COLLECTION ZONE ROUGE. La maman de la mariée se lâche (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. La maman de la mariée se lâche (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La maman de la mariée se lâche (1/2)
Demain, je marie ma fille.
46 ans, 26 de bonheur ce que je souhaite à Carole qui se marie comme moi à 20 ans.

- Maman, j’ai oublié les cartons avec les noms des invités pour mettre sur les tables dans ma chambre.
Je pars les chercher.
- Reste ici, tes amies sont venues t’aider et vous avez beaucoup de ballons à gonfler et à attacher.
Je viens de finir d’installer les fleurs que nous avions commandées.
C’est moi qui retourne chez nous.
J’en profiterais pour amener deux trois choses qui seront utiles demain.
- Merci maman, je t’aime.
- Moi aussi ma fille.

On dit je t’aime à son enfant même si Carole est la fille chérie de mon mari.
Rien de trop beau pour elle.
Dans cette résidence de Chantilly, Paul mon mari a même retenu la suite nuptiale pour que les jeunes mariés puissent convoler sans prendre le risque d’abus d’alcool et que le mariage se termine par un drame.
Mais c’est la seule chose qui nous sépare un peu entre mon mari et moi, rien de trop beau pour Carole.

Je récupère notre Mercedes et je roule jusqu’à Courbevoie où nous avons notre appartement.
Appartement, duplex de sept pièces dans les beaux quartiers.
Lorsque nous sommes parties avec ma fille, Paul lisait la presse financière, principale source d’intérêt pour lui.
Directeur de banque, c’est certainement nécessaire même s’il a pris quelques jours de congé.
Quand je me retourne, non pas au volant, mais dans ma vie, je vois une parfaite ligne droite.
À aucun moment, la tentation d’aller voir ailleurs m’a semblé nécessaire.
Certes, comme tous les hommes de sa génération, le remplissage de notre bas de laine passe avant nos galipettes.
Une maman cul serré l’ayant élevé dans le culte catholique en ayant même fait un enfant de chœur dans sa jeunesse, ça laisse des traces.
Je rentre à notre parking et par l’ascenseur direct chez nous je dois rejoindre notre septième.
Là encore pas ciel, mais étage.
En réparation.
Sept étages à pied, ça fait les mollets surtout lorsque j’ouvre notre porte et que j’entends la voix de notre nouvelle jeune bonne.

- Vous êtes sûr que si votre femme revient, on l’entendra ?
- Rien à craindre, je la vois mal faire sept étages à pied, on entendra l’ascenseur et tu pourras filer dans la cuisine.
Je reprendrais mon journal, le temps que la cage arrive, elle nous trouvera dans une situation plus que normale.
- Alors allez-y bourrer moi monsieur.

Incroyable, moi qui parlais de ligne droite de ma part, je viens de surprendre Paul, mon mari, en train de se sauter la bonne à quatre pattes sur mon tapis persan.
À la limite de pleurer, je prends le couloir jusqu’à la chambre de Carole à l’étage de sa chambre et sans bruit comme je suis entrée, je quitte ce salopard qui en plus quand je passe la porte de l’appartement entend cette salope jouir.

La salle retrouvée, je rumine, mais j’ignore, comment me venger de 26 ans d’amour foulé aux pieds en quelques secondes.
La cérémonie se passe sans problème, les O’Connor sont fiers que leur fils épouse Carole jeune femme de grand avenir dont le père est un haut dignitaire à la Banque de France.
Repas, discours en Français et en Anglais jusqu’à ce que les musiciens appellent les mariés à ouvrir le bal.

- Fred, tu as une cigarette ?
- Oui, tantine, je croyais que tu avais arrêté de fumer il y a dix ans.
- C’est ma sœur qui t’a dit ça ?
Eh bien, ce soir j’ai envie.
Viens sur la terrasse, ici c’est interdit.

Je sors, il me suit.

- Range ton paquet de clopes, ce sont les autres dont j’ai besoin pour me calmer et d’éviter de faire un scandale avec tous ces faux culs.
- Tu es en colère tantine, quelqu’un t’a manqué de respect.
- Ça me regarde, t’en as ?
- J’en ai roulé six ou sept, tiens en voilà une, fait gaffe, c’est de la bonne.

Eh oui, j’ai fumé de l’herbe dans ma période rebelle quand j’étais jeune avant de rencontrer Paul qui a fait de moi la femme BCBG que je suis devenue et qui a toujours suivi la ligne droite.
Un joint et je plane, j’en oublie presque les turpitudes de Paul.
Mais la vengeance est un plat qui se mange froid j’en veux plus.

- Viens suit moi Fred, je vais te montrer quelque chose.

Je connais la porte sur le côté que va emprunter ma fille pour aller se faire dépuceler.
Enfin, je l’ignore même si je connais certaines choses sur ma fille.

- Regarde la chambre nuptiale, tu viens, on va essayer le lit.
Ces pétales de roses, c’est moi qui les ais jetés dessus.

Je m’allonge, relevant ma jupe montrant ma petite culotte à mon neveu.

- Enlève-moi là et baise-moi.
- Tantine.
- Un peu moins de tantines et amène ta bouche avant de te planter ta queue.
Je suis trop vieille.
- Non, j’ai eu des maîtresses bien plus vieilles que toi.

Il me rejoint et commence à me sucer la chatte au travers du fin voile qui la recouvre.
Je lui mets les mains sur sa tête pour que sa langue s’applique plus profondément malgré le tissu.

- Arrache là.

Il était réticent au début, mais les effets produits par le joint décuplent notre envie.
En quelques secondes, le lit est ravagé et je hurle mon plaisir comme la petite salope hier.
Je pense que je tiens ma vengeance surtout quand il allume un nouveau pétard que nous partageons.
La dernière taffe tirée, j’ai le joint de haschisch en main, je l’écrase sur oreiller en soie comme les draps.

- Dis, tu portes toujours des strings, celui que tu portais il semble que je l’ai déjà vue.
- Il est à Carole, je l’ai pris hier machinalement quand je suis revenue chercher des cartons dans sa chambre .
Mais, dis-moi Fred, d’où connais-tu les petites culottes de ma fille ?
À part ce que je sais avec ses copines, je l’ai entendu dire au fils O’Connor qu’elle était vierge et qu’elle voulait le rester jusqu’au soir de ses noces.
- Ta fille, vierge, nous avions seize ans quand je l’ai sauté et j’étais loin d’être le premier.
C’est pour ça que j’ai hésité à te baiser tout à l’heure, j’avais renfilé la fille, j’avais peur que tu prennes mal que je baise la mère.
Mais je suis loin de regretter, tu as été un de mes meilleurs coups, bien loin d’elle.
Merci, il faut y retourner, notre absence pourrait être remarquée.

Rajustée, recoiffée grâce au matériel de toilettes de ma fille déposée dans la salle de bains.
Un seul détail, un bouton de mon chemisier qui dans notre précipitation a sauté montrant mon soutien-gorge noir.
Rien pour réparer, je l’enlève, ma peau se voit moins que lui.

- Où étais-tu Joy ?
- Je prenais l’air sur la terrasse.
- Avec Fred, ce petit dégénéré, qui deal de la drogue pour vivre.

Je suis à deux doigts de demander à Paul qui est le dégénéré, Fred qui vient de me faire fumer ou lui qui baise la bonne quand je suis absente.
Par chance mon gendre vient me sauver, dans son magnifique kilt rouge et bleu marine aux couleurs de son clan Écossais.
Tous les hommes écossais présents sont en kilt aux couleurs de leurs différents clans.
Je le sais, c’est Carole qui me l’a expliqué quand elle m’a dit que tous seraient dans leurs costumes traditionnels.

- Vous dansez belle-maman ?

Je pars dans une valse, dans les bras de ce beau gosse.
J’ai de la chance et ma fille aussi, il est beau gosse et danse très bien.
L’effet des joints est au maxi, je m’éclate.

- Fiston permet moi de you empruntez belle-maman.

Je change de bras, c’est un slow que les musiciens entament.

- You permet.

Et il m’enlace un peu plus que de raison.
Je m’aperçois qu’il bande.
Beau-papa écossais bande pour belle-maman française.

- O’Connor, pouvez-vous m’accompagner jusqu’à ma Mercedes, j’ai oublié mes lunettes à l’intérieur.
- Yes, belle-maman je vous suis…

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