent des fiches, comme celle que tu vois là.
Tu devras régulièrement passer les chercher avant de les enregistrer.
T’en sens-tu capable, petite fleur ?
• Aurais-je un ordinateur ?
• Celui devant toi, c’est le tien.
L’informaticien qui gère le domaine est passé il y a deux jours et a tout mis en place, regarde !
Beau papa semble m’avoir à la bonne, j’ai bien entendu qu’il m’a appelé « petite fleur ».
Il me montre comment mettre en marche et entrer dans les services spécifiques à l’exploitation en me faisant changer les mots de passe sans qu’il les regarde.
• Avant d’aller plus loin, tu auras tous les loisirs de découvrir ce que je viens de te montrer, tu pourras même emmener ton ordinateur dans ta chambre, nous avons Internet avec le wi-fi.
Moi qui me demandais comment présenter ma demande d’un ordi à ma disposition, quelle chance, mon beau-papa m’en offre un sans que j’aie à le demander et fournir des explications de ce que je désire en faire.
• Mais comme j’aurais besoin de toi souvent dans la journée, tu t’installeras sur ce bureau près de moi.
À ce jour, s’était Charles-Antoine qui faisait ce travail, tu pourras te reposer sur lui, si je suis absent et si tu as un souci.
Lorsque tu es arrivée, tu as vu le bureau dans la pièce voisine, c’est le sien désormais.
Comme j’espère que, rapidement il sera chargé de famille, j’ai profité du départ à la retraite du vieil Albert fidèle des fidèles de l’exploitation, chargé des ventes afin qu’il le remplace.
C’est à ce titre, que depuis ce matin il est parti dans une grande enseigne renouveler le contrat qui nous lit à eux et qui arrivait à expiration.
Je m’excuse, mais tu seras privé de ton mari très souvent, car nous avons des clients dans le monde entier et il faut les visiter fréquemment.
• J’ignorais ce que serait ma vie avant que maman me fasse venir pour épouser votre fils beau-papa !
• Je vois que nous sommes sur la même longueur d’onde, mais avant puis-je avoir confiance à cent pour cent avec toi ?
• Vous le pouvez beau...
• Arrête avec ton beau-papa ou beau-père, je sais que Charles-Henri, c’est long à dire, je te permets de m’appeler Charles tout court.
• Merci, beau...
Pardons Charles.
• Voilà, ce que je vais te demander est délicate, comme je te l’ai dit, ta maman m’a dit que tu risquais d’être décalé par rapport à ce que tu as vécu depuis qu’elle t’a placé dans ton école.
Ce matin, ma femme m’a dit t’avoir vu sortir du couloir où se trouve la chambre de mon neveu Éric.
Que s’est-il passé dans sa chambre, a-t-il respecté la femme de son cousin ou avez-vous eu un comportement qui pourrait être répréhensible et déplaire à ton mari.
J’ai un moment de panique, est-ce que se faire enculer pourrais pencher vers le bien ou vers le mal, vers, j’allais dire, le paradis ou au moins le purgatoire ou vers l’enfer.
Je décide d’être franche, c’est ainsi que les sœurs nous éduquaient et garent aux jeunes filles qui essayaient de leur cacher des choses.
Comme je l’ai dit le cachot auquel j’ai réussi à échapper tout au long de ces années, comme si sont retrouvées Carinne et Solange.
• Je dois vous dire, voilà ce qui s’est passé !
Je lui rapporte mon dépucelage et le doigt dans le cul de mon mari me promettant de me dépuceler l’anus ce soir.
J’ai vu Éric un peu amusé, jusqu’à ce qu’il me dépucelle me sodomisant pour faire la pige à Charles-Antoine.
• Je suis rassurée, ce que tu viens de me dire, me montre que je peux avoir entièrement confiance en toi.
Éric pour sa part a respecté les règles de la famille.
J’aurais voulu te parler de notre manière de voir les choses dans notre famille, mais j’ai tellement eu de chose à faire que je vais t’en parler maintenant.
Chacun peut vivre sa vie comme bon lui semble en respectant une simple règle, j’ai du mal à exprimer ce que j’ai à te dire.
• Charles, soyez directe, je peux tout entendre, je suis une femme mariée donc une grande fille.
• Bien, je me lance, tu peux aller avec qui tu veux hors de ton couple.
Je te donne un exemple, Élisabeth ma femme, elle était fille de notaire lorsque je l’ai épousé.
Je savais et ma famille aussi qu’elle vivait une relation amoureuse lesbienne avec Marie-Pascale, mais pour le bien de nos familles, je lui ai donné un garçon et j’ai permis à son amante de devenir sa dame de compagnie.
• Lorsque Éric m’a fait visiter le château, nous sommes passés devant sa chambre et j’ai entendu des cris.
Votre neveu m’a expliqué ce que votre femme faisait sans aller jusqu’à me dire que s’était avant votre mariage qu’elles avaient commencé cette relation.
• Tu sais tout, Éric en te sodomisant pour une fois a respecté mon fils, tu verras ton mari, il sera peu porté sur les jeux sexuels.
Lorsqu’ils étaient jeunes, ils ont été élevés ensemble et lorsqu’ils ont été en âge de tomber des filles, Éric s’amusait à lui piquer ses conquêtes.
Il en a fait de même avec toi, mais il l’a respecté en étant le premier à te sodomiser.
Inutile ce soir de dire à mon fils que son cousin est passé avant lui, le principal, c’est qu’il t’ait défloré et mis sa semence dans ta mignonne petite chatte.
Chaque fois tu refuseras ta petite fente, tu peux juste leur faire des fellations et te faire prendre comme Éric l’a fait.
Lorsque tu auras un fils, je veux qu’il soit bien de ma descendance pas celle d’un autre.
• Et vous Charles, vous vous retrouvez seul !
C’est à ce moment que mon beau-père pose sa main sur ma cuisse.
• J’étais seule et tu viens de me rejoindre, ta franchise me permet de croire à de grandes choses entre nous.
Charles-Henri soulève ma mini et passe un doigt par le côté de la petite culotte de Manon.
Il me le rentre dans ce qu’il a appelé ma fente, je sens qu’il est en moi avant que je réalise.
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