COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Début de la saison II (4/5
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’étais venue dans le cadre de ma thèse de philo. Début de la saison II (4/5
Faire, la pute, être une pute, je voulais entendre une femme de petites vertus, comme il est dit, m’expliquer ce qu’elle ressent lorsqu’elle pratique l’acte sexuel contre rétribution.
Dans le début de la saison II j’ai franchi bien des étapes, j’ai accepté un contrat étrange de 5 000 € pour participer à ce qui s’apparente à une orgie dans une maison certainement très ancienne.
J’ai voulu transgresser les règles, mais j’ai été remis en place par l’un des deux hommes qui conduise la voiture m’ayant amené jusqu’ici.
Je me retrouve au milieu de convives tous friqués et de filles certainement des putes comme moi.
Je suis bien loin de la jeune étudiante, choisissant son thème de thèse lorsque j’envie Ludivine, la jeune pute comme moi se trouvant appelée par le maître des lieux à le rejoindre à l’étage.
Pour ma part, j’échois dans les mains d’un couple de bourgeois friqué qui ayant oublié de se présenter, dans ma tête, je les ai surnommées Marie-Chantal et Victor.
C’est elle la salope qui semble aimer torturer les jeunes femmes qui lui tombent sous les mains.
Mes seins semblent être son terrain de jeu favori, lorsqu’elle fait couler de la cire sur leurs pointes avant que d’un coup précis, elle m’enfonce une aiguille dans ma fraise gauche.
Un rire légèrement sadique et ma droite subit le même traitement.
• Je vois que vous êtes aussi précise, vos patients doivent se louer de votre professionnalisme.
• Doc, vous allez trop loin, inutile de donner plus de détails à Clarisse sur notre vie.
• Pardon, mais je suis resté assez vague.
Pas tout à fait, cette femme doit être une éminence dans le domaine de la médecine ou de toute autre profession du même genre.
• Madame, ça suffit pour cette fois, laissez cicatriser, le nombril vous lui percerez lors du prochain rassemblement.
• Doc, vous êtes toujours le même, je commençais juste à m’amuser, mais vous avez raison, le corps risque de se défend de ces attaques, je suis sûr que l’on se reverra ma belle.
Le fric vous attire comme le miel attire les mouches, viens me sucer la chatte.
Je passe le reste de la soirée et de la nuit à avoir mal et à baiser avec ce couple.
Au matin, on vient me chercher et la voiture me raccompagne.
• Laurence regarde ce qu’ils m’ont fait !
• Qui ?
• Marie-Chantal et Victor, c’est les noms que je m’étais mis dans ma tête, car ces gens se servent de nous sans se présenter.
• Tu viens d’apprendre quelque chose de nouveau pour ta thèse, le fric est roi sur cette terre.
• Tu as raison, ils ont même un maître qui se cache dans les étages et qui fait venir à lui des jeunes femmes qu’il choisit chaque fois.
Cette nuit elle s’appelait Ludivine et était fort jolie.
• Ces maîtres cachés, ce sont les plus pervers, ils pensent que leur fric peut tout acheter, mais ce sont eux qui payent le plus.
Ludivine, ce matin elle doit se baigner dans une montagne de pognon.
Penses-tu y retourner ?
• Non, j’en ai assez vu, je dois soigner mes seins, Marie-Chantal a eu le toupet de me dire de bien me nettoyer pour éviter l’infection.
• Elle a raison, viens que je les embrasses, c’est moi qui vais prendre soin d’eux.
Jusqu’à midi, nous avons dormi, j’étais crevé.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai continué à voir mes clients, mon portefeuille grossissait à vue d’œil.
Mes seins nettoyés deux fois par jour par mon ami se portent de mieux en mieux.
Mes clients, ceux qui sont devenus des habitués, adorent que je me sois fait percer les seins, surtout que maintenant les piercings qui s’y trouvent son de magnifiques anneaux en or, offert par Clémence.
• Clarisse, c’est Christophe, je suis dans l’incapacité de passer, je suis aux USA pour un stage dans la plus grande clinique où l’on rectifie les seins et les fesses des femmes.
Je voulais te dire, une nouvelle soirée est organisée, 5 000 ça te dit.
5 000, Sofia, c’est la fille qui monte les marches.
5 000, Christina a le droit à la cape d’or.
Cette fois-là, je retrouve Marie-Chantal et Victor.
Ils étaient absents la dernière fois et Marie-Chantal me perce le clito.
Lorsque tout est remis en place, Laurence place un prince Albert en or massif comme pour mes tétons ce qui plait à mes clients et à moi aussi.
Le frottement de ce morceau de métal a chaque pénétration des hommes qui me baisent amplifie la jouissance qu’il ressent.
L’année universitaire avance et malgré mes partielles, je réponds favorablement à Christophe lorsqu’il me sollicite.
Je suis accro à mon compte en banque, une partie de ma vie future est assurée et ma thèse avance.
Je l’écris entre deux clients.
Il va de soi, que ce que j’écris fait abstraction de ma participation personnelle.
Les exemples que je prends sont divers et variés avec des noms comme ceux que Christophe m’a donnés lorsque je lui ai expliqué ce que je voulais faire.
Inutile que les examinateurs lisent que je me suis prostituée pour soutenir ma thèse.
Laurence, Violeta, Ludivine ou Sofia, me remplacent sans se plaindre que je me serve d’elles.
• Ok, fait venir la voiture, mais ce sera la dernière fois !
Cape et loup bleus cette fois, voiture et descente jusqu’à la salle et l’escalier que j’espère monter pour ma dernière venue ici.
« Bonjour mes amis, encore une belle soirée pour nous tous du moins je l’espère, nous avons tous fait pour ça.
La lauréate aujourd’hui à qui vous allez mettre la cape d’or s’appelle Clarisse, monter jusqu’à moi chère amie. »
J’ai presque envie de hurler de joie, Marie-Chantal m’a dit que le maître des lieux aimait nous entendre hurler, mais je sais me tenir et la cape sur mon dos, je suis le couple qui m’ouvre la marche.
Sur le palier, ils me font entrer dans une pièce dans le noir.
• Laissez-vous guider, vous êtes dans de bonnes mains ici.
Ma main, puis l’autre je sens qu’on y attache des menottes quand la lumière se fait.
Trop tard pour réagir, elles sont tirées vers le haut.
Je suis prisonnière, je me retrouve pendue par les mains à une poulie que l’homme tend jusqu’à ce que mes pieds effleurent le sol.
Deux hommes arrivent vers moi, je reconnais le premier, le deuxième aussi, je l’ai vu une fois lors d’une soirée que j’ai faite chez mon ami Christophe.
Le couple a disparu.
• Tu sais que tu es un cas, mon fils me fournit en putes afin que je prenne mon pied en toute impunité.
Pour ton cas, c’est toi qui es venu à lui sous couvert de ta thèse, il a su t’orienter et maintenant tu es là, piéger en face de nous.
Tu es là à cause de ton avidité pour le fric, mois après mois.
• Mais je prépare ma thèse !
• Tu te tais, j’aime entendre les femmes gueuler, dans mon établissement elles sont anesthésiées, cette pièce est insonorisée, tu vas pouvoir hurler autant que tu le veux.
Je répare des seins toute la journée et je forme mon fils dans ces soirées.
Il va te découper les mamelons avant de te les recoudre en changeant le côté droit et gauche.
Je verrai s’il s’y prend bien.
Soit sans crainte, même si c’est mal de vous faire ça, tu finiras derrière les buissons dans le trou qui est déjà creusé à côté des autres filles dont certaines que tu les as vus monter jusqu’à nous.
Je vois que tu es passé dans les mains de ma collègue dont je peux te donner le nom Simone Duval, je vois son travail chirurgical sur tes seins et ton vagin.
Christophe, place-lui les poids, je veux la faire souffrir un peu, c’est si bon.
Je hurle, il va de soi, mais je comprends que je suis tombée sur des fêlées du globe.
Lorsque je baisse ma tête, près de moi je vois une table comme il y en a dans les blocs opératoires.
Des poids, des pinces, des scalpels semblant bien tranchant.
• Christophe je te croyais mon ami !
• Ton ami, vous êtes toutes les mêmes, vous voulez le beurre et l’argent du beurre, je suis sûr qu’à un moment tu as espéré m’épouser pour profiter de notre pognon !
Inutile de lui répondre, les yeux qu’il me montre sont ceux d’une personne démentielle ou du moins qui est loin d’avoir toute sa tête.
Christophe prend un des scalpels et teste sur son gant qui lui sera inutile quand il me coupera la gorge comme il semble l’avoir faite avec les autres porteuses de cape d’or.
Il me saisit le téton, j’ai peur, mais je sens qu’il réagit jusqu’à ce que d’un coup de main de maître, il tourne autour et je le vois tomber dans son autre main.
• C’est bien mon fils, tu prends de l’expérience, la dernière tu avais été obligé de t’y reprendre à trois fois.
Attaque l’autre.
Sur le coup de scalpel, aucune douleur, ça a été si rapide, mais d’un coup le mal se réveille, il m’a coupé le mamelon sans anesthésie.
Je hurle en même temps que j’entends des coups de sifflet et des portes qui explosent.
Je tourne de l’œil juste à ce moment.
• Elle revient à elle, bonjours mademoiselle Clarisse, vous êtes à l’hôpital de Tour ou vous avez été transporté...
Dans le début de la saison II j’ai franchi bien des étapes, j’ai accepté un contrat étrange de 5 000 € pour participer à ce qui s’apparente à une orgie dans une maison certainement très ancienne.
J’ai voulu transgresser les règles, mais j’ai été remis en place par l’un des deux hommes qui conduise la voiture m’ayant amené jusqu’ici.
Je me retrouve au milieu de convives tous friqués et de filles certainement des putes comme moi.
Je suis bien loin de la jeune étudiante, choisissant son thème de thèse lorsque j’envie Ludivine, la jeune pute comme moi se trouvant appelée par le maître des lieux à le rejoindre à l’étage.
Pour ma part, j’échois dans les mains d’un couple de bourgeois friqué qui ayant oublié de se présenter, dans ma tête, je les ai surnommées Marie-Chantal et Victor.
C’est elle la salope qui semble aimer torturer les jeunes femmes qui lui tombent sous les mains.
Mes seins semblent être son terrain de jeu favori, lorsqu’elle fait couler de la cire sur leurs pointes avant que d’un coup précis, elle m’enfonce une aiguille dans ma fraise gauche.
Un rire légèrement sadique et ma droite subit le même traitement.
• Je vois que vous êtes aussi précise, vos patients doivent se louer de votre professionnalisme.
• Doc, vous allez trop loin, inutile de donner plus de détails à Clarisse sur notre vie.
• Pardon, mais je suis resté assez vague.
Pas tout à fait, cette femme doit être une éminence dans le domaine de la médecine ou de toute autre profession du même genre.
• Madame, ça suffit pour cette fois, laissez cicatriser, le nombril vous lui percerez lors du prochain rassemblement.
• Doc, vous êtes toujours le même, je commençais juste à m’amuser, mais vous avez raison, le corps risque de se défend de ces attaques, je suis sûr que l’on se reverra ma belle.
Le fric vous attire comme le miel attire les mouches, viens me sucer la chatte.
Je passe le reste de la soirée et de la nuit à avoir mal et à baiser avec ce couple.
Au matin, on vient me chercher et la voiture me raccompagne.
• Laurence regarde ce qu’ils m’ont fait !
• Qui ?
• Marie-Chantal et Victor, c’est les noms que je m’étais mis dans ma tête, car ces gens se servent de nous sans se présenter.
• Tu viens d’apprendre quelque chose de nouveau pour ta thèse, le fric est roi sur cette terre.
• Tu as raison, ils ont même un maître qui se cache dans les étages et qui fait venir à lui des jeunes femmes qu’il choisit chaque fois.
Cette nuit elle s’appelait Ludivine et était fort jolie.
• Ces maîtres cachés, ce sont les plus pervers, ils pensent que leur fric peut tout acheter, mais ce sont eux qui payent le plus.
Ludivine, ce matin elle doit se baigner dans une montagne de pognon.
Penses-tu y retourner ?
• Non, j’en ai assez vu, je dois soigner mes seins, Marie-Chantal a eu le toupet de me dire de bien me nettoyer pour éviter l’infection.
• Elle a raison, viens que je les embrasses, c’est moi qui vais prendre soin d’eux.
Jusqu’à midi, nous avons dormi, j’étais crevé.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai continué à voir mes clients, mon portefeuille grossissait à vue d’œil.
Mes seins nettoyés deux fois par jour par mon ami se portent de mieux en mieux.
Mes clients, ceux qui sont devenus des habitués, adorent que je me sois fait percer les seins, surtout que maintenant les piercings qui s’y trouvent son de magnifiques anneaux en or, offert par Clémence.
• Clarisse, c’est Christophe, je suis dans l’incapacité de passer, je suis aux USA pour un stage dans la plus grande clinique où l’on rectifie les seins et les fesses des femmes.
Je voulais te dire, une nouvelle soirée est organisée, 5 000 ça te dit.
5 000, Sofia, c’est la fille qui monte les marches.
5 000, Christina a le droit à la cape d’or.
Cette fois-là, je retrouve Marie-Chantal et Victor.
Ils étaient absents la dernière fois et Marie-Chantal me perce le clito.
Lorsque tout est remis en place, Laurence place un prince Albert en or massif comme pour mes tétons ce qui plait à mes clients et à moi aussi.
Le frottement de ce morceau de métal a chaque pénétration des hommes qui me baisent amplifie la jouissance qu’il ressent.
L’année universitaire avance et malgré mes partielles, je réponds favorablement à Christophe lorsqu’il me sollicite.
Je suis accro à mon compte en banque, une partie de ma vie future est assurée et ma thèse avance.
Je l’écris entre deux clients.
Il va de soi, que ce que j’écris fait abstraction de ma participation personnelle.
Les exemples que je prends sont divers et variés avec des noms comme ceux que Christophe m’a donnés lorsque je lui ai expliqué ce que je voulais faire.
Inutile que les examinateurs lisent que je me suis prostituée pour soutenir ma thèse.
Laurence, Violeta, Ludivine ou Sofia, me remplacent sans se plaindre que je me serve d’elles.
• Ok, fait venir la voiture, mais ce sera la dernière fois !
Cape et loup bleus cette fois, voiture et descente jusqu’à la salle et l’escalier que j’espère monter pour ma dernière venue ici.
« Bonjour mes amis, encore une belle soirée pour nous tous du moins je l’espère, nous avons tous fait pour ça.
La lauréate aujourd’hui à qui vous allez mettre la cape d’or s’appelle Clarisse, monter jusqu’à moi chère amie. »
J’ai presque envie de hurler de joie, Marie-Chantal m’a dit que le maître des lieux aimait nous entendre hurler, mais je sais me tenir et la cape sur mon dos, je suis le couple qui m’ouvre la marche.
Sur le palier, ils me font entrer dans une pièce dans le noir.
• Laissez-vous guider, vous êtes dans de bonnes mains ici.
Ma main, puis l’autre je sens qu’on y attache des menottes quand la lumière se fait.
Trop tard pour réagir, elles sont tirées vers le haut.
Je suis prisonnière, je me retrouve pendue par les mains à une poulie que l’homme tend jusqu’à ce que mes pieds effleurent le sol.
Deux hommes arrivent vers moi, je reconnais le premier, le deuxième aussi, je l’ai vu une fois lors d’une soirée que j’ai faite chez mon ami Christophe.
Le couple a disparu.
• Tu sais que tu es un cas, mon fils me fournit en putes afin que je prenne mon pied en toute impunité.
Pour ton cas, c’est toi qui es venu à lui sous couvert de ta thèse, il a su t’orienter et maintenant tu es là, piéger en face de nous.
Tu es là à cause de ton avidité pour le fric, mois après mois.
• Mais je prépare ma thèse !
• Tu te tais, j’aime entendre les femmes gueuler, dans mon établissement elles sont anesthésiées, cette pièce est insonorisée, tu vas pouvoir hurler autant que tu le veux.
Je répare des seins toute la journée et je forme mon fils dans ces soirées.
Il va te découper les mamelons avant de te les recoudre en changeant le côté droit et gauche.
Je verrai s’il s’y prend bien.
Soit sans crainte, même si c’est mal de vous faire ça, tu finiras derrière les buissons dans le trou qui est déjà creusé à côté des autres filles dont certaines que tu les as vus monter jusqu’à nous.
Je vois que tu es passé dans les mains de ma collègue dont je peux te donner le nom Simone Duval, je vois son travail chirurgical sur tes seins et ton vagin.
Christophe, place-lui les poids, je veux la faire souffrir un peu, c’est si bon.
Je hurle, il va de soi, mais je comprends que je suis tombée sur des fêlées du globe.
Lorsque je baisse ma tête, près de moi je vois une table comme il y en a dans les blocs opératoires.
Des poids, des pinces, des scalpels semblant bien tranchant.
• Christophe je te croyais mon ami !
• Ton ami, vous êtes toutes les mêmes, vous voulez le beurre et l’argent du beurre, je suis sûr qu’à un moment tu as espéré m’épouser pour profiter de notre pognon !
Inutile de lui répondre, les yeux qu’il me montre sont ceux d’une personne démentielle ou du moins qui est loin d’avoir toute sa tête.
Christophe prend un des scalpels et teste sur son gant qui lui sera inutile quand il me coupera la gorge comme il semble l’avoir faite avec les autres porteuses de cape d’or.
Il me saisit le téton, j’ai peur, mais je sens qu’il réagit jusqu’à ce que d’un coup de main de maître, il tourne autour et je le vois tomber dans son autre main.
• C’est bien mon fils, tu prends de l’expérience, la dernière tu avais été obligé de t’y reprendre à trois fois.
Attaque l’autre.
Sur le coup de scalpel, aucune douleur, ça a été si rapide, mais d’un coup le mal se réveille, il m’a coupé le mamelon sans anesthésie.
Je hurle en même temps que j’entends des coups de sifflet et des portes qui explosent.
Je tourne de l’œil juste à ce moment.
• Elle revient à elle, bonjours mademoiselle Clarisse, vous êtes à l’hôpital de Tour ou vous avez été transporté...
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