COLLECTION ZONE ROUGE. La maman de la mariée se lâche (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. La maman de la mariée se lâche (2/2)
Aujourd’hui, je marie ma fille.
46 ans, 26 de bonheur ce que je souhaite à Carole qui se marie comme moi à 20 ans.
Hier, je suis retournée chez nous à Courbevoie chercher des cartons avec les noms sur les tables, oublié par Carole dans sa chambre.
Les cartons dans la chambre, mais Paul mon mari baisant la nouvelle jeune bonne à quatre pattes sur mon tapis persan.
J’ai envie de vengeance moi qui ai été proche de la ligne droite dans notre couple.
Aussi c’est sans vergogne qu’après avoir pris un joint avec Fred, mon neveu, je l’entraîne dans la chambre nuptiale où je me donne à lui.
De retour dans la salle de restaurant mon absence a semblé passé inaperçu.
Mon beau-fils écossais d’origine m’invite à danser avant d’être supplanté par son père.
Ils sont tous en kilt aux diverses couleurs liées aux divers clans invités.
Rapidement je sens qu’il bande, j’ai la chatte encore pleine du sperme de Fred, mais je prétexte une paire de lunettes oubliées dans la Mercedes familiale pour l’entraîner vers notre voiture.
Serviable, pensant que je dois avoir peur dans la nuit noire, il m’accompagne.
J’ouvre la portière arrière faisant celle qui cherche cet objet inutile pour moi.
- Fais-nous voir ce que tu as sous ce kilt, en dansant, ça paraissait fort acceptable.
Il relève le devant et ce que je présentais est là devant moi.
Si moi, je suis la chatte à l’air, c’est après avoir donné ma petite culotte string à Fred qui doit l’avoir dans sa poche.
Qui l’eut dit, il y a encore deux jours que le jour des noces de ma fille pour la première fois je sucerais une bite qui plus est écossaise.
J’ai une fringale de sexe après la trahison de Paul.
Je me relève, en fait autant pour ma jupe et me place à quatre pattes sur la banquette arrière, mon fessier dépassant suffisamment pour que cette magnifique bite entre en moi.
- Joy, you permet de vous appeler Joy.
Je tourne ma tête, il fait noir sur ce parking, je le vois mal.
- Oui, et moi Éliott.
- Yes.
On est fait pour s’entendre, le principal, c’est de sceller l’alliance France Écosse pendant les noces de ma fille.
- Small Sodomi door, please.
Je crois petite porte en français.
- Oui, encule-moi.
Toi homosexuelle ?
- Yes.
Pourquoi se priver de plaisirs nouveaux ?
L’effet des joints est toujours présent et c’est sans attendre qu’Éliott m’encule.
Fellation, sodomie sans compter la baise avec Fred, ma vengeance est complète.
Le sexe de mon amant est bien plus gros que celui de Paul, mon mari.
Déjà dans ma chatte je l’aurais senti passer, mais là je me mords la lèvre pour éviter de hurler.
Il finit par décharger.
Une nouvelle fois, je me rajuste et sans plus m’inquiéter de mes lunettes, alibi à nos débauches, nous rejoignons la noce.
- Joy où étais-tu cette fois-ci ?
- Avec Éliott sur le siège arrière de notre voiture.
Il m’a enculé.
- Tu divagues ma pauvre, tu as trop bu.
- Pas la moindre goutte mon chéri.
Je parle assez fort pour qu’autour de nous tout le monde entende.
- Mais comme nous en sommes aux confidences, dis à ta fille et à son mari, comment tu baisais la bonne sur mon tapis persan hier.
- Maman, tu es devenue folle et ça le jour de mon mariage.
Que va penser ma belle-famille !
- Carole, la pauvre petite sainte nitouche, tu as dit à celui qui pense te dépuceler ce soir que tu te fais déjà sauter par tout ce qui bouge depuis des années.
- Maman, tais-toi, tu dis un tissu de bêtises.
- Des bêtises, non seulement il y a longtemps que tu as connu le loup avec des hommes.
J’évite de mettre en avant celui qui m’a rencardé sur les pratiques sexuelles de ma fille.
- Madame, pourquoi vous en prenez-vous à votre fille si c’est votre mari qui vous a trompé.
- Alors, toi Alexandra, évite de te mêler de ce qui est loin de te regarder.
En plus de se faire sauter par ses nombreux amants, tu te gouines avec Carole et Radia.
- Madame, pourquoi, parlez-vous de moi ?
- De toi Radia, car je vous ai entendue alors que vous ignoriez ma présence expliquée que toi aussi tu te faisais enculer par tous ceux qui veulent de toi afin de garder ton pucelage pour un homme de ton pays.
Gouine et sodomite.
Aller vous me faite tous chier, vient Fred, laissons cette bande de dégénérés entre eux.
- Please.
- Oh ! toi l’anglaise quand on a un mari qui lui aussi se contente de baiser des culs, on ferme sa gueule.
Joignant le geste à la parole, je lui balance une grande baffe, vengeant Trafalgar et la victoire de Nelson sur Villeneuve.
- Une dernière chose avant d’aller m’éclater ailleurs.
Mesdames, depuis que les O’Connor sont arrivés avec leurs amis de divers clans, je vous entends papoter, si oui, ou non, sont-ils nus sous leurs kilts.
Regardez par vous-même.
Lorsque je tiens mes propos, je suis entre O’Connor père qui vient de m’enculer et O’connor fils qui après ce que je viens de dire et de faire, aura certainement du mal pour baiser ma fille dans la chambre que j’ai dévastée.
Une main sur l’un, une main sur l’autre et je soulève les kilts.
- Maintenant, vous savez !
Ouvrez les yeux comme moi je l’ai fait en prenant conscience de la trahison de mon fumier de mari.
Fred tu es près, on s’en va, je crois que l’on va bien s’amuser.
Fièrement, alors que je sens le sperme d’O’Connor père couler de mon anus, je lui prends la main et je l’entraîne vers sa voiture.
Sa voiture une vieille 4L délabrée où j’aurais eu du mal à me faire baiser comparé à mon allemand que nous longeons avant de disparaître dans la nuit.
- Emmène-moi chez toi.
- Oui, tantine, mais tu sais, c’est un peu crade, je vis tout seul.
- C’est crade, au contraire, j’en ai ma claque des maisons trop bien briquées comme celle dans lesquelles je vis depuis ma naissance.
Tu m’as réveillé, continuons, on verra où sa nous mènera.
Pour être crade, c’est crade, mais dès que je suis arrivée, je laisse tomber ma pelure de bourge pour apparaitre comme le jour de ma naissance à mon amant.
- Baise-moi.
- Attends, tu veux décoller quand je te prendrais.
Veux-tu te transformer en chienne lubrique ?
- Oui, comment.
Il va dans le tiroir de sa commode en sort un plateau avec un sachet de poudre blanche et une carte de fidélité d’un grand magasin de bricolage.
Il prépare la poudre.
- As-tu un billet dans ton sac ?
- Oui.
- Donne-m’en un.
Mon baise-en-ville est à mes côtés, je l’ouvre.
- 500, ça te va !
- Ce sera parfait.
Il le prend, le roule.
Il a fait deux lignes avec la poudre.
- Aspire, l’une après l’autre dans chaque narine.
Putain que c’est bon, les joints m’avaient transporté, là je décolle, mieux je sors de mon corps surtout quand le sexe de Fred entre en moi.
Comment avoir loupé un tel plaisir et ça pendant de longues minutes, même des heures o j’ai de multiples orgasmes ?
Jusqu’au matin où je finis par émerger.
- Fred, que fais-tu ?
- Tantine, il y a longtemps que la poudre dans le nez pour moi c’est insuffisant.
- Pourquoi tu en chauffe dans une cuillère ?
- Pour la faire fondre.
- Mince, tu as une seringue et tu te l’injecte dans les veines.
- Oui, et là je suis de nouveau opérationnelle pour toute la journée.
Pour être opérationnelle on est opérationnelle surtout quand reprenant le billet, je snif deux nouvelles lignes.
Je suis bien devenue la chienne promise pendant plusieurs jours, nous vivons d’amour et d’eau fraiche et surtout de ligne blanche ainsi que de seringues dans ses bras.
- Tu sors !
- Il faut bien aller chercher du carburant à notre amour.
Je prends le billet de 500.
- Tu peux j’en ai d’autres.
Dis-moi, quand j’aurais divorcé et que j’aurais récupéré l’appartement de sept pièces et ma Mercedes.
Ma mère plus fine que je le croyais malgré sa bigoterie avait fait signer à Paul un contrat de mariage car à part ses études brillantes, il était sans le sou.
Dis-moi donc combien de petits sachets, on va pouvoir s’acheter.
De quoi planer pendant des années tantine chérie.
Il part un temps trop long, mais quand il revient je lui tends mon bras.
- Fred, fais-moi connaître les mêmes plaisirs que toi.
- Les plaisirs, tu vas en connaître, j’ai croisé Paulo, mon copain d’enfance.
Nous sommes invités à une soirée où tu vas pouvoir t’éclater tantine.
L’aiguille entre dans mon bras, une nouvelle vie commence pour moi !
46 ans, 26 de bonheur ce que je souhaite à Carole qui se marie comme moi à 20 ans.
Hier, je suis retournée chez nous à Courbevoie chercher des cartons avec les noms sur les tables, oublié par Carole dans sa chambre.
Les cartons dans la chambre, mais Paul mon mari baisant la nouvelle jeune bonne à quatre pattes sur mon tapis persan.
J’ai envie de vengeance moi qui ai été proche de la ligne droite dans notre couple.
Aussi c’est sans vergogne qu’après avoir pris un joint avec Fred, mon neveu, je l’entraîne dans la chambre nuptiale où je me donne à lui.
De retour dans la salle de restaurant mon absence a semblé passé inaperçu.
Mon beau-fils écossais d’origine m’invite à danser avant d’être supplanté par son père.
Ils sont tous en kilt aux diverses couleurs liées aux divers clans invités.
Rapidement je sens qu’il bande, j’ai la chatte encore pleine du sperme de Fred, mais je prétexte une paire de lunettes oubliées dans la Mercedes familiale pour l’entraîner vers notre voiture.
Serviable, pensant que je dois avoir peur dans la nuit noire, il m’accompagne.
J’ouvre la portière arrière faisant celle qui cherche cet objet inutile pour moi.
- Fais-nous voir ce que tu as sous ce kilt, en dansant, ça paraissait fort acceptable.
Il relève le devant et ce que je présentais est là devant moi.
Si moi, je suis la chatte à l’air, c’est après avoir donné ma petite culotte string à Fred qui doit l’avoir dans sa poche.
Qui l’eut dit, il y a encore deux jours que le jour des noces de ma fille pour la première fois je sucerais une bite qui plus est écossaise.
J’ai une fringale de sexe après la trahison de Paul.
Je me relève, en fait autant pour ma jupe et me place à quatre pattes sur la banquette arrière, mon fessier dépassant suffisamment pour que cette magnifique bite entre en moi.
- Joy, you permet de vous appeler Joy.
Je tourne ma tête, il fait noir sur ce parking, je le vois mal.
- Oui, et moi Éliott.
- Yes.
On est fait pour s’entendre, le principal, c’est de sceller l’alliance France Écosse pendant les noces de ma fille.
- Small Sodomi door, please.
Je crois petite porte en français.
- Oui, encule-moi.
Toi homosexuelle ?
- Yes.
Pourquoi se priver de plaisirs nouveaux ?
L’effet des joints est toujours présent et c’est sans attendre qu’Éliott m’encule.
Fellation, sodomie sans compter la baise avec Fred, ma vengeance est complète.
Le sexe de mon amant est bien plus gros que celui de Paul, mon mari.
Déjà dans ma chatte je l’aurais senti passer, mais là je me mords la lèvre pour éviter de hurler.
Il finit par décharger.
Une nouvelle fois, je me rajuste et sans plus m’inquiéter de mes lunettes, alibi à nos débauches, nous rejoignons la noce.
- Joy où étais-tu cette fois-ci ?
- Avec Éliott sur le siège arrière de notre voiture.
Il m’a enculé.
- Tu divagues ma pauvre, tu as trop bu.
- Pas la moindre goutte mon chéri.
Je parle assez fort pour qu’autour de nous tout le monde entende.
- Mais comme nous en sommes aux confidences, dis à ta fille et à son mari, comment tu baisais la bonne sur mon tapis persan hier.
- Maman, tu es devenue folle et ça le jour de mon mariage.
Que va penser ma belle-famille !
- Carole, la pauvre petite sainte nitouche, tu as dit à celui qui pense te dépuceler ce soir que tu te fais déjà sauter par tout ce qui bouge depuis des années.
- Maman, tais-toi, tu dis un tissu de bêtises.
- Des bêtises, non seulement il y a longtemps que tu as connu le loup avec des hommes.
J’évite de mettre en avant celui qui m’a rencardé sur les pratiques sexuelles de ma fille.
- Madame, pourquoi vous en prenez-vous à votre fille si c’est votre mari qui vous a trompé.
- Alors, toi Alexandra, évite de te mêler de ce qui est loin de te regarder.
En plus de se faire sauter par ses nombreux amants, tu te gouines avec Carole et Radia.
- Madame, pourquoi, parlez-vous de moi ?
- De toi Radia, car je vous ai entendue alors que vous ignoriez ma présence expliquée que toi aussi tu te faisais enculer par tous ceux qui veulent de toi afin de garder ton pucelage pour un homme de ton pays.
Gouine et sodomite.
Aller vous me faite tous chier, vient Fred, laissons cette bande de dégénérés entre eux.
- Please.
- Oh ! toi l’anglaise quand on a un mari qui lui aussi se contente de baiser des culs, on ferme sa gueule.
Joignant le geste à la parole, je lui balance une grande baffe, vengeant Trafalgar et la victoire de Nelson sur Villeneuve.
- Une dernière chose avant d’aller m’éclater ailleurs.
Mesdames, depuis que les O’Connor sont arrivés avec leurs amis de divers clans, je vous entends papoter, si oui, ou non, sont-ils nus sous leurs kilts.
Regardez par vous-même.
Lorsque je tiens mes propos, je suis entre O’Connor père qui vient de m’enculer et O’connor fils qui après ce que je viens de dire et de faire, aura certainement du mal pour baiser ma fille dans la chambre que j’ai dévastée.
Une main sur l’un, une main sur l’autre et je soulève les kilts.
- Maintenant, vous savez !
Ouvrez les yeux comme moi je l’ai fait en prenant conscience de la trahison de mon fumier de mari.
Fred tu es près, on s’en va, je crois que l’on va bien s’amuser.
Fièrement, alors que je sens le sperme d’O’Connor père couler de mon anus, je lui prends la main et je l’entraîne vers sa voiture.
Sa voiture une vieille 4L délabrée où j’aurais eu du mal à me faire baiser comparé à mon allemand que nous longeons avant de disparaître dans la nuit.
- Emmène-moi chez toi.
- Oui, tantine, mais tu sais, c’est un peu crade, je vis tout seul.
- C’est crade, au contraire, j’en ai ma claque des maisons trop bien briquées comme celle dans lesquelles je vis depuis ma naissance.
Tu m’as réveillé, continuons, on verra où sa nous mènera.
Pour être crade, c’est crade, mais dès que je suis arrivée, je laisse tomber ma pelure de bourge pour apparaitre comme le jour de ma naissance à mon amant.
- Baise-moi.
- Attends, tu veux décoller quand je te prendrais.
Veux-tu te transformer en chienne lubrique ?
- Oui, comment.
Il va dans le tiroir de sa commode en sort un plateau avec un sachet de poudre blanche et une carte de fidélité d’un grand magasin de bricolage.
Il prépare la poudre.
- As-tu un billet dans ton sac ?
- Oui.
- Donne-m’en un.
Mon baise-en-ville est à mes côtés, je l’ouvre.
- 500, ça te va !
- Ce sera parfait.
Il le prend, le roule.
Il a fait deux lignes avec la poudre.
- Aspire, l’une après l’autre dans chaque narine.
Putain que c’est bon, les joints m’avaient transporté, là je décolle, mieux je sors de mon corps surtout quand le sexe de Fred entre en moi.
Comment avoir loupé un tel plaisir et ça pendant de longues minutes, même des heures o j’ai de multiples orgasmes ?
Jusqu’au matin où je finis par émerger.
- Fred, que fais-tu ?
- Tantine, il y a longtemps que la poudre dans le nez pour moi c’est insuffisant.
- Pourquoi tu en chauffe dans une cuillère ?
- Pour la faire fondre.
- Mince, tu as une seringue et tu te l’injecte dans les veines.
- Oui, et là je suis de nouveau opérationnelle pour toute la journée.
Pour être opérationnelle on est opérationnelle surtout quand reprenant le billet, je snif deux nouvelles lignes.
Je suis bien devenue la chienne promise pendant plusieurs jours, nous vivons d’amour et d’eau fraiche et surtout de ligne blanche ainsi que de seringues dans ses bras.
- Tu sors !
- Il faut bien aller chercher du carburant à notre amour.
Je prends le billet de 500.
- Tu peux j’en ai d’autres.
Dis-moi, quand j’aurais divorcé et que j’aurais récupéré l’appartement de sept pièces et ma Mercedes.
Ma mère plus fine que je le croyais malgré sa bigoterie avait fait signer à Paul un contrat de mariage car à part ses études brillantes, il était sans le sou.
Dis-moi donc combien de petits sachets, on va pouvoir s’acheter.
De quoi planer pendant des années tantine chérie.
Il part un temps trop long, mais quand il revient je lui tends mon bras.
- Fred, fais-moi connaître les mêmes plaisirs que toi.
- Les plaisirs, tu vas en connaître, j’ai croisé Paulo, mon copain d’enfance.
Nous sommes invités à une soirée où tu vas pouvoir t’éclater tantine.
L’aiguille entre dans mon bras, une nouvelle vie commence pour moi !
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