COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (5/16)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (5/16) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (5/16)
J’ai continué ma route pleine d’embûches avec le Duc mon amant après avoir été celui de mère et après m’avoir donné deux Louis d’or, il me laisse dans un couvent.
La mère supérieure me fait entrer, me conduit vers l’intérieur en suivant un jardin où des sœurs entretiennent les massifs.

Nous avons vu de nombreuses maisons pilées ou incendiées toujours de loin évitant d’approcher avant d’arriver ici dans ce lieu plein de calme et de repos.
La mère supérieure s’approche d’une sœur.

• Mère Prieur, voulez-vous prévenir la sœur Officière des chambres de venir s’occuper de mademoiselle.

Elle se tourne vers moi.

• Blanche, ma mère.

Il est drôle de dire mère à cette belle femme que je vois derrière son voile qui doit avoir une quarantaine d'années comme le Duc.

• Je vous verrais ce soir ma fille, remettez-vous de vos émotions.

On me lave, m’habille d’une partie des vêtements que portent les nones et sous lesquelles, j’ai chaud.
Sœur Agnès Officière des chambres est une jeune femme d’une trentaine d'années et après que j’ai pu me laver dans un baquet avec de l'eau chaude apportée des cuisines, elle me fait voir comment mettre le voile blanc obligatoire quand on sort de nos cellules, ici avoir la tête nue est interdit.

• Agnès, comment es-tu arrivé ici ?
• Il y a dix ans, j’avais à peu près ton âge quand mes parents de riches commerçants m’ont dit que Dieu m’avait appelé et que je devais venir vivre enfermé ici.
• Tu as cru à ce qu’ils ont dit.
• Je suis chargé du linge des autres sœurs, espérant prochainement prendre un peu d’importance dans le couvent la sœur Boursière est âgée et bien malade, je m’occuperais de payer les fournisseurs, je suis la mieux placé en tant que fille de commerçant, finit de m’occuper du linge souillé de nos sœurs tous les mois, mais comme nous sommes vingt c’est presque tous les jours.
Il y a bien deux sœurs qui ont fini avec ces moments de la vie d’une femme, mais c’est compensé du mauvais côté par sœur Odette dont je viens de te parler, car elle est incontinente et je dois lui laver ces couches en tissu tous les jours.
• Si tu le veux et sans gêner votre société, je pourrais t’aider.
• Je vais en parler à la soeur Prieure, elle a autorité pour décider si tu le peux, ici tout passe par elle.

Je sens tout de suite senti que le courant passe entre elle et moi.

• Je te mets dans la cellule voisine de la mienne, elle est libre, je pourrais venir te voir plus facilement, repose-toi on se voit au réfectoire, je vais voir la Semainière, c’est une copine, je te ferais placer à mon côté.

Je comprends très vite comment fonctionne cette société, la mère supérieure qui gère l’ingérable, la sœur Prieure son bras droit confidente des autres sœurs si besoin et les autres sœurs s’occupant des différentes taches qui permettent à leur communauté de fonctionner.
Vers 17 heures la soeur Prieure me convoque et m’explique leur fonctionnement, me confirmant mon impression, avant d’aller voir la mère supérieure.
J’apprends qu’à partir de 21 heures, nous sommes tenues de rester dans nos cellules jusqu’à 5 heures où la sœur chargée du rythme du couvent sonnera la cloche, il nous faudra nous habiller avant de manger le morceau de pain du petit-déjeuner déposé devant nos cellules par l’une des sœurs.
À 6 heures, nous devons nous rendre en procession dans la chapelle pour la prière du matin, enfin après la soupe, nous pourrons vivre un moment de liberté, exception faite des samedis après-midi ou le père confesseur, curé de la paroisse voisine vous recevra dans le confessionnal de la chapelle pour expier nos pêchés.

• Ma fille, j’ignore le temps que je vais pouvoir vous protéger, les filles qui sont ici sont toutes d’essence noble, leurs parents participaient jusqu’à ce jour aux financements de notre communauté, qu’elle sera notre avenir, combien serons-nous vivantes à la fin, contre notre protection ?
Comme nous l’apprenons, seul Dieu le sait et ses voix sont impénétrables, je vous ai noté une adresse sur ce papier, c’est celle de ma sœur jumelle qui habite dans la grande ville, près d’ici, elle pourra certainement vous cacher un certain temps comme je vais essayer de le faire, je lui ai mis un petit mot.

Je mets ce papier sur mon sein et je rejoins Agnès qui m’entraîne vers la chapelle pour la prière du soir avant le repas frugal et le moment de liberté.
Les sœurs jouent comme des gamines à un jeu qu’elle appelle « la balle au prisonnier » qui m’est inconnue, car il faut être plusieurs pour y jouer ce qui m’était impossible au château, étant élevée seule.
Ce jeu me rappelle que père et mère sont eux aussi prisonniers et malgré la longue robe blanche qui me recouvre, je finis gagnant entraînant l’animosité de sœur Isabelle.

• Fais attention à sœur Isabelle, Blanche, c’est la sœur Ausculatrice, elle est chargée de tout écouter et de tout rapporter à la mère Prieur, mais tu verras ont su la contourner, la sœur Odette doit prendre des somnifères que la sœur Infirmière détour, car elle a une copine avec la sœur Chantre que tu as entendue à la chapelle et qui dirige nos chants.
La sœur Infirmière donne les fioles à la sœur Semainière qui en met dans la soupe de la Mère supérieure, de la soeur Prieure et de la sœur Isabelle, quelques fois l’une d’elles ont du mal à être à l’heure à la prière du matin, mais nous nous sommes tranquilles toute la nuit, mais tu verras bien.

Après ces confidences qui m’interpellent, je m’éloigne, car sœur Isabelle, nous voyant parler, sans en avoir l’air se rapproche de nous, un dernier jeu, c’est à « colin-maillard » que nous jouons, j’ai la chance d’être attrapée rapidement ce qui semble faire retomber la pression entre nous.
La cloche sonne le sérieux revient et je rejoins ma cellule ou je me passe un torchon mouillé sur mon corps ayant sué en jouant avec le ballon.

• Dors-tu ?

La porte de ma cellule vient de s’ouvrir.

• Viens, je vais te faire voir quelque chose !
• Je suis nue, il fait si chaux en cette fin juillet.
• Moi aussi, j’ai fait le tour des trois chambres et les trois dorment à poings fermés comme tous les soirs le somnifère est très efficace.

Je la suis et en passant dans la coursive près du jardin fleurie, j’ai l’impression d’un mouvement.

• Chute, rien à craindre, c’est sœur Olga une Allemande qui rejoint sa copine sœur Christine.

Pourquoi les sœurs semble se rejoindre de sœur à sœur, comme l’oie blanche que j’ai déjà dit être s’étonne, mais d’un coup, j’ai un autre centre d’intérêt la lune vient de sortir d’un nuage, l’orage grondant comme hier pour mon plus grand bonheur et pour la première fois comme pour le dessin de l’homme de mes cours avec mon précepteur, je vois devant moi une autre femme nue avec tout ce qu’il faut à hauteur de sa poitrine.

Nous passons dans la chapelle, un peu de lueur passe par les vitraux, Agnès, sans fausse pudeur, s’arrête devant l’hôtel fait une génuflexion et un signe de croix avant de continuer sa route.
J’en fais de même, ayant l’habitude de le faire dans la chapelle de notre château, attention, chapelle loin d’avoir la grandeur de celle du couvent.
Je la suis, son derrière roulant de gauche à droite et de droite à gauche échauffant mon entrejambe, nous montons dans le clocher et au sommet elle ouvre une porte qui nous permet d’être à hauteur des cloches.

• Je viens ici tous les soirs depuis que sœur Odette est tombée malade, je regarde l’étendue des dégâts et si par malheur les insurgés se rapproche de nous.
Regarde à droite, c’est une grosse ferme qui brûle, hier au soir elle était intacte, vient, on fait le tour, là, c’est un château qui est en feu, mais au loin la ville semble calme, ce sont surtout nos paysans qui se sont révoltés, car vous les nobles vous réduisez leur terre à votre profit et vous imposer des taxes de plus en plus élevées, même si les récoltes ont été mauvaises.
• Tu sais, c’est père qui s’occupait des problèmes d’argent comme tous les autres hommes dans notre milieu, mais comment sais-tu cela ?
• C’est sœur Véronique qui me l’a dit, c’est elle qui est Boursière, elle s’occupe de l’intendance et est en contact avec nos fournisseurs, mais elle m’a fait jurer d’en parler aux autres, il faut les protéger, mais avec toi, tu as dû en voir !

Elle se rapproche et me prend dans ses bras, c’était la première fois il y a quelques minutes que je voyais une femme nue, sous ces cloches, je sens ses seins pour la première fois sur mes propres seins.
Mère avait-elle les mêmes gestes avec Adèles quand elle la rejoignait le soir, ou a disparue ma servante, les manants l’on tel considéré comme une complice de nous les nobles, l’avenir me le dira peut-être.
Nous nous regardons et nous retournons dans ma cellule.

• Viens j’ai plusieurs choses à te demander.

Sans aucun problème, nous nous retrouvons près de mon lit.

• Allongeons-nous.

Nous nous couchons et elle me prend dans ses bras, c’est incroyable comment ma vie s’accélère, qui m’aurais dit il y a peu qu’en allant attendre mère dans son sous-bois pour apprendre comment, hommes et femmes avaient des rapports intimes, alors que jusqu’à ce jour ces situations m’étaient cachées, comment j’ai compris qu’une femme même si elle est mariée avec un homme peut se faire sauter par un autre.
J’ai compris que mon sexe était le même que celui de mère et que ce sexe servait à bien d’autre choses qu’à uriner
J’ai appris qu’un homme aime mettre sa bite dans la bouche d’une femme avant de la faire entrer dans son sexe.
J’ai compris que les picotements qui me démangent depuis quelques mois voire années dans mon sexe sont naturelles et que si je savais faire ce qu’il faut avec ma main, je me serais éclaté le corps en gerbe de plaisir.
Alors quand je vois le corps d’Agnès venir se coller au mien et que ces mêmes picotements se propagent de façon identique alors sans réfléchir nos bouches se joignent sur son initiative et que ses doigts entre en moi, je ressens le même début de plaisir.
Naturellement, je veux mettre mes doigts dans sa petite chatte, mais elle glisse vers le pied de mon lit et c’est sa bouche qui vient caresser et lécher le bouton qui me donne tellement de plaisir quand il est stimulé.
Qui m’aurait dit qu’une femme pouvais donner autant de plaisir à une autre femme par ses caresses et ses stimulations faîte pour le plaisir de l’homme et de la femme.
Elle pivote sur elle-même et je sens sa propre chatte être à hauteur de mes yeux grâce à la bougie qui nous éclaire faiblement, moi la pucelle déniaisée par le Duc, il y a quelques heures, je suis déniaisé par cette sœur qui semble bien connaître les rapports de femme à femmes qu’elle doit pratiquer depuis longtemps, nous exprimons notre plaisir quand nos corps s’embrases.
Elle remonte à ma hauteur et après un moment à nous regarder les yeux dans les yeux me demande.

• Blanche dit moi, si tu as déjà fait l’amour avec un homme et ce que l’on ressent, je m’interroge…

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Texte coquin : COLLECTION ZONE ROUGE. La Comtesse de Forchambeau (5/16)
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